Fanette 07
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Jour 7
Après une nuit courte et mouvementée, après le déjeuner et ses rites habituels de recherche de jouissance pour notre Déesse, après les douches glaciales, notre Fanette nous distribue nos tâches. Ensuite, un événement inattendu survint. Tandis que nous travaillons ardemment dans la cour, déblayant le sol dans nos équipements habituels, notre Amour apparait dans la robe immaculée de notre premier jour. Elle est si belle, si prodigieuse, si glorieuse que tout homme serait tombé à ses genoux et l'aurait implorée pour ne fut-ce que de poser sa main sur son corps, sur sa peau nue. Quelle chance nous avons, nous qui pouvons la combler de nos services, nous qui pouvons l'aimer, nous qui pouvons recevoir son amour, sa tendresse, son autorité, sa passion!
Notre Fanette nous donne quelques derniers conseils, quelques ordres avant de s'absenter. Nous ne savons pas combien de temps. Notre Reine disparaît derrière la porte qu'elle referme à clef et nous pouvons l'entendre s'éloigner, un fort pincement au cur. Il fait beau, il fait bon, mais notre Soleil est absent. Les heures passent et deviennent de plus en plus ternes tristes, nous ne pensons pas à nous reposer, même pas une minute.
Tandis que nous déblayons la cour encore plus rudement comme notre Amour est absente, la porte de la cour claque. Nous étions si absorbés par notre labeur qu'aucun des deux ne la remarque directement. Quelle n'est pas ma surprise lorsque je la vois et je me positionne à quatre pattes pour la saluer, l'honorer. Mais, derrière notre Déesse, dépassant d'une tête et d'une bonne largeur d'épaule, j'aperçois un homme, un beau jeune homme au visage radieux. Je ne sais pas vraiment comment réagir, Pascal non plus, mais son sourire n'est pas un sourire moqueur, c'est visiblement un sourire connaisseur et appréciateur.
Notre Fanette nous appelle et je m'avance humblement, mais hésitant, vers mon Amour pour, finalement, ronronner à ses pieds comme nous avons été si bien dressé à faire. Pascal me suit et, tandis que je baise son pied, sentant sa douce et affectueuse main caresser ma nuque, je sens une autre main, tout aussi tendre mais plus rude, caresser ma croupe. Ce geste imprévu me fait frissonner, tant par surprise que par pur plaisir.
Ainsi commence ma nouvelle vie, notre nouvelle vie. Tandis que Marcel, l'ami de notre Fanette, l'amant de notre Déesse, notre Maître, travaille avec nous, dirige les travaux et nous commande, nous félicite ou nous gronde, nous menace de punitions et nous fessent rudement ou nous récompense d'une douce caresse, notre Fanette se prélasse amoureusement sur son transat soyeux, plongée dans un livre visiblement passionnant et jetant régulièrement un il affectueux vers son amant musclé et ses deux humbles serviteurs.
Les heures filent à toute allure et le travail avance de plus belle comme Marcel se révèle être un bon dirigeant et organisateur.
A l'heure du repas, c'est lui qui est désigné pour nous laver au jet d'eau glacial dans la cour. Je suis étonné de voir le plaisir manifeste qu'il prend lorsqu'il retire mon équipement et qu'il frotte fermement ma peau de ses mains, insistant fortement sur mon sexe et mon cul. Il prend son temps pour caresser ma hampe toujours rigide, il étire mes couilles (plus que nécessaire) et tripote mon cul, insérant un doigt ou plus, profondément dedans. Il fait de même pour mon ami Pascal et je peux observer un gonflement évident dans son pantalon. Je me demande dès lors quel est son lien avec notre Fanette, quelle sera désormais sa place, quelle sera la relation avec notre Nymphe et lui, son viril amant.
Marcel nous rééquipe avec un sourire nargueur et, tandis que nous préparons le souper, je peux les entendre se bécoter derrière notre dos et rigoler régulièrement.
Alors que j'ingurgite notre ration du soir, mes yeux vacillent entre le doux et magnifique visage tendre de notre Fanette et les beaux traits virils de ce jeune homme ricanant. Je ne sais plus que penser, je ne sais plus quel avenir m'est réservé mais un seul mot de ma Fanette suffit à tout faire chavirer. J'aime passionnément cette Déesse et je suis prêt à tout pour rester auprès d'Elle et La servir
Après avoir terminé la vaisselle du soir, Elle m'ordonne à quatre pattes devant Elle. Je suis disposé à la servir, mais il n'en est rien. La tête dressée vers ces admirables genoux, vers ces magnifiques cuisses, vers cet antre toujours interdite, les yeux implorant la permission de m'approcher pour la satisfaire, je prends la position demandée. Pascal, pour sa part, reçoit l'ordre de me monter et, sous l'il railleur du Marcel, il me pénètre. Il continue sa longue pénétration tandis que notre Amour invite son nouvel amant à la caresser, à l'embrasser, à la cajoler. Je peux sentir une jalouse incroyable, doublée par celle qui irradie de mon ami Pascal comme nous regardons, envieux de ce joli jeune couple qui s'enlace tendrement. Cette jalousie amène une hargne évidente au labourage de mon cul
Sur une demande, un ordre?.
Soudain, Pascal reçoit l'ordre surprenant de déshabiller son amant. Maladroitement comme mon ami a toujours ce monstrueux pieu enfoncé en moi, il retire ses habits, pièce par pièce, révélant un admirable corps d'athlète, révélant des fesses musclées et un sexe hors norme. Dès qu'il a terminé, mon ami Pascal reste figé, ne sachant pas s'il doit reprendre mon pilonnage avec son fourreau. Il est si surpris lorsque notre Fanette lui ordonne d'échauffer son amant, qu'il hésite plusieurs secondes. Il se dresse lentement vers l'homme, happe le bout luisant de son solide sexe et le lèche doucement. L'homme crie, se cabre, puis glousse. Il presse la tête de Pascal pour diriger et rythmer la succion avec les poussées de notre Fanette. Cet ensemble me ravi, je suis aux anges comme je peux contenter notre Amour, comme je suis comblé par notre ami qui satisfait le nouvel amant de notre Déesse, Marcel.
Après seulement quelques minutes trop courtes, Fanette permet à son amant de la butiner. Elle m'ordonne de me retirer et de guider le long et dur membre de Marcel vers sa grotte d'amour et de laisser mes doigts autour de la base afin de limiter la profondeur de pénétration. Cet ordre me choque mais je ne peux que plaire à ma Maîtresse et je saisis cette épaisse tige et la guide et la serre durant tout cet acte d'amour physique. Comme je peux observer ces ébats, ma Fanette embrassant passionnément son amant, lui même caressant son corps avec ferveur, mon ami Pascal continue à me pénétrer dans un rythme endiablé mais contrôlé par notre Fanette.
Mais je peux sentir mon ami en moi, je le sens élargir mon trou, masser mes entrailles, son aine cognant contre mes fesses, son corps contre le mien et j'en oublie le reste du monde. Un rapide regard vers lui et je peux lire les mêmes sentiments dans ses yeux et je lui tends une main amoureuse, une main qui prouve, si besoin en est, l'amour qui nous unit depuis si longtemps, même si caché par une solide amitié. Tandis que nous sommes dans notre rêve commun, dans la nouvelle réalité de ce puissant amour partagé, je sens le puissant membre viril palpiter entre mes doigts et je sais que l'amant fertilise sa belle princesse. Il n'en faut pas plus pour me faire gicler, pour me faire évacuer toute cette semence emmagasinée depuis des jours sans jamais de relâche permise. Mon bâillon retient péniblement un cri rauque dans ma gorge et je suis ravi de voir un regard pétillant dans les yeux de mon ami comme s'il semble avoir compris ce qui se passe, comme s'il semble avoir joui, lui aussi malgré l'incongru de cette situation pour le moins peu commune.
L'étreinte de notre Maîtresse dure encore plusieurs minutes, longues et pénibles comme j'aspire à pouvoir me relaxer, à pouvoir me reposer de l'extrême fatigue provoquée par cette magnifique jouissance, encore une jouissance sans aucun attouchement, une jouissance venue du plus profond de mes entrailles. Alors, une éternité d'effort plus tard, le couple se désunit et notre Fanette monte directement dans sa chambre. Je m'écroule sur le sol, Pascal fait de même à côté de moi, tous deux en sueur et harassés. Marcel se rhabille et, nous voyant affalés sur le sol, il hurle sur nous, étonné de voir nos corps luisants de sueur. Son regard change directement, nous révélant qu'il suspecte quelque chose. De suite, il nous ordonne de nous lever, il s'approche de nous et nous fait retirer nos équipements.
Les forfaits sont découvert, Marcel nous gronde, nous moralise et nous menace de représailles. Il nous fait sortir dans la noirceur et la fraîcheur de la nuit et nous lave abondamment et crûment avec le tuyau, insistant sur nos pauvres glands toujours hypersensibles. Je découvre alors le caractère sadique de ce garçon, réalisant les douleurs que nous allons devoir subir pour garder notre Fanette, pour pouvoir rester près de notre Amour, peut-être la protéger.
Ce septième jour devait être celui de la grande décision. C'est, en effet un jour de décision, mais celle-ci est loin de celle espérée en début de semaine. Ce jour est le début d'une longue initiation, un apprentissage doux et tendre pour servir notre maîtresse, un apprentissage dans la douleur et l'humiliation pour obéir à notre nouveau Maître, ce jeune Maître qui doit servir, lui-même, notre sublime Déesse.
Fin JOUR 7 et de la semaine entière.
Que vais-je devenir? Je n'en sais, mais dois-je m'en tracasser! Ma vie a été une succession d'évènements qui m'ont appris à me connaître, à découvrir progressivement qui je suis. Bien sûr, ce n'est pas facile tous les jours. Ainsi, je progresse dans le "lâcher prise", dans le bonheur de l'instant présent, dans la confiance de la destinée. MERCI l'Univers, MERCI La Vie.
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