47 - Zoulika, La Femme Infidèle De Mon Ami Omar :
Je vous rapporte ce que ma raconté dernièrement un de mes jeunes ami, Hamid électricien âgé de 35 and, sur son voisin et ami Omar et sa femme la belle Zoulika. Je le cite :
« Jai été invité il ya quelques jours, chez mon ami de longue date Oma, âgé de 40 ans, que nous appelions « lémigré » car il se déplaçait trop souvent à létranger pour le travail. A cause de mes occupations, je nai accepté son invitation que quelques jours plus tard. Hélas, quant je suis arrivé chez lui, vers 18h, il était absent car il était déjà retourné, ce matin même, à létranger pour son travail. Mais sa femme Zoulika a insisté pour me retenir quant même, pour ce soir. Bien sûr, je la connaissais aussi depuis longtemps ainsi que sa fillette Mimi et son grand fils Ridha qui était à luniversité et logeait en cité. De même, elle logeait sa vielle mère souvent souffrante et que je connaissais aussi très bien. Alors, elles mont retenu pour le repas.
Zoulika était une très belle femme que javais essayé de draguer, il y a quelques années, mais elle était très sérieuse et très fidèle à son mari. Ce soir, par contre, de par son attitude, son insistance et ses paroles, elle semblait être dans une situation personnelle et conjugale qui semblait la peiner énormément. Après que nous ayons diné, je voulais les quitter, mais elle a insisté pour que je continue la longue soirée avec eux et même la nuit car jhabitais assez loin. Ayant déjà en tête des idées érotiques, jai accepté avec joie. Ainsi, au bout dune petite heure de conversations, elle a couché sa vielle mère fatiguée et sa fillette et nous sommes restés seuls.
Elle est allée dans sa chambre et quant elle en est revenue, elle avait changé dallure et sétait vêtue très légèrement, avec une robe de nuit assez courte et très collante, sous laquelle elle était, à vue dil, totalement nue. Ma présence ne semblait pas la gêner, au contraire, et jétais déjà excité, mon zob bandé men donné la preuve évidente.
Et cest ainsi que petit à petit, notre soirée sest engagée dans des gestes et des confidences qui nous ont rapidement amenés dans sa chambre car jétais pressé de gouter son corps merveilleux et affamé de zob. Elle était totalement engagée, sans hésitation, au contraire, très poussée au plaisir sexuel. Sa chatte était mouillée et coulait de désir et elle fut, ce soir, une amante fougueuse et jouissante. Pressés, nous avons jeté nos habits et, nus, sur le grand lit conjugal, déserté par le mari trop absent, nous avons fait lamour pendant deux heures.
Puis on sest reposé, tout en se donnant de multiples baisers et gentillesses érotiques. Mais jétais curieux de savoir comment elle avait réussi à sauter le pas pour tromper son mari après une fidélité de plusieurs années. Alors elle ma raconté ce qui sétait passé il y a quelques temps avec le fils de sa tante malade. Ce fut la première fois quelle trompait son mari et ça na pas été facile. Mais ce soir, avec moi, ça a été nettement plus facile et plus agréable et quelle voudrait que ça continue entre nous. Jétais daccord, mais je voulais connaitre les détails de son infidélité. »
Alors, Zoulika sest confiée à mon ami Hamid. Comme je connais Hmid, il a du laider à mettre le maximum de détails er de sensations pour que Zoulika sa laisse aller à raconter même le fond de ses pensées et le fond de ses désirs. Peut-être aussi pour sexcuser, si vraiment elle devait le faire ! Laissons Zoulika raconter, elle-même, son aventure en détails : « Mon récit commence quant ma tante est tombée malade et que je suis allée lassister.
Quant jeu fini, je suis sorti, avec juste ma serviette autour du corps et ainsi légèrement vêtue, je suis entré dans ma chambre. Quelle ne fut ma surprise et mon étonnement dy trouver un homme debout en train de fouiller mes affaires sur le lit, mes vêtements de nuit. Il avait déjà à la main mon slip rouge, minuscule et il le compulsait avec attention. Il lavait rapproché de son visage et jétais sûre quil humait son odeur et admirait le petit filet grillagé par devant. Il sest retourné et jai vu que cétait Jamal, le fils de ma tante, que je connaissais et qui était étudiant. Je croyais quil vivait aussi en cité et que ma tante était seule chez elle. Il me regardait avec des yeux ronds et il était aussi surpris que moi. Mais il se reprit vite et sexcusa car, lui aussi, nétait pas au courant de mon arrivée et surtout que je logeais dans la chambre de sa tante. Jétais gênée, mais on se connaissait et quon était parents, on sest quant même dit deux ou trois mots aimables. Il sest même plaint pour me reprocher quil a fallu la maladie de sa mère pour que je vienne les visiter.
Puis jai tendu la main pour lui enlever mon slip, quil tenait toujours. Jétais assez gênée par ma serviette et quant jai voulu saisir le slip, il est tombé par terre. Prestement, je me suis baissée pour le ramasser. Et en me relevant, toujours aussi maladroite et gênée, cest la serviette autour de mon corps qui sest détachée et a glissé par terre. Javais le slip à la main, mais jétais nue devant le garçon ! Tellement surprise et choquée, que je suis restée plusieurs secondes debout, totalement nue face à lui. Ensuite, reprenant difficilement mes esprits, je me suis baissée pour ramasser la serviette. Hélas, ce fut pire, jai constaté que mes seins, qui étaient assez agréablement remplis et érotiquement lourds se balançaient devant ses yeux. Alors je me suis redressée rapidement en mettant mes bras et mains sur mes seins, mais ainsi, joffrais par contre et encore mieux, le tableau de mon ventre, de ma chatte et de mes blanches cuisses au regard avide du jeune homme. Pour éviter tout malentendu, après tout jétais plus âgée que lui et cétait un parent, jai préféré éclater de rire, et dans la foulée, il ma suivi dans mon hilarité. Cependant, comme on était debout face à face, ses yeux allaient, avidement, de mes seins à mon ventre. Et encore mieux, à mon pubis et à ma chatte, très poilus tous les deux car je me rasais rarement suite aux longues absences de mon mari. Jai quant même réussi à ramasser la serviette et il est sorti de la chambre. Malgré nos rires communs, jétais assez ennuyée de la situation dautant plus quavant de quitter la chambre, il ma complimenté, avec un sourire, sur la beauté de mon corps.
Cette nuit, jai été très excitée, alors, jai mis un léger déshabillé sous lequel je me suis couchée toute nue. Mon corps me brulait de désir. Chez moi, javais pris lhabitude de ne mettre aucun sous vêtement, mais je mettais un léger pyjama ou une robe de nuit raisonnable à cause de ma mère. Ce soir, mon corps me tenaillait et ma chatte coulait son jus de désir et je narrivais pas à dormir et jai gardé la petite lampe de chevet allumée. Au milieu de la nuit, jai entendu ou senti la porte de ma chambre qui souvrait. Jai fait semblant dêtre complètement endormie mais, à la faible lueur de la lampe, jai constaté que cétait Jamal, le fils de ma tante. Il était en pyjama et lentement, il sapprocha de mon lit et sarrêta pour mobserver. Jétais peut-être un peu surprise mais pas trop quant même, sans chercher à savoir pourquoi. Il mavait vu toute nue et je suis assez delle et excitante, peut-être quil voulait revoir mon corps, alors, je nai pas bougé dun pouce. Dailleurs, javais, depuis un bon moment, rejeté mon déshabillé qui gênait mes désirs et jétais étalée, presque totalement nue et ouverte, le dos sur le lit. Dans la semi obscurité, il sétait arrêté au niveau de ma chatte poilue et il observait avec des yeux arrondis. Son souffle était légèrement bruyant et saccadé. Javais compris que ma chatte dévoilée, et dont les poils brillaient de sa mouille, amplifiait son désir. Malgré quil a commencé à descendre son pantalon de pyjama, je nai pas bougé, mais jai continué à lobserver. Et, ce qui mest apparu entre ses jambes, dans la semi obscurité, ma donné la plus grande surprise de ma vie. Un zob, un vrai zob comme je nen ai jamais rêvé, même dans mes fantasmes érotiques dans les longues nuits de solitude de ma chambre, chez moi.
Javais toujours trouvé que le zob de mon mari était normal, raisonnable, certes pas autant que ceux des films porno, mais ce que je voyais devant moi, cétait un engin monstrueux, très gros, épais et il pendait entre ses jambes jusquà arriver au milieu de ses cuisses. Je voyais aussi ses couilles très gonflées, qui balançaient de part et dautre de son gros zob. Les mouvements de son zob et de ses couilles ont affolé ma chatte qui a carrément explosé son désir et sa mouille coulait comme un ruisseau. Cétait un spectacle sexuel merveilleux et follement excitant. Jétais sûre que ma chatte qui coulait tellement lui avait fait comprendre quelle et moi avons bien vu son gros zob et le désirons follement. Je navais jamais vu ni même imaginer un tel tableau et une telle situation, alors, sans résistance, jai décidé de mabandonner à cette expérience et gouter au maximum à ce gros zob qui affolait ma chatte. Je nai plus pensé à mon mari, ni à ma tante, ni à rien dautre quà ce gros zob si épais. Il se pencha sur moi et huma lodeur de mes poils de pubis et mis ses lèvres sur celles de ma chatte et me lécha doucement. Puis sa langue chercha et toucha mon clitoris qui était déjà gonflé de désir. Il saisit une de mes jambes puis la souleva et la poussa sur le coté et écarta doucement mais largement mes cuisses. Ainsi, ma chatte soffrit directement en lui ouvrant ses lèvres sans résistance. Il continuait à me caresser et lécher le clitoris, ce qui augmenta la cyprine de ma chatte au point quil le remarqua et commença à la lécher elle-même et boire son nectar. Un bref moment ainsi et ce fut mon premier orgasme qui me secoua tout le corps et jai lancé un gémissement que jessayais d mais quil a très bien entendu.
Jai désiré tout de suite que son zob me pénètre dans ma chatte ou dans mon cul qui étaient inondés par la mouille de mon orgasme. Le jus descendait de ma chatte et mouillait mes fesses et mon cul. Mais lui, il préféra commencer à frotter, ou lisser, doucement son gros zob, une fois sur les lèvres de ma chatte, une autre fois par-dessous, le long du sillon de mon cul, puis sur mon clitoris. Ces caresses de la hampe de son zob sur lentrée de ma chatte et mon clitoris furent telles quun second orgasme me submergea et explosa dans ma chatte. Je suis certaine quil savait maintenant que je ne dormais pas et que je goutais à fond ses caresses silencieuses. Je le scrutais à travers mes yeux semi fermés et il a pris un peu de la mouille de mon orgasme pour se lubrifier le zob, complètement de haut en bas. Il bandait à fond. Ce long geste de sa main sur son gros zob épais fut une épreuve folle pour mes sens. Javais envie, oh oui, totalement envie de me réveiller et de prendre moi-même ce zob pour le sucer et le lubrifier puis lenfoncer dans ma chatte ou mon cul, à son choix. Mais jai réussi à rester immobile, ou presque immobile et cest lui qui continuait à caresser, avec son zob, mes organes sexuels qui brulaient de désir. Il continuait lentement ses vas et viens sur les lèvres de ma chattes, puis, labaissant, il le frotta sur le sillon de mon cul et revient ensuite sur ma chatte, ensuite sur mon clitoris et, suite à ces lentes caresses, jai failli mévanouir. Mais, il ne me pénétra pas, ni par derrière ni par devant. Il faisait osciller et tournoyer son gland et son zob sur mes organes en les frottant avec douceur, mais insistance. Ainsi jai eu un troisième orgasme et mon corps se soulevait quémandant une pénétration à ce gros zob tentateur. Cétait la première fois de ma vie que jai eu trois orgasmes de suite, sans même une pénétration. Même avec mon mari, au mieux de notre union, je pouvais avoir un orgasme et exceptionnellement un second. Mais avec ce zob, lourd et chaud de désir, même en surface, je me suis découverte, capable daimer et de désirer les jouissances sexuelles, les zobs gros et lourds despoir. Et, après une vingtaine ou une trentaine, je ne comptais plus, de ces mouvements de vas et viens en surface, cest lui qui arriva au top, son plaisir montait de ses couilles vers son zob.
Et soudain, il éjacula sur les poils de mon pubis et sur mon ventre. Ses jets étaient tellement puissants quune partie de son sperme arrivait jusquà ma poitrine nue. La quantité déversée était telle que mon pubis fut complètement blanchi par son sperme et une bonne partie coulait sur ma chatte puis sur mes cuisses et descendait vers mes fesses et même sur le lit. Je le sentais parfaitement et jétais totalement heureusement, même si le zob ne mavait pas encore pénétré. Avant, javais cru que cétaient les résultats de la mouille de mes orgasmes, mais cétait la puissance de son zob et la quantité de son sperme qui inondaient mes organes génitaux et le lit. Jétais réellement étonnée car, en vérité, cétait la première fois de ma vie que je voyais autant de sperme sortir dun zob. Mon mari me donnait certes, son sperme mais en quantité, disons raisonnable et on a eu ainsi des s normalement. Mais, là, cest autre chose. Ce sperme, abondant et aux jets puissants, cetait le résultat dun plaisir spécial, dune jouissance formidable et dun zob exceptionnel. Et il ny avait aucune comparaison avec mon mari malgré les quantités accumulées dans ses couilles à cause des absences. Puis, il sessuya le zob sur les poils de mon pubis et les lèvres de ma chatte, se releva, se rhabilla et sortit de la chambre, me laissant seule avec cette quantité de sperme chaud. Je suis restée un long moment à gouter ces instants de plaisir même sils eurent un caractère de masturbation et non de baise. Ma chatte brulait de désir et voulait aussi de ce sperme. Même mon cul en désirait un peu.
Alors, avec les doigts, jai pris une partie de mes seins et de mon pubis et je lai enfoncée un peu dans ma chatte et un peu dans mon cul. Ensuite, jai commencé, avec mes doigts bien enfoncés, des vas et viens insistants dans ma chatte. Javais introduit suffisamment de sperme pour faciliter mon plaisir et jai réussi à obtenir un autre orgasme personnel. Jen ai mis dans mon cul et je me suis sodomisé un moment, puis quant je me suis sentie assez chaude derrière et devant, jai repris ma branle dans ma chatte et ça a marché. Cette ainsi que après avoir introduit le maximum de sperme et en me masturbant avec, jai réussi à obtenir plusieurs fois du plaisir et des orgasmes même légers. Et quant je faiblissais, jajoutais encore du sperme et frottais encore et encore jusquà mon épuisement pour enfin mendormir. »
Puis, Zoulika continua son récit, pratiquement, masochiste car elle y trouvait du plaisir à détailler ce quelle avait fait et ressenti. Peut-être même, elle y ajoutait un peu, prenant ses désirs pour des réalités, allez savoir avec cette femme follement excitée, dans une aventure inédite dadultaire.
« Le lendemain, je me suis occupée des besoins de la maison de ma tante et de ses soins, puis je me suis douchée et rejoins ma chambre attendant la suite de ce que le fils de ma tante allait faire avec moi. Je lai entendu lorsquil est revenu à la maison, et je me suis mise au lit, complètement nue et les cuisses largement écartées pour lui offrir directement ma chatte dès quil franchira la porte de la chambre et me baisera ce soir, je devais lexiger. Mais je lai attendu longtemps, en vain, et chaque fois que jentendais des pas et que je croyais quil allait venir, ma chatte excitée coulait de sa mouille, mais il ne venait pas. Alors, dépitée et affamée de désir, je me suis levée et jai décidé daller voir ce quil faisait dans sa chambre.
Jai pris le plus court de mes baby dols et je suis allé dans sa chambre et jai fermé la porte derrière moi. Il était couché sur le dos, totalement nu et son zob allongé jusquà son nombril. Restée debout devant lui, jobservais son zob que je navais pas bien détaillé hier soir. Je le scannais mieux à la lumière et la mouille de ma chatte coulait goutte à goutte le long de mes cuisses. Ses couilles gonflées étaient aussi grosses que des ufs de poule. Ne pouvant plus résister, jai empoigné son gros zob et commençais à le caresser et lembrasser de partout ainsi que ses couilles. Jai enlevé mon court vêtement pour être totalement nue comme lui. Puis jai mis son zob entre mes seins et je lai serré comme pour lui avouer que je lattendais depuis longtemps. Et en même temps, je léchais et embrassais son gland dentre mes seins. Puis je me suis assise sur ses cuisses, mes jambes de part et dautre de son corps. Maintenant son zob est totalement gonflé et dur comme un pieu de fer. Et puis, il était si long et épais que je nétais pas sure quil me pénètre sans problème et jen avais envie et peur en même temps.
Mes cuisses largement ouvertes, jai pris son zob puis je suis descendu vers lui jusquà ce quil touche les lèvres de ma chatte. Jai frotté son zob sur mon clitoris, puis son gland a ouvert les lèvres de ma chatte qui mouillait en abondance et inondait son zob, cela a facilité la pénétration et la rendue follement agréable. Jai continué à mabaisser sur son zob qui gonflait encore plus et senfonçait de plus en plus à lintérieur de ma chatte, jusquà sentir ses couilles sur mes fesses. Il est rentré dans ma grotte de plaisirs sans douleur ni difficultés. Et je le sentais bien qui me remplissait la chatte, et cétais follement agréable. Je remuais du cul pour bien le sentir et sa présence dans mes entrailles envoyait dans tout mon corps des ondes de jouissances. Il me remplissait, me possédait mais jen étais la maîtresse et jallais le dompter avec ma chatte et ma Terma.
Jai commencé mes vas et viens sur son zob et chaque fois que ses couilles battaient mes fesses et chatouillaient mon anus, mon excitation samplifiait. Je suis restée longtemps à me branler la chatte et son zob dans cette position. Je dansais, en avant et arrière, à droite et à gauche et ainsi, jai réussi à avoir trois orgasmes de suite avec son zob qui restait dur et doux à la fois. Il na pas faibli dun pouce et continuait à remplir à fond mes entrailles. Je le niquais avec fougue et énergie et il restait presque impassible sous moi. Je donnais à ma chatte le maximum de plaisir, par vengeance dhier soir et cest seulement après mon troisième orgasme que jai remarqué sa respiration qui saccélérait de plus en plus et je savais quil allait bientôt éjaculer. Javais une folle envie de son sperme qui avait beaucoup mouillé mes poils et les lèvres de ma chatte hier soir. Alors, je suis restée totalement assise sur lui, son zob entièrement dans ma chatte et ses couilles collées à lentré de mon cul. Je me balançais en avant et en arrière sans laisser le zob sortir dun pouce de ma chatte. Il a essayé de me pousser pour sortir son zob et éviter déjaculer dans ma chatte, mais jai résisté avec force pour garder le zob au fond de moi et jai réussi. Enfin, ne pouvant plus se retenir, il a éjaculé largement dans mes entrailles. Ce sperme, hier perdu à lextérieur de ma chatte, je le voulais ce soir, entièrement à lintérieur de mes entrailles. Je serrais ma chatte pour lempêcher de couler à lextérieur. Puis, en sortant son zob, jai même fermé les lèvres de ma chatte avec ma main pour garder le maximum de sperme en moi. Quant son zob sest retiré, il avait encore des restes de sperme sur lui, alors je lai saisi avec mon autre main et je lai léché autant que jai pu. Il ma dit que jétais folle et cela ma fait sourire, oui je suis folle de son gros et long zob et de son sperme à profusion. Ensuite, je me suis rhabillée et jai rejoins ma chambre, tout en maintenant ma main bouchant mon sexe et préservant le sperme qui était à lintérieur.
Ensuite je me suis couchée sur le dos en mettant un coussin sous mon cul tout en soulevant mes cuisses, et tout ceci avoir ma chatte assez haute. Puis, jai ouvert ma chatte et commencé à jouer avec le sperme qui la remplissait. Cétait la première fois que javais une telle quantité de sperme dans ma chatte. Hier il était sur mes seins, mes poils du pubis et les lèvres de ma chatte. Et jen avais recueilli une certaine quantité pour me masturber lintérieur de la chatte et de mon cul. Ce soir, cétait nettement mieux, javais une grande quantité emmagasinée dans ma chatte et je pouvais en user comme je veux. Alors, jai commencé à jouer avec mes doigts dans ma chatte, puis à faire couler vers le bas, un peu dans mon cul et y glisser mes doigts pour chatouiller ma Terma avec cette liqueur de mâle. Durant une bonne partie de la nuit, jai réussi par cette méthode, à utiliser le sperme de mon neveu pour chatouiller ma Terma et obtenir des jouissances dans tout mon corps. Et jai aussi réussi à obtenir pratiquement quatre orgasmes dans ma chatte, avant de mendormir totalement épuisée. Après cette nuit, et malgré plusieurs tentatives de mon neveu, jai refusé de renouveler lexpérience. Mais ce soir, je savais que toi, tu me comprendrais, alors jai essayé de nouveau. Et, je suis heureuse que mon corps tait accepté sans problème mais au contraire, avec jouissances. Tu seras mon maître et celui de ma chatte et de mon cul durant toutes les absences de mon mari, tu veux bien ? ».
Bien sur que je le veux ! je nai jamais cessé de désirer Zoulika depuis des années et maintenant que mon zob a gouté et joui de son corps, je serais moi aussi son esclave tant quelle le voudra. Et cest ainsi que, depuis cette nuit la, Zoulika maccepté dans son lit, chaque fois que son mari Omar, après juste un mois de congé en ville, repartait pour le reste de lannée au travail à létranger. Je devenais son mari pratiquement permanent et Omar est devenu son mari provisoire, à loccasion de ses congés.
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