Manon En Enfer 3

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

DE SALOPE A PROSTITUEE 3

Cela fait déjà 15 jours que Manon a donné du plaisir au DRH de la société qui emploie son mari.
Sans nouvelles de lui elle pense maintenant que ses dernières paroles ont été lancées en l'air pour l'impressionner et la faire flipper mais que ce ne sera pas suivi d'actes.
Malgré tout elle a acheté un portable et communiqué le numéro au DRH par l'intermédiaire de Marvin le chef de production.

Le mari de Manon a été muté et part maintenant régulièrement en déplacement pour un, plusieurs jours ou la semaine
Quand il rentre chez lui c'est pour vidanger le trop plein dû à l'abstinence et se reposer car il est souvent fatigué car il travaille aussi bien de jour que de nuit suivant les impératifs, ce qui ne fait pas l'affaire de Manon qui ne peut pas assouvir ses besoins sexuels.
Evidemment elle ne sait pas encore c'est une stratégie pour que Manon soit disponible en permanence, sans être dérangée par la présence de son homme.
Le but du DRH est qu'elle serve de prostituée auprès des clients de la société.

Un beau jour, soudain le nouveau portable de Manon sonne pour la première fois.
<<allo>>.
<<bonjour. Je me présente, je suis Bernard M.... le Directeur Commercial de la société qui emploie ton mari>>.
<<bonjour. Vous m'appelez pourquoi, mon mari n'est pas là>>.
<<c'est à toi que je m'adresse, j'ai du travail pour toi et c'est prévu pour après-demain à 14 heures>>.
Manon reste un moment interdite.
<<allo Manon, je devrais plutôt dire la putain comme le demande monsieur René notre DRH, tu m'entends>>.
<<oui! mais je ne suis pas intéressée>>.
<<je ne crois pas que cette réponse soit du goût de monsieur René et il risque de t'en tenir rigueur avec des conséquences fâcheuses pour ton mari si tu me comprends>>.


Manon est acculée et ne peut pas refuser.
<<si j'accepte, qu'est ce que je dois faire>>.
<<monsieur René m'a dit que tu es une putain de premier ordre et que je peux compter sur toi pour un travail bien fait>>.
<<admettons même si le mot est dégradant, c'est votre DRH qui veut m'obliger à faire certaines choses qui me répugnent>>.
<<tu es une putain ou pas>>.
<<c'est comme-ça que votre DRH m'appelle mais je ne suis loin d'en être une>>.
<<je ne te laisse pas le choix, j'ai besoin d'une bonne putain pour amadouer un client afin qu'il signe un contrat juteux pour nous>>.
Manon qui n'arrive plus à penser correctement abdique.
<<exceptionnellement je vais accepter, donnez moi tous les renseignements nécessaires mais c'est la première et la dernière fois que je fais ça>>.
Le directeur commercial hausse le ton.
<<tu n'es pas en mesure d'imposer quoi que ce soit, tu feras ce qu'on te demande cela à chaque fois qu'on aura besoin d'une putain. Tu m'as bien compris. Maintenant ouvres tes oreilles je vais t'expliquer pour ton client>>.
Bernard explique dans le détail ou et quand Manon doit commencer à exercer le plus vieux métier du monde.
<<bien monsieur j'irais au rendez-vous et je ferais ce qu'il faut pour que votre client soit pleinement satisfait>>.

Malheureusement il n'en a pas fini avec elle.
<<autre chose, j'ai besoin de m'assurer par moi-même que tu es apte pour les missions que je vais dorénavant te confier>>.
<<que dois je faire>>.
<<viens à 16 heures cet après-midi à l'hôtel "le tribord" chambre 115, tu me montreras ce que tu sais faire>>.
<<ce rendez-vous n'est pas nécessaire, je ne vous décevrais pas avec votre client>>.
<<si! tu viendras comme je te le demande, il n'y a pas de raison pour que je ne profite pas moi aussi de toi avant que les hommes ne t'aient complètement défoncée le cul et ainsi je pourrais détailler à mes clients ce qu'ils peuvent espérer de notre putain attitrée avant qu'ils ne te rencontrent>>.

<<vous exagérez et en voulez trop>>.
<<tu es une putain ou pas>>.
Manon prise dans l'engrenage et résignée ne lutte plus.
<<oui monsieur j'en suis une puisque vous en avez décidé ainsi, je suis à votre service>>.
<<alors soit exacte au rendez-vous cet après-midi pour faire tes preuves>>.
L'homme raccroche.

En début d'après midi, résignée, Manon choisit soigneusement ses vêtements pour faire bonne impression à Bernard.
D'abord un string et soutien-gorge seins nus coordonnés.
Un maillot blanc ajusté afin de faire ressortir ses seins et surtout ses tétons qu'elle enduit de produit chauffant afin de les ériger.
Une jupe écossaise mini.
Des bas à résilles auto-fixant.
Des bottes genre mousquetaires qui montent largement au dessus des genoux.
Elle soigne son maquillage afin de ne pas paraître femme honnête.
Elle se regarde dans un miroir et est satisfaite du résultat, le directeur commercial devrait être content et penser qu'il a affaire à une prostituée professionnelle.
Manon se rend au rendez-vous en voiture et se gare le plus près possible de l'hôtel afin d'être le moins possible exposée aux regards des passants.
Elle pénètre dans l'établissement et se dirige vers la réception.
<<bonjour monsieur, la chambre 115 s'il vous plait>>.
<<au premier étage vous êtes attendue>>.
Manon se dirige vers l'escalier qui mène à l'étage suivie par le regard de réceptionniste et son air moqueur.

Elle frappe à la porte de la chambre 115.
<<entre, c'est ouvert>>.
Manon pénètre dans la chambre et après avoir refermé la porte se dirige vers le lit sur lequel un homme brun de taille moyenne est assis.
<<bonjour monsieur, je suis Manon>>.
<<donc c'est toi la putain, dorénavant présentes toi toujours sous ce nom qu'on t'a attribué>>.

<<oui monsieur>>.
<<tournes que je te voie en détail>>.
Manon tourne lentement sur elle-même.
<<c'est bien, tu es affublée comme une parfaite putain, tu as l'air d'avoir compris ce que j'attends de toi>>.
<<j'ai choisie ma tenue afin de vous satisfaire>>.
<<déshabilles toi lentement afin que je voie dans le détail ton corps>>.
Pendant son effeuillage Manon prend des poses et se positionne de façon à montrer le mieux possible l'endroit qu'elle met à nu pour le plus grand plaisir de Bernard dont les yeux ont tendance à sortir de leur orbite.
Enfin elle est totalement nue à part ses bas.
<<oui, physiquement tu vaux le coup de bite et tu nous seras très utile avec la clientèle mais maintenant il faut voir si pour la pratique tu es à la hauteur>>.
<<je vais vous montrer ce que je sais faire monsieur, à vous de juger ensuite>>.

Manon s'approche de Bernard et le prenant par le bras l'incite à se mettre debout.
elle caresse son visage.
Mettant ses mains sous sa veste elle caresse son torse par dessus la chemise.
Elle se colle contre l'homme, passe un bras autour de son cou et tout en caressant l'endroit ou est censé se trouver le sexe elle embrasse la figure et le cou de Bernard avant de poser ses lèvres sur les siennes et de sortir sa langue qui pénètre dans la bouche de l'homme et va à la recherche de sa langue à lui.
Il finit par répondre à ses baisers qu'elle fait durer pendant qu'une main qu'elle glisse entre les cuisses de Bernard pour constater que son sexe n'est pas insensible.
Manon s'attaque aux vêtements en commençant par la veste puis à la cravate avant de déboutonner la chemise.
Elle caresse, embrasse et lèche le torse tout en le débarrassant de la chemise.
Elle se baisse et dégrafe la ceinture puis baisse le pantalon avant de faire descendre doucement le caleçon tout en embrassant le ventre, les cuisses et le pénis.

Elle aide Bernard à se débarrasser des vêtements devenus inutiles qui se retrouvent en vrac sur une chaise qui se trouvait à proximité.

A genoux, pendant que ses mains caressent les cuisses et le ventre de Bernard, Manon embrasse puis lèche partout le gros sexe bien érigé par l'envie.
Elle suçote pendant un moment le gland, le directeur tressaille.
Les mains agrippées aux cuisses de l'homme Manon enfonce au maximum la queue imposante dans sa bouche et reste un moment sans bouger.
Maintenant sa bouche fait des va-et-vient d'abord doucement puis de plus en plus rapidement sans que la verge, qui vient buter au fond de la gorge, ne sorte complètement de la cavité buccale.
Bernard souffle, la traite de grosse putain.
Il lui dit qu'ils ne se sont pas trompés sur son compte et que se satisfaire uniquement de son mari c'est du gâchis et que sa vocation c'est la prostitution.
Son corps se tend, sa queue tremble dans la bouche de Manon pendant qu'il envoie de longues giclées de sperme qui frappent le fond de la gorge.
Manon avale la semence puis reprend la fellation jusqu'à ce qu'elle soit sure que l'érection est durable.

Elle se recule et se relève puis pousse l'homme qui s'allonge sur le lit.
Manon se met à califourchon sur lui, au niveau de son bassin, les jambes de chaque côté de son corps.
Elle tient la queue avec une main et la dirige vers son sexe puis se baisse pour la faire pénétrer à l'intérieur, elle ressent fortement le coulissement du membre qui repousse les chairs pour faire sa place, enfin le pénis bute au fond du vagin.
S'aidant des muscles de ses cuisses Manon imprime un mouvement de va-et-vient pour faire aller et venir la queue dans son ventre tout en caressant le corps de l'homme qui malaxe ses seins et triture les tétons.
Bernard continue à la traiter de grosse putain sans morale, de gargouille à bite et autres insultes mais elle imperturbable continue à remuer sur lui.
A s'exciter l'homme ne tient pas très longtemps et avec des soubresauts sa verge déverse sa semence dans le vagin de Manon puis il reste sans bouger en soufflant fortement.
Manon se retire et à genoux se positionne à côté de Bernard.
Elle courbe le dos, se penche en avant et lèche la queue poisseuse, patiemment avec sa langue et sa bouche elle récupère et avale le sperme et la mouillure qui souillent le membre.

Pendant un moment Manon caresse les cuisses, le ventre, le pénis et les testicules.
Elle commence à masturber doucement la queue puis accélère progressivement la cadence des aller-retour.
Progressivement le membre gonfle et devient plus rigide et au bout d'un moment reprend de bonnes dimensions.
Manon remplace sa main par sa bouche et lui fait une fellation avec des aller-retour rapides en serrant le mieux possible ses lèvres sur la verge.
Bernard apprécie car son corps a tendance à remuer.

Jugeant que la pipe a assez durée Manon se déplace et se met de nouveau à califourchon au dessus de l'homme mais en lui tournant le dos.
Avec une main elle positionne la queue contre son anus puis tout en tenant toujours le membre elle s'empale dessus en pesant avec le poids de son corps, en pénétrant dans son fondement le gros pénis repousse les chairs.
Manon grimace tout le temps que le pénis continue à s'enfoncer puis une fois bien empalée elle reste un petit moment sans bouger en caressant le ventre et triturant les testicules de son partenaire.
S'aidant des muscles de ses jambes elle fait monter et descendre son corps d'abord doucement puis de plus en plus vite.
Si au début la queue coulisse difficilement dans son cul, rapidement l'orifice s'élargit et se lubrifie jusqu'à ce que la verge soit assez libre dans son fourreau.
Manon bouger son corps pendant un bon moment, elle mouille pendant les va-et-vient de son cul sur la queue de Bernard qui reste passif sauf avec sa langue car il ne cesse pas d'insulter Manon, une façon de dire qu'il apprécie ce qu'elle lui fait.
Elle est soulagée quand enfin la verge s'agite en elle et envoie des giclées de sperme dans ses intestins.
Elle se relève et attend debout.

Apparemment Bernard en a assez, il va se laver puis se rhabille pendant que Manon se dirige vers la salle de bain.
Elle en sort toujours nue et se fige en écoutant ce que le directeur commercial lui dit.
<<maintenant quand je proposerais à des personnes de profiter de ton cul je vais pouvoir détailler ton anatomie et ce que tu leur fera, en plus je vais pouvoir leur affirmer que tu es aussi bonne que ce soit avec ta chatte, ton cul, ta bouche ou tes mains>>.
<<monsieur cela me gêne, vous me décrivez comme une marchandise que vont penser les personnes à qui vous allez dire ça>>.
<<c'est tout à fait ça, tu comprends vite. Ce qui est intéressant c'est que tu n'as aucune pudeur et tu n'es pas gênée par l'amour-propre et ce que penseront les nombreux hommes qui vont te sauter je m'en fiche>>.
<<vous vous méprenez sur moi et que faite vous de mon honneur et de ma réputation>>.
<<ton honneur, il a disparu dès que tu t'es prostituée pour sauver l'emploi de ton homme et ta réputation je vais te la faire, la rumeur se répandra vite que tu n'es qu'une putain et une prostituée qui se fait sauter par tout le monde>>.
<<je vous en supplie ne faites pas ça et puis mon mari ne va pas trouver normal que je parte n'importe quand et que je découche>>.
<<nous avons trouvé un poste à ton mari pour qu'il ne soit pas dans tes pattes à chaque fois qu'on aura besoin d'utiliser ton cul>>.
<<je vous en prie laissez moi tranquille après que je me sois occupée du client de demain, je vous jure que vous serez satisfait>>.
<<écoutes bien la putain, tu n'as rien à dire. Je te demande simplement de te servir correctement de ton cul à chaque fois que je te le dirais. Tu m'as bien compris>>.
<<oui monsieur>>.
<<rhabille toi et dégage, c'est tout pour aujourd'hui et demain sois à la hauteur>>.
Manon remet ses vêtements et quitte la chambre sans répondre, la tête basse. elle est en larmes pendant le parcours pour rentrer chez elle.

Le jour prévu pour le rendez-vous avec le client de la société arrive (le 1er client de sa vie de prostituée).
Le pire dans tout ça c'est qu'elle ne tire aucun avantage de la situation. Elle n'est pas payée, à part dans le cas hypothétique où un client lui donne un pourboire.

Bien maquillée et vêtue d'un maillot blanc moulant sans soutien-gorge, d'une jupe très courte rouge et de chaussures à talons hauts Manon attend devant l'hôtel que Bernard lui a indiqué, c'est là qu'elle a fait l'amour avec lui.
Une voiture stoppe devant l'établissement, un homme grand et mince d'un certain âge, mais bien vêtu, en descend.
Il arpente le trottoir de long en large puis voyant que Manon ne bouge pas il se décide à l'aborder.
<<bonjour. Excuses moi si je me trompe mais à voir ta dégaine je pense que c'est toi que l'on appelle "la putain">>.
<<oui monsieur c'est bien moi>>.
<<c'est moi ton rendez-vous, je m'appelle Dylan>>.
<<si c'est monsieur Bernard qui vous envoie je suis la bonne personne>>.
<<il m'a avoir réservé une chambre dans cet hôtel, allons y>>.
Manon pénètre dans l'établissement à la suite de Dylan puis se rend à la réception pour y retirer un passe.
Ils montent à l'étage puis entrent dans une chambre 115 qu'elle a déjà fréquentée la veille avec le directeur commercial.
Manon a compris que ce sera toujours dans cet hôtel et dans cette chambre qu'elle donnera du plaisir aux clients de la société qui emploie son mari.

Pendant que Manon s'approche de son client il lui parle:
<<tu n'as pas un prénom comme tout le monde>>.
<<vous pouvez m'appeler "la putain" puisque c'est ainsi que me surnomment les gens de la société>>.
<<d'accord si tu y tiens>>.

Elle se colle contre Dylan, passe les bras autour de son cou.
Elle plaque ses lèvres contre celles de l'homme, il ouvre la bouche quand elle introduit sa langue dedans.

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