En Chlore Et En Chlore...
On sonne. Mon cur bondit. Et si cétait
Bingo ! Cest lui
avec Ali
.tous deux en slips de bain sur le palier ! Ils rigolent.
« -Come on, guys !! »
En fait, ils veulent mentraîner à la piscine pour, ce quils appellent des surprises. Je prends quand même le temps de dévorer la bouche de Paulo. Et hop, on file. Il ne faut rien prendre, Paulo a TOUT prévu
On arrive à 21h30 à la piscine. Tout vient de fermer mais Slimane, le chef de bassin ( voir Ali, Slimane et moi ) nous attend devant laccueil. Je lui présente Paulo. Ali moi et Slimane, on se connait déjà
intimement. On pénètre dans létablissement plongé dans le noir. Impression étrange. Paulo nous fait choisir un maillot de bain dans son sac qui en déborde. On opte tous pour des strings ficelle bleu, vert jaune et rouge les couleurs du dau gay -. Nous voilà tous à piquer une tête dans le grand bassin. Paulo se met à enchaîner les longueurs de son crawl parfait, Slimane se met dans son sillage. Ils passent ainsi un bon moment à qui sera le plus rapide. Avec Ali, on se frôle, on batifole, on rigole. Puis Slimane nous propose la totale, à savoir sauna, douche glacée, hammam, douche glacée et bain.
On commence donc par le sauna, à chaleur hyper sèche. Le thermomètre indique déjà pas loin de 80 degrés. On ne sait trop comment se mettre ou plutôt si assez collés pour permettre les frôlements, les attouchements, les caresses. Accidentels, bien sûr
Je mallonge sur un bas flanc, la tête posée sur le haut des cuisses de Paulo, assis. Tout contre ma joue, je sens sa bite qui gonfle le tissu du string. Je respire sa bonne odeur de mâle, mêlée à celle du chlore. Il ondule très légèrement du bassin, sa bite se tend de plus en plus. Trop cool ! Jadore ces moments où tout le monde semble alangui par la chaleur suffocante mais sous tension sexuelle quand même ! Tout un chacun commence à se couvrir de sueur. Chacun essuie - caresse lautre avec le gant de crin.
Slimane, grand maître des cérémonies, nous conseille alors daller à la douche glacée. Wouuuaaah ! Trop cold !! Ca crie, ça hurle, ça chahute, ça éclabousse. Vite fait, on regagne le hammam. On est bien content de retrouver la chaleur même si cest super moite. Slimane, toujours lui, nous conseille de tomber les strings pour « faire respirer tout ça
». Dailleurs, il veut bien se charger de nous les enlever. Les bites, libérées des tissus nattendaient que ça pour se détendre fièrement vers le ciel. Nous voilà assis tous les quatre, cuisse à cuisse sur le bas flanc, à suer copieusement. On ne reste pas inactif pour autant. Les mains se baladent sur les bites, les bouches se collent doucement. On soccupe, quoi. Slimane emmène Paulo à lécart, le fait mettre en levrette et se met à le rimmer doucement. Jen fais autant avec Ali. Puis, on inverse. A létape suivante, on se met à se doigter avec force gel. Toute cette longue préparation na bien sûr quun seul but : lorgie finale. La tension sexuelle ne cesse de prendre quelques crans. On entend nettement les gémissements de ceux qui se font rimmer ou doigter. Slimane décide alors quil est plus que temps de repasser dans le grand bassin et de passer aux choses sérieuses.
Slimane et Ali nous collent contre les bords du bassin.
Déjà Paulo propose autre chose :
« -Hi guys ! I would like to be fucked by you all ! At the infirmary. » (Hé les gars, je voudrais être baisé par vous tous, à linfirmerie).
Qui résisterait à une telle demande venant dun si beau mec ? Slimane nous conduit vers le petit local. On règle la hauteur de la table dauscultation à la hauteur de nos bas ventres. Paulo sallonge sur le skaï, les fesses juste en bordure de la table. Il nous indique sa préférence : Slimane dabord puis Ali, puis moi. Slim et Ali doivent jouir SUR son ventre, moi dedans, privilège de lamant en titre ! Pendant que Slim le besognerait, on serait à « son chevet », de part et dautre de la table, nos bites à portée de ses mains. Ca nous a paru bien comme plan. Surtout à Slimane qui rêvait de ça à la seconde où il avait vu Paulo. Gel, doigtage, gel et hop, en un clin dil, Slimane fut en lui.
« -Aaaaah ! Mae é muito bom ! » ( Aaah ! Maman cest trop bon ! )
Il jouissait du cul sous les coups de boutoir répétés dAli. On était tous bouleversé de le voir ainsi submergé par un plaisir infini qui durait, durait
Est-ce cela qui troubla Ali ? Après quelques minutes, il se sentit venir mais ne put se retirer à temps. Il inonda les entrailles de Paulo de son foutre brûlant. Paulo hurla carrément. Très vite, je pris sa place pour maintenir Paulo sur des sommets de plaisir. Je le pénétrais plus que facilement, ça faisait quand même plus de vingt cinq minutes quil était bouriné par les deux rebeus. Ma bite circulait parfaitement dans son trou distendu et brûlant, le sperme dAli remplaçant avantageusement le gel. Elle y glissait même un peu trop facilement à mon goût, javais du mal à le sentir. Il le comprit et contracta plusieurs fois son anus pour me serrer. Il avait rouvert les yeux et me souriait. Ali sexcusait de lui avoir joui dedans, il lui dit que ce nétait pas grave, bien au contraire. Maintenant, cétait à mon tour de le limer du mieux que je pouvais. Dans la petite pièce, lodeur de sperme devenait de plus en plus entêtante.
Cétait la première fois que je voyais Paulo ainsi. Un pur objet sexuel, submergé par ses désirs et ses plaisirs. Dans un sens, je lenviais de pour se lâcher ainsi à fond ; dans un autre, je préférais le Paulo tendre et doux que je connaissais aussi. Je décidais de lui redonner de la douceur. Je me mis à le limer très doucement, en le caressant sur le ventre, les cuisses, les fesses. Je le sentais se resserrer de plus en plus autour de ma bite. Je sentais le jus dAli sécouler lentement le long de mes couilles et de mes cuisses. Ali et Slimane regardaient, intrigués. Cela devenait un moment très intime, entre lui et moi, au-delà du sexe. Is nous proposèrent de les rejoindre aux douches
plus tard. Délicate attention. Paulo redescendait tout doucement de sa « high live » et appréciait beaucoup la tournure que prenaient nos ébats. Moi, jétais bien échauffé par tout ce qui sétait passé avant et javais envie de jouir mais en amenant Paulo dans quelque chose de doux. Je le limais ainsi pendant un très long moment, les yeux dans les yeux. De son bassin, il accompagnait bien chacun de mes allers et retours. Paulo descendit alors ses jambes de mes épaules et menserra la taille. Petit à petit, il se redressa sur les coudes, en cherchant à se rapprocher de moi. Il magrippa le cou. Nos torses, nos ventres, nos bouches se collèrent pour ne plus se décoller. On se serra de toutes nos forces comme si on voulait ne faire quun seul corps. Je sentais sa bite mouillée vibrer contre mon ventre. A un moment, il me murmura à loreille :
« -I love it when you make love to me as well. I love your cock in my ass ! » ( Jaime quand tu me fais lamour ainsi. Jaime ta pine dans mon cul).
Je ladore quand il me dit des trucs ainsi et je le serre encore plus fort. Au moment de jouir, je le relevais de la table et venais appuyer ses épaules contre le mur- il avait fini, lui aussi, par aimer ma position favorite -. Cinq ou six coups de reins suffirent à me faire exploser dans son ventre. On resta ainsi un petit moment puis on rejoignit les autres aux douches.
Tous les quatre, on soccupa les uns des autres, se savonnant, se caressant, sembrassant
il ne fallait surtout pas toucher la bite de Paulo, je crois quelle nous aurait explosé dans les mains ! On se sécha. Paulo nous offrit à chacun un superbe maillot de bain au choix. Slimane lui dit quil le porterait toujours pendant le boulot - il est maître nageur pour se rappeler ces bons moments. Paulo, lui, nen mit pas. Il préféra enfiler son jean slim sans sous vêtement. Il eut dailleurs le plus grand mal à y caser sa bite. Il disait que cétait pour aller plus vite quand il me sauterait dessus à la maison ! Les deux autres dirent quils étaient jaloux et que jétais un sacré veinard
Paulo, qui commençait à mieux comprendre le français, leur dit :
« No guys, its me who am lucky. I had two beautiful cocks enduring and a very cuddly ! » ( Non les gars, cest moi le veinard. Jai eu deux belles bites endurantes et une bien câline).
Paulo refusa la voiture dAli pour le retour. On se quitta sur le trottoir en se promettant de se revoir bien vite. Le retour à pieds fut
plus que chaud. Jamais je naurais dû le laisser dans cet éat là. Tous les vingt mètres, il voulait me sauter dessus, ny tenant plus. On avançait collé serré, on se fir même klaxonner deux fois. A un moment, jai même cru quil allait me sauter ainsi debout, sous une porte cochère. Cétait trop bon de se sentir ainsi désiré. Arrivés à létage, il était déjà torse nu, la braguette ouverte et la bite dressée - par jeu bien sûr, mais ça, cest Paulo -. Heureusement quil était plus de vingt trois heures et quil ny avait personne dans les escaliers.
La nuit qui suivit fut
délicieusement infernale.
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