Collection Triolisme. Les Deux Copines (1/2)
- Arrête, tu es fou, elle pourrait venir.
- Ne te tracasse pas, depuis que je la connais, jamais elle na interrompu une histoire lorsquelle est partie.
Surtout celle-là ; je la connais déjà, ça va lui prendre encore vingt minutes.
Tu veux que je te la fasse courte.
- Non, embrasse-moi plutôt, ce sera un avant-gout de lundi après-midi.
Oui, caresse-moi les seins, tu sais que cest ce que je préfère chez toi depuis que nous sommes amants.
Tu es le seul homme qui a su me faire jouir en toccupant deux.
- Ça serait difficile de passer à côté Jennifer, ils sont si gros et fermes.
- Je regardais Marie tout à lheure quand elle sest penchée pour me servir un morceau de bourguignon, tu nas pas dû prendre beaucoup de plaisir avec ses oeufs sur le plat.
- Tu exagères, tout juste des balles de tennis, retournons dans la salle, demain tu verras ton petit cul il va ramasser.
- Des promesses, toujours des promesses.
- Oui, mais que je sais parfaitement satisfaire.
Jennifer me quitte retournant seule dans la salle, pendant que je mets les assiettes de lentrée dans le lave-vaisselle avant de prendre le plateau de fromages et de lapporter sur la table avant la salade.
- Merci mon chéri, je savais compter sur toi, jexplique à nos amis comment tu mas sauvé la vie à la Réunion dun requin qui voulait me manger.
- Les amis, je vais vous la faire court, jai entendu ce que Marie a dit depuis la cuisine, ce requin faisait à peine 50 à 60 centimètres et cherchait des petits poissons à manger.
- Mais il avait des dents.
- Bien sûr, mais si petites et sa bouche létait aussi quà part un doigt de tes pieds, il aurait eu du mal à te croquer.
- Je taime mon chéri, mais il faut toujours que tu me rabaisses devant des amis.
- Marie arrête de te faire passer pour martyr devant Benoît et Jacques, ils savent très bien que Nicolas est aux petits soins pour toi depuis que tu las rencontré.
- Cest vrai mon chéri, tu es un homme parfait, tu as raison Jennifer.
Marie lève la tête au moment où je lui présente le saladier et après le baiser donné à ma maîtresse dans la cuisine, jembrasse ma femme.
Ce soir nous avions invité un couple homo Benoît et Nicolas, ils sont ensemble depuis deux ans et doivent se marier en juillet prochain.
Ce soir ils nous ont demandés dêtre tous les trois leurs témoins de mariage.
Quant à Jennifer, elle vit seule depuis quun jour, je suis allé chez elle faire la peinture de sa salle à manger et que nous nous sommes servis de mon pinceau pour repeindre lintérieur de sa chatte.
Ça fait presque deux ans que nous sommes amants, faisant très attention à ne pas nous faire prendre par Marie, nous sommes daccord quelle ne mérite pas de la faire souffrir.
De plus, Jennifer est sa copine depuis le plus jeune âge, elles sont nées le même jour dans la même maternité, dans des chambres voisines avec deux mères et deux pères, eux-mêmes, amis de longue date.
Avec Jennifer, nous nous voyons tous les lundis après-midi, il faut dire que Jennifer a une boutique de vêtements féminins dans la même rue piétonne de notre ville.
Quant à nous, nous avons la boutique de chaussures mitoyenne de la sienne.
Nous sommes associés financièrement, si un commerce a des bas, lautre le maintient ou vice et versa.
Les lundis, les boutiques sont fermées et Marie immanquablement part après notre nuit de récupération chez sa mère à 50 kilomètres de chez nous.
Jallais avec elle avant dêtre lamant de Jennifer.
Il a été facile de ne plus y aller, me dégageant du temps.
- Nicolas sort de chez-moi, inutile de revenir.
Cest ainsi que jai pu me libérer de ma belle-mère en lui disant quil faudrait quelle fasse attention à elle, quelle était si grosse quun jour elle allait exploser.
Pour faire bonne mesure, jai rajouté quelle avait doublé de volume depuis quaprès la mort de son mari, elle sétait mise avec un connard qui nen voulait quà son fric.
Je savais quelle lavait foutu dehors car il lui avait volé du fric et des bijoux.
Marie mavait tout dit.
Marie ma fait la gueule pendant plus dune semaine, mais quand je lui ai donné les billets pour la Réunion, île où elle était née son père étant un gendarme, le père de Jennifer aussi.
Cest pendant ce voyage qua eu lieu, lincident du petit requin.
Nous étions partis 15 jours, un seul point noir, Jennifer qui aurait voulu nous accompagner.
Il aurait été facile de lemmener, mais nous avons fini par concevoir que les risques étaient trop grands que nous fassions une bêtise plus grande que celle de coucher ensemble tous les lundis après-midi.
Quand je lai retrouvée après notre séjour, tout a roulé comme nous lespérions.
Je pouvais dire que javais deux femmes, sans que lun des deux sache que je baisais la deuxième.
- Jennifer, je taime autant que Marie, donne-moi tes seins, je rêve deux depuis notre petite séance de pelotage dans notre cuisine.
- Moi aussi Nicolas, arrache-les-moi !
Nous sommes dans la chambre de Jennifer, rien de bien classique pour des amants, elle est en levrette, je les empoigne et je les tire à moi.
Cest la meilleure façon que jai de la faire partir, comme je lui ai dit le soir avec nos homos elle a des seins à faire damner des saints.
Rapidement ma queue est en elle et je peux la sexer avec de grands coups qui la font hurler littéralement de plaisir.
Je lui enfonce mon dard dans la chatte le plus longtemps possible, je sens son corps vibrer sans relâcher ses seins, je sais par expérience que lorsque je les relâcherai, ils seront rouges davoir été tirés tout ce temps.
Une nouvelle fois elle jouit.
Je relâche ses seins, je la retourne et montant jusquà son visage, je lui fourre ma bite engluée de sa cyprine dans la bouche.
- Suce salope, regarde comme ma bite sent bon, regarde comme ton corps dégage de bonnes effluves quand tu jouis.
Ce oui, cest au moment où je lui remplis la bouche alors quelle me fait une gorge profonde.
Je me recule un peu pour quelle avale, elle aime mon sperme cette salope, il faut que jévite quelle-même arrose ma queue.
Puis nous tombons dans les bras lun de lautre afin de récupérer.
Chaque lundi, je la prends deux fois, même si Marie a envie de moi, jarrive sans problème dans notre quarantaine à les satisfaire toutes les deux.
- Coucou, tu es là Jennifer, jai rapporté ta robe, maman avait rendez-vous chez son gynéco et ne souhaitait pas que je laccompagne.
Panique dans la chambre, Marie est là, comment être discret alors que nos affaires sont éparpillées dans le vestibule.
La catastrophe ne prend pas longtemps à nous arriver, Marie entre dans la chambre.
Par chance, Jennifer est la première sur son chemin et les deux femmes en arrivent aux mains.
Comment se mêler à deux chiennes en furie, qui se jettent lune sur lautre ?
Les seins de Jennifer sautent de droite à gauche.
Elles arrivent à sattr les cheveux, je voudrais bien intervenir, mais je ne suis pas fou, je tiens à mes yeux, maman ne men a donné que deux.
Elles finissent par rouler au sol sur la carpette.
Je vais depuis le lit où je suis assis, vous narrer ce qui se passe.
Je vois déjà les commentaires surtout de certaines femmes me traitant de macho.
Cest vrai, je le conçois, surtout que ces deux femmes à un certain degré différent, je les aime, jai bien pensé un moment à les réunir pour leur parler de mon amour, mais la peur den perdre une ma retenu.
Nous sommes à la croisée de notre vie, surtout quand je vois un bout de robe de Marie voler sur le lit.
Elle semble avoir le dessous et arrive à séchapper vers la salle.
Au passage, le reste de la robe tombe au sol.
Je me penche, elles roulent de nouveau au sol, les dents sont de sortie.
Là ça va un peu loin, surtout quelles semblent un peu essoufflées.
Je me lève et japproche du lieu de la bagarre, en faisant attention, avec lenvie de me boucher les oreilles tellement le langage est châtié entre « grosse pute », « salope ».
Jentends même « truie ».
Ma main part au milieu de la mêlée, cheveux blonds dans la main, je tire.
Jennifer est maîtrisée.
Ma main replonge, tête brune, je tire, je les tiens fermement.
Elles sont obligées de suivre, leur visage que je rapproche est à la hauteur du mien.
- Les filles, vous arrêtez vos conneries, je vous aime autant lune que lautre, nous arrivons déjà à travailler en osmose, je suis disposé à vivre avec vous deux.
- Tu peux toujours courir, moi vivante, je vous haïrais toujours.
Je renforce ma tension sur les cheveux de Marie, qui vient de prononcer ces mots.
Je sens les seins de Jennifer sur mon torse et le sein droit de Marie à travers son soutien-gorge seul sous-vêtement avec sa culotte qui lui reste sur le dos.
- Marie, calme-toi, sinon je tire, quitte à tarracher tes cheveux, embrasse ta copine.
Elle rechigne à mon injonction, Jennifer a vue où je voulais en venir, depuis sa prime jeunesse était-elle amoureuse de son amie sans jamais provoquer leur rencontre saphique ?
Limprobable au départ se produit quand je tire une nouvelle fois surtout sur la tête de Marie.
Jennifer offre sa bouche à Marie qui lui présente la sienne.
Je vois même Jennifer sortir sa langue au moment où la soudure se fait.
- Cest bien les filles, je vois que la tension redescend, deuxième phase, sans que je vous tire sur vos cheveux, mettez-vous à genoux.
Petite tension un petit instant, je tire un tout petit peu, les genoux plient, elles sont à genoux devant moi.
- Je vais prendre un risque, vous allez me sucer, celle qui mord, je la massacre
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