Candaulisme En Famille. Chapitre 5

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Candaulisme en famille.

Paul est pris à son propre piège. Il a donné sa femme à son fils mais il est maintenant dépassé par les événements. Déjà qu’elle lui reprochait de ne pas lui faire un , et maintenant il ne peut même plus faire l’amour avec elle sans risquer d’y laisser sa santé, ou même sa vie.

Cruel dilemme… Il voulait que son fils Axel fasse l’amour à sa belle-mère comme un acte théutique. Mais il ne croyait pas que sa femme y trouverait autant de plaisir, et même d’après ses propres paroles, beaucoup plus qu’avec lui. Il avait aussi éveillé chez son fils la bête sexuelle qui sommeillait en lui.
Comment peut-t-il encore avoir grâce aux yeux de sa femme quand il ne peut plus la contenter, que son fils est plus résistant et remet plusieurs fois le couvert de suite, que la nature l’ait doté aussi d’un organe beaucoup plus développé que celui de son père. Elle avait même osé demander à Axel de la sodomiser, sachant que son mari les espionnait, alors qu’elle le lui avait toujours refusé.
Mais le pire n’était pas encore arrivé, il se remémore la conversation qu’ils ont eu ce matin :

-Paul, tu sais que je t’aime, et je sais que toi aussi. Tu m’en as donné la preuve en me poussant entre les bras de ton fils. Je t’en serai éternellement reconnaissante, c’est un amant merveilleux. Mais tu sais que mon bonheur serait total si je pouvais avoir un . Ce que je vais te demander est la plus grande preuve d’amour que tu pourras jamais me donner ; accepterais-tu qu’Axel me mette enceinte ?
Il ne sait que lui répondre, complètement abasourdi par ce qu’elle vient de lui demander. Elle veut que son fils la mette en cloque… Comment doit-il prendre ça ? Avec colère ? Avec tristesse, dégoût ? Comment pourra-t-il se regarder dans une glace ? Mais s’il a poussé son fils à draguer sa belle-mère, c’est parce qu’il ne voulait pas qu’elle aille voir ailleurs, et peut-être même la quitter.

Alors ?

-Ben euh…
Et elle en a rajouter une couche :
-C’est la bonne période pour moi, il faut que tu en parles à ton fils car je ne veux pas t’imposer une telle épreuve si tu n’es pas d’accord et je ne veux pas non plus trahir sa confiance. Il faut que nous trois soyonst pleinement consentants de ce que ça implique. Bien-sûr, pour les autres, ce sera toi le père et Axel devra le traiter comme un frère ou une sœur et non comme son . Les années passent et si je veux être mère, il est plus que temps !

-Laisse-moi le temps de digérer l’information. Ce n’est quand même pas courant ce que tu me demandes, et qui te dis qu’Axel veuille accepter ta proposition ? J’y réfléchirai.

-N’attends-pas trop longtemps mon chéri, je te l’ai dis, c’est le bon moment pour moi…
Paul est piégé, il a bien compris que s’il lui refuse, elle risque de le détester, voir le rejeter et se venger avec Axel ou pire, sur son fils. Il va falloir qu’il ait une conversation avec lui mais comment aborder un tel sujet ??? Mais il est trop lâche pour décider et finit par lui dire :

-Ecoute Christine… Je te laisse lui parler, On le fait venir ce soir dans notre chambre !

Axel commence à prendre l’habitude de ces parties à trois en famille, bien que son père joue plus le rôle de voyeur pour ménager sa santé. Alors il n’est pas surpris par la demande et les rejoint la nuit tombée dans leur chambre. Les préliminaires sont vite bâclés et Christine se retrouve à califourchon sur Axel, elle chevauche allègrement son corps, empalée jusqu’à la garde sur le membre noueux de son beau-fils, râlant de plaisir. Son arrière-train ondule sur le manche de chair.
Soudain elle se fige et l’interroge :

-Axel… Accepterais-tu de me mettre enceinte ? Je ne prends plus la pilule et ton père est d’accord. Ne me réponds pas mais tes actes à venir seront ta réponse.
Axel regarde son père qui opine du chef pendant que Christine fait coulisser le manche de pioche dans son fourreau en accélérant le rythme, la bouche entre-ouverte d’où s’échappent des râles de plus en plus rapprochés avant de se cabrer. Elle s’éjecte de la verge en poussant un hurlement de jouissance, faisant gicler sa cyprine sur le ventre du jeune homme.
Paul encourage sa femme :

-Espèce de trainée, jouit sur mon fils… Salope !
Elle replonge sur le pieu et reprend la chevauchée en cadence en poussant de petits cris, ne cachant pas son bonheur.
Paul est excité à mort, sa main se glisse dans son pantalon à la recherche de son membre durcit.
Il s’approche du couple ueux et extirpe son engin gonflé, il se branle énergiquement, il n’a pas la résistance de son fils et envoie rapidement sa semence sur le dos de sa femme.

- Tu es si belle quand tu jouis que je n’ai pas pu me retenir !!
Sans un mot, Paul pose ses mains sur les épaules de Christine et les caresse doucement, un plan germe dans sa tête.
Pendant ce temps, Axel lui sourit et prend dans ses mains les seins de sa belle-mère qui frissonne de plaisir.
Les doigts jouent avec les bouts qui se dressent fièrement. Les mains se font plus pressantes, pétrissant les globes charnus mais Axel commence à s’agiter, donnant des coups de reins, propulsant son membre bien ancré dans la gaine de chair le plus loin possible.
Christine geint de plus en plus, ses grognements montent dans les décibels.
Au maximum de son plaisir, Axel réalise le risque qu’il prend s’il éjacule dans le vagin de Christine, il essaie de la repousser mais son père oppose une force contraire sur les épaules de sa femme.
Axel se bloque mais ne peut retenir la lave blanche qui remonte la cheminée de chair et envoie sa semence au fond du sexe avide.
Elle retire la chatte gorgée de sperme du mandrin, ouvre la bouche pour téter avidement le monstre encore raide, gobe le gland violacé, sa langue s’active à faire renaître le désir de ce cèpe royal, Christine titille le frein, lape les perles de sperme oubliées qui s’échappent encore du méat.
Quand elle trouve enfin à son goût la renaissance du mandrin, elle ordonne à Axel :

– Viens reprendre ta salope de belle-mère… Viens saillir ta chienne !
Axel place son membre redevenu raide contre la chatte béante et encore dégoulinante et pousse.
La barre de fer s’enfonce sans effort dans le réceptacle graissé. Il pilonne comme un homme en manque le temple brûlant, faisant couiner Christine comme une truie qu’on égorge.

-Oui oui ! Pus fort ! Plus loin ! Ooouuuiii que c’est booon … Putain de merde !!! Ooouuuiii je te sens bien la… vas-y !
La queue luisante de cyprine prend de la vitesse et dilate le conduit féminin déclenchant un nouvel orgasme de Christine qui se raidit quand elle explose de jouissance.

Axel s’active encore quelques minutes et se cabre, déversant un deuxième flot gluant de sperme épais dans le corps de sa belle-mère qui se cabre pour jouir une énième fois.
Elle s’écroule sur le lit les bras en croix mais comme survoltée, Axel continue encore et encore, ne s’arrêtent enfin qu’après avoir honoré une troisième fois sa belle-mère.
De sa chatte s’écoule un surplus de sperme, Axel plonge entre les cuisses ouvertes de Christine et lape comme un petit chien la fente restée entrouverte, entendant son père commenter la joute :

-Putain ce que tu lui as mis ! Si avec une telle dose elle ne se retrouve pas en cloque, je me fais moine !

Il n’a pas eu besoin de la tonsure, neuf mois après naissaient des jumeaux, un garçon et une fille.
Finalement, Paul est très content, Christine est très heureuse et n’a plus beaucoup de temps à consacrer à la gaudriole, surtout que maintenant, Axel c’est trouvé une petite copine.