Sortie Après Le Travail
Sortie en fin de journée
Il est 16h mais je nai pas envie de rentrer ; en effet jean est resté à la rochelle et il ne rentrera que demain ; jen profite pour faire un tour des magasins, rien de particulier, mais cela occupe un peu le temps. Trop vite parlé car soudain lorage éclate et je me refugie dans un bar , nouvellement ouvert. Le cadre est très simple ,mais joliment décoré « jazz » et la musique est assortie ; ce que jaime beaucoup. Très rapidement les tables sont pleines, clientèle assez jeune, mais aussi quelques réfugiés comme moi. Les fauteuils à coté sont occupés par deux hommes, surement des commerciaux , au vu de leur conversation. Je ny prête pas trop attention quand lun me demande la carte, posée sur ma table ; en effet , ils nen ont pas ; je la leur donne., remerciée par un grand sourire. Devant mon café, jattends la fin de laverse, mais il est vrai que je ne suis pas pressée et quand ils me proposent lapéro, jhésite un peu, mais ils semblent corrects, jaccepte et je passe sur un fauteuil en leur compagnie.
Finalement, ils sont très joyeux, plein dhumour et très galants, ce qui ne gâte rien ;japprends quils sont dans la même boite, quils ont la quarantaine, quils sont mariés, mais quils soctroient quelques libertés dans ce domaine. Cet aveu me fait sourire car la perche est tendue. Ils mobservent pour voir ma réaction, mais je ne bronche pas.
« Et vous ?
« Je suis aide-soignante, plus âgée que vous et je vis en couple, mais ce soir , il est en déplacement »
« vous êtes donc libre ce soir » « libre oui , mais peut-être pas disponible »
Alors que lon nous apporte les consommations, je sens leurs regards sur mes jambes ; il est vrai que placés devant moi et assis dans des fauteuils assez bas, ils doivent avoir une belle vue, car la jupe, assez courte se trouve remontée par mon assise, dautant plus quamusée par leur petit jeu de drague, je ne resserre pas mes Jambes, bien au contraire.
« Et si lon vous invite, à moins que vous nayez pas la permission par votre mari »
« pourquoi la permission c est à moi de savoir si jai envie et de plus ,il aime que je sorte quand je le peux »
« Vous avez une totale liberté ? » « oui et vous , vos femmes le savent ? » Un peu gênés, ils reconnaissent que non
« de toute les façons, cela ne me regarde pas, vous faites ce que vous voulez et moi aussi »
« Et cela vous dit de passer la soirée avec nous ? » je joue la surprise « cest à dire avec tous les deux, »
« Si cela ne vous choque pas, un petit encas ensemble , puis un passage à notre hôtel, afin de passer une soirée agréable » tout en parlant, il a posé la main sur ma cuisse. Je le repousse doucement :
« Non pas ici » . Pour eux je viens de donner mon accord et réglant les consommations, ils sortent, et je les suis. Je sais que je viens de prendre la décision de faire cocu mon homme, mais cest son plus grand désir et là je vais aller jusquau bout et il ne le saura quà son retour. Finalement cest directement à leur hôtel que nous nous rendons, et à peine la porte de lascenseur fermée, ils se jettent sur moi, me triturant les seins, pour lun et me caressant les fesses pour lautre. Deux étages seulement, mais quand la porte souvre, jai déjà le corsage ouvert et un sein déborde de son balconnet cest une main sous la jupe et les seins à lair quils mentrainent vers la chambre ; heureusement le couloir est vide à cette heure. La porte à peine refermée, je me retrouve plaquée le dos au mur, lun me plotant les seins et membrassant fougueusement, lautre relevant ma jupe , écarte la mince bordure de mon string et me lèche le minou.
« jai envie que vous me baisiez maintenant, tous les deux, après vous pourrez faire de moi ce que vous voulez, je vous appartiens »
Je me rends compte que je me comporte comme une petite salope, mais cest ce que je veux être ce soir et ils lont bien compris ; mes vêtements tombent au sol, et ils me plaquent à plat ventre sur le rebord du lit, les genoux sur le sol ; mes cuisses sont écartées et un gland se présente à l entrée de ma grotte ; je ne lai pas vu mais vu la difficulté quil a à me pourfendre, je le suppose très gros et quand dune puissante poussée, il se propulse dans ma chatte, non seulement il me remplit totalement, distendant mes parois, mais en plus il vient butter contre le fond de mon vagin ; je ne peux retenir un petit cri, tellement la possession est rapide et fougueuse, mais quand il se met à me pilonner, ma jouissance déferle , menvahissant, déclenchant une coulée de cyprine ; sa queue maintenant me pilonne , glissant dans le fourreau graissé de ma semence.
Alors que lautre me présente sa queue à sucer, son copain me laboure la chatte ; puissants, rapides, profonds , ses coups de bite, me font vite monter dans les tours ; régulièrement je dois quitter la queue que je suce pour crier ma jouissance ; performent, il me possède longuement, se retirant parfois pour mieux me percuter en suite ; cette alternance me transporte vers de multiples jouissances, qui se traduises par des jets de cyprines ; cest la première fois que je suis fontaine , ce qui décuple mon plaisir, et sans aucun doute celui qui me possède, car je sens sa tige gonfler dans mon ventre et des jets, chauds, puissants et nombreux viennent me remplir ; lui aussi a pris son pied et il me glisse à loreille « tu es une belle petite femelle et nous allons passer un longue soirée ensemble »
Pendant tout ce temps , jai délaissé son copain, et il se rappelle à moi , alors que ma chatte vient juste de se trouver vide, il matt et mallonge sur le lit ; me remontant les jambes sur ses épaules, il membroche dune seule poussée, ; il est vrai que je suis bien dilatée et que la jute dans mon con lui facilite la pénétration.
« putain , elle est bonne ta queue
.. Jaime
Je la sens au fond de moi, cest booooon ; oh oui encore bouges en moi, enfonce toi
cest bon de se faire baiser par deux hommes
.je suis une petite salope
. Je men fous, cest trop bon
.je suis à toi, remplis moiiii
..donne-moi tout
Oh oui vides toi, cest bon
»Mes cris de jouissance remplissent la pièce, tant pis pour le voisinage
Entre la queue qui me defonce la matrice, sans douceur et les tétons malmenés et la jute qui se déverse en moi, je ne résiste pas et une nouvelle fois ma cyprine déferle. Quand il se retire après avoir éjaculé, ma chatte déborde le trop plein sur mes cuisses et avec ma main, je la retiens, trop heureuse davoir été fécondée abondamment.
Alors que je récupère, je réalise que je me suis livrée totalement, faisant de moi , pour eux sans doute une vraie salope, ce qui finalement ne me déplait pas ; ce soir, mes envies sont très libertines. Et quand ils me proposent de passer la soirée avec eux, je les embrasse tous les deux en guise daccord.
Etendue sur le lit, mon corps est livré à leurs caresses et ils ne sen privent pas, tout en discutant librement
« Cela tarrive souvent de te faire baiser ainsi, et si oui, ton mari sait quil est cocu ? »
« cest mon homme qui le premier ma offert à un de ses amis, il est candauliste et il aime me voir jouir sous les assauts de mes amants dun jour. Il sait toujours tout, même si ce soir, je me livre à vous sans quil soit au courant ; il ne le saura que demain »
« Et tu as la déjà fait avec plusieurs hommes, en même temps «
« Oui, plusieurs fois, mais toujours avec lui »
« Combien ? « je ne réponds pas aussitôt, mais je peux voir quils ont retrouvé tous les deux la forme
« En général deux, mais une fois 3 en plus de mon homme »
« Et tu as aimé ? Tu aimerais le refaire ? »
« À voir, mais ce nest pas ce que je préfère ; deux hommes me suffissent, surtout sils sont entreprenants »
« Et ton mari te laisse le faire sans problème, comme ce soir par exemple »
« Non, il aime me voir ou me savoir avec un amant, mais cest la première fois que je reste avec deux hommes sans lui ; même sil le saura demain »
Pendant tout ce temps, ils nont pas arrêté de me caresser, de me triturer les seins, et jai de nouveau très envie de me faire prendre, dautant plus que leurs queues sont de nouveau dressées.
Cest une position que jadore car je peux me faire jouir, à mon rythme en jouant avec le chibre dans mon ventre, mais en plus, me collant contre sa poitrine, je dévoile mon sillon ; jai envie quils me prennent ensemble , en double vaginale , car je ne suis pas fana de la sodomie. Et quand je sens un gland se frotter sur mon sillon humide, jatt la tige et je la place à lentrée de ma vulve , déjà bien occupée. ; il a compris et sans ménagement, il sinfiltre dans le conduit, glissant contre le premier.
Ecartelée , pourfendue deux mandrins bien tendus, mon plaisir se mêle à la douleur de cette double, mais cest ce que j aime : être prise, dilatée, possédée par deux males ; et cest le cas. Si celui sur le dos ne bouge plus, celui derrière moi se déchaine. Il me pilonne vigoureusement, alors que lautre me maltraite les seins, me pinçant les tétons ; mattirant contre son visage, il membrasse et je laisse sa langue me fouiller , lui rendant ses baisers, ce qui est rare , car généralement seul mon homme membrasse ; mais là je suis à eux et je les laisse disposer de moi comme ils lentendent, pour mon plus grand plaisir. Dilatée par ces deux mandrins , pourfendue par ces deux homes qui alternent leur emprise, je coule, je gémis, avant de jouir bruyamment, reculant mon bassin à la rencontre de ces chibres qui me défoncent.
La saillie dure ,car ils saccordent des moments de calme, avant de reprendre leur possession ; ma chatte est en feu, malgré lécoulement important de ma cyprine, mes tétons sont rouges, tendus, douloureux, tellement ils ont été triturés. Cela fait deux fois que je jouis quand enfin je sens leurs sexes gonfler et distendre un peu plus mes parois , avant que de nombreux jets me percutent le fond de la matrice ; cest presque en simultané quils éjaculent, me féconde abondamment, ce qui déclenche pour moi une nouvelle jouissance. Quand ils se retirent , un grand vite dans ma grotte et une abondante coulée de semence envahie mon entre jambe. Epuisée par cette formidable double, jessaie de récupérer, tout en pensant que je suis une petite salope qui vient de tromper son homme, mais pourtant sans regret. Et je pense que la nuit nest pas terminée ; jai envie daller jusquau bout de mon plaisir, et je suis certaine queux aussi.
Finalement après avoir une nouvelle fois pris possession de ma chatte, lun des deux nous a quitté. Pour ma part, je me suis offerte sans limite, provocante, excitée davoir à ma disposition ce male très performant, entreprenant. Il a su me transporter plusieurs fois à une jouissance que je navais pas connue depuis longtemps. Quand je lai quitté, au petit matin, je suis rentrée avec regret, avec dans le ventre, la sensation de plénitude, fécondée par ces deux amants.
Il me restait à dévoiler mon aventure à mon homme ; une autre histoire.
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