La Vieille Chatte Poilue
Un auxiliaire de vie sociale est (pour ceux qui ne le savent pas) une personne qui aide un citoyen malade ou dépendante, à accomplir les tâches et activités de la vie quotidienne. Et ce fut le métier quexerçait mon épouse depuis trois ans. Connaissant ma faiblesse pour les chattes poilues, elle mavait à plusieurs reprises parlé de Ginette, une cliente dans sa tournée.
- Du jamais vue ! Mavait-elle dit. Ça déborde de partout.
Et elle savait de quoi elle parlait.
- Plus que la tienne ?
- Rien de comparable. La mienne fait figure de jeune première par rapport à la sienne.
Au point quun samedi matin elle ma proposé que je me joigne à elle pour que je me rendre compte par moi-même que ces dires étaient vraiment avérés.
- Mais comment veux-tu que je taccompagne ?
- Tout simple. Me répondit-elle. Je vais te faire passer pour un stagiaire.
- Et tu crois que ça va marcher ?
- Et pourquoi ça ne marcherait pas. Il nous arrive de nous déplacer chez les clients avec un stagiaire. Dailleurs si tu te rappel bien, la première semaine que jai effectué chez eux ce fut sous la coupelle de Janine.
- Oui ! Cest vrai.
Et donc je suis parti en tournée avec elle. Heureux de faire la connaissance avec loiseau rare. Pour cela jai revêtu comme prévu une blouse blanche. La fameuse Ginette habitait un petit appartement dans un immeuble vieillissant. À lintérieur les pièces étaient petites, mais chaleureuses. Le sol était recouvert de PVC. Imitation parquet. Les meubles en bois de chêne étaient dépoque. Et au milieu de cette quiétude, Ginette, aux cheveux coupée au carré, à la Mireille Mathieu (pour ce qui connaisse), teint en blonde. Quelques rondeurs par-ci par-là, que je mis sur le compte de son âge, mais aussi une poitrine énorme qui déformait la robe de chambre bleu ciel.
Il men fallut pas plus, pour provoquer chez moi un émoi particulier. Je me suis persuadé de prendre garde à ne pas poser en permanence de regard trop insistant sur les protubérances mammaires de Ginette.
Elle a eu la bonté de nous servir une tasse de café fraîchement passé dans la cafetière électrique. Et tout en dégustant le sien elle sest intéressée à ma vie privée en me posant quelques questions. Qui étaient pour quelques unes dentre-elles, très indiscrètes. Jai joué le jeu en répondant à ses demandes, faisant tout de même attention à ne pas vendre la mèche comme quoi jétais lépoux de Catherine. Cela aurait causé préjudice à ma femme. Dailleurs cette dernière, après avoir sêtre levée de son siège, proposa à Ginette de bien vouloir passer dans la salle de bains.
- Oui
oui, jarrive. Cest vous qui allez me la faire, non pas le stagiaire. Répliqua Ginette avec un sourire cochon sur ses lèvres.
- Pas aujourdhui. Fit-elle en se dirigeant dans le couloir qui devait la conduire jusquà la salle de bains. Il assiste pour linstant.
Jai lu de la déception sur le visage de Ginette.
- Et comment voulez-vous qui apprenne ? Répliqua-t-elle en se levant à contre cur.
Au bout de quelques pas, elle sest arrêtée puis sest retournée, me faisant face.
- Quattendez-vous mon cher ami pour venir ? Sempressa-t-elle à dire.
Jai bafouillé un :
- Oui
jarrive madame B
je finis avant mon café.
- Il ne faut pas que vous manquiez la toilette, cest important pour votre stage. Je dirai même que cest le principal pour un homme de savoir laver une femme. Parlez-en à Catherine. Nest-ce pas Catherine ? Fit-elle alors quelle se faisait absorbé par le couloir.
- Dîtes-le lui bien Catherine, voulez-vous ! Que cest très sérieux la toilette. Lentendais-je dire, avant que je me lève à mon tour et me dirige jusquà la salle de bains. À mon arrivée sans aucune pudeur Ginette fit tomber sa robe de chambre à ses pieds. Elle avait une peau dune femme nettement plus âgée. Une peau fatiguée. Ridée, fripée, usée. Flasque, molle et tiédasse.
Elle était plus que mûre. Carrément vieille. Elle arborait aussi, et là pour mon plus grand plaisir une toison intime la plus fournie, la plus flamboyante quil me soit permis de voir jusquà maintenant.
Tout ça avait quelque chose de terriblement animal. Un instant interdit dans ma contemplation, je me suis même entendu grogner le plaisir. Cette vision a déchaîné en moi des pulsions primaires. Une énorme envie dy aller enfouir mon nez.
Mais déjà, Ginette avec laide de mon épouse, enjambait la baignoire. Une fois trouvé la bonne température de leau, ma femme a passé la pomme de douche sur tout le corps de la cliente pour lhumidifier, avant de se saisir dun bloc de savon et dune grosse éponge dont elle a fait couler de leau dessus. Elle a, par la suite commencé à la savonner en insistant bien sur les seins. Jusquà ce que les petits mamelons se dressent. Toujours avec léponge, ma femme dessinait des arabesques sur les cuisses et les fesses avant de revenir sur les seins.
La peau de Ginette rosissait sous leffet de leau chaude. Par-dessus les épaules de ma femme, elle me fixait droit dans les yeux. Avec un sourire plein de sous-entendus.
La mousse lui enrobait le pubis. Très vite la petite pièce sest embuée de vapeur deau. Ma femme a laissé tomber léponge au fond de la baignoire pour enfiler un gant de toilette vert pomme, quelle la fit mousser à son tour en y frottant le savon dessus. Puis avec le tranchant, elle la glissé à plusieurs reprises entre les petites lèvres avant de lenfoncer dans le vagin. Avec sa main libre, elle a étalé toutes les chairs internes en tirant dessus comme pour mexhiber lintimité complète de la cliente. Elle sest même amusée à plusieurs reprises à appuyer sur le renflement du clitoris. Il nen fallait pas plus à Ginette à se tortiller, alors que son visage devenait écarlate.
- Eh bien vous navez quà faire ça ici, ça ne gênera personne. Ce nest pas la peine de vous retenir.
Je nai pas compris tout de suite le sens de ce qui venait dêtre dit, jusquà ce que jai aperçu un jet fusé du sexe poilu de Ginette. Je me suis approché jusquà la baignoire pour mapercevoir que lurine se mélangeait avec leau mousseuse. La situation était irréelle. Alors quelle a continué à se vider, ma femme a écarté à laide de deux de ses doigts les plis rosés de la vulve pour que je puisse en voir plus. Jai bandé tellement dur que jen avais la queue douloureuse. Au point dextraire ma queue de mon pantalon, et de lexhiber dexhiber. Tout de suite le regard de Ginette sest portée dessus. Dune attention intéressée, alors que ma femme surprise par mon comportement me faisait de gros yeux, avant de protester verbalement.
- Ça ne va pas ! Tu es devenu fou. Je vais avoir des ennuis.
- Pourquoi vous aurez des ennuis ? En voilà de drôle de chose. Ne comptez pas sur moi Catherine pour me plaindre. Tout au contraire
fit-elle avec des yeux plein de gourmandise.
Jai pris ses paroles comme un encouragement pour plaqué ma main sur un des deux seins trempés de la dame.
- Vous ne les trouvez pas trop gros, mes nichons ? Minterrogea Ginette.
- Où allez-vous chercher cela, madame. Alors que je me suis mis à le malaxer, à pincer le téton.
Ginette sest laissée docilement toucher. Observant mes doigts soccupés de sa mamelle. Mais cela était loin de plaire à ma femme. Et elle le fit savoir :
- Ne te gêne pas pour moi !
- Mais laissez-le faire. Dailleurs de quoi vous mêlez-vous. Vous pourriez peut-être vous occupez de la chambre, en attendant. Continuer mon cher stagiaire, vous ne savez pas à quel point jaime ce que vous me faite.
Alors que ma femme furieuse, quittait la pièce, je nai pas pu résister à approcher ma bouche du sein et de mordiller le mamelon.
- Oui
Oui ! Tétez
tétez
gémit-elle.
Je me suis exécuté. Laspirant voluptueusement, tout en faisant tourner ma langue autour de son téton. Des picotements de désir mont parcouru le bas ventre. Jai pris la main de Ginette pour lamener jusquà mon sexe. Pas besoin de parole pour savoir ce que jattendais delle. Elle a prit linitiative de faire coulisser sa main sur ma verge. Cest linstant quavait choisis ma femme pour pénétrer le lieu.
- Bon ! Il est temps que je vous sèche madame B
Quant à toi, sadressant à moi. Tu vas me payer ça
Dune tape sur la main de Ginette, mon épouse lui a fait laisser prise.
- Oui tu vas me payer ça ! Me murmura ma femme, alors quelle essuyait la sexagénaire.
- Je vous ai entendu Catherine. Pas de menace chez moi. Pour la peine je veux que ce sois le stagiaire qui me passe de lhuile damande douce sur le corps. Vous mentendez, le stagiaire.
- Mais
madame
- Il ny a pas de madame qui tienne
aller cela suffit. Je suis assez sèche. quant à vous. Sadressant à moi. Venez avec moi, nous allons dans la chambre.
Une fois sur le lieu, delle-même elle sest allongée à plat ventre sur son lit. Calant sa tête dans un oreiller.
- Tenez le flacon est celui-là me le désignant du doigt.
Jai fait couler un peu dhuile damande sur mes doigts. La substance était grasse épaisse mais une fois étalée sur mes mains elle est devenue souple et élastique. Puis quelques gouttes sur son dos, sur les épaules, sur son cou. Jai posé le flacon sur la table de nuit et je me suis lancé à masser. Dans un premier temps, le long de sa colonne vertébrale avec un soin tout particulier.
Je lai massé avec une habilité que je ne me connaissais pas. Lhuile sest liquéfiée dans ses pores. Son corps sest mu par une série de réaction, de frissons de tremblements sans quil y ait rien de cohérent.
- Que cest bon ! fit Ginette. Vous avez des mains de fée.
La porte de la chambre sest ouverte et ma femme est apparue.
- Comme je vois quen a pas besoin de mes services, je men vais voir une autre cliente, fit ma femme.
- Oui
oui faite Catherine. Je suis dentre de bonnes mains.
- Je nen doute pas un seul instant. Fit-elle dune voix sèche.
Et elle a disparut. Claquant la porte en la fermant.
- Bon débarra ! Fit Ginette en entendant la porte dentrée claquer. Comme ça nous aurons la paix.
Ma prochaine rencontre avec ma femme sannonçait brumeux. Maintenant seul, plus personne ne pouvait mempêcher daller plus loin dans mon massage. Et je me suis attaqué à ses fesses, pour le plus grand bonheur de Ginette. Qui me le fit savoir en poussant un soupir. Puis jai inséré mes doigts sur sa raie. Mattardant plus quil le fallut, sur son anus. Qui palpitait. La corolle rose laissait voir un peu lintérieur dont le rouge vif contrastait avec le rose tout aussi vif de la muqueuse. Jai approché le bout de mon index et de mon majeur gras de louverture qui sest ouvert et sest fermée en un mouvement spasmodique. Je lai massée dun geste très lent. Sous des gémissements sourd de sa propriétaire. Qui na fait que saccen au fil des minutes. Sous ma friction, comme par magie sa muqueuse anale sest dilatée de manière spectaculaire. Les chairs se sont écartées.
- Vous êtes vraiment
très adroit
avec
avec vos doigts. Bafouilla-t-elle.
-Merci madame.
- Il serait possible den avoir
enfin vous voyez
- Oui ! Mais pour cela jai besoin dautre chose
- Faite
faite mon brave. Jai tout à fait confiance en vos compétences.
Je me suis agenouillé devant son fessier. Jai écarté les deux hémisphères dune main, et avec lautre jai pointé mon gland à lentrée de son anus. Puis jai laccès.
- Hou là ! Hou là ! En voilà une idée qui est bonne ! Me fit-elle en tournant la tête de mon côté.
- Je vous fais mal ?
- Non ! Pas du tout. Mais allez doucement tout de même.
- Ne vous inquiétez pas Ginette, jai la situation bien en main.
Peu à peu je me suis trouvé enfoncer en elle jusquaux couilles. Jai commencé à me mouvoir sans difficulté dans son sphincter. Puis après plusieurs aller et retour, jai senti sous mes coups de reins la souplesse du canal est devenu de plus en plus accueillant. Il men a fallu pas plus pour la labourer sans scrupule. La sodomisant énergiquement. Et ça, jusquà la jouissance.
Quand jai retiré ma queue, son anus sous leffet de la pénétration était aussi ouvert quune vulve. On voyait tout lintérieur de son canal rectal, chair rose et brillante. Mon gland était maculé de substances organiques, blanchâtres ou brunâtres. Javais besoin de passer par la case salle de bains.
À mon retour dans la chambre, Ginette était toujours allongée. Mais sur le dos. Mexposant son sexe.
- Je suis venu vous saluer avant de partir.
- Déjà.
- Cest que, jai dautres clients à voir.
- Mais cest que jen ai pas fini avec vous. Jaurai bien envie dun petit quelque chose supplémentaire.
- Ah oui ! Et quoi ?
- Vous devinez pas. Répondit-elle en ouvrant vulgairement le compas de ses jambes. Non ? Vous voyez vraiment pas ?
Jai réprimé un ricanement incrédule, alors quelle a glissé sa main sur son buisson. Faisant disparaître ses doigts dans lépaisseur toison grisonnante. Elle a gémit. Avec de petits cris de volupté, provocant des convulsions à son corps.
Jai approché ma bouche à la hauteur de son sexe. Elle a retiré ses doigts et jai plongé mes lèvres avides au cur de cette parcelle mousseux de poils crépus. Après une exploration très poussée, jai fini par trouver le petit bourgeon dur et gonflé. Aussi long quun sexe d. Jen ai tiré tout le plaisir qui y était stocké depuis toutes ces années de disette. Pour moi, un adepte du cunnilingus, cétait un véritable plaisir de rendre service à Ginette. Peu à peu, elle qui ne faisait que subir lors de mes premiers coups de langue, devint plus active par la suite. En ondulant son bassin au rythme de mes coups de langues.
Elle est arrivée au paroxysme de sa jouissance. Elle a plaquée fermement mon visage contre sa vulve bouillonnante. Un immense jet de cyprine a inondé lintérieur de ma bouche. Elle fut prise dune sorte de convulsion. Incapable de se retenir, elle a extériorisé son plaisir, en criant. Jai eu peur un instant que ces cris alerte les voisins. Mais heureusement pour moi rien se passa.
Quand je suis sorti de chez Ginette, ma femme mattendait derrière le volant de sa voiture. Elle avait la tête des très, très mauvais jours
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