Collection Black. La Mauvaise Surprise (3/5)

Après avoir passé la nuit sur un matelas crasseux du squat où habite Yemba, nous avons mangé des croissants et il a souhaité m’entraîner chez moi.
Chez moi où j'ai vu hier mon mari se faire sodomiser par notre copain.

- Laisse ta voiture, il m’est impossible d’entrer et surtout d’en sortir, j’aurais l’impression d’entrer dans une boîte de sardines.
Dépêche-toi, je veux éviter les contrôles de police, je risque l’expulsion en cas de contrôle.

Je marche aussi vite que je le peux au point de perdre l’équilibre.
Je trébuche sur mes hauts talons et quand Yemba me ratt, le bruit de ma robe se déchirant sur l’arrière montre pour ceux qui sont bien dans l’axe, une superbe vue sur mes fesses rebondies.
Mon amant enlève sa chemise et se met torse nu.
Il me la place autour de ma taille.
En l’enlevant, outre sa musculature impressionnante, c'est aussi le couteau dans son étui de cuir qui m’apparaît.
Un frisson traverse mon échine, de peur que les choses tournent mal une fois chez moi.

- J’ai vu que tu as regardé mon couteau, ton mec peut dormir tranquille, il sert seulement à faire peur ou à couper du saucisson comme hier au soir ou cette nuit.

J’entre, Antoine est absent.

- Je monte prendre une douche et changer de robe, j’en ai bien besoin.
- Je peux aller dans la cuisine ?
Je vais regarder ce que tu as dans le frigo, je suis un putain de cuisinier.
- J’aimerais que chez moi, tu restes poli.
- C’est drôle l’intonation que tu viens de prendre, elle me rappelle celle de la jolie pétasse qui m’a demandé de lui changer sa roue !
Je croyais que les choses avaient évolué dans ma maison !
Tu retrouves ton luxe et Yemba redevient un black comme un autre.
- Espèce d’idiot, je crois qu’hier et cette nuit ta couleur de peau n’avait aucune importance pour moi.

Pour calmer le jeu car il est vrai que je lui ai parlé un peu sèchement, je le prends dans mes bras sans arriver à faire le tour de sa taille.


Je pose ma tête sur sa poitrine les yeux levés vers lui, je lui tends ma bouche qui nous réconcilier.

- Va te laver, tu schlingues.
- Tu parles toujours comme cela aux dames ?
- Dégage sinon je te fesse.

Vu ses mains baladeuses et vu le cul que j’ai à l’air, ayant récupéré sa chemise dès que nous sommes entrés dans le séjour, la claque qu’il me donne me dissuade de discuter plus longtemps.
Je suis restée une demi-heure absente, car j’ai fait couler l’eau longuement sur mon corps et après un coup de sèche-cheveux, lorsque je redescends une surprise s’offre à mes yeux.

- Alice, qui est ce gorille qui vient de m’attacher.
- Mon amant, il m’a baisé toute la nuit comme une bête, ma chatte a été à la fête plusieurs fois, il est monté comme un taureau.
- Demande-lui de me libérer, il refuse de me dire un mot et pourquoi il m’a agressé.

Il est vrai qu’il a attaché les jambes d’Antoine avec les cordages du rideau qu’il a dû couper avec sa lame.
Je vois Yemba venir près de mon mari et récupérer le téléphone qui dépasse de sa poche de chemise.

- Appelle ton pote, tu sais celui qui hier te sodomisait dans le jardin.
- Vous nous avez vus ?
- Non, c’est moi, je suis revenue, car ma voiture avait crevé à deux kilomètres d’ici.
Tu étais avec Adrien, j’ai tout entendu et surtout vu lorsque tu t’es positionné pour qu’il t’enfile.
- On arrête de le faire, je te le promets, c’est toi que j’aime.
- Je ne le redirai surtout pas deux fois, appelle-le !

Antoine compose le numéro avec ses mains-libres.

- Viens vite, il y a un problème.

Antoine est assis sur le canapé et mon beau black s’est installé dans le fauteuil en face de lui.
Je m’assieds sur le large accoudoir.
Négligemment il me passe sa main sur une cuisse remontant jusqu’à ma petite chatte, mais tout de suite redescendant car on attend Adrien.


Il arrive quelques minutes plus tard et Yemba se lève pour l’accueillir.
Avant qu’il ne comprenne ce qui lui arrive, il est attaché à côté de son amant.
Yemba en profite pour leur attacher les mains ensemble, la ficelle lui restant étant trop courte.

- Bien, Alice m’a expliqué que vous avez envisagé un ménage à trois et pour finir emmener celle qui serait devenue votre femme à tous les deux se faire enfiler dans des boîtes libertines.
La boîte libertine vient de venir à vous, vous allez pouvoir vous éclater en nous regardant faire l’amour si cette jolie dame est d’accord bien sûr et mon petit doigt me dit qu’elle va dire oui.
- Oui, deux fois oui.

Je m’assieds sur ses genoux et nous nous embrassons goulûment, ma langue reprend sa place dans sa bouche et avec l’habitude prise, sans m’.
À ce petit jeu, j’oublie complètement la présence de mon mari et de son copain pour me jeter dans les bras de celui dont j’aurais du mal à me passer.
En me tortillant je fais démarrer le processus irréversible et comme hier je monte de quelques bons centimètres.
Je me glisse jusqu’à être à genoux devant la hampe qui se pointe vers le ciel dès que je la dégage de son pantalon.

- Alice place-toi un peu sur le côté pour que nos invités profitent pleinement de tes prouesses sexuelles, si tu les voyais, ils sont fascinés par ta langue montante et descendante sur ma bite.

Ce qu’il oublie, c’est que sur le côté, dès que je me déplace, mon regard se porte sur la glace qui me permet de voir les deux garçons recroquevillés dans les bras l’un de l’autre avec Antoine fermant les yeux.
J’espère qu’en plus d’être homosexuel, ses tendances naturelles l’entraînent à être raciste et voir un noir se faire sucer par sa femme, le touche énormément.

Son manche est maintenant bien tendu comme j’aime qu’il le soit.
Je me relève soulève ma jupe, je me retourne et d’une seule poussée vers le bas, j’écarte mon string que j’ai remis pour le ficher en moi.


- Attends, je t’enlève ça, ces messieurs verront mieux.

Il empoigne ma culotte la tire et la déchire.
Soit j’arrête d’en porter soit mon bel amant va me coûter une fortune, c’est déjà la deuxième qu’il massacre un de mes sous-vêtement.
Libérée, je le laisse me pénétrer, retrouvant les sensations de la veille sous un angle de pénétration différent.

- Antoine arrête de faire ta chochotte, regarde comme ta femme aime les bites d’autres hommes en elle, c’est bien ce que tu voulais voir ?
Tu as raison, tu évites de répondre, tu as de la chance que le plaisir de ma petite femelle prime sur la paire de baffes que tu mérites.
Je sens au bout de ma queue son intimité frémir, je suis sûr que ce sera la première fois que tu la verras jouir aussi fort.

Il est désuet de parler de jouissance.
J’hésite à croire que c’est parce que l’on me regarde me faire baiser, mais l’orgasme qui me traverse me fait pousser des cris de louve satisfaite de s’envoyer en l’air, sans aucune retenue surtout au moment où une nouvelle fois il se déverse en moi.
Je sens ses giclées qui réchauffent mon vagin.

- Tu es content Antoine, ta femme vient de prendre le pied de sa vie.
Cœur, as-tu un appareil photo ?
- Oui, un numérique, il est dans la chambre, je vais le chercher.

En lui disant cela, je me sors de sa queue et avant que ma robe redescende, je sens le sperme de mon amant couler le long de mes cuisses.
Antoine qui a les yeux écarquillés doit voir ce liquide couler en grande quantité.
Je ne fais rien pour le cacher.

- Yemba, soit gentil avec les messieurs, je crois que mon mari a moyennement apprécié que tu me baises. Il est capable lorsque nous le libérerons d’aller porter plainte au commissariat pour viole d’un S.D.F. sans papier envers sa femme.
- Que diras-tu au policier ?
- Cela dépendra de ta gentillesse d’ici là.

J’ai toujours en vue la sodomie espérée, rêvée que me ferait Yemba.

Mais je me sauve, car il me montre une nouvelle fois ses grands battoirs et il est inconcevable que je donne des arguments aux deux hommes pour détruire mon copain.

Lorsque je suis de retour, il s’approche des deux hommes et les détache.
Le fauteuil où nous venons de copuler a été retourné.

- Alice mets toi à quatre pattes sur le fauteuil.
Mes amis, après vous avoir donné du spectacle, c’est à vous de nous faire voir ce que vous savez faire, commencez par vous déshabiller et de vous branler, on verra la suite après.
Pendant ce temps-là, chaque fois que vous tournerez la tête, vous admirerez celle que vous souhaitez soumise à votre bon plaisir.
Pour le moment elle est soumise au mien du moins, j’en suis persuadée.

Ma réaction est immédiate, je lui saute au cou et je recommence à lui sucer la langue.

- Tu veux tenter l’anal mon cœur, j’arrête si tu me dis que je te fais souffrir.
- Antoine a de la vaseline dans le tiroir de sa table de nuit, je monte la chercher.

Tiens, je ne m’étais jamais posé la question pourquoi ce tube, depuis hier j’ai ma réponse !
Aucune appréhension à ce qu’il va me faire, c’est en courant que je monte et descends l’escalier.
Lorsque j’arrive près de lui, les deux garçons masturbent chacun la verge de l’autre.
Des flashs crépitent, Yemba les prend en photo.

- Messieurs la branlette, c’est bien, voyons voir la fellation, sucez-vous…

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