Collection Anne Ma Muse. Joyeux Noël (3/8)
Vous me connaissez, je mappelle Anne, jai 58 ans, je travaille à Besançon dans une entreprise de transport comme secrétaire.
Encore quelques mois et enfin la « quille » comme le dirait Chris71 dans ses récits du temps où il était dans la marine nationale.
Suis-je devenue folle, moi qui avais une vie tranquille, je viens de baiser avec mon neveu qui plus est mon filleul, fils de mon frère Jacques et de sa femme Épiphanie, une Martiniquaise où ils habitent.
Non satisfaite de baiser sur une chaise de ma cuisine dépucelant Noël par la même occasion, lui permettant de réaliser son fantasme qui le suivait depuis sa venue chez moi au début de son adolescence sans que je men aperçoive bien sûr.
Il mentraîne sous la neige dans mon jardin et cest nu que nous remettons le couvert bien que je sois transie de froid.
Mes seins eux aussi ressentent la froideur de cette neige quand je me roule dedans, entraînant mes mamelons malgré ça à bander comme jamais.
Ai-je fait ça pour défier ma belle-sur à distance qui, lorsque je lai eu au téléphone mannonçant que son fils se rendrait chez moi pour Noël, m'avait parlé de faire lamour dans la neige ?
Ce qui est cependant très couillon, cest que Pierre mon compagnon depuis mon divorce nous voit par la fenêtre de notre chambre et doit être en train de rassembler ses affaires pour me quitter.
Je suis heureuse du plaisir que j'ai eu avec ce jeune mais si triste de la séparation à venir avec mon "mature".
- Rentrons, on est fou, nous allons attr la mort.
Nous retournons dans la cuisine, me serrant contre Noël qui semble aussi réfrigéré que moi.
- Passer ces peignoirs, vous êtes complètement cinglés.
Cest malin ce que tu as fait, à ton âge, Noël tu pourrais prendre soin de ta tante.
Tante !
Depuis que nous lavons récupéré à la gare, cest la première fois que quelquun me ramène à mon rôle dans la société, il m'a appelé tante, ce que je suis.
Je nétais pas programmée pour être une amante, mais comme un membre de sa famille.
Je passe lun des peignoirs que nous portons quand nous nous douchons ou prenons un bain, Pierre et moi.
Cest Pierre qui nous les a achetés au noël dernier.
Sur le mien, il a fait broder mon prénom Anne et sur le sien Pierre.
Pierre arrive dans la cuisine, je le vois qui aide Noël à lenfiler.
Incroyable, je suis très gênée.
- Tu nes pas jaloux, malgré ce que tu as vu ?
- Pourquoi serais-je jaloux, je sais bien quà mon âge, il serait utopique que tu te contentes des petits coups de bite que je toffre, suivant la force de mon sexe.
- Merci Pierre de ta compréhension.
Entre Anne et moi tout est parti dun vieux fantasme que javais et que nous avons réalisé.
- Je comprends, javais préparé une flambée pour ce soir, je vais démarrer la cheminée ça va vous réchauffer après vos bêtises.
Nous le suivons je suis un peu rassurée, il na pas fui.
Je minstalle dans mon fauteuil, les bûches commencent à crépiter, rapidement la chaleur nous permet de nous réchauffer.
Noël cest assis à mes pieds, sur le tapis et pose sa tête sur mes genoux nus.
Pierre à pris place dans le fauteuil face au mien où nous avons lhabitude de nous installer pour passer une soirée au calme.
Mon peignoir sest ouvert, je le remarque cela ne me gêne pas.
Noël me regarde ainsi que Pierre.
Sa main vient prendre mon sein droit qui réagit instantanément.
Ma pointe qui s'était rétractée revient au devant de mon corps, elle sallonge.
Si je la caresse du bout de mon doigt, je la connais dans ces moments là, elle est épaisse et dure.
Je deviens folle, je voudrais quil le malaxe à men faire mal.
Mais devant mon homme, il ne doit pas oser.
Instinctivement mes jambes sécartent, Pierre semble de plus en plus intéressé.
Je ne métais jamais posé la question si mon mec était voyeur ou pas, il faut dire que nous navons jamais été en situation.
La situation, qui se déroule avec le simple bruit des morceaux de bois qui brûlent, est hyper chaude, Noël fait descendre sa main et me caresse la chatte.
C'est lhiver et comme depuis de nombreuses années, mon mont de Vénus est recouvert dun joli triangle fraîchement taillé hier matin.
Je me couche dans mon fauteuil, je m'allonge de plus en plus pour que ses doigts puissent entrer le plus profondément en moi.
Je mouille tellement que le bruit du feu est remplacé par le bruit des doigts entrant et sortant de plus en plus vite.
Un bruit caractéristique de "glou-glou" montre à quel point je mouille.
Et, et, et
Excusez, jai eu un orgasme, simplement sous les doigts de ce jeune homme aux cheveux noir.
À regret les doigts me quittent.
- Ce nest pas tout ça, vous vous amusez et jai apprécié ce que jai vu, mais jai faim, allons au restaurant.
- Trouve-nous quelque chose de rapide, il faut que je prépare le repas du réveillon.
- Allons au Mac Do, jen ai vu un quand je suis arrivé, il nest pas loin, cest rapide et tu pourras revenir rapidement.
- Bouffer des machins où nous ne savons pas ce quil y a dedans, très peu pour moi.
- Pierre, fait un effort, cest de lâge de notre invité, ils ont des salades, tu nauras quà en prendre une.
Tu mangeras mieux ce soir, fait-le pour Noël, ça semble lui plaire.
Il accepte.
Je monte me préparer, jentends Noël rejoindre sa chambre et nous nous retrouvons devant ma voiture, direction le restaurant rapide.
- Je ne vais pas manger de la salade, je ne suis pas un lapin, voyons ce quil y a. C'est quoi un Big Mama.
- Cest du pain, du fromage, une tranche de viande hachée grillée, des oignons plus de la salade.
- Tu te trompes Anne.
Le Big Mama cest bon au départ comme tu las dit, mais sans oignons et avec des cornichons, noublions pas le Ketchup.
Avec réticence, il fini par prendre un Big Mama.
- Où sont les couverts ?
- Pierre regarde, un Big Mama ça se mange comme ça.
Tu passes tes doigts sous le pain, tu fermes avec ceux du dessus, tu soulèves et tu croques avec tes dents.
- Et tu te fiches de la sauce tomate sur ta chemise.
Nous éclatons de rire, la sauce tomate et le fromage fondu viennent de rejoindre le devant de sa chemise.
Nous mangeons, Pierre finit par aimer, les deux "garçons" retournent même chercher un autre sandwich.
À la table voisine, je vois deux jeunes femmes qui semblent beaucoup sintéresser à nous.
Cest plutôt Noël et pas deux vieux croûtons comme nous qui les intéresse.
De retour à la maison, je vais dans la cuisine et je commence à préparer le repas.
Noël vient près de moi et devient caressant.
Je voudrais bien passer un moment avec lui comme ce matin, mais la dinde nattend pas, surtout quil faut que je prépare la farce façon famille, recette ancestrale.
- Pierre, occupe-toi de Noël, je laime bien, mais jai du travail.
- Sais-tu jouer aux échecs ?
- Un peu.
- Viens, on va faire une partie.
Pierre sinstalle dans son fauteuil, Noël sassoit parterre de lautre côté de la table basse où est posé le jeu.
Je retourne à mon fricot.
Le jeux semble les intéresser, seuls des rires me parviennent jusquà des bruits bien différents.
Je passe la tête, ce que je vois est impressionnant quand on ny est pas préparé !
Est-ce que ce matin, quand il ma vu baiser dans le jardin dans la neige avec mon neveu qu'il a eu de genre d'idée ?
A-t-il eu la même sensation que moi, d'envies sexuelles ?
Noël suce la verge de Pierre quil a sorti de son pantalon !
Dois-je faire voir que jai vu ?
J'hésite, non, je préfère retourner à mes casseroles.
Pierre ce matin a été fair-play en acceptant que j'ai des caresses intimes avec mon neveu et encore, je minimise ce que nous avons fait.
Mais là, je suis étonnée de découvrir que lhomme qui partage ma vie aime aussi les hommes.
Ce doit être ça ce que lon appel la bisexualité.
Leurs affaires terminées, nous allons nous préparer.
Douche puis robe du soir pour moi, blaser pantalon pour Pierre.
Noël a changé de jean et de chemise, jai mis lautre dans le lave-linge, il est venu avec peu de rechange.
Ma robe du soir, javais prévu de mettre celle là, cest encore Pierre qui me la offerte quand nous sommes aller à Dijon voir une revue cabaret repas prêt du lac de Tyr, ce soir là, cétait soirée habillée.
Je me souviens que lorsque nous étions à lhôtel voisin, le repas étant au champagne, Pierre navait eu quà défaire la barrette sur mon épaule pour quelle tombe au sol.
Il va sans dire que je suis nue comme cette fois là.
Était ce la revue de filles dénudée ou le champagne, il mavait baisé comme jamais depuis que je lavais rencontré.
Le repas se déroule sans problème, tout est impeccable et est accompagné de vins que Pierre a choisis dans notre cave que nous approvisionnons ensemble.
- Noël, jai une question qui me taraude depuis tout à lheure.
- Je vous ai vu avec Pierre vous caresser, tu aimes les hommes ?
- Tu peux même dire que je lai sucé, Anne, je vais tout vous expliquer.
Je suis en France pour retrouver un garçon qui a quitté notre île, il y a 18 mois.
Cest lui qui doit mhéberger à Paris après demain matin.
Cest le fils dun copain de bahut de papa et quand ils étaient sur lîle, le père de Christophe nous a surpris dans sa chambre.
Il était en train de me sucer, ça sétait fait naturellement, un regard, une main qui traîne et nous avons eu nos premiers rapports.
- Vous vous sodomisiez ?
- Non, simplement des masturbations et des fellations, plus, je pense que je naccepterais pas.
Le père de Christophe avait une proposition de retour en France pour un poste avec promotion et surtout dans la région dont sa femme était originaire, en Vendée.
Il la accepté espérant nous détacher lun de lautre et que son fils rentre dans le droit chemin, cest tout du moins ce quil pensait.
Christophe est venu sinstaller à Paris pour faire ses études à la Sorbonne, voulant devenir prof de français.
Javais deux interrogations en venant en France, mon fantasme sur les femmes, tu las levée Anne, et sur les hommes.
En le rencontrant et en passant quelques jours avec lui dans son petit logement, je saurai quelle est mon orientation sexuelle.
Regardez lheure, joyeux Noël.
- Et aussi bon anniversaire mon grand.
- Je vous propose douvrir nos cadeaux
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