Marie (2) Et Ses Expériences Folles

J’ai rencontré Marie pendant mes joggings dans les bois. C’est une jolie petite brune de 10 ans de moins que moi. Après avoir plus ou moins fleurté à deux reprises, nous nous sommes décidés à courir ensemble. J’ai bien fait d’accepter parce qu’au milieu de notre parcours, elle m’a entrainé dans les bois. Nous avons fait l’amour pour la première ensemble.

C’était magnifique et pas seulement parce que je ne fais presque plus l’amour avec ma compagne mais aussi parce que malgré son jeune âge, elle est très douée. Certes c’était très sexuel mais j’ai senti une certaine complicité se créer entre nous. Evidement, vous me connaissez, je n’ai pas pu en rester là alors nous nous sommes régulièrement revus. Comme je suis en couple et qu’elle vit encore chez ses parents, ce n’est pas évident surtout les jours de mauvais temps où les moments câlins en extérieur sont impossible.

Un jour alors que nous sommes entrain de courir, malgré tout nous continuons notre entrainement, Marie m’annonce qu’elle a eu une promotion dans son boulot. Je suis content pour elle mais encore plus quand elle m’explique qu’en plus de l’augmentation de salaire elle va aussi avoir un appartement de fonction:
« Apparement ce n’est pas très grand mais on va pouvoir passer plus de moment câlin ensemble. »

A la fin de notre 5 à 7, elle me propose de venir visiter l’appartement avec elle le lendemain soir. Du coup nous découvrons ensemble le petit deux pièces que sa société lui offre. Effectivement ce n’est pas très grand mais suffisant pour elle ou même tous les deux quand on sera ensemble. Nous en profitons même pour inauguré son lit bien qu’il n’y ait pas encore de draps. Ensuite je l’aide à monter ses meubles et je rentre chez moi.

Ce changement dans notre vie est très positif car non seulement nous passons plus de temps ensemble mais aussi car nous apprenons de mieux en mieux à nous connaitre et pas que sexuellement. Je ne pense que je pourrai pas vivre une grande histoire d’amour avec la petite Marie mais elle me fait du bien et me permet de souffler et mieux vivre la mauvaise ambiance de la maison.



Evidement je suis obligé de mentir régulièrement à Jeanne, j’ai beaucoup plus souvent des réunions le soir qui s’éternisent et finissent au restaurant. Sinon je me rajoute des déplacements d’une nuit dans la région ce qui me permet même de passer des nuits entier avec Marie. Même si je m’en veux de mentir à ma compagne et ses filles, je ne veux pas arrêter ma liaison avec Marie. En plus je suis décidé à quitter Jeanne et ce avant même notre rencontre.

Ce matin, je prépare une petite valise pour la nuit, je quitte la maison à la même heure que tous les jours. Après ma journée de rendez vous, au lieu de me rendre dans un hôtel, même si j’ai un peu plus d’une heure et demi de route et je pars rejoindre Marie. Quand j’arrive chez elle, j’ai les clés maintenant, je découvre Marie dans un magnifique déshabillé presque transparent. J’ai immédiatement une érection en la voyant.

J’ai à peine le temps de fermer la porte derrière mois qu’elle avance à 4 pattes vers moi. Arrivée à ma hauteur, elle se redresse sur les genoux et caresse mon entrejambe à travers mon pantalon. Avec son autre main, elle ouvre les boutons de ma chemise. Une fois que j’ai le torse dégagé, elle défait la ceinture et les boutons de mon pantalon. Elle se met à me lécher à travers mon boxer alors que ses mains et ses griffes s’occupent de mon torse.

Ma queue est de plus en plus raide et dure, Marie baisse mon boxer et engloutit ma tige. Ses lèvres glissent le long de mon membre à une vitesse folle. Elle m’enfonce tellement en elle que je sens régulièrement mon gland rentrer dans sa gorge. Ses mains s’occupent aussi bien de moi, elles passent de mes couilles à mes fesses et viennent même titiller ma rondelle.

Cela fait 3 jours que nous nous sommes pas vu et j’ai passé la journée à penser à ce moment. Je suis excité comme un fou et je sens l’orgasme approcher. J’essaye de relever Marie car j’ai très envie de son abricot ou ses fesses. Mais elle reste à genoux devant moi et sa langue, ses lèvres et ses dents s’occupent de mon sexe dans un grand plaisir partagé.


Je sens mes couilles se gonfler, mes veines se tendre, Marie le sens aussi et met encore plus de coeur à l’ouvrage. Sa bouche continue de m’engloutir alors que je me vide dans sa bouche. Je l’entends avaler 2 bonnes gorgées de mon jus alors que sa bouche coulisse toujours autour de ma queue qui ramollie. Une fois qu’elle estime que je suis totalement propre, elle me recrache.

Marie remet mon sexe dans mon boxer, remonte mon pantalon et le referme puis attache ma ceinture. Elle reboutonne ma chemise et réajusté ma veste. Elle se relève, réajusté sa nuisette et m’embrasse goulument. Ses lèvres et sa bouche ont le goût de mon sperme, je n’ai aucun problème avec ça et heureusement parce qu’elle adore me faire bouffer sa chatte ou son cul après que j’ai éjaculé.

Une fois que nous nous décollons, elle me dit:
« Maintenant que l’apéritif est fini, on passe a table. »
Elle m’att par la main et me tire jusqu’à la table de la cuisine. Avant de m’assoir je retire quand même ma veste et mes chaussures et nous dégustons le bon repas qu’elle nous a préparé. Une fois le repas fini et la cuisine rangée, nous allons nous coucher.

Nous sommes tous les deux au lit, moi nu et elle toujours en nuisette, à nous caresser et nous embrasser quand elle brise le silence:
« Tu sais j’ai un fantasme. »
Je l’encourage à être plus explicite alors elle me dit qu’elle a vu, avec une copine enceinte une video d’un accouchement. Mon coeur fait un bon, j’ai peur qu’elle me demande de lui faire un bébé alors que je n’en ai pas du tout envie.

Elle me rassure rapidement en continuant:
« J’ai été hallucinée en voyant comme le sexe d’une femme peut s’ouvrir. »
Je lui réponds que la nature est bien faite mais elle m’interrompt en me disant que du coup elle a vue d’autre vidéo. Qu’avec une bonne préparation des femmes peuvent se prendre deux poings dans la chatte et même dans le cul.

Je lui raconte que je n’ai testé le fist fucking qu’une seule fois dans ma vie.
C’était dans une partouze, alors que j’étais entrain de me faire chevaucher par une vraie tigresse, une autre femme est venue s’assoir sur mon visage pour que je lui bouffe la moule. Ensuite, elle s’est décalé pendant que la tigresse continuait de me baiser sauvagement.

L’autre femme a attrapé une de mes mains, m’a fait fermé le poing et se l’est rentrée dans sa grotte. Elle était totalement ouverte et je n’ai eu aucun mal à rentrer ma main entière en elle. Je dois dire que je n’étais pas excité par le fait de me dire que j’avais mon poing en elle mais par contre sa réaction quand je bougeais les doigts m’a fait jouir dans la tigresse.

Une fois que j’ai fini mon récit, je caresse ses grandes lèvres et je sens qu’elle est totalement trempée. Marie m’embrasse tendrement à pleine bouche puis ouvre le tiroir de sa table de nuit et en sort une grande cannette de bière, ça doit faire un bon demi litre! Ensuite, elle sort une boite de préservatif, vu que nous avons des tests nous en utilisons plus. J’ai très bien compris où elle veut en venir.

Je me glisse au pied du lit et je tire Marie vers le rebord, je soulève son déshabillé pour bien dévoiler son entrejambe et je replis ses jambes sur le lit. La petite cochonne est tellement excitée que je vois des gouttes de cyprine couler de son sexe vers la raie de ses fesses. Je suis tellement excité que je plonge entre ses cuisses pour laper son nectar.

Je lèche ses grandes lèvres, j’aspire les petites, je la pénètre avec ma langue. Puis je remonte le long de son sexe pour aspirer son petit bouton que je titille du bout de la langue. Je vais même jusqu’à soulever ses fesses et m’occuper aussi de son petit cul. Je sens Marie dégouliner dans ma bouche et sur mes doigts.

Pendant que je lèche sa rondelle, j’en profite pour rentrer un doigt dans son con. Il se sent tellement seul que très vite mon index vient le rejoindre. Je quitte ses fesses pour remonter sur son clito et j’en profite pour introduire un troisième doigt.
Marie gémit de plus en plus, son corps se contorsionne tous comme mes doigts dans sa grotte.

Elle mouille énormément, je sens son nectar dégouliner le long de ma main, mon poignet mais aussi mon avant bras. Je sens que je pourrai rentrer un quatrième doigt en elle mais je suis interrompu par ma brune et sa cannette de bière recouverte d’une capote taille XXL. Je tends la main pour l’attr mais elle m’arrête et me dit:
« Je vais me la mettre toute seule, toi tu regardes! »

Je retire mes doigts l’un après l’autre, me recule et m’installe dans le fauteuil en face du lit en lui faisant remarquer que j’étais sur qu’elle avait un côté exhibe. Elle me sourit et me fait un clin d’oeil alors que je vois sa chatte continuer à perler. Elle ouvre en grand ses cuisses et approche la cannette de son sexe.

Elle tente de faire rentrer la canette entre ses grandes lèvres mais je vois bien qu’elle a du mal. Elle s’allonge bien sur le dos et fait onduler ses fesses en maintenant la pression de la bouteille entre ses jambes. Je vois la canette lentement rentrer en elle mais je ne suis pas sûr qu’elle ait enfoncé plus d’un centimètre. Je la vois s’acharner et je commence à avoir mal pour elle:
« Arrêtes, c’est trop gros! Tu ne vas pas y arriver! »

Ne voulant pas arrêter dans son idée, Marie se lève d’un bond et s’accroupie sur le lit. Ses cuisses sont presque ouvertes en grand écart mais les genoux repliés. Elle empoigne la canette de bière et commence à la faire tourner à l’entrée de sa grotte. Effectivement cette position est plus propice à l’insertion de la canette mais malgré tout elle a du mal a faire rentrer plus de 4 ou 5 centimètres en elle.

Son visage se crispe, ses jambes tremblent, bien que j’ai repris une bonne érection en voyant cette grosse boite en acier la pénétrer, j’arrête de me branler et je vais l’aider à tenir debout pour ne pas qu’elle tombe et surtout qu’elle se déchire pas le vagin! J’ai envie de continuer à en profiter. Elle s’allonge sur le dos avec toujours la canette en elle.

Marie, dépitée, me demande de la retirer. Je la fais tourner pour la faire ressortir. Quand elle est enfin libéré, j’écarte ses lèvres à l’aide de mes deux mains. Elle est tellement ouverte que je peux voir l’intérieur de sa grotte. Il y a une énorme quantité de nectar à l’intérieur, comme si j’avais éjaculé en elle.

Bien que je continue de l’ouvrir en tirant avec mes mains, je la vois nettement se refermer. Sans réfléchir, j’introduis les 5 doigts, repliés, de ma main en elle mais je n’ose pas pousser mon poignet à l’intérieur même si je suis sûr qu’il rentrerait. Petit à petit, je sens les parois de son con se resserre autour de mes doigts. Je commence à les remuer autant que je peux en elle.

Elle reprend très rapidement sa taille normale et commence à compresser mes doigts, je les retire donc délicatement. Marie a une respiration très haletantes mais me dit quand même:
« Dommage que je n’ai pas plus réussi, c’est excellent! Tu ne peux pas savoir ce que j’ai ressenti avec la canette ou avec tes doigts en moi! »
Je lui réponds qu’effectivement je ne peux pas savoir mais que je ne l’avais jamais vu mouiller comme ça et je lui montre la tache qu’elle a fait sur le drap.

Elle m’attire vers elle, frotte son corps contre le mien et remarque rapidement que je suis encore excité. Elle me murmure à l’oreille qu’elle aussi a encore envie. Elle se met à 4 pattes sur le lit et me dit:
« Lèches moi partout. »
Il ne m’en faut pas plus pour venir derrière elle et laper ses lèvres intimes qui sont encore bien gorgées de sang.

Je pose le bout de ma langue sur son clito que je titille un peu avant de remonter vers sa grotte. Une fois devant l’entrée je la pénètre un bon moment avec ma bouche avant de continuer ma course. Je reprends mon ascension jusqu’à atteindre sa rondelle qui s’ouvre un peu plus à chaque fois que je la lèche. Je m’attarde entre ses fesses jusqu’a réussir à la sodomiser avec ma langue. Pendant ce temps mes doigts s’occupe de son con et son petit bouton.

Une fois qu’elle est bien ouvert du cul, ma langue reprend le chemin inverse. Pendant que je la lime de plus en plus rapidement et profondément mais mains malaxent ses globes fessiers. Marie gémit de plus en plus mais je ne veux pas que son clito me fasse la tête alors je descends m’occuper de lui. Pour être dans une meilleure position je m’allonge sur le dos avec la tête sous son entrejambe.

Une fois qu’elle est à la bonne hauteur, j’aspire immédiatement son petit bouton entre mes lèvres et je rentre mon annulaire droit dans sa grotte. Alors que ma langue s’excite sur le haut de son mont de Vénus, mon doigt tournoie en elle. Je la libère pour, d’un coté la laper et de l’autre changer mon annulaire de trou mais aussi le remplacer par mon majeur et mon index.

Marie s’excite en deux secondes et se met à remuer dans tous les sens. Je n’ai qu’à tirer la langue et bien maintenir mes doigts en elle car s’est elle qui fait tout le reste du travaille. Je la sens, littéralement, dégouliner directement dans ma gorge. J’adore le goût de son nectar et je n’en rate pas une goutte. Je vais même le chercher avec ma langue.

Quand je me dégage d’entre ses cuisses, qui serrent de plus en plus ma tête, je retire délicatement mes doigts et retourne bouffer son magnifique cul. J’écarte, à deux mains, ses fesses et plonge, la langue la première dans sa rondelle. Marie se met à gigoter mais pas de la même façon que quand elle prend son pied. Je suis trop occupé pour regarder ce qu’il se passe.

Elle m’interrompt en tapant sur mon épaule avec un truc dure. Je dégage ma tête et découvre dans sa main un gode noir à ventouse qui a même des couilles en plastique. Marie me sourit et me dit:
« Mets le moi dans la chatte pendant que tu continues à t’occuper de mes fesses. »
Je prends en main ce costume trois pièces plus imposant que moi et la regarde en lui disant:
« Je pensais que je te suffisais! »

Elle me sourit et me répond que non seulement je ne suis pas avec elle tous les jours mais qu’en plus elle l’a depuis longtemps. Je ne me fait pas prier, je plante mon pouce dans sa grotte et le fais bien tourner pour encore plus l’ouvrir. Quand je le retire, il dégouline de sa mouille alors je le mets directement dans son cul qui l’accueille sans protestation mais avec plaisir.

Alors que mon doigt rentre et sort entre ses fesses, je joue à frotter le gland en plastique noir contre ses lèvres intimes. C’est incroyable comme il est réaliste, il a des veines mais aussi un vrai urètre avec un trou et un prépuce replié. Je l’enfonce doucement en elle, stimulé par ses cris de plaisir. Quand il rentre en contact avec mon pouce de l’autre côté de la membrane, j’augmente la pression dans son cul.

J’ai à peine le temps de le rentrer entièrement que je la sens déjà dégouliner sur mes doigts. Je n’ose pas imaginer dans quel état doit être son gode. Je commence à le faire aller et venir alors que ma bouche va rejoindre mon pouce. Je la lèche, l’aspire et la mordille même, je sais qu’elle adore ça. Je fais aussi couler le plus possible de salive en elle pour encore plus la lubrifier.

Je la sens rapidement prête à accueillir un deuxième doigt alors je retire mon pouce pour le remplacer par mon index et mon majeur. Je la lime un petit moment, elle commence à mouiller aussi du cul. Je lime son con avec une bite en plastique noire qui doit faire plus de 20 centimètre alors que j’ai deux doigts qui s’occupe de son autre trou.

Marie ne gémit plus mais hurle son plaisir, quand je sens ses orifices se contracter je lui mords de nouveau les fesses pour accompagner son orgasme. Nous pratiquons souvent la sodomie, jusqu’a présent je n’osais pas lui rentrer plus de deux doigts dans le cul pendant que je la prenais en levrette. C’est donc la première fois que nous allons faire une double pénétration même si je suis le seul homme dans la chambre.

Vu les bruits qu’elle fait avec cet orgasme, je me dis que c’est une expérience à renouveler. Je retire délicatement mes doigts d’entre ses fesses, je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits. Alors que le gode est toujours planté dans son sexe je la fait se retourner. Je la tire jusqu’au bord du lit et je soulève ses jambes pour les poser sur mes épaules.

Je crache dans ma main et enduit ma tige raide avec. Je frotte mon gland contre sa rosette toujours bien ouverte et je plante en elle très lentement. Je rencontre plus de résistance que d’habitude mais vu ce qu’elle a dans la chatte ça ne m’étonne pas. Une fois que je suis bien au fond je reste un moment immobile pour la laisser s’habi aux deux calibres qui la perfore.

C’est Marie qui se met à bouger la première alors, je soulève encore plus son postérieur pour bien la posséder mais surtout pouvoir bien remuer la bite en plastique noire qui s’occupe de son con. Alors que les deux sexes s’agitent en elle, Marie se remet à gémir comme tout à l’heure. Ca tombe bien qu’elle soit encore très excitée car, malgré la magistrale pipe qu’elle m’a fait à mon arrivée, je sens que tout ce qui s’est passé avant m’a trop chauffé.

Je la ramone tellement brutalement que je n’arrive plus qu’a faire tournoyer le gode en elle. Ca ne diminue pas son plaisir, au contraire, je sens ses entrailles se contracter de plus en plus autour de ma tige. Je suis de moins en moins à l’aise dans mes mouvements mais l’orgasme prend le dessus. Je me vide de plusieurs longues giclées dans son cul alors que je continue de la limer.

Quand je commence à ramollir, je me retire lentement en pressant ma queue pour laisser tout mon jus en elle. Une fois que j’ai complètement déculé, je laisse la bite en plastique noir en elle et m’agenouille pour nettoyer ses fesses souillé par ma jouissance. Mais rapidement elle me demande de retirer le gode et d’arrêter car elle n’en peux plus.

Une fois tous ses trous libérés, elle se glisse sous la couette et je me dépêches de venir la rejoindre. Marie a tout juste le temps de venir se blottir contre moi qu’elle s’endort déjà. Je ne tarde pas non plus à plonger dans les bras de Morphée en me disant que non seulement j’ai bien fait de reprendre le jogging mais en plus que je suis qu’au début de mes expériences avec Marie….

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