Marie (1), Mon Petit Péché Mignon
Je suis en couple depuis bientôt deux ans avec Jeanne. Quand nous nous sommes rencontrés, nous ne nous sommes plus quittés. Au bout dune semaine nous passions toute nos nuits ensemble. A peine deux mois après, je quittais mon appartement pour emménagé chez elle avec ses jumelles. Nous menions une petite vie de famille tranquille.
Le côté « vie de famille plan plan » a trop vite fait redescendre la flamme dans notre couple. Vu que les filles grandissent, elles ne veulent plus sortir avec nous et Jeanne nest plus partante pour des soirée en amoureux à lextérieur. Nous passons presque toutes nos soirées devant la télé, nous ne côtoyons presque plus amis. Je suis de moins en moins enjoué de rentrer du travail.
Même au lit ce nest plus ça. Au début nous passions notre temps à nous sauter dessus, nimporte où et nimporte quand. Mais maintenant cest même pas une fois par semaine. Pour moi qui suis plutôt très demandeur cest loin dêtre suffisant, du coup je me masturbe de plus en plus souvent sous la douche.
Jai trouvé une autre activité pour me défouler et réfléchir, je cours. Comme nous avons la chance dhabiter un peu en retrait de la ville je profite souvent des forêts qui nous entourent pour être plus au calme.
Je crois que si je ne quitte pas Jeanne cest à cause de ses filles, je ne me sens pas dinfliger encore ça a des s même si je ne suis pas leur père. En deux ans des liens se sont créés et nos problèmes de couple ne doivent pas jouer sur leur vie. Dun autre côté je ne peux continuer avec ce quotidien de merde!
Les beaux jours commencent à revenir, du coup je reprends mes jogging et surtout mes réflexions. Les filles passent leur bac à la fin de lannée et ensuite elles vont quitter le nid familial, je pense que je vais faire comme elles. Je suis perdu dans mes pensées quand je croise un petit femme, plutôt jeune, qui court dans le sens inverse et qui me salue. Je lui rend son bonjour sans trop faire attention à elle.
Une fois de retour au parking, je retrouve la petite brune qui fait ses étirements à côté de ma voiture. Cette fois, je lui dis bonjour plus normalement et jen profite pour ladmirer dans sa tenue de sport en lycra, bien moulante.
Cest une petite brune, qui ne doit pas dépasser le mètre soixante. Elle a un visage très in avec son sourire dange, ses yeux sont bleu glacial mais réchauffe mon corps. Elle a un cul, extrêmement bien moulé dans son pantalon, à faire bander un mort (sil a les mêmes gouts que moi de ce côté).
Jouvre le coffre de ma voiture et commence à faire mes étirements dessus quand je me décide à briser la glace en lui demandant:
« Vous courez souvent ici? »
Elle mexplique que cest la première fois, que dhabitude elle court autour de chez elle mais maintenant quelle a une voiture de fonction elle en profite pour aller en pleine nature. Elle travaille, donc elle est bien majeur. Plus jéchange avec elle plus jai limpression de lavoir déjà vu.
On finit notre discussion sur le jogging car elle doit rentrer chez elle et avant de partir elle me lance:
« A une prochaine fois jespère! »
Je lui réponds du tac o tac:
« Je viens tous les deux jours à la même heure. »
Elle me sourit, claque la porte et démarre en vitesse. Je finis de me réhydrater, je me grille une clope (je sais après le sport cest mauvais, mais les pires sont les meilleurs!) et je rentre à la maison retrouver Jeanne et les filles.
Le surlendemain je me prépare avec excitation à aller courir mais je ne vois pas sa voiture sur le parking. Sur le trajet je ne croise pas la jolie petite brune et quand je finis mon jogging toujours aucun signe delle ni de sa voiture. Je prolonge les étirements le plus longtemps possible au cas ou elle arriverait mais je suis bien obligé de rentrer à la maison, retrouver la « petite famille »!
La fois daprès où je vais courir, sa voiture est pas sur le parking.
Je vais vers elle et quand elle soulève la tête et me voit, elle me fait un énorme sourire. Nous nous serons la main en nous disant bonjour et je maide du poteaux à côté du sien pour faire mes étirements. Je me lance en lui disant que je lai cherchée avant hier, elle me répond:
« Javais une réunion, je nai pas pu venir. Mais aujourdhui, je suis là! »
Jen profite pour me présenter:
« Romain »
Elle cest Marie.
Elle est un peu pressée mais me propose que lon court ensemble ce samedi. Jaccepte avec plaisir et je lui fais la bise pour lui dire au revoir. Cest fou mais je suis tellement en manque de contacte humain que je frisonne quand elle pose sa main sur mon épaules. Quand elle séloigne je cache au maximum mon début dérection très voyante dans mon short en lycra. Avec ce tissu, impossible de cacher son anatomie!
Quand je rentre chez moi le soir, je suis accueilli par Jeanne qui me lance directement:
« Tu cours plus longtemps quavant, tu tentraines pour le marathon ou quoi? »
Cétait pour prévenir pour lavenir mais je lui réponds:
« Non, mais maintenant je cours avec un groupe qui sentraine pour le semi marathon, 21 km. Samedi, je vais encore courir avec eux et je pense que je vais le tenter moi aussi. »
Elle me regarde avec un air étonné, jai peur quelle ne me croit pas. Mais elle sapproche de moi et colle son corps contre le mien, ça fait 10 jours que nous avons pas été aussi proche, je bande directement.
« Tu vas devenir un véritable athlète. »
Je latt par les fesses pour bien lui faire sentir mon érection et avant de lembrasser de nouveau, je lui murmure:
« Je peux, tout de suite, te prouver que pour le sport en chambre je suis un bon athlète! »
Notre baiser devient de plus en plus chaud mais nous sommes interrompu par les jumelles qui ont fini leurs révision et viennent squatter la télé en attendant le repas.
Une fois que nous nous retrouvons seuls et au lit, je me colle à Jeanne et lui caresse le ventre pendant que je bisoute son cou. Jai à peine le temps de commencer à bander quelle me repousse en me disant que ce nest pas la bonne période. Vu que depuis bientôt un an elle dort en pyjama je nai aucune possibilité de vérifier mais il me semble bien quil y a 10 jours on a fêter la fin de son précédent cycle!
Une fois quelle sendort profondément je repense à Marie et sa bouche contre ma joue. A la délicatesse de ses lèvres sur ma peau. Je commence à me caresser en revoyant sa petite poitrine avec les tétons qui pointe à travers le tissu de sa tenue de sport. Je jouis en imaginant son cul totalement nu et moi qui men occupe.
Le samedi je me prépare plus tôt que dhabitude pour aller courir mais jai presque 3/4 dheure davance sur notre rendez-vous alors je fais les cent pas à la maison. Jarrive quand même 15 bonnes minutes avant lheure prévue. Même si je suis le premier, Marie arrive quelques minutes après moi. Elle se gare à côté de ma voiture et vient me faire la bise.
Une fois échauffés nous commençons par faire la boucle que je fais à chaque fois. Même si parler diminue notre souffle, nous discutons tout le long du chemin. Marie a 28 ans, jen ai 10 de plus. Elle a un bon boulot dans une société en pleine essor. Elle gravit tranquillement les échelons.
Je lui parle de mon boulot, de mes déplacements qui sont en ce moment que régionaux.
Japprends quelle vit toujours chez ses parents, je suis assez étonné quune fille de son âge avec une bonne situation ne cherche pas son indépendance. Elle mexplique quelle les a quittés pour vivre avec son copain de lépoque mais il la larguée en lui laissant une simple lettre, le compte en banque vide et même des dettes. Du coup elle a été de retourner vivre chez papa et maman.
Après plus dune heure de course, elle ralenti le rythme et sarrête, je limite. Elle att ma main et mentraine dans les bois, nous nous enfonçons pendant quelques minutes et une fois à labri de tous les regards, Marie me plaque contre un arbre et vient se coller à moi. Sans réfléchir aux conséquences, je penche ma tête et soude ma bouche à la sienne.
Notre baiser est dabord très doux, nos lèvres sentrecroisent, se caressent, saspirent
puis il devient de plus en plus fougueux. Sa langue rentre dans ma bouche, cherche la mienne et se met à danser avec. Mes mains lui caressent les cheveux avant de descendre sur son dos, je nose pas encore atteindre ses fesses.
Marie plaque encore plus son corps contre le mien et le bas de son ventre frotte ma bite déjà bien droite et dure. Je glisse ma main droite sous son t-shirt et commence à lui caresser le ventre avant de remonter doucement vers sa poitrine, elle ne porte pas de soutien gorge. Jentoure son petit sein de ma main et je sens son téton érigé entre deux doigts. Je les referme pour pincer sa tétine, bien que sa bouche soit remplie par ma langue, elle se met à gémir.
Je passe dun côté à lautre de sa poitrine alors quelle att mon autre main pour la glisser dans son pantalon. En descendant, je sens quelle est totalement lisse. Je tombe en premier sur son petit bouton qui est déjà bien gonflé ou alors proéminent. Je caresse ses grandes lèvres et avant que je mattaque aux petites je la sens déjà couler sur ma main.
Elle est tellement ouverte et accueillante que jintroduis rapidement index et mon majeur en elle. Ils glissent sans soucis vu comme sa grotte est inondée. Marie appuie sa main sur larrière de ma tête et plaque encore plus son visage au mien. Rapidement je sens ses doigts descendre sur ma nuque et mon dos et ils sont rejoints par ceux de lautre main.
Marie se baisse un peu, mon visage suit le mouvement mais jai de plus en plus de mal à moccuper de sa poitrine puisque quelle baisse mon short et mon boxer. Une fois la bête libérée, elle lempoigne dune main et tâte mes couilles avec lautre. Heureusement que ce matin, jai taillé mes poils qui devenaient trop long et que je me suis rasé les bourses.
Elle fait monter et descendre sa main le long de ma tige tout en abandonnant complètement ma bouche pour sagenouiller devant moi. Elle commence par me lâcher avec le bout de la langue sur toute la longueur avant de gober mon gland pour jouer avec. En experte quelle est, Marie noublie pas mon frein quelle titille avec son pouce.
Elle menfonce de plus en plus dans sa bouche, en serrant bien ses lèvres autour de ma bite. Ses deux mains soccupent de mes couilles lisses alors que je lui caresse la tête. Je ne peux mempêcher de gémir ce qui la motive à accélérer le rythme de ses allers retours sur moi. Vu la rapidité à laquelle je sens monter mon excitation et la technique de sa bouche, je me dis que je suis tombé sur une experte!
Bientôt deux semaines dabstinence, jai peur de venir trop rapidement et de ne pas profiter de son abricot qui me semble bien juteux. Je latt sous les bras et la fait se relever, je la plaque contre larbre, à ma place et je maccroupie devant elle. Je fais dabord tomber son pantalon en lycra noir pour ladmirer dans sa simple culotte en tissu blanc, déjà très humide.
Je la lape au niveau de la mouille pour lexciter un peu plus. Une fois que je la sens mûre, je fais descendre lentement son slip accompagné de ma bouche qui lèche sa peau. Quand elle ne porte plus rien en bas, je fais remonter ma langue contre sa peau clair et douce. Au niveau de ses cuisses, jécarte un peu plus ses jambes et la lèche à lintérieur.
Quand je sens lhumidité de sa chatte toute proche, je commence par la sentir. Elle a une odeur plutôt sucré et pour le confirmer je commence à la lécher. Je donne plusieurs coups de langue, plus je mapproche de son petit bouton plus jaccentue la pression et plus ses gémissements sont forts. Jespère quon est quand même assez loin du sentier et que ce beau moment ne va pas être interrompu.
Jaspire son petit bouton entre mes lèvres et je le titille avec le bout de ma langue. Marie commence à se tortiller alors pour bien la maintenir, je replante deux doigts en elle. Je les fais tournoyer pendant que je moccupe amoureusement de son clito. Elle a lair de prendre autant de plaisir que moi puisquelle appuie sur ma tête pour encore plus augmenter la pression.
Je ne sais pas si cest parce quelle est dans le même état dexcitation que moi mais au bout de seulement quelques minutes elle me fait me relever. Je donne un dernier coup de langue sur son mont de Vénus une fois que mes doigts lont quitté et je me relève. Elle saccroupie, sort un préservatif de son pantalon. Elle louvre et le déroule complètement sur ma queue fièrement dressée.
Marie se retourne, prend appuie avec ses mains sur larbre et se cambre un peu. Elle soulève sa jambe gauche jusquà poser son genou contre larbre. Cest la première fois que jessaye cette position, malgré son jeune âge elle a des choses à mapprendre. Jempoigne ma bite plastifiée et je la pénètre dun coup sec sans rencontre aucune résistance. Je me glisse en elle avec un grande facilité et je lui tire même un petit cri de bonheur.
Une fois que je suis bien en elle, avec ma main gauche je maintiens sa jambe pour laider dans cette étrange position. Je pose mon autre main sur le bas de son dos pour la faire se cambrer un peu plus. Comme elle est plus petite que moi je plie un peu les genoux, la position nest pas la plus facile à tenir mais langle de pénétration est formidable.
Bien quelle me semble avoir une chatte bien large, vu la facilité avec laquelle je lai doigté, je me sens bien au chaud et à létroit dans sa grotte. Mes coups de rein sont de plus en plus secs et ses gémissements suivent la cadence. Je relève un plus sa jambe ce qui me donne limpression dêtre encore plus à létroit.
Jai son magnifique cul bien rebondi juste sous les yeux, en premier plan de mes allers retours en elle. Je ne peux mempêcher de faire glisser ma mains de son dos à ses fesses. Tout en continuant à la ramoner ardemment je lui malaxe un globe puis lautre. Ses cris deviennent encore plus animal, au moins ça se fond dans le décor!
Jai limpression de totalement écarteler son sexe avec le mien. Même si je ne rentre pas complètement en elle, jai limpression de la remplir entièrement. Je mexcite encore plus en elle, je sens le plaisir monter. Je relève encore un peu sa jambe pour la refermer encore plus sur moi et essayer de la faire jouir en même temps que moi mais au lieu de ça nous nous retrouvons par terre.
Après des « aies » à cause des branches et des pierres suivi dun fou rire, jenlève mon t-shirt pour mallonger dessus. Marie ma immédiatement enjambé en me faisant face. Elle saccroupie doucement et une fois à bonne hauteur, elle empoigne ma queue pour pointer le gland à lentrée de sa chatte. Quand mon champignon est bien calé en elle, elle sassoie dun coup sur moi. Cette fois elle mavale entièrement.
Elle relève son t-shirt au-dessus de ses petits seins et se penche sur moi, sagrippe à mon torse et mes poils et commence à rebondir sur moi comme sur un cheval au galop. Ses fesses tapent énergiquement mes cuisses, pour ne pas quelle perde léquilibre je latt par la taille et laide dans ses mouvements. Nos deux corps simbriquent de plus en plus sauvagement lun dans lautre.
Ca doit faire un an que je nai pas fait lamour de cette façon avec Jeanne. Je ne sais pas si cest la frustration accumulée mais je me déchaînes comme un fou sur Marie alors quil y a même pas une semaine, elle était une simple inconnue. Comme je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, je libère une de mes mains pour stimuler son clito.
Je rentre dans la phase ou je dois me concentrer pour me retenir quand je sens son sexe se contracter autour du mien par saccade. Ses cris de plaisir me confirme quelle est entrain de jouir, tout comme ses doigts qui serrent encore plus fort mon corps. Du coup je me laisse aussi aller, je métonne à sortir des râles très graves au moment ou jenvoie ma première giclée dans la capote.
Je continue de la limer pendant que je me vide alors que ses contractions vaginales sont plus longues mais plus espacées. Nos corps commencent à se calmer jusquà ce quelle sassoit sur moi sans plus bouger. Alors que je suis toujours en elle, Marie sallonge sur moi et je sens sa mouille encore plus dégouliner sur mes cuisses.
Au bout dun moment, qui ma paru trop court, elle soulève la tête, membrasse tendrement puis se relève délicatement. Je me mets aussi debout, je retire le préservatif qui avait commencé à déborder et je fais un noeud. Nous nous rhabillons en silence, une fois totalement vêtu Marie vient se blottir dans mes bras et me serre fort contre elle en me disant:
« Ca fait longtemps que je navais pas pris autant de plaisir. »
Je suis obligé de lui avouer que moi aussi.
Nous nous décollons à regret et retournons vers le sentier puis au parking, sans échanger un mot mais main dans la main. Nous navons pas besoin de nous étirer alors nous nous préparons à nous quitter. Avant de lui dire au revoir, comme des amis, je lui dis:
« Jaimerai te revoir mais.. »
Je nai pas le temps de finir quelle me dit
« Tu es marié! »
Après un moment de silence je lui explique que non mais cest tout comme. Elle ouvre sa portière, att un papier et écrit dessus, elle me le tend en me disant:
« Cest mon numéro personnel, appelles moi. Mais de toutes les façons on se voit lundi pour courir. »
Elle regarde tout autour et après avoir vérifié que nous étions seuls, elle mattire vers elle et colle ses lèvres contre les miennes.
Elle monte dans sa voiture et démarre sans dire un mot. Jai continué à voir régulièrement Marie mais comme elle vit chez ses parents et que je suis en couple nous ne pouvons faire lamour que sur les bords du parcours ou dans la voiture. Mais un jour, alors que nous courions elle mannonce quelle a eu une promotion et que maintenant elle un appartement de fonction. Elle rajoute même:
« Je vais enfin quitter le nid familiale pour notre nid damour
»
Et cest ce quelle a fait, je lai même aidé a déménager. Du coup nous avons moins couru mais jai appris a découvrir les perversités de ma petite Marie, mais ça cest une autre histoire
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