Fantasmes Au Telephone


Après quelques mois, d'une relation intense avec Albert, ou j'avais pu gouter les plaisir d'un amant extraordinaire, monté comme un cheval, il avait décidé de se séparer de son associé pour monter sur Paris et se mettre à son compte en tant que coach sportif. Il avait crée son site internet en mettant en valeur son physique de noir hyper musclé. Nous continuions à échanger régulièrement par SMS, et j'avais prévu de lui faire une visite sur Paris. Il revenait de temps en temps sur la région et avait aussi conservé son appartement. Nous échangions aussi, sur un chat sur Internet, et après quelques semaines d’échanges électroniques, si au début de nos échanges étaient très soft et doux, au fil des jours et des semaines Albert me posait de plus en plus de questions très intimes sur mes relations avec mon mari, sur la teneur de mes fantasmes. Nous avions même eu plusieurs fois des chats très intimes, après lesquels je dois avouer, je m’étais masturbée. Albert avait une personnalité très forte et avait trouvé le moyen de me chauffer par ses textes et ses messages parfois doux ou parfois vulgaire sachant systématiquement m’emmener à son objectif. N'en pouvant plus je décidais de profiter d'une visite d'Albert pour déjeuner avec lui. Nous avions décidé d’une rencontre dans un lieu public, prétextant auprès de mon mari une visite chez mes parents qui habitait à loin de notre domicile. Albert ne m'ayant pas vu depuis plusieurs semaines il me scruta pendant plusieurs minutes avec beaucoup de gourmandise surement désireux de salir cette bourgeoise en chaleur devant lui. Nous parlâmes longuement de nos échanges sur Internet, et de la gêne et surprise que cela occasionnée. Au bout, d’une heure, Albert me demanda si nos échanges sur Internet ne m’avaient pas choqué. Je craignais la question, mais redoutais encore plus ma réponse, sachant que j’allais ouvrir la boite de pandore.

- Au début, si, je trouvais cela très gênant, mais après cela m’a excitée
- Excité, à quel point ? Jusqu'à te toucher ?
- Oui parfois je dois avouais-je me suis touchée pendant nos dialogues
- As tu éprouvé du plaisir ?
- Oui, c’était surprenant mais très bon

Je me sentais partir à nouveau, inondées de questions, indiscrète et rouge de honte de peur de découvrir que notre discussion pouvait être écoutée par une table voisine.



- Albert, partons j’ai l’impression que tout le monde nous écoute
- Viens, je t’emmène chez moi, ou es tu garé ?
- Ah non pas chez toi, ce ne serait pas décent

Malgré mes faibles protestations. Nous convinrent de se suivre en voiture jusqu'à chez lui. Je m’engageais alors dans le parking en dessous de son immeuble, et me garait sur un emplacement libre.

Quand je sortis de mon véhicule, il se tenait près de moi, se rapprochant de moi jusqu'à sentir son corps effleuré mon corps. Il me plaqua contre ma voiture, et m’embrassa avec passion. Sa langue força l’entrée de ma bouche, et nous échangèrent un baiser vigoureux Ses mains avaient remonté le long de mes cuisses redressant ma jupe, afin de divulguer mes portes jarretelles. D’autorité il baissa ma culotte, écarta mes cuisses et me pénétra de son sexe libéré. Il me souleva du sol maintenant mes cuisses au-dessus de sa taille, tout en gardant ses mains posées sur mes fesses. Sa langue toujours occupée à fouiller ma bouche, je ne pouvais émettre aucune protestation. Il me laboura méthodiquement ne me laissant pas reprendre mon souffle. Son sexe était immense et d’une raideur peu commune, je me sentais remplie, par quelque chose d’irréel. Quand enfin je pus reprendre mon souffle je lui dis :

- Albert non pas ici on va nous surprendre, emmène-moi chez toi vite

Il me prit par la main, et me traîna vers l’ascenseur. Une fois dans l’ascenseur. Il appuya sur le 4eme étage, mais arrivé au second il appuya sur le bouton stop. «Suces moi maintenant ». Il me prit par les cheveux et dirigea ma bouche vers son sexe, qu’il introduit dans ma bouche. « Vas y applique-toi, suce-moi comme on suce une bonne glace ». Je passai ma langue autour de son bâton de chair, compressant mes lèvres contre sa hampe, ou mordillant son gland. « C’est bien tu es une bonne petite butineuse, les bourgeoises comme toi sa adorent sucer des grosses queues de black comme la mienne ». La vulgarité de ses commentaires ne faisait que renforcer mon excitation.
Il enfonça son sexe entièrement dans ma bouche dont il se servit comme d’un sexe, me baisant la bouche tout en me maintenant par les cheveux, afin que je ne puisse refuser cette fellation. Pendant que je le suçais, il découvrit ma généreuse poitrine, devant laquelle il s’exclama admiratif. «Tes seins sont comme je les avais rêvées, gros et tellement appétissant, je veux que tu me branles la bitte avec. Je lui pris son sexe entre mes seins, et m’appliquai à le masturber. Au bout d’un certain temps il me releva et me dit «arrête on va finir chez moi ». Il relança l’ascenseur. Arrivé à l’appartement, je fus entraînée dans la le salon, et couchée sur le canapé. Sans aucune attente et préliminaire Albert me pénétra. Ma chatte était tellement humide, que je me retrouvais empalée sous mon amant sans aucune résistance. Il enchaîna des vas et vient rapide et lent, m’emmenant au bord de l’épuisement tellement ma jouissance était rapide et intense. Quel amant magnifique, il n’avait même pas besoin de me caresser pour éveiller mes sens, son énorme pieu dur comme de la pierre qui me labourait la chatte suffisait à me faire atteindre le septième ciel. J’étais couchée sous lui yeux fermés, l’imaginant me fixant du regard, de ses yeux troublants.

- T’as jamais était prise comme ça hein ?
- Ohhhh mon dieu c’est trop, tu me rends folle
- Regarde-moi, je veux te voir jouir, et le lire dans tes yeux

Il continua, remonta entièrement mes jambes au-dessus de ses épaules afin de mieux me pénétrer, tout en me maintenant par les hanches pour mieux coulisser au plus profond de mes entrailles. Mon souffle et mes cris s’accentuant, il sorti de sa poche ma culotte, dont il m’avait promptement débarrassé dans le parking pour me l’enfoncer dans la bouche. Il jouit une première fois au fond de moi. Ivre de désir et de fatigue, je pensais que c’était la fin, mais sans aucune pose il me retourna et pénétra à nouveau sa queue dans mon sexe, me prenant en levrette.
Son sexe était toujours aussi raide et me besognait toujours aussi fort. Une fois de plus il alterna les mouvements lents et les accélérations comme un exercice physique bien préparé. Il continua encore et encore, pour enfin sortir son sexe et se soulager en éjaculant sur mes fesses ; répandant son sperme sur ma croupe. Avec son sexe il étala les traînées de sperme, tapotant sa verge sur mon cul peut être pour me faire sentir la dureté de son appareil.

Je m’effondrai sur le canapé, épuisée, je sentais Albert couché derrière moi me caressant tendrement le corps. Quelques minutes passèrent sans bruit simplement nos souffles haletant. Je pris l’initiative, étant très en retard, je devais repartir immédiatement avant que mon mari ne s’inquiète.

- Tu sais, je ne veux pas que tu penses que me donner au premier inconnu est une habitude chez moi
- Je pense que j’ai vécu un moment merveilleux avec toi et que pour rien au monde je voudrais que cela change, même si je déménage tu resteras ma bourgeoise
- Merci, tu es si gentil. Tu sais, même s’il n’y a pas de lendemain à notre aventure du fait de l'éloignement tu m’as donné beaucoup de plaisir

Je me relevais du lit, et me rhabilla rapidement, remettant de l’ordre à mes affaires qui étaient froissées des caresses et nombreux attouchements de mon amant. Une fois habillées entièrement, et prête à partir, je regardais Albert encore nu sur le canapé qui était pensif. Je m’approchais de lui pour l’embrasser en guise d’adieu.

- Nous nous reverrons vraisemblablement pas avant longtemps… dis-je
- Oui je me doute, quel dommage, tu m’as procuré tellement de plaisir.
- Oui mais tu sais ce n’est pas possible, je refuse de vivre une histoire adultère avec mon Mari. Au-delà de mes fantasmes, Je l’aime et le respecte trop pour lui infliger cela.

Je me relevais et sortie, non sans m’apercevoir de la vigueur de son sexe. Albert me suivit, et une fois dans l’entrée, il m’attrapa par derrière et passa ses mais sur mes seins tout en m’embrassant dans le coup.
Il me maintenait fermement contre lui, me laissant sentir la raideur de son sexe. Il semblait infatigable.

- et bien puisque nous ne devons pas nous revoir, tu vas te donner à moi une dernière fois, et alors tu pourras partir
- Non Albert ce n’est pas possible, je suis attendue et mon Mari va s’inquiéter.
- Bien alors je te laisse lui téléphoner pour lui dire que tu seras en retard.
- Albert tu n’es pas raisonnable

Cependant la pression de ses mains de nouveau parcourant mon corps, et sa langue fouraillant mes oreilles ou me léchant le coup, m’excitait de nouveau, me remémorant tout le plaisir reçu, quand il m’avait 10 minutes auparavant pris de son sexe gluant.

- Allez prends ton téléphone et appelle ton Mari maintenant, dis-lui que tu es prise dans un bouchon, ou invente ce que tu veux, mais donne-moi encore 1 heure de ton temps, et après tu me reverras plus jamais.

Ne pouvant résister à ses caresses, j’empoignais mon téléphone et composais le numéro de mon mari.

- Allo chéri, c’est moi, écoute je suis bloqué sur l’autoroute, dans un gigantesque bouchon, toutes les voitures sont à l’arrêt, et je pense ne pas être à la maison avant 21 heure
- Mais à quelle heure es tu partis
- plus tard que prévu, j’ai rencontré une vielle copine quand j’ai fais le plein d’essence prés de chez me parents, et cela m’a mis terriblement en retard

Tout en discutant, Albert avait relevé ma jupe et me malaxait avec sa main le sexe, rendant la conversation très difficile. De son autre, main il me caressait à nouveau mes seins, me glissant à l’oreille

- T’aimes que je te tripote tes gros seins, hein ?
- Me que se passe t’il chérie, tu sembles essoufflée ?
- Non rien, c’est juste que l’attente est longue, et je me languis d’être à la maison
- Oui dis lui que tu veux qu’il te baise se soir quand tu rentreras.
- Moi aussi je me languis de toi, fais attention sur la route, mon cœur
- Allez dis lui que tu as envie qu’il te baise ce soir
- As tu eu une bonne journée chérie
- Oui épuisante, j’ai hâte que tu rentres

Albert m’avait pénétré de ses doigts et me dit :

- Dis que tu veux qu’il te baise ce soir, et raconte lui ce que je te fais
- Mon chéri j’espère que tu n’es pas trop fatigué, j’aurais peut être envie d’un câlin ce soir
- Mon amour pour te faire plaisir je ferais n’importe quoi, sexy comme tu étais ce matin, ce sera un plaisir Mais tu sembles pas dans ton état normal, ce souffle rauque que se passe t’il chérie
- L’idée que tu me fasses l’amour ce soir, m’excite, et je suis entrain de me caresser dans la voiture
- Ohh mais t’es une vrai cochonne toi, vas y je veux t’entendre jouir, passe ta main dans ta culotte et masturbes toi
- Ohh oui chéri vas y continue parles moi sa m’excite, je suis mis un doigt c’est trop bon
- Vas y salope branle toi la chatte, je suis entrain de me branler aussi
- Oui chéri c’est si bon, j’imagine que tu es derrière moi tes grosses mains sur mes seins que tu as découvert, ta queue est entrain de coulisser entre mes fesses prête à me pénétrer
- Tu rêves que je te pénètre mon gros dard dans ta petite chatte hein salope
- Oui je sens ton gland s’enfoncer en moi c’est si bon
- C’est ça continue à te branler, comme si je te ramonais à fond
- Ohhh t’as bite au fond de moi c’est si bon tu me laboures par derrière en me pelotant mes gros seins
- Oui cochonne continue c’est bon tu vas me faire jouir
- Tu as enfoncé ton gros dard dans ma chatte, et tu me laboures les reins ohhh j’en peux plu c’est trop bon
- Ouiiiii ca y est tu m’as fait jouir ohh c’est bon a ce soir et prépare toi à en prendre plein la culotte


Albert continua à me prendre par derrière debout dans l’entrée, c’était irréel et si bon, je me faisais prendre par mon amant et avait fait jouir mon mari au téléphone, je devenais folle de plaisir. Sentant sa jouissance proche, Albert me retourna et se masturba sous mes seins, avant de libérer une fois de plus des quantités de liquides incroyables, qu’il s’efforça de diriger vers ma bouche afin que j’avale sa semence.

- La prochaine fois qu'il va te baiser, je veux que tu te mettes sur le chat internet pendant qu'il te baise et que tu me racontes tout. Fais lui croire que c'est un fantasmes. Je lui fit la promesse, et comme promis une fois à la maison je retrouvais mon Mari qui pour le soir là avait fait preuve de beaucoup d’imagination.

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