Prise De Force Dans Un Parking
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Patricia était seule emmitouflée dans son grand manteau, en plein milieu de ce parking. Il faisait nuit et elle nentendait aucun bruit. Tôt dans la matinée elle avait reçu par courrier une série de photos la mettant en scène au milieu de plusieurs hommes dans des positions plutôt légères. Un mot lui ordonnait de se rendre le soir même dans un parking du centre sans quoi les photos seraient publiés ce qui pourrait compromettre son avenir. Elle attendait donc seule au milieu des voitures parquaient pour la nuit. Un bruit se fit entendre elle sursauta mais ne vit rien. Elle entendait un souffle rauque derrière une colonne et sentait quon lobservait.
- Sortait de la je sais que vous mespionnez.
- Tu nas pas lair très rassurée toute seule dans se parking
- Que me voulait vous, et puis montrez vous je ne supporte pas de parler à des murs
- Silence, tu ferais bien de pas la ramener si tu ne veux pas que jenvoi tes photos à ton chef, pardon ton Mari...
- Lâche, tu crois peux être me faire peur
- Tais toi sale pute, quand on sadonne à des partouzes en privée on vient pas faire la grande dame au bureau la journée. Tu vas mobéir sinon ta carrière est finie et c'est la scandale pour ton mec. Enlève ton manteau, et jespère que tu as suivi mes instructions.
- Espèce de salaud, tu nas aucun courage.
Ne voulant toutefois pas trop énerver son maître chanteur, elle enleva son grand manteau, laissant dévoiler un pull très échancré ainsi quune jupe plutôt courte.
- Cest bien, maintenant je veux que tu te caresses
Elle obéit et passa ses mains tout au long de son corps. Ses longues cuisses hissé sur des talons aiguilles et gainés de nylon laisser deviner des portes jar telles. Elle passa ses mains sur ses seins. Elle était très plantureuse.
- Caresse toi la chatte
Elle obéit.
- Sort moi tes nichons que je vois si cest aussi beau en dessous quau dessus et caresse toi les seins
Elle sexécuta, et baissa lencolure se son pull en laissant apparaître une poitrine voluptueuse. Avec ses deux mains elle se caressa les seins les prenants à pleines mains et les petrissant.
- Bien maintenant tu vas te retourner et aller tappuyer sur le capot de la voiture derrière toi. Et si jamais tu te retournes je publie toutes les photos.
Elle alla vers la voiture et se pencha en avant laissant tendre ses fesses sous lil avide de son mateur. Il sorti de sa cachette et sapprocha de Patricia.
- Ne te retourne pas salope. Je comprends pourquoi le patron te charges des missions spéciales. Tas beaucoup de qualité. Tu vas te laisser faire de toute façon tes habituée à te faire baiser par des inconnus.
Il remonta sa jupe laissant apparaître un string séparant ses fesses. Il lui appliqua une claque sur ses fesses à quoi elle réagit en criant.
- Tais toi salope. Je vais ten mettre plein la culotte
Il lui palpa les fesses tout en linsultant (taimes de faire peloter cochonne, tu passes pour une grosse bouffeuse de bitte au bureau tu savais cela). Il écarta son string et lui caressa le sexe. Elle commençait à souffler et se surprenait à trouver cela pas trop désagréable. Il lui introduit un doigt dans son sexe et commença à la masturber. Elle gémit. Avec lautre main il lui soupesa ses seins et continua en lui pelotant la poitrine, qui débordait de son corsage. Elle entendit le bruit dune fermeture éclair et compris que les choses sérieuses allait commencer.
- Je vais te la mettre à fond comme taime te faire prendre grosse salope.
Il pointa son sexe vers la chatte béante de Patricia, et lui introduit dun grand coup de reins. Elle cria.
- Taime cela poufiasse, tu joues les belles la journée, les petites chefs mais au fond avec un braquemart dans le cul tu fais une belle cochonne. Il sorti son sexe de la chatte, gluant dégoulinant de foutre et lui coulissa dans la raie des fesses. Il se branla entre ses fesses tout en lui appliquant des claques sur la croupe et lui pelotant les seins avec lautre main.
- Oh tes bonne jen peux plus je vais tinonder de mon foutre sur ton cul.
Il éjacula sur ses fesses et sur sa jupe. Les longues traînées blanche se rependirent sur le cul de Patricia, qui essoufflait venait de jouir malgré elle.
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