Mylène Et Son Cul

Comme chaque samedi, Mylène consacrait une partie de son après-midi à son péché mignon : le shopping. Elégante quinquagénaire aux cheveux mi-longs blonds vénitiens, elle déambulait nonchalamment devant les vitrines, observant au passage son mise très soignée : une robe étroite arrivant à mi-cuisses dégageant ses épaules, mettant en valeur ses jambes fines juchées sur des escarpins et moulant un fessier bien proportionné, ni trop gros ni trop petit mais saillant sous l'étoffe. C'est en regardant une vitrine qu'elle aperçut dans le reflet un homme qui, à l'évidence, l'observait. Elle fit d'abord mine de ne pas s'en être aperçue et poursuivit sa déambulation. Mais en avançant dans les rues, elle découvrit que l'homme la suivait. Chaque fois qu'elle s'arrêtait, il s'arrêtait aussi. Et quand elle marchait, il faisait de même. Agacée, et un tantinet inquiète, elle décida de prendre le taureau par les cornes. Avisant l'homme, elle marcha résolument vers lui et lui tint ce langage :
- Dîtes donc, vous, ça va continuer longtemps votre petit manège. Vous voulez quoi exactement ?
L'homme, sans se démonter, répondit dans un sourire :
- Mais madame, vous baiser, tout simplement. Vous avez le plus joli cul de la ville et il réclame un véritable hommage que vous n'avez certainement pas.
- Quoi ? Qu'est-ce que vous dîtes ? Mais ma parole, vous me harcelez ! Fichez le camp ou j'appelle un agent de police.
- Ne vous énervez pas, chère madame, mes intentions sont toutes pacifiques. Vous ne savez pas ce que vous perdez, c'est tout. Je serais long et dur pour une femme comme vous et on ne s'est jamais plaint de mes services. Pourquoi ne prendriez-vous un pot avec moi pour mieux me connaitre ?
Mylène, décontenancée par l'aplomb de l'homme, finit par lui répondre :
- Bon, ça va maintenant, allez-vous en où il va vous en cuire.
Et de faire mine de dégainer son téléphone portable. L'homme répondit en lui lançant un baiser à distance de la main, tourna le dos, et s'en fut, le sourire aux lèvres.

Il s'était bien amusé à provoquer cette bourgeoise bien nippée et, il faut dire, sacrément bien gaulée pour son âge. Au début, de dos, il avait cru à une femme de son âge, d'une trentaine d'années. Quand il avait vu son visage, déjà marqué par les années mais malgré tout séduisant, il s'était montré surpris mais toujours intéressé. "Quand on porte dans la rue une robe comme celle-là, c'est qu'on est une femme qui baise", avait-il conclu en se remémorant cette belle paire de fesses où saillait la marque d'un string sous l'étoffe, ces jambes bronzées et nerveuses et ces seins encore bien hauts.. Il l'avait bien matée et comptait l'aborder quand elle l'avait pris de court. C'était donc raté mais au moins, il avait essayé car en la matière, qui ne tente rien n'a rien.

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Comme chaque samedi après son shopping, Mylène retrouva son amie Corinne dans leur salon de thé habituel. Elle lui raconta l'incident qu'elle venait de vivre :
- Tu te rends compte, Coco, il m'a dit carrément qu'il voulait me baiser, comme ça, tout de go. Il m'a même parlé de mon cul.
- Il y a des mecs gonflés, c'est sûr. Cela dit, ton cul, ne me dis pas que tu n'en es pas fière, on ne voit que lui quand tu marches, surtout avec cette robe.
- Tu voudrais quoi ? Que je mette une tunique pour le cacher ? Depuis qu'un mec m'a dit qu'il lui trouvait une ressemblance avec celui de Simone de Beauvoir, qu'il avait vu à la une d'un magazine, j'en suis fière, oui. Tu ne serais pas un peu jalouse de mon cul, des fois ?
- Un peu oui, mais ce n'est pas le sujet. Ton mec, il était comment physiquement ?
- Plutôt pas mal, je dois avouer. La trentaine, assez costaud, le genre jean basket mais propre sur lui, des cheveux bruns frisés. Et un sourire assez désarmant, faut reconnaitre. Vu sa façon de s'exprimer, très châtiée, le gars n'est pas idiot, c'est sûr, il est juste grossier.
- Eh bien dis donc, ce n'est pas un portrait déplaisant, que tu me racontes. Tu aurais pu au moins prendre un verre avec lui, ça ne t'engageait à rien.
Il ne te harcelait pas, ce mec, il te draguait, tout simplement. Un peu lourd, je l'admets, mais c'est l'époque qui veut ça. Le discours fleur bleue se perd.
- J'étais énervée et quand même, je n'allais pas lui donner satisfaction.
- Je t'ai connue moins chochotte, Mimi. Je me souviens de certaines fois où tu n'as pas fait de manières avec des inconnus. (Et baissant la voix). Tu te souviens du glory hole lorsque tu m'avais accompagnée au sauna libertin ? Tu suçais des bites non identifiées sans te faire prier.
- Chuuut, tais-toi malheureuse ! Et puis quoi, ça n'a rien à voir, tout à l'heure, je n'étais pas dans l'ambiance d'un sauna libertin, je faisais du shopping, merde.
- Bon, ne t'énerve pas, n'en parlons plus, l'essentiel est que tu n'aies pas de regret. Moi en tout cas, à ta place, j'aurais essayé d'en savoir plus. Au fait, ton shopping, ça a donné quoi au final ?
Et les deux amies se mirent à parler chiffon, un sujet où elles étaient intarissables...

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Trois jours plus tard, Mylène se rendait sur le chantier d'une médiathèque en construction, au titre de l'élue municipale qu'elle était, chargée des travaux, afin d'effec un état des lieux avec les professionnels concernés. Elle avait troqué ses escarpins pour une paire de tennis, laissé sa robe pour un jean et coiffé un casque réglementaire d'où émergeaient ses cheveux blond vénitien. Déambulant dans les couloirs avec son calepin en compagnie du patron de l'entreprise, elle tomba nez à nez avec un contremaitre, qui n'était autre que son dragueur lourdingue. Lorsque l'entrepreneur lui présenta "Damien", elle tendit mécaniquement la main mais son visage marqua une surprise intense. L'homme la saisit et lui sourit :
- Enchanté madame la conseillère municipale, voulez-vous que je vous accompagne dans la visite ?
- Bonne idée, ajouta l'entrepreneur, j'ai un autre chantier en cours que je dois visiter, je vous laisse.
Et il s'en fut, laissant Mylène et Damien face à face, l'une nettement plus gênée que l'autre.
Celui-ci se fit fort de briser la glace :
- Oublions l'incident de l'autre jour, je vous présente mes plus vives excuses, madame la conseillère municipale. Soyons professionnels tous les deux.
- Oui, bonne idée, continuons la visite, je dois rendre mon rapport dès ce soir.
L'expertise se poursuivit dans un climat très apaisé, Damien arrachant même des petits rires de Mylène par quelques plaisanteries subtiles, ce qui confirma Mylène dans l'idée que son dragueur était peut-être lourd, mais dissimulait une autre facette de son personnage plus attrayante. Aussi, à l'issue de la visite, accepta-t-elle de prendre un verre avec lui.
Une fois débarrassé de sa tenue de chantier, Damien apparut beaucoup plus séduisant à la quinquagénaire. La consommation se poursuivit par un déjeuner durant lequel l'homme brilla par son esprit. Il évita toute allusion sexuelle mais Mylène n'était pas dupe : il avait toujours l'intention de la baiser. La seule différence est qu'elle n'envisageait plus cette perspective d'une manière totalement négative. Les absences prolongées de son mari, exerçant sa profession à 500 km du domicile conjugal, la rendaient vulnérable à toute tentation d'autant que la séduction, comme on l'a vu, faisait partie de son modus vivendi. Le fait que ce jeune homme, incontestablement attrayant par son physique, et doté selon lui d'arguments virils susceptibles de séduire une femme esseulée, la considère comme baisable malgré la différence d'âge, ne pouvait que satisfaire son égo. Plus le temps passait et plus elle sentait monter le désir. Quand enfin elle se leva de table, elle sentit confusément le regard de l'homme planté sur son fessier moulé par le jean. Instinctivement, elle ondula de la croupe. L'homme ne s'y trompa pas : elle était mûre. Aussi, quand il lui proposa de reprendre la visite du chantier, interrompue, le soir même après le départ des ouvriers, elle accepta.

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Elle se présenta à l'heure dite dans tout autre tenue, a priori peu compatible avec la visite du bâtiment en construction.
Elle avait revêtue la même robe que le samedi précédent, les mêmes escarpins, la même absence de collants, et travaillé son maquillage, le "trompe couillon" rendu d'autant plus nécessaire qu'il lui fallait effacer un écart de vingt ans avec son séducteur. La découvrant, celui-ci sentit aussitôt entre ses jambes un phénomène naturel qu'il lui faudrait satisfaire au plus vite. Pas question de mener cette nana à l'hôtel comme une pouffiasse : il lui fallait de l'inédit, de l'incongru, du sauvage pour satisfaire ses fantasmes de bourgeoise. L'endroit, fait de couloirs et de pièces nues d'où des fils sortaient un peu partout, n'avait rien de glamour. Mylène fit comme si elle était dans le cadre de son mandat d'élue, écouta les explications du contremaitre, lequel faisait en sorte qu'elle le précède, en particulier dans les escaliers, afin de mater son cul moulé et mouvant. Mylène le savait et accentuait son roulis avec la perversité dont elle se savait capable dans ce genre de circonstances. Elle ne savait pas comment les choses allaient tourner mais ce qu'elle savait, c'est que l'envie de baiser montait inexorablement. Damien la conduisit au sommet du bâtiment d'où une vue panoramique s'offrait aux regards. Mylène s'extasia, l'homme dans son dos jusqu'au moment où elle sentit son souffle sur son cou et ses mains sur ses hanches. La plus élémentaire décence aurait voulu qu'elle se dérobât et remît à sa place l'impudent. Bien au contraire, elle se laissa faire et l'homme s'enhardit. Les mains gagnèrent le ventre puis les seins, la bouche s'attarda au creux de la nuque et Mylène fondit aussi vite qu'un glaçon dans un micro onde en marche. Elle ne se retourna pas et toujours le regard sur le panorama, laissa le contremaitre opérer. Accroupi derrière elle, il remonta ses mains sous sa robe, accrocha le slip, le fit descendre jusqu'aux chevilles, l'aida à l'expulser, écarta ses fesses et logea sa langue dans son anus tout en la masturbant. Mylène poussa un long gémissement. D'emblée, le coquin avait trouvé ses points sensibles. En appui sur un montant, cambrée, troussée jusqu'à la taille, elle s'offrait à une saillie à la hussarde. Elle sentit que l'homme s'affairait à dégager un préservatif. Quand il la pénétra, son visage marqua une intense surprise qu'elle exprima par un "oooohhh" évocateur. "Mais tu es énorme !" lâcha-t-elle. Elle n'avait pas vu que son baiseur était doté d'un membre viril hors normes. Heureusement, il l'activait avec prudence afin qu'elle en prit possession progressivement. Mais comme son vagin était assez large, il ne tarda pas à s'engager totalement, résolument, sans concession. Mylène put alors lâcher quelques exclamations où l'étonnement, parfois même la stupéfaction, se mêlaient à un plaisir intense, celui d'être copieusement remplie. D'abondantes secrétions vaginales facilitèrent le véritable forage dont elle était l'objet et l'homme éprouva la satisfaction de la voir venir à sa rencontre, preuve que les deux sexes étaient désormais en parfaite symbiose. Les deux amants commencèrent alors à proférer quelques petites cochonneries verbales où il était essentiellement question de chatte et de bite, d'incitation à poursuivre et de compliments réciproques. Puis Mylène déclara :
- S'il te plait, montre moi ta queue et mets toi nu.
La douceur régnait en ce début de soirée sur le bâtiment et l'homme n'eut aucune réticence à se dévêtir, d'autant que Mylène avait fait passer sa robe par dessus sa tête, dégrafé son soutif et offrait son corps impeccable au soleil couchant. Avisant le membre de Damien, elle souffla :
- Mon dieu, quelle queue, je n'en ai jamais vu d'aussi belle. Tu es venu sur terre pour donner du plaisir aux femmes, mon chou. Et dire que j'aurais pu te louper. Laisse moi me remplir un peu la bouche, mais attention, hein, n'éjacule pas. Je ne suis pas rassasiée.
Accroupie à poil sur ses escarpins de marque Louboutin, Mylène se mit à pomper le dard avec précaution, à la fois pour ne pas s' et pour ne pas trop exciter son partenaire qu'elle entendait faire durer. La fine peau du gland était tendue à l'extrême comme s'il allait expulser sa crème d'une minute à l'autre. Mylène jugea plus prudent de s'interrompre et de tenir une petite conversation à Damien avant de passer à la phase suivante :
- Tu sais que tu es un vrai cochon ? Emmener une femme respectable comme moi, une élue en plus, dans ce piège pour me baiser en toute impunité ? Tu mériterais que je crie au viol mais voilà, j'ai encore envie de toi. Tu as un corps splendide. J'adore ton damier. Tu vas encore m'enfiler, dis ? Viens par là, je vais m'asseoir sur cette espèce d'établi, on va mettre nos vêtements dessus pour que ce soit plus confortable pour mon gros cul et tu vas me baiser, hein, tu m'entends, me baiser !
Surchauffé par la crudité de la bourgeoise, le contremaitre réprima de justesse son envie de ruer entre les cuisses largement ouvertes de la belle quinquagénaire. Il positionna juste son gland à l'entrée de son déduit et la laissa venir à lui, ce qu'elle fit d'un grand coup de reins. La hauteur était parfaite et il put la labourer sans effort, provoquant très vite une série d'onomatopées, d'interjections et d'exclamations de l'élue municipale, assurée d'une totale impunité vu le caractère très excentré des lieux. Elle le fixait de son regard émeraude, passant de son visage à sa bite tandis que lui tentait de maitriser son intense envie d'éjaculer, subjugué qu'il était par l'enthousiasme de sa partenaire, véritable célébration de sa virilité. Son corps bronzé par les séances de plage, à l'exception d'un petit triangle blanc au niveau du pubis, signe qu'elle était adepte du monokini, maintenait heureusement sa queue dans un état de rigidité tel qu'il allait de plus en plus profond, d'où les explosions verbales de Mylène. Un mot particulièrement cru de celle-ci l'obligea à se retirer très vite en comprimant sa bite pour ne pas gicler, mâchoires serrées. Il était temps d'observer une pause. Une courte discussion s'engagea :
- Tu me rends dingue, dit-il.
- Ah mais tu ne vas pas t'arrêter, dis. J'ai encore envie, moi. Ta queue est toujours bien raide, j'espère. Tu veux me lécher un peu ?
Damien plongea le nez dans la vulve trempée, faisant roucouler sa propriétaire, quand une inspiration lui vint. Relevant ses jambes, il glissa le bout de sa langue dans l'anus de Mylène dont le "ho là là ho là là" révéla une sensibilité particulière à cet endroit de son anatomie. La suite était courue d'avance. Relevant le bassin de Mylène et plaçant ses jambes sur ses épaules, le contremaitre insinua son gland dans l'orifice humide et s'y engagea précautionneusement, provoquant chez les quinquagénaires une suite de cris contradictoires :
- Oh non, pas ça, oh oui, vas-y, oh non, oh ouiiiii.
Et il l'encula. Très lentement d'abord mais de plus en plus vite. Mylène ouvrait grand la bouche, écarquillait les yeux, stupéfaite par le volume s'agitant dans son tréfonds, cherchant son regard, le trouvant et lâchant entre deux halètements :
- Oh mon dieu, qu'est-ce que tu me fais ! Tu es tout entier, là ?
Devant l'affirmative, elle éclata d'un rire sonore qui n'était en rien un désaveu de l'initiative de son amant, à preuve un "t'arrête pas" qui confirma l'homme dans l'idée que cette bourgeoise Bcbg était bien une cochonne grandiose. Il la retourna pour mieux s'enfoncer en elle et mieux se régaler de sa croupe aux deux globes charnus et soyeux, profondément fendus par une raie dégageant bien son orifice. Et quand il constata que les fesses, sous l'effet de ses coups de boutoir, devenaient envahies de chair de poule, il ne put retenir son éjaculation et la besogna vigoureusement en grognant, déclenchant chez sa partenaire un curieux bruit de gorge et de ventre mêlés attestant de sa jouissance. Pendant tout le temps de ce coït, Mylène n'avait pas quitté ses Louboutin...
*******
Le lendemain, Mylène retrouva Corinne pour leur thé (matcha) habituel. Après quelques propos anodins, la conversation évolua vers des considérations plus intimes :
- Au fait, tu en es où avec ton dragueur ? demanda Corinne
- Eh bien, j'ai conclu.
- Comment ? Tu as baisé avec lui ?
- Ben oui. C'est ce que tu voulais non ?
- Oui, enfin, si tu veux. Quand tu dis que tu as conclu, c'est plutôt lui qui l'a fait. Et comment ça s'est passé ?
- Il m'a défoncé le cul, le salaud. Je peux à peine m'asseoir. Il a une bite énorme, je n'en avais jamais vu de pareille.
- Non, sans blague. Et ça s'est passé comment ?
A voix basse, Mylène raconta les circonstances de cet accouplement hors normes et plus elle avançait, plus la bouche et les yeux de Corinne s'agrandissaient. Finalement, elle lâcha.
- Eh ben dis donc, c'est une affaire, ton mec. Et tu comptes le revoir ?
- Tu penses bien que oui mais pas tout de suite, faut que je me remette.
- Et en attendant, tu me le présenterais ?
- Dis donc, tu veux me le piquer ? Pas question.
- Bon, ça va. Egoïste, va. A part ça, ton mari, comment va-t-il ?
Mylène fixa son amie d'un air courroucé.
- Il va très bien, merci. Et le tien ?
- Lui aussi. Bon, ça te dirait de revenir un de ces jours au sauna libertin ? Tu m'as mis le feu avec tes histoires.
Et les deux amies consultèrent leur agenda.

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