Chantal 4 Un Dimanche Particulier

Chantal 4
Un dimanche particulier

La veille Chantal avait laissé son curé et amant, écroulé sur le tapis au pied de l’autel, et dans un état de torpeur érotique, la porte de l’église grande ouverte. Chantal était une diablesse capable de lui faire commettre les pires pêchés ; mais à quoi servent les remords quand la chose est consommée et qu’elle a procuré un immense plaisir, il en veut pour preuve les traînées de foutre qui se sont étalées sur son ventre. Mais guère le temps de tergiverser car du bruit au fond de l’église le rappelle à la réalité.
Le temps d’avoir une première réaction, et de se souvenir que sa soutane est justement au fond de l’édifice que cette petite peste de Chantal a laissé ouvert, il ouvre les yeux et devant lui se tiennent deux sœurs du couvent de la ville ; la mère supérieure et une sœur plus jeune.
La mère supérieur tient sur son bras la soutane et elle envoi la jeune sœur fermer la porte de l’église tandis qu’elle retire ses vêtements ne gardant que son voile, une fois nue elle décide de redonner de la vigueur à ce sexe qui repose sur le ventre de monsieur le curé.
Et s’adressant à la jeune sœur qui vient de revenir du fond du bâtiment, elle lui dit
« Regardez ma sœur comment redonner vie à ce sceptre de plaisir !!! ». Et sur ce, elle embouche le concombre un peu ramolli et au goût « mélange d’amour. ».
De ce fait l’abbé est bientôt en état de satisfaire la mère supérieure qui le suce si bien, les lèvres caressent si bien son gland et la bouche qui englouti toute sa queue, au diable les vœux de chasteté, il n’est plus question que de sexe.
Mais la supérieure invite sa consoeur à la dégustation et c’est bientôt deux bouches et quatre mains qui s’occupent de son pénis et de ses testicules, suçant l’un et malaxant délicatement les autres. A ce régime le curé sent monter de nouveau sa sève, la mère supérieure le sent, elle qui tient à pleine main les couilles du curé, et elle laisse à la sœur le soin d’astiquer la flamberge, et juste au moment où le curé pris de tremblements éjacule, elle maintient la tête de la sœur sur la tige qui rempli la bouche, et pour ne pas la jeune religieuse ne peut qu’avaler chaque giclée.



Les deux religieuses se relèvent et échangent un long baiser parfumé. Le curé est toujours couché sur le tapis. La supérieur se penche à son oreille pour lui dire : « j’espère bien vous voir quand notre évêque nous rendra visite au couvent ». Et jetant la soutane sur le ventre du curé « cachez tout ça c’est devenu inutile !! ».
Et elles quittent l’église en prenant soin de refermer la porte, il ne faudrait pas épuiser ce bon curé, déjà qu’il y a assez de tentatrices dans la petite ville.

Il faut un bon moment pour que le curé récupère de sa fin de journée, mais que voulez vous toutes ces femmes qui viennent confesser leur pêché de chair, et cette petite salope de Chantal qui l’allume jusque dans le confessionnal, et n’oubliant aucun détail sur ses turpitudes, et maintenant les sœurs du couvent, qui l’ont sucé à fond, et la supérieure qui espère le voir le jour où monseigneur viendra.

Il fini par quitter le sanctuaire pour regagner son presbytère. Littéralement épuisé il gagne son lit, et s’endort.
Le lendemain à l’heure de la messe alors que précédé par les s de chœur, il voit Chantal à la dernière rangée de chaise bien qu’il y ai encore des rangées vides devant elle, mais au moment où il va passer devant elle il voit sa diablesse relever sa jupe courte pour lui montrer ses fesses qu’aucun vêtement ne recouvre. Immédiatement comme un ressort son sexe bande sous la soutane, (pourvu que personne ne s’en aperçoive).
Sur la chaise devant Chantal est posée la boite de gâteaux. Il sent qu’il va expédier la messe comme la semaine dernière, et pour clore le tout, arrivé à l’autel quand il se retourne vers les fidèles ; il voit les deux sœurs au premier rang qui ont les yeux posé juste sur son bas ventre.

Et justement aujourd’hui l’épître concerne le péché de chair, bien difficile de faire un sermon sur ce sujet, sous les regards de ses trois amantes d’hier soir. Mais bon il lui semble qu’il s’en est bien sorti, du moins pour ses paroissiens, excepté ses trois paroissiennes particulières qui n’ont pas cru à ses belles paroles.


Il a tellement expédié la fin de la messe qu’il craint que comme dimanche dernier il ait pu oublier quelque chose ; mais comme personne ne lui a fait de remarque à la sortie de la messe, c’est que tout c’est bien passé, à part qu’il bande toujours, et que la diablesse de Chantal est restée dans l’église. Mais où sont passées les bonnes sœurs ?.
Quand il rentre dans l’église, et à peine a-t-il fermé la porte, que Chantal lui saute au cou, en lui disant : « ton gros sexe m’a manqué cette semaine ! ».
« Prend ta boite de gâteaux et vient au presbytère »

Tout en retraversant la nef il fait voler à droite à gauche les habits sacerdotaux et il rentre nu dans la sacristie sous le regard médusé des deux sœurs, nues elles aussi, elles ont juste gardé leur voile. Et le quatuor gagne le presbytère par la petite porte dérobée. Arrivés dans la salle à manger, la jeune sœur sur un signe de la mère supérieure, se jette à genoux devant le curé et embouche de suite le gland gorgé de sang qu’elle décalotte à fond.
Pendant ce temps Chantal se déshabille, la mère supérieure l’aide à dégrafer son soutien gorge et elle empaume les deux seins en collant son pubis sur les fesses de Chantal.
Voilà bien la première fois que Chantal se trouve dans les bras d’une femme ; elle sent les grosses mamelles de la sœur qui s’écrasent sur son dos, tandis que la mère lui prodigue des baisers dans le cou, lui mordille l’oreille, et lui susurre : « passe ta main derrière et découvre ma fente !! ».
Et tandis que d’une main la mère supérieure explore la fente juteuse de Chantal, cette dernière découvre un sexe glabre, pas un poil ne gène la progression des doigts dans une fente large avec de longues nymphes que Chantal caresse délicatement, c’est la première fois qu’elle caresse une vulve autre que la sienne.
Dans le même temps l’abbé est couché sur la petite nonne et il la baise avec vigueur, ils sont sur la table de la salle à manger et Chantal regarde s’agiter la grosse queue dans la vulve de la sœur, et ça lui fait monter la pression elle n’a plus qu’une envie c’est jouir et jouir encore.

La mère supérieure lui dit : « vient dans la cuisine je vais dévorer ta fente » et elle l’entraîne dans l’autre pièce et elle fait asseoir Chantal au bord de la table, lui soulève et écarte les jambes,
« Tu viendras me voir au couvent, ou tu demanderas à monsieur le curé, mais tout comme moi tu raseras ton sexe c’est bien plus agréable !!! »
La mère fait se pencher Chantal en arrière et de suite elle colle sa bouche sur l’abricot poilu et tel une ventouse et aspire toutes les chairs moites de plaisir.
Mon dieu c’est bien autre chose que l’abbé ou ses flirts, la langue qui l’explore passe la où il faut, fouille l’entrée de sa grotte, et revient sur son bouton ultrasensible, et au moment où elle va jouir la langue abandonne son bouton pour pénétrer son vagin et puis titiller son petit trou qui n’a jamais été titillé ainsi, la mère supérieure et une spécialiste du gamahuchage il faut dire qu’au couvent elle a une dizaine de sœurs à sa disposition et elle ne s’en prive pas.
Elle sait que la petite ne résistera pas longtemps à sa dégustation de babines, elle le sent à chaque fois qu’elle passe la langue sur petit haricot tendu, et que d’un coup de langue et le redresse, ou bien qu’elle le prend entre ses lèvres et qu’elle l’aspire pour bien le faire sortir de son capuchon ; alors elle s’acharne sur le bouton rougi par sa langue agile, et Chantal part dans un orgasme foudroyant au moment où la supérieure enfonce sa langue dans la ruche pour en récolter le miel, juste récompense pour la dégustation de cette jeune cramouille.
Le mère supérieure laisse Chantal se remettre de ses esprits et s’en va voir où en sont le curé et la sœur, juste au moment où l’abbé jute sur le ventre et les seins de la petite nonne.
Alors elle retourne en cuisine, Chantal semble avoir repris pied. La supérieure prend la place de Chantal sur la table, mais quand Chantal s’apprête à rendre la pareil à sa suceuse, à lui manger cette fente longue et large aux lèvres longues et pendantes et ce trou qu’elle a exploré du bout des doigts, la supérieure lui prend la main la pose à l’entrée de sa chatte.
Chantal pense qu’elle veut être caressée, mais la religieuse lui dit : « mets moi toute ta main dans la chatte !!! ».
Alors Chantal commence avec deux doigts à fouiller la grotte, ou plutôt le gouffre sexuel, une chatte longue et large aussi avec des grandes lèvres rasées, et des petites lèvres de plusieurs centimètres brunes et dentelées sur les bords, et un clitoris qui dépasse de l’ensemble, gros, rouge, qui se tend comme s’il réclamait des doigts ou plutôt un bouche avide de sensations fortes, et un vestibule d’une ouverture pas croyable, et puis cette odeur envoûtante qui émane de cette grotte,et qui monte à la tête de Chantal qui n’a qu’une envie, dévorer cet étalage de chairs juteuses.
La supérieure prend Chantal par le poignet et elle essaye de faire passer toute la main dans sa fente, mais voila que la jeune none et le curé arrivent dans la cuisine.
Le jeune religieuse au fait des désirs pervers de sa supérieure, saisi la main de Chantal et liant ses doigts aux siens, l’ensemble formant comme un énorme phallus, la religieuse entraîne leurs mains dans le gouffre qui s’ouvre devant elles, tandis que le curé revigoré par le spectacle donné par ces trois femmes, fait le tour de la table et il offre sa bite à la supérieure en lui disant : « ça vous évitera de gueuler ma mère !!! ».Et il enfonce son sexe turgescent dans la bouche grande ouverte de la supérieure qui le tête goulûment.
Monte aux oreilles de cette bacchanale le clapotis et les bruits de succion de vagin pistonné vigoureusement par les deux mains jointes, mais quand la petite none décide de branler le gros bouton qui tremble de désir ; et au moment où Chantal se joint à la religieuse pour masser de leurs doigts libres, cette magnifique petite tige de chair ultra sensible.
ça déclanche la jouissance de la supérieure, c’est la première fois que Chantal assiste à un pareil orgasme, les deux mains sont expulsées du vagin, d’où jaillit un jet de jus translucide et épais et terriblement parfumé, qui vient arroser tout le ventre de Chantal, une véritable douche de cyprine.
Mais midi sonne au carillon et il est temps pour Chantal de rentrer à la boulangerie.
Elle se rhabille sans même s’essuyer ; la supérieure redescendue sur terre après avoir bien avalé les dernières giclées de sperme de l’abbé, dit à Chantal : « venez me voir samedi au couvent je vais bien vous préparer la fente ». sur ce, Chantal quitte le presbytère.

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