Escapade Hongroise
Jétais à Vienne depuis quelques jours.
En Autriche, pas en Isère ! Je ne fais pas les choses à moitié.
Cétait pour le boulot, je travaillais sur le rachat dune société autrichienne par un des clients du cabinet.
Mon contact à Vienne était une jeune avocate prénommée Bianca. On mavait adjoint Bianca, parce quelle parlait parfaitement le français, et moi pas du tout lallemand.
Avec Bianca, javais tiré le gros lot. Bianca était très pro, mais elle avait surtout pour elle une superbe plastique. Imaginez une blonde, grande, des seins plus que volumineux, une paire de fesses dans la même catégorie. Tout pour plaire, quoi. Mais, attention, je nallais faire la moindre allusion, trop peur de faire capoter laffaire. Sérieuse de chez sérieuse, appliquée, concentrée, professionnelle, jusquau bout des ongles
Faut dire laffaire était importante pour le cabinet.
Par contre, je ne me gênais pas pour reluquer ses formes. Je vais même vous avouez que le premier soir seule dans ma chambre dhôtel, dans mon bain, je me suis imaginée être en sa compagnie. Ma main sest glissée sous leau entre mes jambes
Mais seulement en rêve
Je me contentais de profiter des formes avenantes de Bianca au bureau. De plus, elle portait toujours des vêtements qui les mettaient en valeur ces fameuses formes : tailleurs, pantalons moulants petits pulls échancrés
Ah la la ! Les décolletées de Bianca !!!! Les cuisses de Bianca !!!! Tout pour ne pas arranger les choses !
En clair, je fantasmais comme une malade sur Bianca et sur son corps !
Après trois jours, nous avions bien avancé sur le dossier. Bianca mannonça juste (avec son charmant petit accent germanique), au moment où jallais rejoindre mon hôtel :
- Laetitia, nous avons presque terminé. Par contre, la société de notre client possède une filiale en Hongrie.
- En Hongrie ?
- Oui à Budapest, ça serait mieux que vous alliez là-bas.
- Bon, en effet cest mieux que jaille là-bas, je consulte les documents et jinclus le tout au dossier final
- Je vous réserve une chambre dans un hôtel du centre-ville et une voiture pour demain matin
- Bon
- Votre contact là-bas, sappelle Piotr
- Piotr ? tout un programme !
Le lendemain matin, Bianca mattend sur le parking de la société devant une Mercedes sombre.
- Mazette, ils ny vont pas avec le dos de la cuillère ! Une Mercedes ! Et pas une petite ! Rien que pour moi, me dis-je intérieurement.
Je minstalle sur le siège conducteur en cuir haut de gamme, Bianca ouvre la portière côté passager :
- Vous maccompagnez Bianca ?
- Non Laetitia, je vais juste vous régler le GPS, cest en allemand, jentre votre destination et je change la langue
Et voilà Bianca qui se met à quatre pattes sur le siège passager et qui commence à régler le GPS.
Javais une vue, à la fois sur son décolleté qui laissait voir la dentelle de son soutien-gorge noir et sur ses fesses serrées dans sa jupe qui remontait haut sur ses cuisses. Un véritable appel au sexe, comment voulez-vous que je résiste moi ! Elle est folle de me montrer tout ça elle ! Je faisais des efforts de malade depuis mon arrivée à Vienne, et lautre qui prend de poses complètement suggestives. Javoue que jai serré fort le volant entre mes mains :
- Moi aussi jai très envie de te changer la langue ma petite Bianca, pensais-je
Ou bien encore :
- Ces superbes sièges en cuir sont surement très confortables à larrière, essayons les ma petite Bianca, là tout de suite sur ce parking ! et tant pis si des voyeurs nous regardent
Mais je suis forte, très forte, je me suis e à regarder ailleurs
Jai chaussé mes lunettes noires et jai regardé droit devant moi.
Après les dernières recommandations de Bianca, je me suis laissée guidée par le GPS vers lauto-bahn, direction la frontière entre lAutriche et la Hongrie.
Il faisait beau, après avoir cherché un peu, jai trouvé une station de radio qui passait de la musique internationale.
Après une heure de route, je suis arrivée au poste frontière. Côté autrichien, personne, côté hongrois, juste un douanier sur le bord de la route qui me fait signe davancer.
Me voilà en Hongrie
Quelques kilomètres plus loin, un panneau mannonce que la voie se rétrécie, on passe de deux voies à une seule. La circulation plutôt fluide nest pas arrêtée par le rétrécissement. On avance juste au ralenti.
- Surement des travaux me dis-je
Mais non, des quilles sur la route forment une chicane, la circulation bascule de la voie de droite à la voie de gauche, et se rétrécie encore un peu. Les voiture on juste la largeur pour passer au ralenti.
De chaque côté de la route deux motards de la police se tiennent et observent attentivement les voiture qui passe devant eux. Leurs motos sont garées juste à côté.
En mapprochant, je maperçois que ce ne sont pas des motards, mais des motardes. Une brune et une blonde, coiffées avec des queues de cheval, les mains sur les hanches. Elles sont sexy avec leurs uniformes, chemise bleues clairs, cravates noires, pantalon bleus marine très serrés et bottes de cuir de moto. Au moment où je passe à leur niveau, la brune sur le côté gauche, me fait signe de la main de marrêter, puis de baisser ma vitre. Surement quelle veut voir ce qui se passe derrière les vitres teintées de la Mercedes.
Elle se penche vers la portière, jette un il sur moi, puis sur le reste de lhabitacle de la voiture. Elle a lair très jolie, malgré le fait que je ne vois pas ses yeux, cachés derrière les verres miroir de ses lunettes de soleil.
Elle me fait signe du menton davancer.
Jai retrouvé mon rythme de croisière sur lautoroute hongroise. Lintersection vers Budapest est à quelques kilomètres, lorsque japerçois dans mon rétroviseur les deux motardes derrière moi. Enfin, je suppose quil sagit de mes deux motardes. La première moto me double et vient se placer devant la Mercedes. Lautre reste derrière. Il sagit bien de mes deux motardes. Même si, elles ont mis leurs casques et leurs blousons de cuir, je reconnais, bien les formes féminines de mes policières.
Celle de devant me fait signe de la main de bifurquer vers la sortie suivante. Bon, quest-ce que jai fait ? Jai pourtant respecté scrupuleusement la vitesse ! Jai mis mon clignotant quand il fallait ! Surement un contrôle ! Je suis immatriculée en Autriche, elles veulent voir mes papiers. Je ne parle pas un mot de hongrois, à peine allemand, ça va être pratique cette histoire !!
La motarde de tête me fait signe de la main de tourner à droite à lintersection au bout de la voie de sortie, puis au carrefour suivant vers une petite route qui nous amène devant ce qui semble être un poste de police, qui surplombe lautoroute.
Ce qui semble seulement ! Parce que ça semble désaffecté !
Cest quoi cette histoire ? Les deux motardes sarrêtent sur le parking désert. Elles mettent la béquille de leurs motos, enjambent leurs engins et sapprochent de ma voiture. Je baisse la vitre. Elles enlèvent leurs casques en sapprochant, nonchalamment de moi.
La brune se penche et me dit, dun ton sec (une main qui réajuste ses lunettes miroir, lautre posée sur le revolver à sa ceinture) :
- Utlevél !
- Pardon ?
- Passport !!
Je fouille dans mon sac à main posé sur le siège passager, fébrilement.
Je lui tends mon passeport, elle louvre, le montre à sa copine, enfin à lautre policière :
- Francia ?
- Euh, oui française
- La ti tia épelle la blonde qui a maintenant mon passeport entre les mains
- Létisssia
- What ?
- Ça se prononce Lé ti ssia
- Létissia
Ce nest pas gagné
- Létissia Mareussac
- Euh, oui
- Get out of the car, me fait la brune de son ton autoritaire.
je descende, quel temps perdu encore
- Come on, me dit-elle en mattirant par le bras et en mattirant vers le bâtiment.
Me voilà en état darrestation ! Jai rien fait, elles ne peuvent pas grand-chose, mais enfin, je ne vais pas faire la maligne, histoire de ne pas les énerver et de ne pas perdre trop de temps.
La blonde est passée devant. Je profite du spectacle de ses fesses qui se balancent, serrées dans son pantalon.
Arrivée devant la porte de ce qui ressemble à un poste de police de lautoroute désaffecté, elle sort un trousseau de clé et ouvre la porte. La brune est toujours à côté de moi sur le perron. Des fois que je menfuis ! On ne sait jamais
En effet, à lintérieur cest désert, un couloir vide nous entraine vers une pièce vide aussi, hormis un bureau, une chaise et un ordinateur. Les volets sont clos, pour éclairer, on a juste une ampoule qui pend du plafond. Hormis ce bureau, cest vide, poussiéreux et triste.
La brune, sinstalle sur la chaise derrière le bureau. Elle me fait signe de rester debout devant le bureau :
- De toute façon, où veux-tu que je masseye ma grande, il ny a pas dautre siège !
Oui, enfin ça, je me le dis intérieurement, on ne va pas faire la maligne. La brune na pas lair de rigoler
Elle allume lordinateur. Vu lâge que semble avoir lengin, ça va prendre une plombe rien que pour le démarrer !
La blonde sest assise, une fesse sur le bord du bureau. Elle me regarde en souriant :
- Lé ti ssia Mareussac
- Euh, oui
Elles vont me faire le coup de la gentille flic et de la méchante flic ? On nest pas dans une série US, on est dans un poste de police de lautoroute hongrois désaffecté.
Enfin, lordinateur semble avoir démarré dans un bruit de casserole. Jentends les doigts de la brune taper sur les touches du clavier, un coup plus sec sur ce qui doit être la touche « entrée » en fin de saisie. Elle regarde lécran et dit à la blonde, une phrase en hongrois que je ne comprends pas du tout. La blonde rigole et approuve. La brune a repris sa saisie, toujours aussi nerveuse sur les touches.
La blonde sest levée et approchée, elle tourne autour de moi et semble mobserver de haut en bas, comme si elle me soupesait. Elle est maintenant derrière moi. Je sens son regard sur mon postérieur.
- Quest-ce que cest que ça ? me dis-je
Dun coup sec, elle me tire les bras derrière le dos, sert mes poignets lun contre lautre. Je sens quelque chose de métallique senrouler autour de mes poignets, puis un clac. Elle vient de ma passer ses menottes. Quest-ce quelles font ? Elles sont folles ! Jai rien fait et me voilà en état darrestation !
Cest un peu plus quune arrestation ! La blonde se colle à moi, dans mon dos. Je sens sa tête contre mon épaule, sa joue contre ma joue. Mes mains menottées sont serrées entre mes reins et son ventre.
Même si je nen mène pas large, ne sachant pas vraiment ce qui allait marriver, lérotisme de la situation ne méchappe pas.
Je sens le souffle chaud de la blonde contre ma joue, elle écarte mes cheveux et passe sa langue sur le lobe de mon oreille, puis le gobe et le suce, lobe et boucle doreille incluse.
Cette fois, je sens, que la situation commence à mexciter sérieusement. Encore anxieuse, la situation nétant pas complètement claires, je sens tout de même mon entrejambe shumidifier légèrement.
Je ne sais pas trop quoi faire : protester pour la forme, mais attendre la suite ? Protester pour de vrai ? Me taire ?
La blonde me lèche maintenant le cou. Elle a écarté le haut de mon tailleur gris, et ses doigts cherchent les boutons de mon chemisier blanc. Elle trouve le premier, puis le deuxième, enfin le troisième, sa main glisse vers ma poitrine, empaume mon seins droit et le masse à travers mon soutien-gorge.
Ses doigts se glissent sous la dentelle du bonnet vers mon mamelon qui est maintenant tout dur. Elle le pince légèrement. Pas trop méchamment, mais suffisamment pour me tirer un petit gémissement. Cest autant la surprise que la douleur qui me fait crier :
- Chuuutttt, me fait-elle en posant un doigt sur mes lèvres
Sa langue court maintenant sur mon épaule, quelle a dénudée. Ses doigts sont partis à lassaut des derniers boutons de mon chemisier. Elle les ouvre et découvre mon ventre. Elle le caresse, ce qui a leffet immédiat de me donner la chair de poule. Toujours derrière moi, ses lèvres embrassent les miennes de biais, puis elle entre sa langue dans ma bouche. De côté, elle ny arrive aps complètement, je sors donc la mienne pour aller à la rencontre de la sienne et lui faciliter la tâche.
Mes mains toujours menottées et prisonnières de nos deux corps, lui caressent tout de même le ventre, jarrive même a glisser mes doigts vers la boucle de son ceinturon et même un peu plus bas.
Obnubilée par la blonde qui me pelote le ventre, puis maintenant le bas-ventre à travers ma jupe, tout en enroulant sa langue autour d la mienne, jen ai oublié la brune. Je tourne le regard vers elle.
Elle est toujours derrière son bureau. Mais, elle sest mise à laise. Elle a les deux pieds sur le plateau, le pantalon de moto baissé jusquau genou. Elle écarte les cuisses autant que son pantalon serré lui permet et se caresse lentre-jambe, la main glissée dans un string en dentelles noires. Elle a desserré sa cravate, ouvert sa chemise bleue, et sorti un sein de son soutien-gorge. De son autre main, elle agasse son téton. Elle a des seins magnifiques, volumineux (mais ça je lavais remarqué depuis que je lavais vue au bord de la route), avec de grosses auréoles sombres qui tranchent avec sa peau pâle, et des tétons de taille plus que respectable.
La blonde entreprend de relever ma jupe sur mes cuisses, jusquà ma taille. Elle se baisse pour caresser mes cuisses autour du liseré de dentelle de mes bas auto-fixants, remonte sur ma peau à lintérieur de mes cuisses, caresse mon sexe dabord à travers le mince tissu de mon string, puis glisse un doigt, puis deux sous le dit mince tissu.
Cette fois, mes gémissements ne sont dus, ni à la surprise ni à la douleur. Un de ces doigts après avoir rapidement cherché, entre dans mon vagin. Elle me branle rapidement, enfonçant son doigt de plus en plus loin.
La brune fait le tour du bureau. Son pantalon serré milieu de ses cuisses, qua rejoint maintenant son string, lempêche de faire des grands pas, elle glisse plus sur le sol, quelle ne marche. Elle vient se mettre devant le bureau et sest appuyé sur le plateau pour se caresser fébrilement.
La blonde sest décollée de moi, et est en train de baisser la fermeture éclair de ma jupe pour la faire tomber sur le sol. Elle fait maintenant glisser mon string sur mes cuisses, puis sur mes mollets. Je lève un pied puis lautre, pour quelle menlève le sous-vêtement. Je suis maintenant presque nue. Il me reste mon chemisier et la veste de mon tailleur, ouverts. Impossible de me les enlever, puisque je suis toujours menottée, mais ils sont largement ouverts et mes épaules ont été dénudée. Il me reste aussi mes bas et mes escarpins. Le sol en carrelage étant dune propreté douteuse, sest aussi bien !
La brune dit quelque chose en hongrois à sa copine. La blonde rigole, se baisse, ramasse mon string et le lance à la brune qui latt au vol.
Elle le porte à son nez et je lentends fortement respirer et humer le tissu.
La brune se redresse mon string à la main. Elle est devant moi maintenant. Elle tient mon string des deux mains au niveau de son visage. Elle tire et écarte au maximum mon sous-vêtement. Elle va me le péter cette conne !
Elle sapproche encore de moi. La blonde sest reculée. Elle passe mon string autour de ma gorge, fait le tour de mon cou et sert. Cétait donc pour ça quelle la tendu à ce point-là.
Elle se retourne et séloigne vers une porte au fond de la pièce en me tirant par le string autour de ma gorge. Elle lance un ordre dun ton sec. Un ordre du style « viens » ou suis moi », avec surement un mot du genre « conasse » ou « pétasse » à la fin, enfin un mot en asse, mais en hongrois !!!! je ne saurais pas vous en dire plus
Je la suis, cassée en deux. Elle piétine toujours, plus quelle ne marche du fait du pantalon et du string baissé sur ses cuisses. Jai le visage au niveau de son cul : joli spectacle, ma foi.
La blonde suit en rigolant.
La pièce, où elles mentrainent est vide, hormis un lit à barreaux en ferraille avec un matelas sur le sommier et une petite commode bancale. Rien dautre, les volets, sont aussi clos et la lumière blafarde de lampoule qui pend du plafond éclaire à peine la pièce. Ça sent le renfermé.
La blonde, ouvre la fenêtre, puis les volets, en disant un truc en hongrois du genre « au moins comme ça, on la voit mieux cette salope ». Ca fait marrer la brune. Moi lhumour hongrois me laisse de marbre, où peut être que je nen saisie pas toute la finesse, va savoir !
La brune, qui doit être la plus gradée des deux, me lâche enfin et sest assise sur le lit. Elle dit quelque chose à la blonde qui sapproche de moi, et môte les menottes. Ouf, je masse mes poignets endoloris. Elle tire ma veste et mon chemisier vers le bas pour me dénuder le haut du corps. Elle retourne les manches et tire sur les poignets pour les faire sortir. Doucement ! Cest pas de la gnognotte, cest du Balenciaga !
La brune me donne un nouvel ordre. Comme je ne comprends pas, elle désigne ses bottes. Bon, je dois lui enlever les bottes, daccord. Je magenouille devant elle. Elle tend une de ses jambes, je tire sur la botte. Ca a du mal à venir, mais à force de tirer, elle sort. Même chose pour lautre. Je comprends que je dois continuer. Je tire sur son pantalon de moto puis jenlève son string. Pendant ce temps-là, elle a enlevé sa cravate et sa chemise. Elle na plus que son soutien-gorge. Je vais me faire le plaisir de la devancer et de passer mes mains dans son dos à la recherche de lagrafe qui le tient. Je libère ses deux magnifiques seins. Elle est totalement nue devant moi. Ses seins, jen ai déjà parlé, superbes. Son ventre est plat et son pubis est glabre.
Je me suis retournée pour voir ce que faisait la blonde. Elle sest aussi mise nue. Sa poitrine est aussi très jolie, fièrement dressée. Son pubis, quant à lui est agrémenté dun mince duvet blond. Jaime bien aussi !
La brune, prend mon visage, le tourne vers elle et membrasse, puis me glisse sa langue dans la bouche. La blonde sest approchée de nous sur le côté et a sorti sa langue qui rejoint les nôtres. Nos trois langues se titillent. Jai une main qui pétrit chacun de mes seins, surement que les deux mimines ont deux propriétaires différentes. Pour ma part, je flatte le cul de la blonde et de lautre main, lentre-jambe de la brune. Elle est toute mouillée la pimbêche !!
La brune sécarte, et me dit une nouvelle phrase que je ne comprends toujours pas. Elle se lève et montre le sol du doigt. Je crois comprendre quil faut que je me mette à quatre pattes devant le lit. Je mexécute. Javais bon ! Cest ce quelle voulait apparemment.
Me voici à quatre pattes devant la brune, devant moi. Je suis toute surprise, quand la blonde vient se mettre dans la même position que moi sa hanche contre la mienne.
La brune fait le tour, se positionne accroupie derrière nous et clac, une grande claque sur la fesse me surprend. Puis jentends que la blonde serrée contre moi subit le même sort.
La fessée ! Jadore ça. Une fessée collective, encore meilleur. Les claques se succèdent, alternativement sur mon cul puis sur celui la blonde. Nos visages sont près lun de lautre, elle me sourit, puis sert les lèvres en poussant un petit « oooohhhh » quand cest son tour de recevoir.
Après une quinzaine de claques chacune, la dernière plus accentuée, la brune se relève. La blonde aussi, je vois ses fesses toutes rouges. Les miennes doivent être dans le même état. La brune sest mise de dos a posé ses mains sur le mur et a prononcé une nouvelle phrase en hongrois. Ses fesses ont tendues, les cuisses légèrement écartées.
La blonde se dirige vers elle et me fait signe de la suivre en passant devant moi.
Je comprends que ça ca être à nous, les deux blondes de fesser la brune.
Nous nous positionnons derrière elle et chacune sur une fesse nous frappons.
Manifestement, la brune prend son pied. Elle dit à nouveau un truc en hongrois et rajoute pour moi « more strong ». Plus fort ? OK ma puce, à ton service. Même si en général, je préfère recevoir que donner, ça ne me gêne pas de frapper plus fort le cul de la pimbêche, qui rosit, puis rougit sous leffet de la fessée.
- Its OK, dit la brune, mais cette fois de manière moins sèche.
Elle a son compte ?
Elle est toujours appuyée sur le mur, les fesses surement en feu. Cest vrai quavec sa copine, on ny est pas allées de mains mortes.
La brune reprend son souffle, se redresse et se dirige vers le lit sur lequel elle sallonge sur le dos, elle me fait signe de la rejoindre. Elle écarte ses cuisses et les relève. Je comprends bien où elle veut en venir. Elle veut que je lui lèche le minou.
Je maccroupie entre ses cuisses, les écartent un peu plus et baisse ma bouche vers son pubis, Je lembrasse dabord, puis descend ma langue vers le bas, écarte légèrement ses lèvres avec deux doigt pour découvrir son clito, afin denrouler ma langue autour.
Elle dégouline littéralement, la fessée lui a fait un effet du tonnerre et la mise dans tous ses états.
Là, je me fais un petit plaisir et je traite la pimbêche de salope, avant de reposer ma langue sur ses lèvres intimes et de déguster lentrée de son vagin, puis son illet un peu plus bas. Je remonte et introduit le bout de ma langue dans son vagin ouvert tout en pressant son clito de mon pouce.
La blonde, que javais perdu de vue, vient sest agenouillée derrière moi et a passer une main entre mes fesses et ma mis deux doigts dans le vagin. Après mavoir masturbée un moment, elle mécarte et me fait comprendre quelle veut ma place pour lécher sa copine sa son tour.
Je laisse ma place avec regret et vais mallonger sur le lit près de la brune. Ma langue parcours son ventre, puis remonte sur ses seins que je tête lun après lautre. Je remonte mon visage vers celui de la brune déformée par le plaisir. Je vais pour lembrasser, mais elle me devance et lèche ma joue, le tour de ma bouche, puis mes lèvres, humides de sa cyprine. Faut dire que la belle brune est du genre grosse mouilleuse et jen ai partout. Enfin elle glisse sa langue contre la mienne et nous nous embrassons.
Je la repousse, lenjambe, maccroupie au-dessus delle et pose mon sexe sur son visage. Je sens tout de suite sa langue fouler mon intimité.
La blonde, surement un peu frustrée de donner et de ne rien recevoir se redresse et me fait signe de mallonger sur le matelas, elle dirige mon bassin vers le visage de la brune, qui reprend ses léchouillages aussitôt. La blonde sallonge, visage sur lentrejambe de la brune, et son sexe près de mon visage. Nous formons ainsi un cercle amoureux, ou peut-être était-ce un triangle, je ne me souviens plus trop. La brune soccupe de moi, la blonde de sa copine et moi de la blonde.
La brune est la première à jouir. Elle a un orgasme bruyant, je la suis de près. La blonde entrée la dernière dans la danse, est plus longue à venir. Je lui glisse un doigt entre les fesses, pour accen mes coups de langue sur son vagin et sur son clito. Elle jouit à son tour, plus en gloussements quen cris comme sa copine brune.
Nous restons ainsi, sas bouger quelques secondes pour récupérer, repues de sexe toutes les trois.
La blonde se relève, la brune la suit, mais avant de se lever, elle me caresse les cheveux et dépose un baiser sur mon front !! Une pimbêche au cur tendre !! On aura tout vu.
Elle se redresse, sapproche de sa copine et je me régale du spectacle de mes deux fliquettes cochonnes en train de sembrasser tendrement dans les bras lune de lautre. A coup sûr, mes deux motardes sont vraiment amoureuses lune de lautre.
Après ce joli spectacle, la brune me dit à nouveau une phrase en hongrois, puis rajoute « come on ».
Je la suis, et nous dirigeons toutes les trois nues, vers le couloir, puis vers des lavabos, certes pas très nets, mais qui vont permettre de nous rafraichir un peu.
Je retourne chercher mes vêtements et mon sac à mains, avant de retourner vers les lavabos.
Une fois rafraichies toutes les trois et rhabillées, la brune me tend mon passeport et les clés de la Mercedes. Elles me raccompagnent à la voiture sur le parking. Je les embrasse toutes les deux à tour de rôle avant douvrir la portière et dentrer dans la voiture. Dans le rétroviseur, je les ai regardé toutes les deux debout près de leur motos. Quelle aventure !!
Une heure plus tard, jétais à Budapest. Je suis allée voir Piotr, on a fait létat des lieux, jai fait un peu de tourisme, jai reluqué un peu les filles, les hongroises sont très jolies !!! Et je suis retournée à Vienne retrouver Bianca. Au retour, en passant près de la bretelle amenant au local de mes deux copines, jai failli mettre mon clignotant, mais jai poursuivi mon chemin. Près de la frontière à lendroit où était installée la chicane à laller, il ny avait plus rien. En fait, jai eu la chance de passer le bon jour
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