Ils Ont Tiré Au Sort Des Bouts De Mon Corps.

A 26 ans, je me trouvais célibataire depuis un an ou deux. L’homme que j’aimais était parti. Mieux, je l’avais quitté pour vivre une autre vie, plus sereine, plus équilibré.
Après quelques mois d’existence, vivant seule dans mon appartement, au cours d’un soir au resto avec des amis l’idée vint de passer tous ensemble une semaine au port d’hiver près d’Avoriaz. Il y avait Paul, Maxime, Caroline, Jean et Veronica, la copine de Paul.
Nous partions trois mois après la projection de notre voyage. Veronica, à la dernière minute ne put pas venir à cause d’un problème dans sa famille. Paul ne voulut pas tout décommander surtout qu’il avait payer une avance sur les frais plus le train. C’était lui l’organisateur du voyage. Il nous proposa le gite, le lieu de vacances. Il pensait à tout. C’est ainsi pour la première fois que je partais avec trois garçons et zéro fille, ce qui n’était pas pour me déplaire et me rappelait la fois où je m’étais retrouvée seule chez moi, enfin chez ma mère, quelques deux ou trois ans plus tôt.

Pendant toute une semaine, nous allions skier. Le soir, on mangeait au resto le plus souvent mais le dernier soir avant de repartir fut autrement : Paul proposa un jeu auquel je devais faire les frais, encore une fois non contre mon gré je j’avoue.

La soirée avait été bien arrosée. Après le resto, au lieu de faire une balade dans les rues d’Avoriaz, Paul avait dit :
- Allez, on rentre tous au chalet, j’ai une surprise pour vous.

Le salaud avait tout préméditer et ses compères étaient complices. Dans la pièce principale du chalet, après que nous soyons rentrés et mis à l’aise. Paul me déshabilla avec mon consentement et me banda les yeux. Sur des petits bouts de papier, il inscrivit le nom des parties de mon corps : seins, bouche, cul, mains…. Le but du jeu était pour chacun de tirer un de ces petits bouts de papier pliés en quatre au hasard. L’heureux gagnant pouvait alors disposer de la partie de mon corps qu’il avait choisi :

- Cul ! prononça fort Jean qui se délectait de ce choix.

- Seins !
- Bouche !

Chacun y allait de bon train et chacun usa ainsi de ma bouche, de mes seins et de toutes les autres parties de mon corps. A la fin, Paul me retira le bandeau. Je sentais que certain avait triché et profita finalement de tous mes orifices alors qu’ils n’avaient pas choisi le bon bout de papier.

La soirée fut mémorable, courte mais mémorable.