47 - Zoulika, La Femme Infidèle De Mon Ami Omar :

Je vous rapporte ce que m’a raconté dernièrement un de mes jeunes ami, Hamid électricien âgé de 35 and, sur son voisin et ami Omar et sa femme la belle Zoulika. Je le cite :
« J’ai été invité il ya quelques jours, chez mon ami de longue date Oma, âgé de 40 ans, que nous appelions « l’émigré » car il se déplaçait trop souvent à l’étranger pour le travail. A cause de mes occupations, je n’ai accepté son invitation que quelques jours plus tard. Hélas, quant je suis arrivé chez lui, vers 18h, il était absent car il était déjà retourné, ce matin même, à l’étranger pour son travail. Mais sa femme Zoulika a insisté pour me retenir quant même, pour ce soir. Bien sûr, je la connaissais aussi depuis longtemps ainsi que sa fillette Mimi et son grand fils Ridha qui était à l’université et logeait en cité. De même, elle logeait sa vielle mère souvent souffrante et que je connaissais aussi très bien. Alors, elles m’ont retenu pour le repas.

Zoulika était une très belle femme que j’avais essayé de draguer, il y a quelques années, mais elle était très sérieuse et très fidèle à son mari. Ce soir, par contre, de par son attitude, son insistance et ses paroles, elle semblait être dans une situation personnelle et conjugale qui semblait la peiner énormément. Après que nous ayons diné, je voulais les quitter, mais elle a insisté pour que je continue la longue soirée avec eux et même la nuit car j’habitais assez loin. Ayant déjà en tête des idées érotiques, j’ai accepté avec joie. Ainsi, au bout d’une petite heure de conversations, elle a couché sa vielle mère fatiguée et sa fillette et nous sommes restés seuls.

Elle est allée dans sa chambre et quant elle en est revenue, elle avait changé d’allure et s’était vêtue très légèrement, avec une robe de nuit assez courte et très collante, sous laquelle elle était, à vue d’œil, totalement nue. Ma présence ne semblait pas la gêner, au contraire, et j’étais déjà excité, mon zob bandé m’en donné la preuve évidente.

Mes coups d’œil admiratifs sur son corps bien rempli et presque dénudé la faisait sourire et quant elle a remarqué la bosse de ma braguette, elle a fait un joli rond de bouche et un « oooh ». A chacun de ses passages et de ses gestes pendant qu’elle rangeait la cuisine et le salon, mon zob se gonflait encore plus et mon souffle s’accélérait. Je ne savais pas si je devais oser quelque chose avec elle. De plus, sa robe s’ouvrait souvent découvrant des parties nues de son corps et j’étais affolé de désir. Si nous allons continuer ainsi, je suis sur de lui sauter dessus et la violer. Mais elle semble d’abord parler, se confier et raconter ses problèmes. Ainsi, nous avons longuement discuté sur ses problèmes uniquement conjugaux et surtout sur les trop longues absences de son mari à l’étranger. Et d’elle-même, elle a abordé avec détails, le problème de ses droits et envies sexuels. Comme je l’écoutais avec complicité et encouragements, elle m’a avoué que depuis quelques temps, elle n’a pas résisté à ses désirs et elle était passée à l’acte en trompant son mari absent avec un jeune parent âgé de 23 ans, le fils de sa tante malade. Elle voyait que j’étais compatissant avec elle et je l’ai entouré de mes bras en la serrant contre moi. Je lui ai murmuré à l’oreille que c’était son droit le plus légitime de donner du plaisir à son jeune et merveilleux corps, affamé de désir sexuel. Nous nous sommes embrassé et j’ai commencé à lui caresser les seins, puis les cuisses, enfin j’ai plongé vers sa chatte et j’y ai enfoncé un doigt. Elle était moite de désir.
Et c’est ainsi que petit à petit, notre soirée s’est engagée dans des gestes et des confidences qui nous ont rapidement amenés dans sa chambre car j’étais pressé de gouter son corps merveilleux et affamé de zob. Elle était totalement engagée, sans hésitation, au contraire, très poussée au plaisir sexuel. Sa chatte était mouillée et coulait de désir et elle fut, ce soir, une amante fougueuse et jouissante. Pressés, nous avons jeté nos habits et, nus, sur le grand lit conjugal, déserté par le mari trop absent, nous avons fait l’amour pendant deux heures.
Je l’ai baisée et éjaculé par deux fois, la première, face à face, par devant normalement et la seconde par derrière, elle, à quatre pattes et moi posté derrière sa large Terma et agrippé à ses belles hanches charnues. Elle a eu, au moins, quatre orgasmes sonores, et qui ont inondé les draps de sa mouille. Sa chatte était chaude, brulante même de désir. La première baise par devant, je dirais que c’étaient nos sexes qui étaient affamés et affolés et se sont lancés dans une chevauchée et une saillie acharnées pour se donner le maximum de plaisir et de jouissances, au-delà de notre propre volonté. La seconde baise, à quatre pattes fut plus sage et plus jouissante. En effet, Zoulika gémissait plus longuement que la première fois, où elle criait sans se retenir. Moi aussi, ma seconde éjaculation fut plus abondante et je dirais, non pas qu’elle remontait de mes couilles, mais qu’elle descendait de mon cerveau jusqu’à mon zob, tout le long de mon corps tendu.
Puis on s’est reposé, tout en se donnant de multiples baisers et gentillesses érotiques. Mais j’étais curieux de savoir comment elle avait réussi à sauter le pas pour tromper son mari après une fidélité de plusieurs années. Alors elle m’a raconté ce qui s’était passé il y a quelques temps avec le fils de sa tante malade. Ce fut la première fois qu’elle trompait son mari et ça n’a pas été facile. Mais ce soir, avec moi, ça a été nettement plus facile et plus agréable et qu’elle voudrait que ça continue entre nous. J’étais d’accord, mais je voulais connaitre les détails de son infidélité. »
Alors, Zoulika s’est confiée à mon ami Hamid. Comme je connais Hmid, il a du l’aider à mettre le maximum de détails er de sensations pour que Zoulika sa laisse aller à raconter même le fond de ses pensées et le fond de ses désirs. Peut-être aussi pour s’excuser, si vraiment elle devait le faire ! Laissons Zoulika raconter, elle-même, son aventure en détails : « Mon récit commence quant ma tante est tombée malade et que je suis allée l’assister.
Ma tante avait une fille mariée et vivant dans une autre ville et un fils de 23 ans, étudiant en médecine. A cette époque, mon mari était au travail, à l’étranger depuis déjà plusieurs mois. J’ai laissé ma fillette chez ma mère, mon fils était en cité universitaire et j’ai pris quelques affaires pour une semaine afin de soigner ma tante. Arrivé chez elle en fin d’après midi, j’ai constaté qu’on l’avait installée dans une autre chambre que la sienne, une pièce assez éloignée du reste pour lui éviter les bruits de la maison. Et on m’a donné la chambre vide de ma tante où j’ai déposé immédiatement mon cabas avec toutes mes affaires. Puis j’ai préparé le repas dans la cuisine et aidé ma tante jusqu’à ce qu’elle s’endorme, en fin de soirée. Ensuite, un peu fatiguée, je suis allé dans ma chambre et déposé sur le lit mes vêtements de nuit. Puis, nue, munie juste de ma serviette de bain, je suis allée prendre une douche.
Quant j’eu fini, je suis sorti, avec juste ma serviette autour du corps et ainsi légèrement vêtue, je suis entré dans ma chambre. Qu’elle ne fut ma surprise et mon étonnement d’y trouver un homme debout en train de fouiller mes affaires sur le lit, mes vêtements de nuit. Il avait déjà à la main mon slip rouge, minuscule et il le compulsait avec attention. Il l’avait rapproché de son visage et j’étais sûre qu’il humait son odeur et admirait le petit filet grillagé par devant. Il s’est retourné et j’ai vu que c’était Jamal, le fils de ma tante, que je connaissais et qui était étudiant. Je croyais qu’il vivait aussi en cité et que ma tante était seule chez elle. Il me regardait avec des yeux ronds et il était aussi surpris que moi. Mais il se reprit vite et s’excusa car, lui aussi, n’était pas au courant de mon arrivée et surtout que je logeais dans la chambre de sa tante. J’étais gênée, mais on se connaissait et qu’on était parents, on s’est quant même dit deux ou trois mots aimables. Il s’est même plaint pour me reprocher qu’il a fallu la maladie de sa mère pour que je vienne les visiter.

Puis j’ai tendu la main pour lui enlever mon slip, qu’il tenait toujours. J’étais assez gênée par ma serviette et quant j’ai voulu saisir le slip, il est tombé par terre. Prestement, je me suis baissée pour le ramasser. Et en me relevant, toujours aussi maladroite et gênée, c’est la serviette autour de mon corps qui s’est détachée et a glissé par terre. J’avais le slip à la main, mais j’étais nue devant le garçon ! Tellement surprise et choquée, que je suis restée plusieurs secondes debout, totalement nue face à lui. Ensuite, reprenant difficilement mes esprits, je me suis baissée pour ramasser la serviette. Hélas, ce fut pire, j’ai constaté que mes seins, qui étaient assez agréablement remplis et érotiquement lourds se balançaient devant ses yeux. Alors je me suis redressée rapidement en mettant mes bras et mains sur mes seins, mais ainsi, j’offrais par contre et encore mieux, le tableau de mon ventre, de ma chatte et de mes blanches cuisses au regard avide du jeune homme. Pour éviter tout malentendu, après tout j’étais plus âgée que lui et c’était un parent, j’ai préféré éclater de rire, et dans la foulée, il m’a suivi dans mon hilarité. Cependant, comme on était debout face à face, ses yeux allaient, avidement, de mes seins à mon ventre. Et encore mieux, à mon pubis et à ma chatte, très poilus tous les deux car je me rasais rarement suite aux longues absences de mon mari. J’ai quant même réussi à ramasser la serviette et il est sorti de la chambre. Malgré nos rires communs, j’étais assez ennuyée de la situation d’autant plus qu’avant de quitter la chambre, il m’a complimenté, avec un sourire, sur la beauté de mon corps.

Cette nuit, j’ai été très excitée, alors, j’ai mis un léger déshabillé sous lequel je me suis couchée toute nue. Mon corps me brulait de désir. Chez moi, j’avais pris l’habitude de ne mettre aucun sous vêtement, mais je mettais un léger pyjama ou une robe de nuit raisonnable à cause de ma mère. Ce soir, mon corps me tenaillait et ma chatte coulait son jus de désir et je n’arrivais pas à dormir et j’ai gardé la petite lampe de chevet allumée. Au milieu de la nuit, j’ai entendu ou senti la porte de ma chambre qui s’ouvrait. J’ai fait semblant d’être complètement endormie mais, à la faible lueur de la lampe, j’ai constaté que c’était Jamal, le fils de ma tante. Il était en pyjama et lentement, il s’approcha de mon lit et s’arrêta pour m’observer. J’étais peut-être un peu surprise mais pas trop quant même, sans chercher à savoir pourquoi. Il m’avait vu toute nue et je suis assez delle et excitante, peut-être qu’il voulait revoir mon corps, alors, je n’ai pas bougé d’un pouce. D’ailleurs, j’avais, depuis un bon moment, rejeté mon déshabillé qui gênait mes désirs et j’étais étalée, presque totalement nue et ouverte, le dos sur le lit. Dans la semi obscurité, il s’était arrêté au niveau de ma chatte poilue et il observait avec des yeux arrondis. Son souffle était légèrement bruyant et saccadé. J’avais compris que ma chatte dévoilée, et dont les poils brillaient de sa mouille, amplifiait son désir. Malgré qu’il a commencé à descendre son pantalon de pyjama, je n’ai pas bougé, mais j’ai continué à l’observer. Et, ce qui m’est apparu entre ses jambes, dans la semi obscurité, m’a donné la plus grande surprise de ma vie. Un zob, un vrai zob comme je n’en ai jamais rêvé, même dans mes fantasmes érotiques dans les longues nuits de solitude de ma chambre, chez moi.

J’avais toujours trouvé que le zob de mon mari était normal, raisonnable, certes pas autant que ceux des films porno, mais ce que je voyais devant moi, c’était un engin monstrueux, très gros, épais et il pendait entre ses jambes jusqu’à arriver au milieu de ses cuisses. Je voyais aussi ses couilles très gonflées, qui balançaient de part et d’autre de son gros zob. Les mouvements de son zob et de ses couilles ont affolé ma chatte qui a carrément explosé son désir et sa mouille coulait comme un ruisseau. C’était un spectacle sexuel merveilleux et follement excitant. J’étais sûre que ma chatte qui coulait tellement lui avait fait comprendre qu’elle et moi avons bien vu son gros zob et le désirons follement. Je n’avais jamais vu ni même imaginer un tel tableau et une telle situation, alors, sans résistance, j’ai décidé de m’abandonner à cette expérience et gouter au maximum à ce gros zob qui affolait ma chatte. Je n’ai plus pensé à mon mari, ni à ma tante, ni à rien d’autre qu’à ce gros zob si épais. Il se pencha sur moi et huma l’odeur de mes poils de pubis et mis ses lèvres sur celles de ma chatte et me lécha doucement. Puis sa langue chercha et toucha mon clitoris qui était déjà gonflé de désir. Il saisit une de mes jambes puis la souleva et la poussa sur le coté et écarta doucement mais largement mes cuisses. Ainsi, ma chatte s’offrit directement en lui ouvrant ses lèvres sans résistance. Il continuait à me caresser et lécher le clitoris, ce qui augmenta la cyprine de ma chatte au point qu’il le remarqua et commença à la lécher elle-même et boire son nectar. Un bref moment ainsi et ce fut mon premier orgasme qui me secoua tout le corps et j’ai lancé un gémissement que j’essayais d’ mais qu’il a très bien entendu.

J’ai désiré tout de suite que son zob me pénètre dans ma chatte ou dans mon cul qui étaient inondés par la mouille de mon orgasme. Le jus descendait de ma chatte et mouillait mes fesses et mon cul. Mais lui, il préféra commencer à frotter, ou lisser, doucement son gros zob, une fois sur les lèvres de ma chatte, une autre fois par-dessous, le long du sillon de mon cul, puis sur mon clitoris. Ces caresses de la hampe de son zob sur l’entrée de ma chatte et mon clitoris furent telles qu’un second orgasme me submergea et explosa dans ma chatte. Je suis certaine qu’il savait maintenant que je ne dormais pas et que je goutais à fond ses caresses silencieuses. Je le scrutais à travers mes yeux semi fermés et il a pris un peu de la mouille de mon orgasme pour se lubrifier le zob, complètement de haut en bas. Il bandait à fond. Ce long geste de sa main sur son gros zob épais fut une épreuve folle pour mes sens. J’avais envie, oh oui, totalement envie de me réveiller et de prendre moi-même ce zob pour le sucer et le lubrifier puis l’enfoncer dans ma chatte ou mon cul, à son choix. Mais j’ai réussi à rester immobile, ou presque immobile et c’est lui qui continuait à caresser, avec son zob, mes organes sexuels qui brulaient de désir. Il continuait lentement ses vas et viens sur les lèvres de ma chattes, puis, l’abaissant, il le frotta sur le sillon de mon cul et revient ensuite sur ma chatte, ensuite sur mon clitoris et, suite à ces lentes caresses, j’ai failli m’évanouir. Mais, il ne me pénétra pas, ni par derrière ni par devant. Il faisait osciller et tournoyer son gland et son zob sur mes organes en les frottant avec douceur, mais insistance. Ainsi j’ai eu un troisième orgasme et mon corps se soulevait quémandant une pénétration à ce gros zob tentateur. C’était la première fois de ma vie que j’ai eu trois orgasmes de suite, sans même une pénétration. Même avec mon mari, au mieux de notre union, je pouvais avoir un orgasme et exceptionnellement un second. Mais avec ce zob, lourd et chaud de désir, même en surface, je me suis découverte, capable d’aimer et de désirer les jouissances sexuelles, les zobs gros et lourds d’espoir. Et, après une vingtaine ou une trentaine, je ne comptais plus, de ces mouvements de vas et viens en surface, c’est lui qui arriva au top, son plaisir montait de ses couilles vers son zob.
Et soudain, il éjacula sur les poils de mon pubis et sur mon ventre. Ses jets étaient tellement puissants qu’une partie de son sperme arrivait jusqu’à ma poitrine nue. La quantité déversée était telle que mon pubis fut complètement blanchi par son sperme et une bonne partie coulait sur ma chatte puis sur mes cuisses et descendait vers mes fesses et même sur le lit. Je le sentais parfaitement et j’étais totalement heureusement, même si le zob ne m’avait pas encore pénétré. Avant, j’avais cru que c’étaient les résultats de la mouille de mes orgasmes, mais c’était la puissance de son zob et la quantité de son sperme qui inondaient mes organes génitaux et le lit. J’étais réellement étonnée car, en vérité, c’était la première fois de ma vie que je voyais autant de sperme sortir d’un zob. Mon mari me donnait certes, son sperme mais en quantité, disons raisonnable et on a eu ainsi des s normalement. Mais, là, c’est autre chose. Ce sperme, abondant et aux jets puissants, c’etait le résultat d’un plaisir spécial, d’une jouissance formidable et d’un zob exceptionnel. Et il n’y avait aucune comparaison avec mon mari malgré les quantités accumulées dans ses couilles à cause des absences. Puis, il s’essuya le zob sur les poils de mon pubis et les lèvres de ma chatte, se releva, se rhabilla et sortit de la chambre, me laissant seule avec cette quantité de sperme chaud. Je suis restée un long moment à gouter ces instants de plaisir même s’ils eurent un caractère de masturbation et non de baise. Ma chatte brulait de désir et voulait aussi de ce sperme. Même mon cul en désirait un peu.
Alors, avec les doigts, j’ai pris une partie de mes seins et de mon pubis et je l’ai enfoncée un peu dans ma chatte et un peu dans mon cul. Ensuite, j’ai commencé, avec mes doigts bien enfoncés, des vas et viens insistants dans ma chatte. J’avais introduit suffisamment de sperme pour faciliter mon plaisir et j’ai réussi à obtenir un autre orgasme personnel. J’en ai mis dans mon cul et je me suis sodomisé un moment, puis quant je me suis sentie assez chaude derrière et devant, j’ai repris ma branle dans ma chatte et ça a marché. Cette ainsi que après avoir introduit le maximum de sperme et en me masturbant avec, j’ai réussi à obtenir plusieurs fois du plaisir et des orgasmes même légers. Et quant je faiblissais, j’ajoutais encore du sperme et frottais encore et encore jusqu’à mon épuisement pour enfin m’endormir. »
Puis, Zoulika continua son récit, pratiquement, masochiste car elle y trouvait du plaisir à détailler ce qu’elle avait fait et ressenti. Peut-être même, elle y ajoutait un peu, prenant ses désirs pour des réalités, allez savoir avec cette femme follement excitée, dans une aventure inédite d’adultaire.
« Le lendemain, je me suis occupée des besoins de la maison de ma tante et de ses soins, puis je me suis douchée et rejoins ma chambre attendant la suite de ce que le fils de ma tante allait faire avec moi. Je l’ai entendu lorsqu’il est revenu à la maison, et je me suis mise au lit, complètement nue et les cuisses largement écartées pour lui offrir directement ma chatte dès qu’il franchira la porte de la chambre et me baisera ce soir, je devais l’exiger. Mais je l’ai attendu longtemps, en vain, et chaque fois que j’entendais des pas et que je croyais qu’il allait venir, ma chatte excitée coulait de sa mouille, mais il ne venait pas. Alors, dépitée et affamée de désir, je me suis levée et j’ai décidé d’aller voir ce qu’il faisait dans sa chambre.
J’ai pris le plus court de mes baby dols et je suis allé dans sa chambre et j’ai fermé la porte derrière moi. Il était couché sur le dos, totalement nu et son zob allongé jusqu’à son nombril. Restée debout devant lui, j’observais son zob que je n’avais pas bien détaillé hier soir. Je le scannais mieux à la lumière et la mouille de ma chatte coulait goutte à goutte le long de mes cuisses. Ses couilles gonflées étaient aussi grosses que des œufs de poule. Ne pouvant plus résister, j’ai empoigné son gros zob et commençais à le caresser et l’embrasser de partout ainsi que ses couilles. J’ai enlevé mon court vêtement pour être totalement nue comme lui. Puis j’ai mis son zob entre mes seins et je l’ai serré comme pour lui avouer que je l’attendais depuis longtemps. Et en même temps, je léchais et embrassais son gland d’entre mes seins. Puis je me suis assise sur ses cuisses, mes jambes de part et d’autre de son corps. Maintenant son zob est totalement gonflé et dur comme un pieu de fer. Et puis, il était si long et épais que je n’étais pas sure qu’il me pénètre sans problème et j’en avais envie et peur en même temps.
Mes cuisses largement ouvertes, j’ai pris son zob puis je suis descendu vers lui jusqu’à ce qu’il touche les lèvres de ma chatte. J’ai frotté son zob sur mon clitoris, puis son gland a ouvert les lèvres de ma chatte qui mouillait en abondance et inondait son zob, cela a facilité la pénétration et l’a rendue follement agréable. J’ai continué à m’abaisser sur son zob qui gonflait encore plus et s’enfonçait de plus en plus à l’intérieur de ma chatte, jusqu’à sentir ses couilles sur mes fesses. Il est rentré dans ma grotte de plaisirs sans douleur ni difficultés. Et je le sentais bien qui me remplissait la chatte, et c’étais follement agréable. Je remuais du cul pour bien le sentir et sa présence dans mes entrailles envoyait dans tout mon corps des ondes de jouissances. Il me remplissait, me possédait mais j’en étais la maîtresse et j’allais le dompter avec ma chatte et ma Terma.
J’ai commencé mes vas et viens sur son zob et chaque fois que ses couilles battaient mes fesses et chatouillaient mon anus, mon excitation s’amplifiait. Je suis restée longtemps à me branler la chatte et son zob dans cette position. Je dansais, en avant et arrière, à droite et à gauche et ainsi, j’ai réussi à avoir trois orgasmes de suite avec son zob qui restait dur et doux à la fois. Il n’a pas faibli d’un pouce et continuait à remplir à fond mes entrailles. Je le niquais avec fougue et énergie et il restait presque impassible sous moi. Je donnais à ma chatte le maximum de plaisir, par vengeance d’hier soir et c’est seulement après mon troisième orgasme que j’ai remarqué sa respiration qui s’accélérait de plus en plus et je savais qu’il allait bientôt éjaculer. J’avais une folle envie de son sperme qui avait beaucoup mouillé mes poils et les lèvres de ma chatte hier soir. Alors, je suis restée totalement assise sur lui, son zob entièrement dans ma chatte et ses couilles collées à l’entré de mon cul. Je me balançais en avant et en arrière sans laisser le zob sortir d’un pouce de ma chatte. Il a essayé de me pousser pour sortir son zob et éviter d’éjaculer dans ma chatte, mais j’ai résisté avec force pour garder le zob au fond de moi et j’ai réussi. Enfin, ne pouvant plus se retenir, il a éjaculé largement dans mes entrailles. Ce sperme, hier perdu à l’extérieur de ma chatte, je le voulais ce soir, entièrement à l’intérieur de mes entrailles. Je serrais ma chatte pour l’empêcher de couler à l’extérieur. Puis, en sortant son zob, j’ai même fermé les lèvres de ma chatte avec ma main pour garder le maximum de sperme en moi. Quant son zob s’est retiré, il avait encore des restes de sperme sur lui, alors je l’ai saisi avec mon autre main et je l’ai léché autant que j’ai pu. Il m’a dit que j’étais folle et cela m’a fait sourire, oui je suis folle de son gros et long zob et de son sperme à profusion. Ensuite, je me suis rhabillée et j’ai rejoins ma chambre, tout en maintenant ma main bouchant mon sexe et préservant le sperme qui était à l’intérieur.
Ensuite je me suis couchée sur le dos en mettant un coussin sous mon cul tout en soulevant mes cuisses, et tout ceci avoir ma chatte assez haute. Puis, j’ai ouvert ma chatte et commencé à jouer avec le sperme qui la remplissait. C’était la première fois que j’avais une telle quantité de sperme dans ma chatte. Hier il était sur mes seins, mes poils du pubis et les lèvres de ma chatte. Et j’en avais recueilli une certaine quantité pour me masturber l’intérieur de la chatte et de mon cul. Ce soir, c’était nettement mieux, j’avais une grande quantité emmagasinée dans ma chatte et je pouvais en user comme je veux. Alors, j’ai commencé à jouer avec mes doigts dans ma chatte, puis à faire couler vers le bas, un peu dans mon cul et y glisser mes doigts pour chatouiller ma Terma avec cette liqueur de mâle. Durant une bonne partie de la nuit, j’ai réussi par cette méthode, à utiliser le sperme de mon neveu pour chatouiller ma Terma et obtenir des jouissances dans tout mon corps. Et j’ai aussi réussi à obtenir pratiquement quatre orgasmes dans ma chatte, avant de m’endormir totalement épuisée. Après cette nuit, et malgré plusieurs tentatives de mon neveu, j’ai refusé de renouveler l’expérience. Mais ce soir, je savais que toi, tu me comprendrais, alors j’ai essayé de nouveau. Et, je suis heureuse que mon corps t’ait accepté sans problème mais au contraire, avec jouissances. Tu seras mon maître et celui de ma chatte et de mon cul durant toutes les absences de mon mari, tu veux bien ? ».
Bien sur que je le veux ! je n’ai jamais cessé de désirer Zoulika depuis des années et maintenant que mon zob a gouté et joui de son corps, je serais moi aussi son esclave tant qu’elle le voudra. Et c’est ainsi que, depuis cette nuit la, Zoulika m’accepté dans son lit, chaque fois que son mari Omar, après juste un mois de congé en ville, repartait pour le reste de l’année au travail à l’étranger. Je devenais son mari pratiquement permanent et Omar est devenu son mari provisoire, à l’occasion de ses congés.

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