Ma Deuxième Nuit Chez Serge Et Simone

Je pars en déplacement professionnelle dans la région de Bâle en Suisse. Mon garagiste qui essaye de me faire passer à la voiture électrique, m’en a prêté une pour ce voyage afin de me convaincre. Je commence à y trouver quelques avantages (économique, silencieuse…), quand le voyant de réserve de la batterie s’allume.

Je suis dans la région de Belfort et je n’ai pas d’autres choix que demander de l’aide. Je trouve refuge chez Simone une jolie brune aux cheveux courts. Non seulement elle me permet de recharger ma voiture mais aussi elle propose de m’héberger pour la nuit. Je passe une agréable soirée avec elle mais aussi avec son compagnon Serge. Il va se coucher assez tôt du coup nous finissons ce moment à deux et autour d’un verre.

Simone m’a dévoilé une bonne partie de son corps, volontairement ou pas, mais je vais quand même me coucher seul. Au beau milieu de la nuit je suis réveillé par une présence. Quand j’ouvre les yeux je trouve la pulpeuse Simone allongée à mes côtés. Je ne peux résister à l’appel de son corps et je lui fais longuement l’amour jusqu’à un orgasme partagé alors que Serge dort pas loin.

Le lendemain, au petit déjeuner, ma jolie hôtesse ne porte qu’une simple nuisette qui laisse plus que deviner ses excitantes courbes. J’ai quand même préféré son corps nu quand elle est venue me rejoindre cette nuit mais ça me met de bonne humeur pour la journée.

Ce couple très accueillant me propose de continuer la suite de mon séjour chez eux au lieu de payer un hôtel. Les frais sont pris en charge par ma boite mais je finis par accepter leur proposition dans l’optique d’encore mieux connaitre la belle Simone. Par contre je mets une condition, je les invite le soir même au restaurant. Nous sommes tous les trois d’accord et heureux mais pas pour les mêmes raisons.

Apres avoir rechargé toute la nuit, la batterie de ma voiture est bien pleine. Je devrais être tranquille jusqu’au soir surtout que je n’aurai pas chance, deux jours de suite de faire une rencontre comme Simone.

Mes rendez vous se passent bien même si mon esprit me refait voir les seins fermes de ma belle hôtesse, ou ses jambes élancées, son cul rebondi…

Entre midi et deux je fais une recherche pour trouver le restaurant pour la soirée. J’en vois un qui a une étoile sur un guide réputé et qui est dans des tarifs plutôt corrects. J’appelle pour réserver une table puis je fais un message à Serge pour le prévenir de ma réservation. Je préfère son contact, plutôt que celui de sa femme, pour ne faire planer aucun doute.

Quand j’ai enfin fini ma journée, je m’arrête chez un fleuriste pour acheter un bouquet à madame. Je m’arrête aussi chez un caviste pour acheter le whisky que j’aime, ce qui me permettra de boire autre chose que le sien. Une fois toutes mes courses finies, je préviens, cette fois tous les deux, que je devrais arriver dans une grosse demi heure, je suis à 60 km de chez eux.

Je n’avais pas pris en compte la circulation mais aussi le fait qu’une voiture électrique à une moins bonne accélération que ma voiture essence. Du coup je me gare dans la grange exactement une heure après l’envoi de mes messages. Je branche la batterie pour ne pas avoir une nouvelle panne, une fois mais pas deux ! J’att toutes mes affaires et je rentre dans la maison.

Je salue Serge qui est seul dans le salon en train de lire son journal. Quand il se lève pour me serrer la main, je vois qu’il est costume cravate. Je lui demande si c’est sa tenue pour sortir et il me confirme que oui. Vu mon air étonné, il m’explique :
« Tu as choisi un des plus chics restaurants du coin alors tenue de soirée oblige. »

J’avais prévu une tenue plus décontractée mais je vais encore devoir porter un costume. Je me dirige vers ma chambre, le lit est déjà refait. Je prépare des sous vêtements propres, une chemise bleue et assortie à mes yeux et je sors enfin mon costume gris foncé. J’att la serviette qui est pliée sur une chaise, ma trousse de toilette et je me dirige dans la salle de bain.


Quand je suis dans le couloir je vois la silhouette de Simone rentrer rapidement dans la chambre. Elle ne se retourne même pas pour me saluer mais j’ai pu rapidement admirer les parties de sa peau qui n’étaient pas recouvertes par la serviette. Quand je ferme la porte, je retrouve la même odeur que celle que j’ai sentie cette nuit sur le corps de mon hôtesse mais aussi ensuite sur mes bras. 

Maintenant je comprends mieux pourquoi ce matin, elle s’est empressée de laver mes draps. Nous devons être au restaurant dans 40 minutes et je crois qu’il y a 10 minutes de trajet donc je me dépêche. Après une bonne douche, je me donne quelques coups de rasoir pour arranger ma barbe et je ressors nu sous la serviette  qui entoure ma taille.

Je ferme la porte de ma chambre et pendant que je me parfume on toque à ma porte. Je fais tomber ma serviette au sol mais je n’ai pas le temps de dire le fameux « Entrez » que la porte s’ouvre. J’expose bien mes fesses en espérant que c’est Simone mais quand je me retourne complètement, je découvre Serge. Je reste naturel, bien qu’il soit bouche bée, pendant que j’enfile en vitesse mon boxer.

Il me dit fébrilement :
« Prends ton temps, tu connais les femmes. »
Je sens son regard sur moi mais je ne me retourne pas. Pendant que je boutonne ma chemise par contre je lui réponds que je suis bientôt prêt et que ça nous donnera l’occasion de boire un verre entre hommes.

Une fois que je suis complètement habillé, je sors la bouteille de whisky et vais dans le salon rejoindre mon hôte. Il me remercie et nous sort deux verres pour « goûter ce nectar, qui a l’air pas mal ».  Je vais dans la cuisine rajouter une goutte d’eau, comme toujours et je retourne m’assoir en face de lui. Je lui demande comment s’est passé sa journée et il me réponds :
« Une journée de travail comme les autres ! »

Ca c’est un homme motivé au moins ! Il regarde sa montre et se lève, je l’entends taper à une porte et dire :
« Il faut qu’on y aille.
 »
Il revient quelques instants après et me précise qu’elle en a encore pour 10 minutes. J’avale une nouvelle gorgée de ce bon whisky japonais et lui pose des questions sur lui, ses études, son arrivée dans la région…

Nous discutons tranquillement, vingt bonnes minutes sont passées. Il se lève à nouveau, tape à la porte et avant qu’il ne dise quoi que se soit j’entends Simone crier :
« C’est bon! Je suis prête. »
A ce moment je me rappelle que j’ai laissé le bouquet dans la voiture. Je finis mon verre et dis à Serge que je vais chercher un truc dans ma voiture.

Je reviens quelques minutes plus tard avec les fleurs dans les bras. Je toque à la porte et c’est Simone qui m’ouvre, je ne vois que sa tête derrière le bouquet. Elle rougit, me le prend des mains en me remerciant et va le poser sur la table. Elle revient vers moi, elle est bien maquillée et coiffée. Elle porte un long manteau noir qui lui tombe presque jusqu’aux chevilles. Je ne vois que la fin de ses pieds dans des collants et des chaussures noires à talon.

Elle me serre très chaleureusement dans ses bras en me remerciant encore une fois. Malgré les couches de tissus qui nous séparent je sens bien sa poitrine s’appuyer contre mon corps. J’en ai un début d’érection mais je ne pense pas qu’elle le sente. Quand nos corps se décollent, elle att mon visage entre ses mains et me fait un baiser appuyé sur la joue.

Quand elle me relâche, elle rougit et s’excuse de m’avoir mis du rouge à lèvres. Elle veut me nettoyer mais j’ai peur d’encore plus bander et que ça se voit dans mon pantalon. Du coup je file à la salle de bain. Quand je les rejoins les fleurs sont dans leur vase et ils m’attendent. Nous quittons la maison et prenons la voiture de monsieur. Evidement je monte derrière.

Le trajet est plutôt calme sauf quand Simone me remercie encore une fois pour le bouquet, je commence à être gêné surtout quand elle ajoute mais surtout à l’attention de Serge :
« Ca fait très longtemps qu’on ne m’en avait pas offert.
 »
Effectivement le restaurant n’est pas très loin, en moins de 15 minutes nous y sommes.

Une fois à l’intérieur, le maître d’hôtel prend nos manteaux avant de nous amener à notre table. J’attends ce moment depuis un bon moment, je vais enfin découvrir sa tenue. Je suis derrière elle avec ma veste sur le bras quand je découvre des bretelles rouges. Puis son joli dos, partiellement nu et enfin ses fesses qui font onduler le tissu rouge qui tombe aussi bas que son manteau.

Je passe devant elle pour donner mon vestiaire au maître d’hôtel. J’en profite pour admirer le devant et je ne suis pas déçu. Sa robe a un décolleté croisé qui se finit en ceinture, pour mettre encore plus en valeur sa taille. Le décolleté est plus suggérant que provoquant mais c’est ce que j’aime dans les robes. Sans même réfléchir je lui dis :
« Ouah! Tu es magnifique. »
Elle rougit mais Serge ne réagit pas alors je lui donne un coup sur le bras et il la complimente aussi.

Quand nous avançons vers la table, je remarque que la jupe est fendue. A chaque fois que sa jambe droite avance, j’en admire une partie différente suivant le mouvement de sa robe. On nous installe  à une table ronde, j’attends que le maitre d’hôtel avance la chaise de Simone pour prendre place. Elle s’assoit un peu de travers avec ses jambes vers moi.

Quand elle les croise je remarque qu’elle ne porte pas de collants mais un porte jarretelles. Ca y est je sens que mon sexe se réveille et vient me cogner ma braguette. Je n’arrive pas à me concentrer sur le menu, en fait je profite qu’il cache mon regard à Serge pour admirer sans relâche les jambes de sa compagne, qu’elle n’arrête pas de croiser et décroiser.

Il faut que je me calme car je ne vais pas pouvoir tenir tout le repas avec une telle érection. Je leur demande s’ils veulent un apéritif ou si on commande du vin. Comme Serge et moi avons déjà bu du whisky nous préférons boire directement du vin mais la belle Simone a d’abord envie de champagne. Après être tombés d’accord sur la bouteille de rouge j’appelle le serveur pour commander.

Je retourne au menu, je commence par regarder les entrées mais mes yeux glissent régulièrement vers ce rouge rayonnant qui m’attire de plus en plus. Le serveur m’interrompt en apportant les boissons, nous levons nos verres et je trinque à cette belle et inattendue rencontre. Le vin est très bon, en plus il le mette en carafe.

Je retourne dans le choix du repas et découvre des menus qui ont l’air intéressants, j’en parle à mes nouveaux amis. Simone se penche vers moi pour voir à quelle page je suis. Evidement, elle prend appui sur ma cuisse et place ses doigts autour de mon aine pour remuer son index et tâter mon paquet. Instantanément je me remets à bander et j’ai peur de rougir devant Serge qui ne dit rien. Nous commandons tous les trois un menu dégustation.

Le reste du repas se passe exactement de la même façon. Simone me dévoile tantôt un de ses seins, tantôt ses cuisses… vu que je n’arrête pas de bander, je profite de la pose entre les deux plats pour aller me vider la vessie. Je me rince aussi un peu le visage pour me calmer. Quand je sors des toilettes, Simone est derrière la porte, elle se jette sur moi et m’embrasse langoureusement, tout en frottant mon paquet avec sa main. J’ai très envie de la faire rentrer dans les toilettes, soulever sa robe pour aller lécher son petit abricot qui doit couler puis la pénétrer sauvagement.

Mais comment explique notre absence à son compagnon ? De toutes les façons, nous sommes interrompus par des bruits de pas qui descendent les escaliers. Elle se décolle de moi et rentre dans la partie aux femmes, j’ai juste le temps d’effleurer ses fesses avant qu’elle disparaisse. L’homme qui descendait est maintenant à ma hauteur, en me voyant il rigole légèrement. Je le regarde étonné et il m’explique que j’ai du rouge à lèvres.

Je retourne au lavabo pour enlever toutes traces de ce baiser fougueux et je pars rejoindre Serge. Quand je m’assois je lui demande où est sa femme, il me répond :
« Aux toilettes, tu ne l’as pas vu? »
La carafe de vin est vide, du coup j’en recommande une pour accompagner le fromage et le dessert. Quand nous pouvons reremplir nos verres, la belle Simone nous rejoint, elle s’est remaquillée.

Elle continue son petit jeu d’excitation avec moi, dans ce restaurant et en plus sous les yeux de son compagnon. Quand on nous sert le dessert, elle se penche de nouveau vers moi et pose sa main directement sur mon entrejambe. Tout en me massant elle me chuchote à l’oreille :
« J’ai une autre sorte de dessert pour toi. »
Elle me lèche, discrètement, le globe et se redresse.

Une fois qu’elle est bien droite, elle écarte les jambes et me fait signe de regarder. Je sais ce qu’elle veut me montrer, j’en ferai bien mon dessert effectivement mais dans cette position difficile de bien voir. Je fais tomber ma serviette, je sais que c’est un classique mais quand on n'a pas le choix. Je m’excuse et me m’agenouille pour avoir une belle vue sur sa chatte lisse qui sent jusqu’à mon nez. Rien que l’imaginer perler de cyprine, je bande comme un âne.

Je suis interrompu par un serveur :
« Monsieur, laissez je m’en occupe. »
Je me relève avec la serviette à la main, il n'est aucunement question qu’il profite, lui aussi, de la vision de cet abricot qui est à croquer. Il me la prend des mains et m’en ramène une propre. J’essaye d’accélérer la cadence pour rentrer plus rapidement et profiter du dessert qu’elle me réserve mais Serge veut déguster la fin du vin. En plus avec la note, le serveur nous offre un digestif et même un deuxième.

Du coup nous quittons le restaurant à presque minuit. Comme monsieur a bien bu, je propose de prendre le volant mais Simone trouve plus raisonnable que ça soit elle qui conduise. Effectivement Serge est bien éméché, il manque de tomber en montant dans la voiture. Je m’assois derrière la conductrice et je profite de l’obscurité du trajet pour passer ma main devant et caresser le cou et la joue de ma belle hôtesse. La première fois, elle a un réflexe de surprise mains ensuite elle bouge son visage pour bloquer ma main sur sa peau.

Quand nous sommes chez eux, Simone nous propose une tisane ou un dernier verre. J’accepte mais je penche plus pour l’alcool, monsieur m’accompagnera et madame met de l’eau à chauffer. Comme Serge nous annonce qu’il va prendre une douche, je veux en profiter pour me mettre plus à l’aise mais j’espère qu’elle va garder ses sexy habits de soirée.

Je vais dans ma chambre, je pousse pour fermer la porte et me déshabiller tranquillement mais Simone la bloque. Elle force et rentre avec moi, elle s’agenouille devant, ouvre ma braguette et plonge sa main à la recherche de ma bite. Au contact de ses doigts, je gonfle encore plus, elle a du mal à la sortir. 

Elle lèche mon gland et alors qu’elle gobe ma tige je lui dis :
« Ton mari pourrait nous surprendre! »
Ses lèvres abandonnent mon sexe et pendant qu’elle me branle énergiquement pour finir de me faire grandir, elle m’explique qu’il reste toujours longtemps dans la douche. Sans lâcher sa prise, elle ouvre en grand ma porte et juste avant de m’avaler de nouveau, elle ajoute :
« Comme ça on l’entendra ! »

Elle fait coulisser ses lèvres plutôt lentement, elle s’arrête un moment sur mon frein. Elle passe avec insistance sa langue râpeuse dessus, suivi de sa lèvre inférieure. Maintenant ce sont ses dents qui se chargent d’encore plus de m’exciter. Sa bouche recommence à monter et descendre sur ma queue alors que sa main retourne dans mon caleçon pour sortir mes couilles et les masser.

Sa bouche est vraiment experte de cet art que j’apprécie énormément, mais j’en veux plus. Surtout que je sens le plaisir monter de plus en plus en moi. Du coup je l’att par sous les bras dans l’idée de la jeter sur mon lit pour lécher l‘élixir qui doit dégouliner de sa chatte nue. J’ai envie de bien préparer son con à recevoir ma tige pour la limer ardemment avant que son mari ne  sorte de la salle de bain.

Malheureusement elle n’a pas les mêmes projets et repousse mes bras pour continuer à me sucer ardemment. Sa bouche m’aspire alors que sa langue titille mon frein pour me faire jouir le plus rapidement possible. Heureusement qu’elle a raison que son homme prend son temps sous la douche. Ses mains caressent mes fesses et ses dents sont de plus en plus de la partie.

Je sens mes couilles se raidir et mes veines gonfler. Elle s’agite encore plus sur moi et m’aspire régulièrement, peut être pour faire monter mon jus. Je ne me retiens plus et me vide dans sa bouche qui continue à faire des allers retours sur moi. Quand je l’entends avaler ma semence, l’eau de la douche s’arrête. Excellent timing!

Elle lèche encore tendrement ma tige pour continuer à nous donner du plaisir. Elle se relève et m’embrasse tendrement avec encore le goût de mon sperme sur ses lèvres. Nous sommes rapidement interrompus par le bruit de la porte de la salle de bain. Je me dépêche de remballer mon matériel et Simone arrange sa robe et se penche vers moi et att un truc sur ma table de nuit.

Elle redescend en vitesse et quand Serge tape à la porte, elle se relève avec le livre à la main en disant:
« Je t’avais bien dit qu’il devait être quelque part. »
Elle me tend le livre et tourne la tête vers son homme qui est uniquement entouré d'une serviette de bain. Il n'a que quelques poils sur le torse mais est plutôt bien entretenu pour son âge. Des gouttes d’eau perlent toujours sur son corps.

« Tu n’entends pas la bouilloire sifflée ? »
Simone se relève en lançant un « Si, si… », elle  file vers la cuisine en arrangeant ses habits. Quand je me retrouve seul avec Serge, je suis plutôt mal à l’aise. Je ne sais pas trop quoi dire mais c’est lui qui brise le silence :
« Tu peux te mettre à l’aise. »
« C’est ce que je comptais faire mais j’ai d’abord changer mon livre. »

Il quitte ma chambre en fermant la porte, je ne sais pas trop quoi mettre puisque je n’ai pas de pyjama. J’enfile un jean et un t-shirt et je sors de la chambre pour les rejoindre, en me disant que ce fut déjà un bon début de soirée mais j’attends la suite avec impatience…

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