Les Vacances 14: Fin Du Séjour Chez Mon Cousin Stéphane
Javais prévu que ces vacances soient une grande détente sexuelle. Mais une fois que je me suis réveillé dans mon lit dhôpital, je ne pensais pas que jen obtiendrai autant. On peut dire que jai eu le cul bordé de nouilles, cest vraiment le cas de le dire. Côté nana, après mon moment avec linfirmière de lhôpital, mon cousin ma choyait en me présentant la coquine Marie Anne.
Côté mec je ne suis pas en reste non plus. Jai dabord eu linfirmier qui adorait prendre ma température, évidement il ne la pas prise quavec un thermomètre. Jai eu aussi un beau samedi avec Laurent, le mec de loffice du tourisme. Grace à lui jai pu enfin me baigner dans la piscine mais aussi dans le cul dun autre homme.
Et enfin jai réussi à faire céder mon cousin que je convoitais depuis tant dannées. Cest vrai que ça na pas été facile puisquil a fallu que jutilise Marie Anne, ma belle infirmière qui est aussi lex de Stéphane, mon cousin. Après un long travail au corps, cest vraiment le cas de le dire, il sait enfin assez lâché pour quon puisse profiter aussi uniquement entre hommes.
Evidement quand ma charmante infirmière vient faire mes soins nous en profitons aussi pour toujours faire des plans à 3. Jadore quand nous la prenons en double, non seulement je peux profiter de lun de ses trous mais je sens aussi la queue de mon cousin frotter la mienne. Cest vraiment un bonheur fou.
Par contre depuis notre première nuit rien quà nous deux, Stéphane sest installé dans ma chambre et dort, toutes les nuits, avec moi. Jadore quand il me réveille, uniquement, parce quil a envie de ma queue ou de mon cul. Je ne sais pas si cest parce quon est de la même famille mais nous sommes vraiment en phase sexuellement. Après lavoir vu timide et renfermé ça fait du bien de le voir se lâcher à ce point.
Malheureusement aujourdhui je reviens avec une mauvaise nouvelle de lhôpital. Mon chirurgien ma annoncé, vu que ma plaie est totalement refermée et que je me débrouille bien avec mes béquilles, que je suis tout à fait en état pour voyager et rentrer chez moi.
Attention, je suis très content de retrouver mon appartement et surtout mon lit que je connais bien mais jai les boules de quitter cette réelle ambiance de vacances. Je dois avouer que je suis aussi triste de quitter ma chaude infirmière qui ne dit jamais non à un moment coquin.
Mais je crois que celui que je vais le plus regretter cest mon cousin Stéphane. Je dis pas que je tombe amoureux de lui mais au lit nous avons une telle alchimie
Je crois que cest la première fois que je prends autant de plaisir avec un autre homme. En plus depuis quil sest décontracté, à chaque fois que je mapproche de lui, il est partant. Je me demande si ce nest pas côté tabou de la situation qui augmente mon excitation.
Quand je rentre à la maison, je lui dit sur un ton ironique:
« Tu vas enfin te débarrasser de moi et pouvoir reprendre une vie normale. »
Vu son air perdu, je lui explique ce que ma dit le médecin. Il est heureux pour moi, en précisant que sa veut dire que ma jambe va bien mieux. Ensuite il me dit quil va maider à organiser mon rapatriement et file dans la cuisine.
Lui qui à lhabitude de boire uniquement au verre, il boit une bière au goulot. Je mapproche de lui et je lui demande:
« Tu ne men propose pas une? Je suis puni? »
Il rigole mais je sens que ce nest pas franc, il ouvre le frigo et sort une bouteille quil me tend. Je trinque avec lui et il file dans sa chambre.
Il revient rapidement avec son ordinateur dans la main. Il sinstalle sur la table de la salle à manger et commence à me demander:
« Tu veux voyager quel jour? »
Je sens dans sa voix quil a la gorge serrée, alors pour détendre latmosphère je lui demande:
« Donc tu veux vraiment te débarrasser de moi! »
Il rougit et fait non de la tête. Je lui explique quon ma dit de contacter mon assurance, de leur envoyer la lettre du toubib et que cest eux qui vont gérer mon rapatriement.
Nous passons une agréable soirée même si je sens des fois de la tristesse dans sa voix. Le soir quand nous allons nous coucher, il est à nouveau tendre avec moi. Ses mains parcours mon corps, ensuite sa bouche fait exactement la même chose et finit sa course sur mon entrejambe.
Il me suce passionnément pendant plusieurs longues minutes. Puis il me retourne et me bouffe le cul, il me doigte avec un, deux puis trois doigts. Sa bouche et sa main mabandonne puis il grimpe sur moi et me sodomise dun coup sec. Il me ramone sauvagement pendant 20 bonnes minutes avant de se vider au plus profond de mes entrailles. Il réussi à même me fait jouir du cul et jéjacule aussi sur les draps alors que je ne me masturbais même pas.
Une fois quil décule, beaucoup plus délicatement quil est rentré, il roule sur le coté. Je me retourne à mon tour, je sens son sperme couler le long de ma raie et je lentends ronfler. Je pose ma tête sur lui, je caresse son torse, son ventre et sa bite molle recouverte de son jus mais il continue de ronfler. Je mendors à mon tour.
Le lendemain je contacte mon assurance, ils reviennent vers moi le jour suivant. Après avoir discuté avec mon cousin nous convenons que je voyagerai mardi prochain, nous sommes jeudi. Ca nous permettra de passer un dernier week end ensemble. Nous convenons aussi que nous profitons de nos derniers jours ensemble et que nous allons faire la fête mais ne pas être triste.
On passe un excellent week end, samedi en fin de journée des potes à lui reviennent pour un dernier barbecue. Nous mangeons, buvons, rigolons bien et une fois quils sont tous partis nous baisons, comme des bêtes, dans le jardin. Le dimanche nous sommes invités chez des amis et passons un aussi bon moment.
Par contre le dimanche soir en rentrant à la maison, il dit presque aucun mot dans la voiture.
Le lundi il sabsente une bonne partie de la journée, le soir quand il rentre jai préparé un diner en tête à tête pour notre dernière soirée. Marie Anne ma aidé en allant tout macheter chez le traiteur du coin. Nous mangeons et buvons, il se détend un peu et nous rigolons bien.
Evidement nous évitons, intentionnellement, le sujet de notre relation. Je ne sais même pas sil veut quon continue à se voir après mon départ de chez lui. Cest inévitable que nous allons nous voir puisque nous sommes cousins mais moi jai envie de le revoir à poil. Par contre je ne sais pas ce que lui en pense et je nose pas lui demander.
Le soir quand nous allons nous coucher, je le caresse, lembrasse
quand je commence à peloter ses fesses imberbes, il me retourne sur le dos. Il se glisse entre mes jambes et suce directement ma queue déjà tout raide. Il fait coulisser ses lèvres le long de mon sexe à un rythme fou et sans sarrêter jusquà ce que je jouisse dans sa bouche.
Il suce vraiment bien mais je dois dire que cette pipe manquait énormément de passion. Quand il vient se caler contre moi, je nose rien lui dire et nous finissons par nous endormir. Il a une nuit très agitée, il bouge tellement quil me réveille en plus jai peur de prendre un coup sur ma jambes blessée alors je me retourne.
Le lendemain on se réveille un peu tard. Après une bonne douche mais totalement séparé nous allons boire notre café autour de la piscine. Le taxi ambulance doit venir me chercher dans une heure alors je me bouge et je vais préparer mes affaires. Je roule vers ma chambre et je commence à remplir mon sac, heureusement que je nai pas beaucoup daffaires.
Je suis entrain de glisser mes médicaments entre mes habits quand Stéphane débarque avec une tête toute triste. Il vient derrière moi et colle son corps contre le mien, je sens sa respiration sur ma nuque et ensuite mon oreille. Il me susurre:
« Tu ne veux pas faire une petite pause avant ton voyage? »
Je regarde lheure, et lui répond que le taxi arrive dans moins de 45 minutes et que jai encore des affaires à rassembler.
Il reste derrière moi et appuie bien son corps contre le mien, je sens sa bite assez dure contre mes fesses. Je me retourne, lembrasse tendrement et quand nous nous décollons je remarque quil porte uniquement un slip qui met bien sa queue en valeur. Jadmire son corps et caresse son petit ventre musclé avant de remonter sur son torse. Je masse puis pince ses tétons et je regarde encore une fois la montre.
Il att ma main et la pause sur ses fesses, je réalise immédiatement que je nai pas du tissu sous mes doigts mais sa peau. Il porte un string le coquin, du coup je mets ma deuxième main sur son autre fesse et je les masse énergiquement en lui disant:
« Tu exagères! »
Je me penche et lembrasse en faisant rentrer ma langue dans sa bouche.
Mes mains quittent son cul pour parcourir chaque autre centimètre de sa peau. Jimprime, au touché, chacune de ses formes pour bien me rappeler de son corps quand je me masturberai en pensant à lui et à nous. Puis il att le bas de mon t-shirt pour le retirer, je lève les bras pour laider à me lenlever. Il mattire vers le canapé derrière lui vu que le lit est recouvert de mes affaires.
Javance à cloche pied pour le rejoindre, il sassoit le premier et ouvre les boutons de mon pantalon. Il maide à le retirer totalement et je me retrouve en boxer à côté de lui dans son petit string blanc. Je lui caresse la cuisse alors que nos bouches sattirent de nouveau, je fais glisser mes doigts sous le tissu et je vais titiller son sexe qui est de plus en plus à létroit à lintérieur.
Je fais courir mes doigts le long de sa bite avant de descendre le peu de tissu qui lempêche dêtre complètement nu. Je continue de légèrement le branler et je commence à me pencher vers son entrejambe quand il marrête dans mon élan. Il me plaque contre lassise du canapé et retire mon boxer pour que je me retrouve dans la même tenue que lui.
Il empoigne ma bite, déjà raide comme un piquet, la colle à mon ventre et lèche mes couilles. Après avoir sucer chaque recoin il commence à remonter le long de ma tige jusquà atteindre mon méat qui perle déjà. Bien sûr, sur le chemin il sattarde sur mon frein et mon gland. Puis il ouvre les lèvres et me fait rentrer dans sa bouche.
Il me suce frénétiquement, sa langue sagite de partout alors quà chaque aller retour il menfonce encore un peu plus près dans sa gorge. Ses mains me malaxent les couilles puis descendent sur mes fesses. Après les avoir rapidement masser, je sens un de ses doigts glisser dans ma raie à la recherche de ma rondelle.
Il la titille un moment alors que ses lèvres continuent de monter et descendre sur mon sexe encore plus raide et dur. Quand il introduit un doigt en moi jai limpression de lâcher une petite giclée de présperme. Il sexcite encore plus sur ma queue quand il rentre un deuxième.
Je suis très excité par ce quil me fait mais je ne peux mempêcher de jeter un coup doeil sur lhorloge. Le taxi arrive dans moins de 30 minutes alors je le soulève de mon corps et le fais se pencher en arrière pour échanger nos positions. Je me presse de le prendre, à mon tour, en bouche mais je profite dabord de titiller son gland.
Sa belle queue totalement lisse, je pense quil sest rasé avant de me rejoindre vu lodeur de mousse encore sur sa peau, me rempli entièrement la bouche. Comme je lai fait avec mes mains tout à lheure sur son corps, mes lèvres et ma langue imprime chaque centimètre de sa bite pour encore mieux men rappeler quand je serai seul chez moi.
Il bande comme un fou et me donne des coups de rein, en maintenant ma tête, pour senfoncer encore plus profondément en moi. Je ne sais pas si cest le stress du peu de temps que nous avons avant mon départ mais je le sens excité comme jamais. Je suis, moi aussi, émoustillé comme jamais.
Je tente de lengloutir entièrement pour bien le sentir dans ma bouche mais aussi quil trouve sa place bien au chaud dans ma gorge. Je le fais aussi pour lui arraché ses râles de plaisir qui font encore plus monter mon désir pour lui. Je sens son sexe tressauter dimpatience entre mes lèvres mais jai envie de le sentir jouir dans mon cul et non dans ma bouche.
Alors je le recrache tout doucement et je le fais mettre à genoux avec le torse sur lassise du canapé. Je viens derrière lui et je commence à embrasser ses fesses, puis je les écarte bien pour dévoiler son petit trou. Je regarde lheure, plus que 21 minutes alors je mempresse de laper sa raie et insistant sur sa rondelle.
Rapidement je ne mattarde que sur elle et le lèche comme un forcené. Il est déjà bien ouvert et malgré toute mes nuits passées avec lui je ne connais toujours pas son secret pour être aussi rapidement accueillant. Je le pénètre doucement avec la langue et quand je ne peux aller plus loin je la fait aller et venir en lui. Il gémit de plus en plus fort et je cale mes mouvements à lintensité de ses cris.
Jagite ma langue très, très vite dans ses entrailles, je la fais tournoyer le plus possible puis je la retire. Je reprends une bonne respiration, il me reste 18 minutes, et je replonge entre ses fesses. Je le lèche furieusement et je sens rapidement son cul sagiter de plaisir sous mes coups de langues. Je lape sa raie avec le coté râpeux de ma langue puis je me décolle.
Dune main jécarte ses fesses alors que je lèche mon majeur et mon index avant de le sodomiser avec. Il rentre sans rencontrer aucune résistance, vu son ouverture et le temps qui passe, mon annulaire vient les rejoindre. Il mouille du cul, encore plus que dhabitude, mes doigts deviennent rapidement visqueux. Je les retire délicatement et en me relevant jenduis ma bite du liquide quil vient de sécréter.
Quand je menfonce, en une fois mais, assez lentement entre ses fesses, il ne nous reste plus que 14 minutes. Jaccélère tout de suite la cadence et ramone sont petit cul bien ouvert au niveau de la rondelle mais tellement serré à lintérieur. Je lui donne quelques petites fessées quand il me dit entre deux râles:
« Vas-y plus fort! »
Je claque plus brutalement sa fesses droite qui rougit en même tant que ses entrailles se contracte autour de ma tige.
Après la deuxième fessée rougissante, il tourne la deux et à encore plus de mal à me préciser:
« Je parlais de ta queue mais ça aussi cest bon. »
Je latt par la taille, je pose mon genou malade sur le canapé et je le défonce comme un fou. Evidement pour notre plaisir, mais aussi sentir encore ses contractions anales, joublie pas de le fesser régulièrement.
Plus que 10 minutes quand je sens mes couilles gonfler et se raidir. Mes veines se mettent à palpiter dans son cul, ma tige se raidit encore plus et je me déverse en lui. Je continue de le limer alors que jai limpression de ne pas arrêter de gicler, ça déborde de son petit cul vu mes mouvements toujours aussi animal. Je lui donne une dernière fessée mais pas trop méchante et décule lentement.
Je le fais se retourner et sassoir sur le canapé. Je me tiens debout entre ses jambes, je récupère la mousse de sperme que jai sur la bite et me badigeonne le cul avec. Puis je plante deux doigts dans son cul et avec le sperme que jai sur le majeur je me doigte tout seul. Je replonge pour lui en mettre sur la queue et je le chevauche.
Je suis à califourchon sur son entrejambe, je frotte sa bite frénétiquement sur ma raie recouverte de mon jus. Je place son gland à lentrée de mes entrailles et en lenfonçant dun coup sec dans entre mes fesses je râle de douleur agréable mais surtout de plaisir. Je reste un moment assis sur lui pour me laisser le temps de mhabi à son calibre.
Quand je commence à aller et venir sur son sexe je lui précise:
« On a plus que 7 minutes, désolé! »
Jadore cette sensation de remplissage totale provoquée par une pénétration profonde. Jaime quon me ramone comme ça jusquà venir taper ma prostate, avec une bite avide de moi.
Il mempoigne par les fesses pour maider dans mes mouvements de vas et viens sur sa tige raide et gonflée. Jaime être sur le mec qui me laboure parce que jai limpression quon se baise mutuellement et jadore avoir le contrôle. En plus dans cette position on peut bien admirer le visage de lautre qui se détend grâce au plaisir ressenti et mutuel.
En plus dans cette position, je le sens très profondément en moi et intensément, je peux aussi mieux resserrer mes entrailles autour de sa bite. Je me laisse totalement dépassé par le plaisir que je ressens avec son gland qui tape lintérieur de ma rondelle ou ma prostate. Quand jouvre les yeux je vois quil nous reste à peine 3 minutes alors je me contracte de plus en plus autour de lui.
Nos mouvements sont tellement rapide que ma queue, qui a recommencer à gonfler, tape son ventre assez fort. Stéphane se venge en tapant de la même façon ses mains sur mes fesses. Je sens la jouissance reprendre le dessus quand il explose dans mon cul pendant quil continue de me farcir de sa chair frémissante. Sa queue narrête pas de se contracter en moi alors que je ne contrôle plus du tout mes spasmes de jouissance.
Je massoie et me repose un moment sur lui alors que nos deux corps dégoulinent de sueur, son sexe est toujours planté entre mes fesses. Je me soulève tout doucement et quand son gland me quitte je sens ma rondelle palpitait et son sperme couler le long de ma jambe. Il me retourne et mattire à lui pour me lécher la cuisse quand on entend klaxonner.
Je me lève dun bon et me dirige vers le lit en lui demandant de les faire patienter quelques minutes. Quand je me tourne vers la porte je le vois avancer mais je vois aussi mon sperme encore plus quitter ses fesses pour couler le long de sa jambe. Je lui précise quand même:
« Habilles toi avant douvrir la porte! »
Alors que je sens que son jus est déjà en dessous de mon genou. Jatt son string, je messuies avec et je le glisse dans mon sac.
Une fois que mes affaires sont prêtes, je minstalle dans mon fauteuil roulant et jappelle mon cousin. Nous nous embrassons une dernière fois tendrement et sans un mot il me pousse jusquau taxi ambulance. Une fois que je suis installé à lintérieur je lui dis que je lappelle en arrivant chez moi. Je le vois disparaitre plus nous roulons, la maison devient de plus en plus petite.
Je repense à ses vacances totalement inattendues et inédites et je me dis que la suite de ma convalescence risque dêtre plutôt calme à côté de ces derniers jours. Lavenir me prouvera que javais raison mais je ne me suis pas ennuyé pour autant et jai même eu de belles surprises, mais ça cest pour plus tard
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