Fete Du Nouvel An
Nous étions invités pour la soirée du nouvel an par des amis qui pour loccasion avaient loués une grande salle. Au programme, champagne, musique, danse
. La soirée sannonçant joyeuse. Richard avait insisté pour que je porte une robe noire très moulante et courte avec le haut en satin blanc. Je ne lavais pas mise depuis plusieurs années et à ma grande surprise je rentrais encore dedans. Quand Richard se colla à moi dans la salle de bain pour soit disant maccrocher mon collier je pus sentir que ma tenue lui faisait beaucoup deffet. La Baby Sitter arriva vers 19h30 et après les conseils dusage nous partîmes. La soirée était très réussie, nous étions une quarantaine de personne dansant sur des rythmes effrénés enivrés par le champagne.
A minuit, nous nous souhaitâmes une bonne année, chacun embrassant chaleureusement les autres. Richard choisit ce moment pour me dire :
- Jai envie de toi maintenant, retrouve moi dans les toilettes dans 30 minutes.
- Richard pas ici tu as vu tout le monde, ça peu attendre la maison
- Non tout de suite ! Autant commencer lannée en beauté
Cela nappelait donc pas à discussion. 30 minutes plus tard je suivais donc mon époux vers les toilettes. Il me fit entrer en premier et me demanda de masseoir.
- Suce moi maintenant, je veux sentir ta langue sur mon sexe
Il sorti son sexe de son pantalon et le dirigea vers ma bouche. Je pus constatais quil était terriblement excité, son membre était déjà très dure et baveux. Je le pris en bouche, et me mis à le sucer. Je savais Richard très sensible à mes caresses buccales et craignait quil se libérer sur moi laissant des stigmates sur mon corps et mes vêtements de son passage sur moi.
- Promets moi de ne pas me salir, et de ne pas men mettre partout !
- Cest promis, suces moi maintenant ma belle cochonne, je veux sentir ta langue me léchait le long de mon sexe
- Oui comme ça continue, tu mérites ma bitte dans la bouche, cest ta punition pour mavoir excité toute la soirée.
Une de ses mains me tenait fermement par les cheveux mimposant le rythme de la fellation alors que son autre main avait glissé sous ma robe, afin de soccuper de ma volumineuse poitrine. Il avait écarté mon soutien gorge et malaxait mes seins avec force.
- Tu aimes que je te malaxe tes gros seins hein ma belle. Cest vrai tu ne peux pas me répondre, une belle bourgeoise bien élevée ne parle pas la bouche pleine. Ahhh oui ta langue, tes bonne continue, de me sucer
. Et tes grosses mamelles, je suis sur que tu aimerais te faire traire tes grosses loches comme une vache.
Je passais ma langue sur le long de son sexe, lui léchant son membre comme une glace, il était surexcité. Nous entendîmes quelquun rentrer dans les toilettes. Je stoppais afin de ne pas faire de bruit. Richard se taisait, mais avec un grand sourire mon pervers de mari, plaça son gros membre entre mes seins et me glissa dans loreille.
- Branle moi avec tes seins poufiasse et je veux que tu me regardes dans les yeux en même temps.
Richard savait que je naimais pas cela. Encore un moyen pour lui dassouvir son fantasme de domination, en soumettant la docile épouse bourgeoise. Je lui obéissais et enserrer son sexe avec mes seins tout en les faisant remuer de haut en bas pour faire coulisser son sexe. Au bord de la jouissance, il marrêta. Je compris quil ne voulait pas éjaculer. Il releva ma robe, baissa mes collants.
- Je vois que madame a mis le beau string que je lui ai offert à Noël. Je savais que cela te plairait. En fait tu fais très BCBG au dessus mais en dessous tes une vraie salope. Montre moi comme tes excitée
.
Il se baissa et enfoui sa langue entre mes cuisses me léchant pour constater immédiatement au combien la fellation mavait excité. Ses mains palpaient mes fesses alors que sa langue explorait lentré de mon vagin. Javais plaçais la paume de ma main sur ma bouche afin que mes gémissements nattirent pas lattention.
Vers 4H du matin nous décidions de rentrer. Après avoir salué nos amis, nous reprîmes la voiture afin de rentrer à la maison. Richard conduisait tranquillement, une main sur le volant lautre sur ma cuisse (jai toujours soupçonnée le choix la boite automatique influençait par cette fâcheuse habitude de me caressait les cuisses). Arrivait à la maison, il actionna la porte automatique du garage et rentra la voiture. Une fois le garage refermé, il me dit :
- Et si nous terminions se qui a si bien commencer.
- Et la baby-sitter ?
- Elle doit dormir, et elle ne peut pas nous entendre du haut
Il défit sa cravate et mattacha les mains. Il accrocha ensuite lautre bout de la cravate au volant de lespace. Il sorti de la voiture, et vient se placer de mon coté, me demandant de me retourner. Jobéis, offrant la vue de ma croupe à son regard lubrique. Il sétait rapproché de moi, je sentais son souffle sur ma nuque, ainsi que ses mains parcourir ma croupe. Jétais à sa merci, attaché au volant, mes genoux reposant sur mon siège offrant mes fesses à mon mari. Il ouvrit le haut de ma robe tirant très fort sur le satin blanc libérant mes seins toujours prisonniers de mon soutien gorge. Il prit ensuite mes seins dans ses mains, les libérant pour les laisser pendre offert à ses caresses.
- Sest comme ça que je taime ma belle, offerte et soumise. Tes super bandante comme ça, laisse moi toccuper de tes fesses maintenant
Il releva le bas de ma robe, découvrant mes fesses toujours protégées par mes collants.
- Pénètre moi maintenant, je veux sentir ton sexe en moi, viens vite, jen peux plus dattendre
Il déchira mes collants dévoilant mes fesses, juste protégées par mon string.
- Voila maintenant tes prête. Ton gros cul de bourgeoise ouvert prêt à recevoir ma bitte
Il écarta mon string, et enfonça son sexe en moi. Me tenant fermement par les fesses. Une fois entièrement en moi il marqua une pause.
- Ahhh, tes toujours aussi étroite, même avec tous les coups de bittes que je tai mis. Jadore sentir mon sexe dans ta petite chatte, en plus tu me sens bien hein ma belle ?
- Oui je te sens, vas y pilonne moi maintenant, baise moi comme une chienne, je dois payer pour tavoir, excitée ce soir, je suis ta chose, défonce moi.
- Tas raison ma belle cochonne tu dois payer et tu vas payer a grand coup de bitte, cest ce que tu aimes hein salope.
Il me laboura les fesses, rythmant son pilonnage en mappliquant de grande claque sur les fesses. Je sentais son gros sexe en moi entrant et sortant comme un piston mécanique, me laissant sans répit, essoufflé et compétemment défaite. Ses mains avaient saisies lune mes cheveux, lautre mes seins. Pendant quil me maintenait les cheveux comme on att une jument par la crinière, son autre main me pétrissait les seins les malaxant les soupesant. Je me sentais défaillir sous les coups de butoir
.
- Bouge moi ton gros cul, je veux sentir tes fesses remuaient, avant que je téjacule dessus. Oui comme ça continue, cest bon de voir tes fesses se déhancher comme ça, oui tes vraiment trop bonne. Je vais te jouir dessus, dis moi ou, sur tes fesses, dans ta bouche, sur tes seins ?
- Oui, joui sur mes fesses, mais ne me salis pas sil te plait
- Tas raison, je vais te gicler sur les fesses, et sur ta robe, comme ça la baby-sitter verra que tu tes fait baser et juteux dessus.
- Non par sur ma robe ne me tache pas
Il sorti son sexe et continua a se masturber jusqu'à ce que son précieux jus se répandent sur mes fesses et bien évidemment sur ma robe.
- Bonne année ma chérie
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