Elle, Lui Et Moi
ELLE, LUI ET MOI
Tout a commencé par un rêve érotique que depuis quelques années mobsède, surtout dans le moment dintimité avec mon compagnon. Dans mes rêveries, je regarde mon compagnon faire lamour avec une autre femme.
Jaime sentir que Vincent ne m'appartient plus. Sentir que je suis dépossédée de lui tout en étant fière d'être sa compagne. Concrètement, je l'imagine toucher une femme qui ressent du plaisir sous ses caresses. Visualiser ce genre de scène m'excite énormément.
Jimagine lautre femme qui ressemble parfaitement au type de femme que Vincent aime. Parfois, ce sont des visages de femmes connues, des amies, des collègues de travail. Parfois, jessaie déviter de penser, mais les images viennent d'elles-mêmes et je les laisse venir.
Une nuit, lorsque nous faisions lamour, entre embrassades et caresses a un moment de grandes excitations, je lui glisse à loreille mon fantasme de le voir avec une autre femme faire lamour.
Au moment de lui avouer mon fantasme, Vincent sest excité davantage et me demandait de lui donner plus de détails, au même moment quil me donne plusieurs coups de reins qui font mon bonheur et laisse présager un avenir prometteur pour mon fantasme.
Les jours quon suivi a mon « aveu » érotique, nous avons parlés plusieurs fois de léventualité de laisser rentrer dans notre intimité une femme. Nous avons beaucoup réfléchir aux conséquences que pourrait avoir dans notre couple, lirruption dune femme dans notre lit et, pesant les pour et contres, nous décidons de continuer avec notre « fantasme ».
Ce sont passes, peut être, trois ou quatres semaines, quand un soir Vincent est arrivé plus tard que dhabitude de son travail, jétais déjà au lit et prête a men dormir. En pénombres, Vincent se déshabille très vite et se met tout nu à mes côtés.
Encore tout excité, me dis quil vient de coucher avec une ancienne collègue.
Je lui demande a Vincent de tout me raconter au même moment quil vient sur moi. Notre excitation est déjà a son paroxysme, je sens un liquide chaud que coule de mon sexe, Vincent me pénètre très rapidement dun seul coup de rein, je ressent sa verge dure et grosse quouvre la chair de mon sexe et arriver tout au fond de moi.
Commence pour me dire son prénom, Doris, et me décrit son corps, une jolie femme blonde, yeux bleus, petite, plein de vie, passionnée. A chaque mot de Vincent, mon excitation monte un cran de plus.
Jai eu plusieurs minis orgasmes à fur et mesure que Vincent me parlait du corps de Doris. Il me dessiné avec des mots sa bouche, ses lèvres. Vincent me raconté sa façon dembrasser, de sa peau douce et parfumée, de ses seins très sensibles, de son sexe rose et petit, de ses fesses rondes, de ses gémissements, de ses mains, de son visage quand elle jouissait.
Javais limpression que nous faisions lamour avec Doris, je fermais mes yeux et jimaginais la scène selon les récits de Vincent, quand lui caresser son corps, je les imagine en sembrassant tout nus, je ressentais dans ma tête le moment dont ils ont joui, et sans me rendent compte, moi aussi, jétais en train de jouir.
Nous avons continué à en parler encore longtemps. Je lui demande à Vincent de continuer sa nouvelle relation avec Doris, de ne pas sinquiéter pour moi a une seule condition, quil me raconte chaque rencontre avec Doris.
Je prends le sexe de Vincent avec ma bouche pour lui donner de lénergie et titiller sa passion, mais il me rappelle le RV avec Doris le jour même, puisque laube pointée son nez et nous avions besoin de nous reposer.
Le lendemain, Vincent est parti au travail un peu plus tard que dhabitude, et moi je suis resté à la maison, profitant des vacances scolaires.
Je me sentais comme une adolescente qui allait à son premier RV. Un mélange dexcitation, de peur, de pudeur et denvie.
Comme prévu, nous nous rendons chez Doris, Nous sommes arrivés alors que la nuit venait de tomber. le ciel dencre avait noirci le ciel, lair était doux et embaume les arbres dun grand jardin.
La porte souvre et apparaît Doris, sublime, couverte dune robe dun vert boisé et sa décolletée que glisse discrètement entre ses seins sont en parfaite harmonie avec ses yeux bleus, lumineux comme des éclats d' étoiles filantes. Ses cheveux blonds, doux, courts embellis encore plus son joli visage et un maquillage discret qui fait ressortir. le rouge clair de ses lèvres.
Je me suis tout de suite épris par Doris, sa délicieuse voix accompagnée de ses mouvements dans le salon cherchant à nous mettre à laise. Au coin du salon, le feu de cheminée éclaire la pièce, plus la chaleur et les arômes que dégage rend lambiance envoûtante. Un tapis devant la cheminée, quelques cousins attendent avec douceur nos corps que devinent les caresses et le plaisir à venir.
Nous avons bu du champagne en discutant de tout, de rien, échangeant sur les vacances, le travail
.Nous enfonçant dans le défilé des heures, nos corps se sont appelés, nos sensualités réclamaient lexaltation.
La nuit a été longue et courte à la fois. Longs car trois corps se sont aimés jusquà laube, longue car se sont fait la guerre jusquau petit jour, longue car les assauts se sont répétés, inlassables, foudroyants, lumineux et jusquau moment où les ténèbres abdiquent. Courte parce que le plaisir a été notre étoile du berger et parce que les plaisirs innombrables et voluptueux ont contracté le temps.
Notre hôte est fantasmagorique, une chimère sensuelle et farouche, tantôt soumise, tantôt maître.
Le tapis du salon et quelques cousins attendent avec douceur nos corps que devinent les caresses et le plaisir à venir, nos sensualités réclamaient lexaltation. Ah ! Si ces murs pouvaient parler ! Témoins de tant débats pleins de sensualité.
Au bout dun moment, Vincent se rapproche de Doris, et lembrasse doucement. Je regarde assise à ses côtés. Ils ont continué à sembrasser, Vincent sallonge sur le tapis et Doris vient sur lui. Ils se sont dévêtus avec lenteur, avec langueur comme on ouvre une friandise gourmande. Moi, je serre mes cuisses avec force pour retenir le feu que je ressens dans mon sexe.
Latmosphère était sensuelle et explosive, douce et animale. Lâtre renvoyait ses crépitements erratiques en échos aux étincelles de désirs sourds qui illuminent nos regards fiévreux. Doucement Doris se retourne sur son dos, écarté ses jambes et je peux voir ses seins ronds, avec une tenue merveilleuse, son sexe avec quelques poils que brillent à cause de la sève savoureuse de cette délicieuse femme.
Vincent suce délicatement un de ces seins au même temps quil pince lautre, le corps de Doris bouge au rythme de caresses. Je ne pouvais plus, mon excitation je la ressens dans tout mon corps.
Quand Vincent enfonce sa tête entre les cuisses de Doris laisse échapper un petit cri de plaisir en même temps que nos regards se croisent. Je lui ai tendu ma main, et nos mains se sont liées, aveuglées par nos pulsions que nous avons découvertes dabord à la pulpe de nos doigts, tel des non-voyants déchiffrant un braille incendiaire.
De la main droite je soulève lavant de ma robe et je dévoile ma voluptueuse poitrine. Elle sapproche encore un peu plus de moi, pose ses mains sur mon visage et membrasse tendrement. Vincent nous regarde sans pouvoir dissimuler son excitation.
Nos corps nus, excitées, entre les ombres provoquées par le feu de la cheminée, nous nous adonnons au plaisir de la chair. Je regarde Doris, je la caresse, je lembrasse, je la serre contre moi pour sentir tout son corps contre le mien.
Nous nous embrassons, elle glisse sa langue doucement dans ma bouche, nous sommes restés longtemps unis par nos lèvres avant que je prenne sa douce poitrine, je lai prise comme une sucrerie qui se veut chère. Vincent sallonge à côté de Doris et me laisse livrer à mes envies.
Je sens le regard dapprobation de Vincent qui mencourage à vivre intensément ce moment. Je ne simule pas mon plaisir, je regarde la grande queue de Vincent quil caresse doucement tout en nous regardant, le voir ainsi multiplier mon excitation.
Doris avec ses yeux brillants, serre avec force ses jambes, chaque gémissement est accompagné de sensuels mouvements de son corps. Mes lèvres découvrent son corps que Doris moffre. Ses mains dirigent les mouvements de ma tête, ses cuisses tremblent, sa respiration saccadée témoigne du plaisir que provoquent les caresses.
Nous arrêtons nos ébats par les bruits que fait Vincent quand il ouvre une nouvelle bouteille de champagne que venait de prendre dun seau bien froid. Nous versons chacun une flûte de champagne, en laissant perler des gouttes piquantes qui tombent sur la poitrine de Doris et ses tétons bien pointus, que je me suis dépêché de récupérer doucement avec ma langue.
Nous buvons, on se raconte notre plaisir, nous nous regardons avec Doris et chaque regard est chargé de désiré, elle regarde mes seins, mon sexe, elle passe le dos de sa main sur mes seins, mes tétons, jécarte mes cuisses pour sentir ses petits doigts glisser sur ma fente bien mouillée. Sa bouche entre ouverte minvite à lui introduire ma langue, je sens la chaleur de sa main droite quécarté mon sexe, je ferme mes yeux et je mabandonne au plaisir.
Nous nous embrassons avec passion dans cet inédit moment de plaisir, elle me serre fort et dun mouvement je me retrouve allongée sur elle, nous continuons à nous embrasser. Doris est une révélation pour moi, jadore la sensualité de nos caresses, la douceur de ses courbes, pouvoir jouer avec sa poitrine très sensible.
Doris et moi, nous continuons avec plus de passion nos caresses, je ressens son envie en même temps qu'une certaine peur de se laisser aller complètement.
Elle caresse mes seins, elle mordille mes tétons, une de ses mains écarte mes cuisses, avec lautre main, prend ma nuque et me pousse vers sa bouche. Doris mord délicatement mes lèvres au même temps que je sens sa main que sapproche de mon sexe. Je laisse échapper un soupir tout en fermant les yeux pour profiter de ce moment de plaisir.
Elle vient sur moi, membrasse comme si Vincent n'existait pas. Doris frotte son pelvis contre la mienne, quand tout dun coup, je sens que Vincent se place derrière Doris.
Tandis que Vincent commence à introduire son sexe dans celui de Doris, il passe ses mains sur ses hanches perlées de sueur, un coup de rein est suivi dun long cri de plaisir de Doris, de ceux que sont impossibles de retenir et que se termine par un murmure incompréhensible, comme si elle tente datténuer le bruit de sa respiration oppressée.
Je ressens les mouvements de Vincent à travers le corps de Doris, je la sensation de jouir à chaque coup de rein un peu plus profond que reçoit Doris, chaque fois plus fort que lui arrache un spasme dune étrange jouissance silencieuse que nous la découplon par le croisement de nos regards.
Doris sent les quatre mains sur son corps qui la serrent très fort et se mettent à trembler à lunisson. Nous voulions nous confondre en un seul corps. Je sens la douceur des seins de Doris que viennent effleurer les miens, sa respiration à chaque instant de plus en plus saccadée jusqu'au moment qu'elle tombe de tout son poids sur moi.
Je ressens le plaisir de Doris, sa tendresse, je lui tends mon bras pour quelle repose sa tête et jembrasse son visage. Vincent très excité, à genoux devant moi, soulevé mes jambes et enfonce sa colonne de chair dans mon sexe.
Je sens le bruit de nos sexes mouillés à chaque coup de rein que me donne Vincent, Doris prend ma main et me regarde. Vincent continu avec son va et vient dans mon sexe, il na pas fallu longtemps et quelques coups de reins pour que Vincent me fasse jouir, Jétais tellement excitée.
Vincent a goûté notre union, il nous a pénétrés à toutes les deux, il a lapé les lèvres secrètes de Doris que débordait le jus de lextase. Nos corps exultent en une danse tribale, une bacchanale orgiaque, un triumvirat puissant et irrésistible.
Le regard de Doris est tendre, elle prend ma main et la caresse, la met sur ses seins. Je serre ses tétons doucement, Doris émet de petits gémissements de plaisir et sallonge sur le tapis, les cuisses écartées, les yeux fermés, sa délicieuse bouche entre ouverte, prenant sans retenue le plaisir que je suis en train de lui donner.
Je descends avec ma bouche par le ventre de Doris, je menivre avec larôme de son sexe, je glisse mon visage entre ses cuisses, délicatement jécarte les lèvres de son sexe, mouillés, dune couleur rose merveilleuse.
Oui, comme cela ! Un peu plus haut ! Me guide Doris en gémissant sous les mouvements de ma langue qui frôle son sexe. Ses jambes entourent mon dos et tremblent de plaisir.
Je suis éperdue de désir et goûtant la douceur de chaque millimètre de son corps, chacune de mes caresses provoque des réactions de plaisir en elle et seconds plus tard, laisse sortir sa respiration retenue se mélangeant avec un cri de plaisir.
Lexcitation, la chaleur de la cheminée, on sèche nos bouches, alors nous avons fait une pause pour boire du champagne, reste dans un seau au coin du tapis. Doris assise en face de moi, nos jambes entrelacées, doucement nous caressons nos sexes, en même temps que nous buvons du champagne. Nous nous embrassons assis devant la cheminée, nous nous caressons en nous regardant tous les trois.
Nous restons ainsi de longues minutes, reprenant nos esprits pendant que nos souffles sapaisent peu à peu. Doris, cest elle qui rompt la première le silence et, éloignant son sexe mouillé du mien, murmure dune voix étranglée, quand je pensais que je naimais pas les femmes. Je lui réponds, moi non plus, mais tout change un jour ou un autre.
Au petit matin nous nous habillons pour retourner chez, cest avec une pointe de regrets que je mets mes chaussures avant de partir. Doris nous attend devant la porte, couverte dun peignoir bleu clair. Vincent embrasse Doris et savance vers la voiture, je serre Doris par sa taille, jembrasse son visage, ses lèvres. Elle glisse ses mains sur mon dos, mes fesses, nous, nous embrassons avec une passion que je navais jamais ressentie.
Ses mains lâchent doucement les miennes pendant que je rejoins Vincent dans la voiture.
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