Ma Cousine Annie

MA COUSINE ANNIE
Ma cousine Annie travaillait dans une grande usine près de Toulon. Elle demeurait dans une maison de chambres pour femmes seulement. J’étais de passage pour une nuit entre deux trains. Elle m’invita à passer la nuit dans sa chambre.

“Tu dois promettre d’être très silencieuse et de ne rapporter à personne ce que tu verras durant la nuit », me dit Annie, me menaçant avec son doigt. Elle avait cinq ans de plus que moi et avait presque 24 ans maintenant.
J’étais surprise par sa demande et je promis d’être aussi muette qu’une tombe.

“Je ne veux pas que tu rapportes des choses à ma mère », dit-elle en terminant. Annie était grande, svelte et était assez belle avec ses longs cheveux noirs. Certaines femmes qui habitaient cette maison portait des pantalons et semblaient assez masculines. Annie, elle, était plutôt féminine.
Heureusement que je suis petite car le lit n’était pas très large. J’étais arrivée après le souper et tout juste avant le coucher. Je repartais tôt le lendemain matin. Au début, ça ne me disait pas de rester avec elle mais son petit sermon et sa nervosité piquaient ma curiosité. C’est étrange mais même Annie semblait excitée par ma présence.

Portant seulement son string, elle s’installa devant le miroir et se mit du parfum. Ses seins étaient gros pour son âge et certainement plus gros que les miens. Ses mamelons étaient en érection. Même si j’étais plus jeune qu’elle, je n’étais pas totalement stupide.
« Tu attends quelqu’un ? », dis-je
« Quelqu’un ? Ne me pose pas de questions idiotes. Tu verras en temps et lieu « , elle répondit en rougissant, « Pourquoi me poses-tu ces questions ? ».
« Une femme se parfume rarement avant de se mettre au lit », répondis-je en souriant
« Tu es une petite traînée », dit Annie en ayant l’air fâchée.
« J’en sais plus que tu penses que j’en sais’, dis-je
« Qu’est-ce que tu portes au lit ? », demanda Annie changeant de sujet.


« Mon string », je répondis » et toi ? »
« La même chose, dit-elle, « Il est presque 22h, allons au lit »

Elle me laissa me glisser dans le lit la première et je me retrouvai entre le mur et ma cousine. Elle occupait le côté du lit le plus proche de la porte et se tourna la tête vers l’entrée.
J’avais possiblement dormi quelques minutes quand je me réveillai lorsqu’une jeune femme en robe de nuit entra sur la pointe des pieds.
Je fis semblant de dormir mais j’ouvris les yeux assez pour voir la femme se glisser toute nue à côté d’Annie. Ma cousine me poussa avec son bras et je me collai contre le mur pour leur laisser le plus d’espace possible.

“C’est qui ?’, demanda la visiteuse, une blonde assez ronde avec de grosses lèvres et des cheveux bouclés.
« Ma cousine. Ne t’en fais pas, elle sera discrète », répondit Annie
« Elle est mignonne », dit la blonde en me souriant
“Hé…on ne touche pas…elle est trop jeune », dit brusquement Annie
La blonde embrassa Annie sur la bouche et se glissa le long de son corps, s’arrêtant pour embrasser les deux mamelons. Les mains d’Annie disparurent sous les couvertures pour retirer son string.
Je pouvais voir la tête de la blonde se diriger vers le matelas et les genoux de ma cousine pliés et debout comme deux piliers. Annie commença à gémir doucement. Je savais exactement ce que la blonde lui faisait et je sentais que je mouillais. Je fus surpris quand Annie me prit la main et la serra. Elle regardait le plafond et je pouvais sentir ses battements de cœur. Soudain elle serra ma main très fort et émit un petit cri aigu, ses hanches se pressant contre le visage de la femme.

La blonde remonta sur le corps d’Annie et les deux femmes s’embrassèrent avec leur langue.
Je regardais le spectacle car ça ne semblait pas les déranger. Annie se poussa vers le bas et la blonde se remonta jusqu’à ce que son ventre touche les seins d’Annie. La blonde plaça ses genoux de chaque côté de la tête d’Annie et sa chatte poilue sur la bouche de ma cousine.
La blonde me regardait avec un grand sourire pendant que la langue d’Annie se frayait un chemin à travers la forêt de poils pubiens pour atteindre la vulve. Annie immobilisa sa langue pendant que la blonde bougeait ses hanches contre son visage. Les joues et le nez d’Annie étaient couverts d’un liquide brillant.
« Je veux le faire », murmura la blonde qui se glissa sur Annie jusqu’à ce qu’elle soit face à face avec son amoureuse.
« Tu veux le faire ? », dit Annie en la taquinant, se frottant le nez contre celui de la blonde.
Annie embrassa la blonde qui se frotta contre elle. Les deux femmes se regardaient les yeux dans les yeux et se murmuraient des choses cochonnes à l’oreille.
La blonde était en sueurs et le mince drap de coton collait à ses fesses. Elle le rejeta vers moi me montrant du même coup son corps reluisant pendant une minute. Annie reprit le drap et le ramena sur son amoureuse. Pendant les quelques secondes où je vis les deux corps nus, je pouvais nettement voir les hanches de la blonde entre les cuisses d’Annie exactement comme dans les photos d’hommes et de femmes dans les revues que mon frère cachait sous son lit.
Les deux femmes s’embrassaient la bouche ouverte et les langues s’entremêlaient. J’imaginais qu’il y avait des choses qui se frottaient et que je ne pouvais pas voir. C’était sûrement où je me frottais moi-même et où j’étais très mouillée en voyant les deux femmes l’une sur l’autre.
La blonde commença à bouger son corps de plus en plus rapidement et Annie à plier les genoux, jusqu’à ce que le drap glisse encore une fois vers moi. Elles étaient trop concentrées sur leur plaisir pour s’en apercevoir.
Les baisers se faisaient de plus en plus passionnés et les corps se frottaient de plus en plus rapidement. Je pouvais voir la blonde qui glissait ses mains sous les fesses d’Annie pour presser son corps contre le sien.
Les dernières trente secondes furent extraordinaires. Les deux femmes maintenaient un baiser bouche à bouche pour empêcher leur cri de réveiller la maison tout entière.
Les deux se baisaient à fond et jouissaient d’un long et fort orgasme. J’en voyais tous les signes.

Après un dernier baiser, la blonde se releva et recouvrit de sa robe de nuit sur son corps couvert de sueurs et de cyprine.
“La prochaine fois que tu es en ville, fais-moi signe », me dit la blonde en partant
“Putain”, cria Annie
Le lit et les draps sentaient le sexe. Le parfum d’Annie s’était évaporé.
Il y avait une grande tache mouillée sur le devant mon string. Je me retournai sur le côté et fit face au mur. J’eu un frisson lorsque Annie mit sa main sur mes fesses. Elle me recouvrit le corps du drap de coton.
“Bonne nuit”, dit-elle
“Bonne nuit Annie”.

FIN

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