Chantal 5 La Visite Au Couvent


Le lundi la mère de Chantal lui demande d’aller porter le pain au couvent en lui disant : « habituellement c’est ton père qui y va comme si ces bonnes sœurs ne pouvaient pas passer à la boulangerie elles ne sont quand même pas aussi occupées que cela, mais elles ont demandé que ce soit toi qui leur porte le pain, je me demande bien pourquoi ? ».
« J’ai rencontré la mère supérieure dimanche après la messe chez monsieur le curé et elle m’a dit de passer au couvent, elle avait quelque chose à me demander !!! ».

Chantal prend son vélo met le pain dans le grand panier et file aussi vite qu’elle le peut pour rejoindre le couvent à la sortie de la ville.

Arrivée à la grande porte du couvent elle tire sur la chaînette et une cloche résonne de l’autre coté. Chantal attend quelques instants elle va pour faire retentir à nouveau la cloche, quand le judas s’ouvre et derrière la petite grille une personne demande ce qu’elle désire.
« C’est pourquoi, ».
« J’apporte le pain ! »
Vous n’êtes pas le boulanger ! »
« Non je suis sa fille, et la mère supérieure a demandé que ce soit moi qui apporte le pain aujourd’hui »
« Attendez je vais demander à mère supérieure »
Et le judas se referme, mais derrière la porte elle reconnaît la voix de la supérieure : « vous pouvez ouvrir à cette jeune fille sœur tourière ». Et Chantal entend cliqueter la serrure et tirer les loquets ; et une sœur entrebâille la porte et la supérieure l’ouvre en grand et invite Chantal à entrer, et tandis que la sœur s’occupe de refermer la porte, la mère emmène Chantal jusqu’aux cuisines pour y déposer le pain, ceci étant fait elle questionne Chantal : « vous n’êtes pas venue uniquement pour le pain je pense ?».
« Non dimanche vous m’avez dit de passer vous voir ».
« C’est pour cela que j’ai demandé à votre maman que ce soit vous qui nous apportiez le pain pour la semaine ; d’habitude c’est votre papa mais il faut bien varier les plaisirs ».


(Voilà une réflexion bien ambiguë se dit Chantal et elle essaiera d’avoir des explications à ce sujet).
« Venez ma fille, sœur Agnès que vous avez rencontré dimanche va s’occuper de vous, et je viendrai pour parachever son travail ».
Chantal suit la supérieure qui repasse par le cloître où s’affairent trois sœurs qui s’occupent du jardin qui en occupe le centre, et elle appelle sœur Agnès qui les rejoint.
« Ma sœur vous reconnaissez votre complice qui m’a fait tant de bien en votre compagnie, emmenez Chantal dans mon bureau vous y trouverez tout ce qu’il faut ».
Chantal suit sœur Agnès dans les couloirs du couvent puis elles franchissent une porte et entre dans le bureau de la supérieure.
Rien de spécial dans cette pièce mais quand sœur Agnès tire le rideau alors apparaît une sorte de balançoire équipée de diverses lanières.
Sœur Agnès invite Chantal à s’approcher et tandis que Chantal regarde et ce demande bien quoi cela peux bien servir dans uns couvent ; sœur Agnès entreprend de déboutonner le corsage de Chantal en lui demandant : « tu ne veux pas essayer la balançoire ? ».
« Oui je veux bien »
« Mets toi à l’aise, tiens je vais t’aider »
Et sœur Agnès aide Chantal à se déshabiller, non sans omettre de caresser furtivement la chair laiteuse de la jeune femme.
Chantal une fois nue la sœur l’aide à prendre place sur la balançoire et à mettre ses pieds dans les étriers et Chantal se retrouve naturellement en position jambes largement écartées. Elle montre toute sa motte velue, et au milieu la cicatrice d’amour qui déjà suinte de miel odorant.

C’est le moment que choisi la mère supérieure pour entrer dans le bureau, et admirer la position obscène de Chantal.
« Je vais m’en occuper sœur Agnès, sortez le matériel et ensuite caressez lui les seins pendant que je rend sa chatte plus accueillante ».
Sœur Agnès apporte les ciseaux le rasoir coupe chou et la bassine d’eau chaude et elle fait le tour de la balançoire et commence à s’occuper de seins de Chantal, et la mère supérieure commence à couper les poils au plus ras possible, le pubis et la vulve de Chantal.

Et puis avec la mousse à raser elle enduit toute l’entre cuisse et entreprend un rasage en règle de toute la féminité bien écartée.
« Sœur Agnès occupez-vous de ces beaux qui ne demandent qu’à être cajolés !!! »
Sœur Agnès passe derrière la balançoire et elle entreprend de caresser les deux mamelles laiteuses.
Chantal au comble de l’excitation, se tient d’une main à une des cordes de la balançoire et de l’autre elle tente d‘atteindre le corps de sœur Agnès.
« Déshabillez-vous sœur Agnès et offrez votre fente à Chantal, voyez comme elle en a envie, je vais me mettre nue aussi pour finir de raser cette jolie fente avant que profiter de vous deux comme dimanche dernier !!! ».
Les deux religieuses se mettent nues, excepté leur guimpe et le voile. Au cours de ce double effeuillage, Chantal s’aperçoit que les sœurs ne portent rien sous leurs jupes.
Sœur Agnès fait basculer Chantal et elle s’installe au dessus de son visage et elle ajuste ses lèvres verticales à celles horizontales de Chantal.
Les attouchements de la supérieure ajoutés au parfum entêtant du sexe de sœur Agnès lui font perdre la tête et elle s’empresse de dévorer et lécher les chairs parfumées ainsi offertes. Ainsi positionnée sœur Agnès n’a qu’à laisser couler son miel entêtant dans la bouche de Chantal qui passe sa langue dans les plis et les moindre recoins de ces chairs brûlantes de désir.
Chantal qui a déjà goûté au sperme, trouve incomparable tout ce jus féminin qui lui coule dans la gorge, et cette odeur qui lui tourne la tête, elle veut s’enivrer le plus longtemps possible, sucer sans fin les pétales d’une fente, et le bouton turgescent qui pointe là en haut du coquillage et vibre et frémit à chaque passage de sa langue, et les gémissements de sœur Agnès sont une douce musique à ses oreilles et la preuve qu’elle œuvre dans le bon sens.
Puis soudain Chantal sens l’eau fraîche qui lui coule sur sa fente maintenant nue, et puis une serviette un peu rêche qui lui agace les chairs rasées et devenues sensibles mais rapidement une bouche et une langue prennent possession de sa fente largement offerte du fait de sa position sur la balançoire.


Alors la mère supérieure descend la balançoire afin de la positionner à la bonne hauteur et elle tombe à genoux devant Chantal ; plongeant tête la première dans la fourche grande ouverte, vers l’abricot juteux et avide à se donner avec volupté dans le désir de déverser son nectar dans une bouche qui va le cueillir comme un fruit mûri au soleil et goûter à ce jus qui suinte déjà entre les pétales roses à cœur et brun sur leurs crêtes.
Mais déjà la religieuse fouille la foufoune de Chantal avec délectation mais aussi avec rage, enfonçant son organe buccal le plus loin possible dans le cratère à deux doigts d’exploser la lave qui s’en écoule en est la preuve, mais l’acharnement des deux religieuses sur son corps amène Chantal au bord du gouffre ou plutôt sur le pas de tir d’une fusée, et puis la supérieure s’empare du bouton de mise à feu qui pointe tout en haut de la fente ce qui déclanche l’allumage du réacteur, l’explosion de toute la poudre, la lave brûlante qui s’écoule de sa tuyère d’amour, et le brasier qui consume Chantal tout entière se transmet à sœur Agnès qui se déverse à gros bouillons dans la bouche de Chantal, lui barbouille le visage d’un jus chaud, gras, parfumé et translucide.
Il flotte dans la pièce une douce odeur de sexe, parfum entêtant qui donne envie de continuer cette folle chevauchée d’amazones en chaleur.
Et c’est ce qui se passe ; les deux religieuses aident Chantal à retirer ses pieds des étriers, et à descendre de la balançoire.
La supérieure prend de suite place sur la balançoire et elle met les pieds dans les étriers et elle écarte les jambes au maximum, laissant voir sa fente monstrueuse une débauche de chairs allant du brun au violet et une entrée de grotte suintante de plaisir, et tandis que sœur Agnès se dirige vers le bureau, la supérieure supplie Chantal de s’occuper de son sexe, alors Chantal se met à genoux et commence à dévorer cette débauche de chairs moites et chaudes, mais elle a à peine le temps de goûter au miel qui s’écoule, que sœur Agnès l’écarte et se présente munie d’un gode ceinture, énorme et noir et après avoir bien frotté le gland de caoutchouc sue le fente avide d’une pénétration salvatrice, sœur Agnès satisfait à ce besoin impérieux de la supérieure,et elle enfonce l’engin d’une seule traite, propulsant la tête de l’engin avec violence sur la matrice au fond de la grotte humide.

Se voyant bien inutile à cet instant mais aussi par crainte qu’à un moment ce ne soit son tour, surtout avec ces deux bacchantes en chaleur.
Elle ramasse ses vêtements et quitte la pièce tandis que se répandent les cris et soupirs de la supérieure réclamant une pénétration plus vigoureuse.
Chantal se rhabille elle s’aperçoit qu’elle a laissé ses sous vêtements, mais pad envie de retourner elle enfile chemisier et jupe et se dirige vers la porte du couvent, la sœur tourière lui ouvre en lui disant : « vous avez été plus rapide que votre papa !!!! il met beaucoup plus de temps pour nous livrer le pain ».
Chantal se doute bien de ce qui ce passe le jour où son père livre le pain et elle se promet d’élucider ça, et elle quitte le couvent pour rejoindre la boulangerie sur son vélo elle sent l’air lui caresser le sexe sous sa jupe, en passant devant le presbytère elle pense entrer voir si le curé est là et voir sa tête quand il découvrira sa foufoune rasée, mais déjà onze heure sonne au clocher il est temps de rentrer.

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