Un Chaud Au Revoir
Tu es assise à côté de moi dans le salon. Tu me rends visite pour prendre de mes nouvelles. Il y a une semaine, nous avions décidé de mettre un terme à notre relation. Nous nous étions ensemble depuis la sortie du lycée, nous n'avons pourtant jamais vécu ensemble, tes convictions et ta famille d'en ayant empêché.
Jétais tombé sous ton charme. Tu nétais pas une bombe, mais tu mattirais. Blonde, le regard fier, de corpulence un peu forte, toujours bien habillée.
Nous avons eu notre première relation sexuelle ensemble. Le moment nétait pas inoubliable, il faut avouer. Cela na jamais été ça, dailleurs. Tu étais bloquée mentalement par tes convictions, qui voulaient que tu sois mariée pour pouvoir avoir des rapports avec un homme. Mais cela ne mavait pas trop dérangé, mes sentiments pour toi étant forts.
Une dizaine dannée après, nous voici arrivés à la fin.
Je t'offre un verre, nous discutons de tout et de rien. Il y a une sorte de gêne entre nous, je ne comprends pas trop la raison de ta visite.
L'heure passe et tu décides de rentrer chez toi. Tu te lèves, je te raccompagne. Arrivée dans le hall d'entrée, tu te retournes, tu me regardes dans les yeux, un regard que je n'avais encore jamais vu jusqu'à maintenant. Un regard contenant un mélange de tristesse, de questionnement, de désir.
Soudain, en une fraction de secondes, tu colles tes lèvres au miennes, ta langue vient chercher la mienne, je ne peux résister. Je sens comme un soulagement dans mon cur, jai envie de toi.
Pendant que nous nous embrassons comme jamais, je te plaque contre la porte d'entrée, ma main droite remonte ta hanche et arrive sur ta poitrine.
Tu arrêtes tout. Tu me fixes du regard, silencieuse. Comme si tu me demandais silencieusement si je voulais aller plus loin. Je tembrasse à nouveau en guise de réponse. L'excitation monte, nos souffles deviennent plus intenses.
Je n'en peux plus, je te fais pivoter et te dirige vers le couloir, toujours en t'embrassant.
Je libère enfin ta poitrine que je m'empresse de caresser. Je joue avec tes mamelons, dressés de désir, tu soupires. Tu retires mon dernier rempart à la nudité: mon boxer. Je bande comme un cerf, tu libères mon membre qui se dresse fièrement et qui touche ton bas ventre. J'abaisse son shorty, dévoilant ton pubis légèrement couvert de poils clairs, qui dégage une odeur qui ne peut cacher ton excitation. Mes doigts s'aventurent entre tes cuisses chaudes, en remontant jusqu'à sentir la moiteur de ton mont de vénus. Tu mouilles, tu mouilles tellement. Mes doigts glissent entre tes lèvres, tu gémis. Je joue avec ton clitoris, qui semble fort réceptif. Tu me regardes dans les yeux en soupirant et en te mordant la lèvre.
Tu me pousses sur le lit, je perds l'équilibre et me retrouve sur le dos. Tu montes sur le lit et à quatre pattes tu m'enjambes. Tu m'embrasses à nouveau, l'atmosphère est torride. Je sens une chaleur contre mon membre qui n'en peut plus: tu t'es assise sur moi, tu fais glisser ta vulve contre ma hampe pour t'exciter encore plus. A côté du bruit de nos souffles courts sajoute les petits bruits de ta cyprine qui afflue en abondance. J'en profite pour caresser tes seins avec mes deux mains.
Assez vite, tu te baisses vers moi, tu colles ton front contre le mien. Je sens ta main prendre mon pieu qui est prêt à exploser. Tu me fixes du regard. Je sens mon gland se placer à l'entrée de ton vagin.
Tu commences un va-et-vient sur moi, je me laisse faire, presque hypnotisé par les sensations que tu me procures. Tu joues avec ma queue, tu la fais coulisser partiellement en toi puis profondément. Tu sais quand l'instant fatidique arrive et quand comment adapter le rythme.
Tu m'embrasses goulument, mes mains sont sur tes seins, sur tes hanches. Je ne vais plus tenir longtemps, tu le sais.
Tu te redresses, tu te cambres, la vue est magnifique. Tu me fais entrer encore plus profond en toi, je n'en peux plus. Je donne un dernier coup de reins et me vide en toi. Cet orgasme est tellement violent. Tu jouis en même temps, je sens ton vagin ce serrer contre le mien.
Essoufflée, tu t'écroules sur moi, nous sommes haletants. Quelques minutes plus tard, nos corps se séparent.
Nous ne disons aucun mot, je pense que comme moi, tu te dis qu'il aura fallu que nous nous séparions pour vivre une expérience aussi intense.
Nous nous habillons et tu t'en vas après m'avoir jeté un dernier regard.
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