Une Belle Mère Spéciale 2

Maxime, dans ses pensées et marchant mécaniquement, ne remarqua pas qu’ils se dirigeaient vers l’extérieur. Marine-le prit par les cheveux pour l’emmener à l’extérieur, l’amenant vers la petite grange au fond du jardin.

Elle lui ordonna de se mettre à quatre pattes, la seconde d’hésitation lui valut un coup de cravache immédiat, ce qui eut pour conséquence de le faire se jeter au sol, tant il souhaitait éviter la douleur.

Marine ne fut plus dans son champ de vision quelques instants, juste le temps pour elle d’aller chercher ses gants, ainsi que sa brosse à chevaux.


— Au moins ça me change, d’habitude je lave des chevaux qui ressemblent à des étalons, là au mieux ce serait une petite ponette


Elle commença par le mouiller sans aucune pitié avec le jet d’eau froide, assez puissant d’ailleurs. Après l’avoir bien trempé, sans un mot elle le lava, avec la brosse, ce qui procura une sensation très désagréable et douloureuse à Maxime. Lui qui tant bien que mal tenta de reste digne, sans qu’il ne se rende vraiment compte que sa dignité était déjà réduite en cendres...

Elle prit bien soin de frotter fort et longtemps dans sa raie, et sur son sexe. Déjà petit en temps normal, il était devenu ridicule avec l’eau froide, ce qui lui valut les moqueries de Marine. Après quoi elle le rinça, puis saisi son sexe et ses couilles dans son gant et serra le tout.

"Ce serait te mentir que de te dire que tu vas tirer quelque chose de ça un jour, c’est juste à mourir de rire. Va vite falloir que tu comprennes où est ta place, et à quoi tu vas servir. Enfin ça viendra plus tard avec le temps tu vas voir.

Quand on prend un animal il faut l’éduquer de A à Z donc on va tout reprendre depuis le début. C’est moi qui déciderais de tout, ton rythme de vie, ce que tu feras, tout. Le moment où tu devras faire tes besoins, ce sera ma décision. Et puisque tu es à quatre pattes, tu vas le rester, c’est une bonne position pour toi.

Pour bien commencer une journée, il faut commencer par les punitions, que tu comprennes que c’est pour ton bien. Pour ça on va rentrer à la maison"

Marine ne se retourna même pas pour vérifier qu’il marcha à quatre pattes derrière elle tant elle sue à quel point l’emprise fut rapide à prendre sur cet être si faible psychologiquement. Et physiquement à ses yeux également.


À peine le pas de la porte franchi, elle ordonna à Maxime de nettoyer ses bottes avec sa langue pour ne pas salir la maison. Avec dégoût Maxime s’ordonna, du bout de la langue il commença à s’exécuter. Sans qu’il s’y attende Marine retira sa botte précipitamment, le retourna immédiatement sur le dos. Elle monta sur lui et lui cravacha violemment le sexe et les testicules.


— Tu vas vite apprendre crois-moi, à quand je te demande quelque chose à le faire correctement et avec envie. Tu te prends pour qui à avoir du dégoût comme ça alors que je te donne l’honneur de nettoyer mes bottes.


Maxime ne put retenir dans sa douleur, une tentative de pitié tant la douleur était forte.


— Non arrête s’il te plaît ça fait mal


Chose qu’elle fit immédiatement.

Elle descendit de son torse, le regarda se tordre de douleur quelques instants. Puis dans un calme olympien lui dit :


— Non seulement tu viens de parler sans autorisation et en plus de ça tu m’as tutoyé


Maxime ne sachant que faire, ne répondit rien. Sans un mot Marine pris un torchon traînant près de la porte le posa sur les yeux de Maxime. Lui restant immobile ne voulant aggraver la situation. Quand après avoir entendu des bruits de vêtements, il sentit un liquide chaud lui couler sur le visage. Par réflexe il commença à essayer de l’éviter, quand le pied de Marine vint lui écraser la tête contre le sol.

"Écoute-moi bien sale merde, soit tu bouges et j’appelle ton père et tu sais ce qui va se passer, soit tu restes immobile et on continue" Maxime s’immobilisa, prenant soin de bien fermer la bouche.


"Bien voilà ce que tu es à mes yeux, une merde, une chiotte, je vais faire de toi mon larbin, et crois-moi tu vas obéir comme il se doit. Donc quand j’aurais fini de pisser sur ta gueule tu vas lécher avec ta langue toute la pisse au sol. Ensuite tu nettoieras mes bottes toujours avec ta langue. Et ensuite on continuera la punition et à chaque gémissement ou mouvement je rajouterais 10 coups de cravache.

Maxime, lentement mais sûrement, en faisant attention de ne pas montrer de signe de dégoûté, s’exécuta. Lapant l’urine sur le sol, puis nettoyant les bottes dans toute leur longueur, sous la semelle également. Puis sans attendre les consignes de Marine, se mit sur le dos en position comme chez le gynécologue.

Marine qui fut silencieuse, mais attentive, tout le long, remonta sur le torse de Maxime. Toujours sans un mot, elle claqua 10 fois les parties de Maxime, qui bien qu’il se contractât de douleur, ne poussa pas un cri, pas un son ne sortit de sa bouche.


— Tu commences à comprendre, c’est bien, même si on est qu’au début. Sache que je vais prendre de quoi te bander les yeux, car régulièrement quand tu me serviras de toilette, ou juste pour me nettoyer tu ne seras jamais autorisé à me voir nue. Hors de question qu’un moins de rien dans ton genre accède à ce privilège. Maintenant on va commencer, les punitions journalières, ça c’était juste pour te punir de ton manque d’obéissance. Remets-toi à quatre pattes.


Elle commença à claquer sa cravache sur les fesses de Maxime, une fesse par une fesse. Jusqu’à atteindre les 30 sur chacune d’elles. Puis elle lui ordonna de tirer la langue, sur laquelle elle frappa 30 fois également sa cravache. Ce fut ensuite au tour de chaque téton de subir le même sort.


— Bien on va commencer les tâches ménagères maintenant. Par contre j’ai oublié d’introduire une règle très importante. Si un jour je te surprends à avoir le sexe en érection, Quelle que soit la raison de cette dernière tu subiras une punition d’une intensité que tu ne peux pas imaginer, fais très attention à toi sur ce point tu le regretteras amèrement sinon.


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