Les Réceptions De M. Le Marquis (Partie Iv)
Lorsque nous arrivons dans le hall, les traiteurs sont en pleine pause et la porte ouverte de la cuisine leur offre une vue prenante sur le spectacle :
- Bien, face contre mur, les fesses en arrière pour recevoir votre punition.
Je mexécute sous lil amusé des traiteurs oisifs. Brun madministre des claques toutes plus vigoureuses les unes que les autres, qui marrachent plus dun gémissement dont le dernier fait éclater de rire les traiteurs et Monsieur.
- Eh bien ! Ça cest ce que jappelle une fessée ! On dirait que vous apprenez vite.
Je remercie Monsieur.
- Allez la visite est terminée et nos invités seront bientôt là. Retournez à la douche, cest lheure du lavement.
Les traiteurs sont hilares. Nous prenons la direction de la salle de bain de service, penauds.
M. nous explique que nous allons nous faire les lavements mutuellement.
Encore une fois, Monsieur veille attentivement à ce que tout se déroule pour le mieux.
Lorsque tout est en règle, M. Le Marquis déclare :
- Bon. Très bien. Allez prêter main forte aux traiteurs en attendant les invités.
Il nous emmène en cuisine.
- Ces messieurs vont vous prêter main forte afin de ne pas rester oisifs en attendant dentrer en scène. Messieurs, soyez bien sages et suivez scrupuleusement les directives des traiteurs, je serai dans la salle de réception. Noubliez pas que vous nêtes pas là pour faire la discussion, vous vous adresserez aux traiteurs en les appelant Monsieur ou Madame, et bien sûr vous les vouvoierez. Je viendrai vous chercher le moment venu.
En passant devant moi pour sortir, il att mes tétons, les pince et les tourne brutalement.
- Je nai rien entendu.
En chur nous répondons :
- Oui, Maître.
Cela ne manque pas de faire exploser de rire les traiteurs.
- Mais cest quils sont bien dressés les serviteurs dites-donc !
Monsieur leur adresse un sourire et sen va.
Nous recevons les directives et nous attelons aux tâches que lon nous a assignées.
Très vite, les traiteurs profitent que nous soyons là pour se la couler douce. Ils sont accoudés à lun des plans de travail et nous regardent faire en nous donnant les ordres.
Les hommes ne semblent pas vraiment intéressés par le « spectacle », ils discutent tous les deux et ne nous regardent que pour contrôler si le travail est bien fait.
La femme par contre, profite pleinement de la situation. Elle nous inspecte de haut en bas en faisant les cents pas. Elle nous touche, nous palpe les fesses, le corps. Et puis elle commence carrément à poser ses lèvres sur nous, à nous embrasser partout.
- Cest drôlement agréable davoir ces beaux mecs nus à nos ordres. Donc cest votre délire de faire les larbins ? Vous êtes, genre, des soumis ?
Déstabilisé par cette femme plutôt entreprenante, je réponds timidement :
- Oui, Madame.
Elle éclate de rire :
- « Oui, Madame. » Hahaha, cest génial, on mavait jamais appelée comme ça.
Comme cest moi qui ai répondu, elle sattarde maintenant sur moi. Jessaye de me concentrer sur ma tâche, pendant quelle me caresse.
- Eh ben, ça reste tout mou en bas. Taimes vraiment pas les filles ?
- Non, Madame. Désolé, Madame.
- Alors tu préfères sucer des queues ? Te faire enculer ?
- Oui, Madame.
- Tas bien raison, moi aussi.
- Merci, Madame.
Je suis terriblement gêné et jai beaucoup de mal à me concentrer.
- Eh, fais attention ! Tu fais nimporte-quoi. Fais-moi voir tes fesses, je vais te punir pour la peine.
- Oui, Madame.
Je pose les mains sur le plan de travail et me cambre pour lui présenter mes fesses quelle caresse fermement.
- Tu as un très beau cul, tu le sais ça ?
- Merci, Madame.
Elle menvoie une grande claque sur les fesses, puis me retourne et se colle à moi pour membrasser, pressant sa poitrine contre mon torse.
- Mhm pas mal du tout pour un pédé.
- Merci, Madame.
- Allez, au boulot !
- Oui Madame.
Je me remet au travail et elle va rejoindre ses collègues pour discuter, sans pour autant sarrêter de mater.
Enfin, au bout dun moment, M. Le Marquis revient nous chercher. Cest presque un soulagement.
- Très bien messieurs, cest lheure, cest mes invités vont arriver dune seconde à lautre. Mettez vous en position sur le parvis. Je compte sur vous pour vous rappelez de chacun des détails que jai évoqués aujourdhui. Cest toi qui iras ouvrir le portail.
Dit-il en montrant Blond du doigt. Je suis rassuré, ce nest pas moi qui devrait y aller. Pourtant, mon cur bat la chamade, jappréhende.
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