Collection Black. La Mauvaise Surprise (2/5)
Alors que jai crevé avec ma voiture à quelques mètres de chez moi, je vais chercher mon mari que je trouve dans une situation plus que gênante.
Il est en train de se faire sodomiser par son copain Adrien sur un transat dans le jardin.
Je fuis et je reviens vers ma voiture, mais il mest impossible de desserrer ma roue.
Dans le jardin derrière moi un homme me propose de maider et ce grand black dau moins deux mètres après me lavoir changé me permet de me laver les mains et aussi ma robe.
La maison est squattée. Il mentraîne dans la cuisine où il mordonne de me déshabiller.
Chose faite, je suis devant lui en soutien-gorge et petite culotte sur mes talons hauts. Mon black avec ses grands battoires frotte énergiquement ma robe sans grande efficacité sur la tache de graisse.
Il la rince et la place sur une corde qui traverse la pièce en hauteur.
Il ouvre un placard où lune des portes est à moitié dégondée.
Il sassoit sur la seule chaise de la cuisine.
- Viens manger, assieds-toi.
- Sur quelle chaise ? Vous êtes peu galant, laissez-moi masseoir et vous resterez debout.
- Si tu tassieds, je massoirai sur tes genoux, tu risques de souffrir, jai trouvé une seule chaise dans cette maison.
Il est devenu fou, il semble me montrer lendroit où il souhaite que je minstalle.
- Allez assieds toi, il y a assez de place. Dans mon pays, elles couraient pour venir sasseoir dessus.
Je massieds pour la première fois de ma vie sur les genoux dun homme autre que ceux de mon mari.
Jai failli dire mon pédé de mari.
- Aimes-tu le saucisson ?
Qui peut refuser du saucisson surtout que chez nous il est rare quon en trouve dans notre frigo pour éviter de manger trop de graisse et finir par avoir un gros-cul !
Il prend son grand couteau et en mentourant à hauteur de mon cou il commence à couper des tranches à dix centimètres de mes carotides.
Quand je disais que je vais finir découpée en morceaux, ce sera en rondelles !
- Tu as des jolis seins, regarde ma main les couvre intégralement.
Sans difficulté, il place sa main sur un sein, en tout bien tout honneur, car jai gardé mon soutien-gorge.
- Tu dois faire du 95 C ou D, cest plaisant par rapport aux jeunes filles de chez moi qui souvent ont au choix des ufs sur le plat ou des mamelles qui pendent après les nombreux s que je leur ai faits.
Le mouvement de mon corps le fait rire.
- Je rigole, je nai ni femmes, ni ni chien ou alors aucun ne ma été présenté. Arrête de bouger, il va y avoir un accident.
- Oui, je sens. Que marrive-t-il ? Je monte, jai gagné dix centimètres.
- Cest laccident, je commence à bander.
Avant que je n'aie le temps de me poser des questions sur ce quest laccident, il me prend sous les aisselles et sans forcer massoit sur la table.
- Là cest mieux, alors raconte-moi les soucis que tu as.
- Quels soucis ?
- Près de ta voiture lorsque je changeais ta roue lorsque tu as sali ta robe, tu parlais toute seule et tu as parlé dune journée de merde, je schématise.
- Oui, je viens de découvrir que mon mari est homosexuel.
- Cest un pédé ?
- Chez nous en France, on dit homosexuel, depuis quelques mois ils ont même le droit de se marier.
- Et cest pour cela que tes yeux fixent la bosse de mon pantalon ?
Laccident, cest cela, une fois quelle est sortie de sa torpeur, il est impossible quelle reprenne sa place sans ne rien faire.
- Regarde ton pantalon, il est tellement tendu quil est prêt à éclater.
- Veux-tu la voir ?
Avant que je naie répondu, il se soulève et fait glisser son pantalon plus bas que ses genoux et me montre une chose monstrueuse.
Trente à trente-cinq centimètres de long et un diamètre si gros que sans un mètre de couturière, il est impossible den donner le diamètre ou le pourtour.
La seule chose que je constate, cest comment ce monstre peut entrer dans le sexe dune femme sans la déformer à vie ?
- Prends-la en main, tu verras, elle va apprécier.
Subjuguée, je me penche, je suis son conseil et jai besoin de mes deux mains pour en faire le tour, le bout de mes doigts se chevauchant légèrement.
- Secoue là, que je décharge, il y a plus de trois semaines quelle se remplit.
En toute perte de lucidité, subjuguée, fascinée, je saute de la table pour enjamber cette monstruosité.
Après avoir écarté ma petite culotte, jouvre mes grandes lèvres et le laisse me pénétrer.
Il sent que ma culotte gêne.
Dun coup de main rapide, il la déchire comme avec un simple mouchoir en papier.
Un orgasme instantané irradie mon corps et cest dans un élan effréné que je lui prends la bouche.
Je lui donne ma bouche dans un baiser où sa langue à la proportion du reste de son corps vient presque m.
Que cest bon davoir mes chairs distendues par ce mandrin gigantesque.
Je suis sûre à la manière dont mes organes internes sont comprimés quil repousse mon col de lutérus.
Toujours aussi planté en moi, je suis dans limpossibilité de bouger, étant sur la pointe des pieds pour éviter quil entre encore de quatre à cinq centimètres
Il me saisit sous les bras et me fait monter et descendre.
Tout le temps où nous nous embrassons et quil me manuvre sur son pieu, mes orgasmes se succèdent presque lun après lautre.
Moi qui avec Antoine ai pour habitude de jouir une fois et après de rester sur cette houle agréable mais plate, mes sensations avec ce noir font le yoyo et dans les points hauts, je jouis.
Jarrose sa queue de sécrétions qui permettent quil me pénètre sans que jaie aucune douleur.
Sommet de cette première fois où une queue de ce diamètre me prend, le moment où il marrose lintérieur de ma chatte.
Cela me fait tourner de lil.
Quand je reviens à moi, je suis couchée dans une chambre sur un simple matelas, crade de chez crade.
Mon amant est près de moi et est allongé sur le côté.
Il me regarde intensément, avec sa main libre me caresse le front et les cheveux dans un geste qui me va droit au cur.
- Jespère que tu as apprécié et que ton vagin supporte ma verge.
- Cest incroyable, je viens de vivre le plus beau moment de ma vie.
- Des journées qui se commencent dans la merde quelquefois finissent de manière extraordinaire.
Je me souviens que dans un pays voisin du mien, alors qu'il était midi, je me suis fait cerner par dix ou douze rebelles.
Ils voulaient me faire la peau en attendant la nuit pour me porter lestocade.
Vers la tombée du jour les surs du couvent sont sorties en procession alors que jétais chargé de les protéger, me permettant de faire mouvement sans que mes adversaires ne me voient et ne les tuent avant quils ne me tuent.
- Tu les as tués ?
- Cétait eux ou moi.
- Non pas toi.
Ce cri du cur qui vient de monter de ma poitrine me fait prendre conscience de la grande place prise par celui qui vient de me baiser et bien baiser, oui je fus immensément bien baisée sans quà aucun moment nous sachions nos noms.
- Dis-moi ma belle, je connais ta chatte et tes seins et tu as oublié de te présenter.
- Toi non plus, tu mas enfilé ta bite et jignore, comment je dois tappeler.
Moi cest Alice.
- Alice au pays de ma merveille, je mappelle, Yemba pour te servir.
- Yemba, jaime bien, allonge-toi que je moccupe de toi, jai bien récupéré.
Une fois allongé, je prends sa barre dans ma main, un ou deux mouvements de branle et il bande de nouveau.
Dommage que cette verge soit à ma disposition pour peu de temps, car jen ferais bien mon ordinaire.
Si je suis prête à quitter Antoine pour une nouvelle aventure amoureuse, je me vois mal passer un moment de ma vie dans cette maison délabrée, sur un matelas immonde lorsque je le regarde.
Il faut avoir baroudé dans toute lAfrique, par tous les temps, et avoir couché dans des endroits pire que celui-ci pour pouvoir rester allongé pendant des jours sur cette immondice.
Présentement, ma bouche sapproche de ma monstruosité préférée et quoique je fasse partie de ces femmes qui peuvent louvrir très grande, je risque de rester les mâchoires bloquées pour quelle y pénètre.
Afin déviter ce risque, je me contente de la lécher comme je le ferais avec un cornet à glace.
Jinsiste sur le gland entrant même le bout de ma langue dans le méat de sa verge.
Lorsque sa tension est maximale, je le chevauche et essaye de lintroduire dans mon anus.
- Attention fillette aucune femme na réussi à se lintroduire alors je commence à tenir trop à toi pour prendre le moindre risque. Mets Yemba dans ta chatte, je vais te faire encore jouir, cest plus raisonnable.
- Dommage que nous soyons à des antipodes de pouvoir vivre ensemble, car je sais quun jour jy arriverais.
Je nai pas le temps de parler plus longtemps, car en messayant sur son sceptre royal, je dois me taire tellement, limpression de remplissage une fois de plus me fait suffoquer.
Il me semble que, plus on le fait et plus jaime le faire, je commence à prendre goût à mon homme des forêts africaines.
Je me demande comment je vais faire pour retrouver la petite bite de mon mari.
Si jacceptais de les prendre tous les deux en double vaginal, ils seraient loin du diamètre qui en ce moment me donne orgasme sur orgasmes.
Je suis devenue folle, je pense bite noire et je pense double péné avec les hommes qui mont trahie.
En sueur, crasseuse avec ce que mon corps a ramassé du matelas, je mendors dans ses bras plus que virils.
Dans la soirée il descend chercher le saucisson, seule nourriture quil ait à manger.
Qui dort dîne, mais qui baise à faim.
Cest lestomac dans les talons que je me réveille habituée à me lever de bonne heure.
Je récupère ma robe avec la tache qui a doublé et qui est froissée plus que de raison.
Le plus grave cest que les couleurs ont déteint et sont complètement délavées.
Je me galvanise, je vais à ma boulangerie à mi parcours des deux maisons.
Ma boulangère me regarde comme une martienne sortie du fond de sa galaxie, car elle ma toujours vu tirée à quatre épingles en allant à mon cabinet où je suis orthophoniste.
Mes croissants tout chauds en main, avec deux gobelets de café, je retourne dans le bon sens et je rejoins la cuisine de Yemba.
Lorsque jentre, il semble si content que je revienne quil me serre dans ses bras, écrasant les gobelets de café qui giclent sur ma robe, la massacrant définitivement.
Il me prend les croissants des mains et les pose sur la table.
- Jai eu peur que tu ne sois partie retrouver ta lopette de mari.
Il massoit sur la table, soulève ma robe ou du moins ce qui en reste constate que mon vagin est à nu.
Il avance sa bouche, avec ses grosses lèvres et sa grande langue.
Pour la première fois il me broute la chatte en sattardant longuement sur mon clitoris.
Le double effet lèvres et langue me font repartir, mais dans une jouissance plus diffuse que lorsquil me prend.
Malgré sa carrure, il me montre toute sa douceur dhomme aimant les femmes, car à aucun moment, il ne pense à lui et soccupe de mon seul plaisir.
Quand il juge que jai assez joui, il se relève, sassoit sur la chaise et je me rassieds sur ses genoux.
Je me garde bien de bouger, je me rappelle quil faut éviter de la réveiller.
Les croissants dévorés, le peu de café restant avalé, il me relève.
- Viens, suis-moi, emmène-moi chez toi
Corrigé avec la bienveillance dAnne ma muse.
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