La Fille Est Punie, La Mère Est Baisée
Mégane faisait couler l'eau dans sa baignoire pour se préparer un bain moussant. Elle noua la ceinture de sa sortie de bain en descendant les escaliers. Son mari était en voyage d'affaire pour la semaine. Mégane profitait de sa soirée pour se détendre et se bichonner. Mégane descendait à la cuisine pour chercher un jus d'orange dans le réfrigérateur. Elle a entendu la voix de sa fille venir de la terrasse, à l'extérieur. Mathilde était au téléphone et elle avait laissé la porte vitrée ouverte:
"C'est bon, Kevin, maman prend son bain. Je suis désolée de ne pas t'avoir appelé plus tôt. Ouais, tu me manques aussi, excuse-moi."
Mégane sentit bouillir son sang en entendant la conversation de sa fille. Kevin était le nouveau petit ami de sa fille et Mathilde marchait sur un nuage depuis qu'elle le connaissait.
Quelques jours plus tôt, Mégane avait surpris une conversation entre sa fille et l'une de ses amies. Apparemment, si Mathilde hésitait pour présenter Kevin à ses parents, cest parce que ce garçon était âgé de 23 ans et que Mathilde venait tout juste davoir 17 ans. Mégane avait immédiatement ordonné à Mathilde de cesser cette relation. Et maintenant, elle lui parlait en cachette au téléphone.
"Je veux encore jouer avec ton sexe. Ouais, je suis prête, Kevin. J'ai bien réfléchi, et je veux que tu prennes ma cerise avec ta grosse bite, chéri!" Mégane ressentit un froid glacial l'envahir et ne fit qu'un bond jusque sur la terrasse. Mathilde leva les yeux et vit sa mère debout devant elle: "Oh merde! Maman!"
Mégane tendit la main: "Donne-moi ce téléphone!" rugit-elle en l'arrachant des mains de sa fille: "Écoute-moi bien, Kevin. Si jamais je t'att à tourner autour de ma fille, je te les coupe. Bien compris?" Mégane raccrocha le téléphone.
"Mais maman, je l'aime!"
"Tu n'es qu'une ! Je sais ce qui te convient! File dans ta chambre! Tu es punie jusqu'au retour de ton père, on décidera ensuite!"
"Je te déteste, salope!" Mathilde est montée dans sa chambre en pleurant.
Mégane a commencé à pleurer de son côté. Ce Kevin était la pire chose qui pouvait leur arriver. Mathilde avait toujours été une fille sage dont elle était fière. Tomber sur un mauvais garçon, c'était une épreuve dont elle se serait bien passée. Depuis peu, elle portait un jean trop ample avec les ficelles de son string qui dépassaient. Ses polos étaient trop courts et moulants. Elle montrait son nombril. Ses seins gonflés et haut-perchés étaient moulés dans le fin tissu. Mathilde attirait les regards et aucun garçon ne parvenait à la regarder dans les yeux.
Mégane soupirait, inquiète pour sa fille. Elle regarda son jus d'orange et décida qu'il avait besoin d'être un peu relevé. Mégane se dirigea vers le placard à alcool et versa une rasade de vodka dans son jus d'orange. Elle l'avait dosé assez fort, mais ce soir, elle n'allait pas conduire.
Mégane ferma la porte à clé et remonta l'escalier. Elle est arrivée juste à temps pour empêcher la baignoire de déborder. Mégane vidangea un peu la baignoire et ajouta les sels de bain.
Mégane se dirigea vers le miroir en se déshabillant. C'était son habitude de s'examiner avant le bain. Personne ne la prendrait pour la mère de Mathilde. Elles avaient toutes les deux les mêmes cheveux châtain clair, et les mêmes yeux verts. La même taille, seuls les hanches plus rondes et les seins plus lourds de Mégane les différenciaient. Mathilde paraissait plus vieille que son âge. Mégane ne faisait pas son âge. Beaucoup de gens pouvaient penser qu'elles étaient surs.
Mathilde héritait du physique de sa mère. Les mêmes traits, les mêmes attitudes, les mêmes expressions. De loin, on pouvait les confondre, même ceux qui les connaissaient bien.
Mégane glissa lentement son corps dans l'eau trop chaude. Elle soupira, pénétrant dans l'eau petit à petit en poussant des petits cris, puis se détendit pour prendre une gorgée de sa boisson. Mégane se dressa pour se laver. Elle prit le savon parfumé au jasmin et fit mousser ses bras et ses épaules avant de s'attaquer à sa poitrine.
Mégane passa le savon sur son ventre et dans son entrejambe. Elle était tentée de laisser sa main s'attarder entre ses jambes, car la boisson et le contact de ses mamelons l'avaient excitée. Elle devait attendre la fin de semaine pour le retour de son mari et, même à ce moment-là, elle n'était pas sûre d'obtenir son attention.
Mégane se rassit et se détendit pendant plusieurs minutes avant de retirer le bouchon de vidange. Elle se leva et se sécha. La dernière étape consistait à appliquer de l'huile parfumée sur tout son corps. Elle croyait que l'huile ralentissait le vieillissement de la peau. Elle brossa longuement ses cheveux humides.
En passant devant la chambre de Mathilde, elle s'arrêta pour écouter à la porte. Il n'y avait pas de bruit jusqu'à ce que Mégane commence à partir. Puis elle a entendu sa fille rire. Mégane ouvrit rapidement la porte. Mathilde était assise devant l'ordinateur. La porte-fenêtre de sa chambre était grande ouverte: "Que fais-tu?" demanda Mégane.
"Je discute avec Mimi" Mathilde avait l'air anxieuse. Elle regarda vers la fenêtre. Il y a quelques temps, à peine une année, Mathilde était un garçon manqué qui entrait et sortait de sa chambre en escaladant le grand chêne devant sa fenêtre.
Mégane dévisagea fixement sa fille, les yeux dans les yeux, jusqu'à ce que l'adolescente détourne le regard.
Mégane regarda la fenêtre ouverte. Il faisait chaud et une brise rafraîchissante soufflait par la fenêtre ouverte. Pouvait-elle encore faire confiance à sa fille? Est-ce qu'elle n'allait pas profiter de la nuit pour se faufiler et rejoindre ce Kevin?
Mégane se décida instantanément: "Mademoiselle Mathilde! Une punition, c'est une punition! Ce qui signifie pas de cellulaire, pas d'ordinateur et pas de télévision!" Sa fille avait les trois objets dans sa chambre.
"Je ne dors pas avec toi." Mathilde croisa les bras en faisant la moue.
"Alors je dormirai ici." Mégane attrapa Mathilde par le bras et l'entraîna vers la suite parentale. L'adolescente traînait les pieds en ronchonnant. "Je viendrai te réveiller pour l'école" dit la mère en claquant la porte. Mégane n'avait toujours pas confiance en sa fille. La mère méfiante verrouilla la porte à clé, et se dirigea vers le placard pour prendre la rallonge électrique. Elle enroula le cordon autour de la poignée de la porte et l'autre extrémité à la rampe. Mathilde pourrait sortir au bout d'une lutte, mais Mégane espérait que le bruit la réveillerait. Sinon, elle pensait que la virginité de sa fille étaient en sécurité pour la nuit.
Mégane, partiellement tranquillisée, redescendit en trombe pour se servir un autre vodka-orange bien tassé. Elle envisagea d'appeler son mari, mais elle craignait qu'il prenne peur et qu'il fasse demi-tour si elle lui apprenait que son précieux ange voulait offrir sa cerise à un garçon de six ans son aîné.
Mégane remplit son verre et monta se coucher dans la chambre de sa fille. Mégane éteignit l'ordinateur de sa fille et s'assit sur le lit. C'était le lit d'une adolescente typique avec des draps roses et un ours en peluche calé entre les oreillers. Mégane attrapa l'ours en peluche et le prit dans ses bras, ressemblant ainsi beaucoup à sa fille. Mégane inspecta la pièce. Les murs étaient couverts de poster d'acteurs et de chanteurs connus. Tous très jeunes et très beaux garçons. Sur le bureau, une photo encadrée de Mathilde avec ses amies, en bikini à la piscine, lannée dernière. En regardant la photo, Mégane était réellement reconnaissante que Mathilde ait gardé sa virginité aussi longtemps. Maintenant, il fallait l'aider à se préserver encore un peu.
Le cahier d'écolière de sa fille était également sur le bureau. En couverture, il y avait des curs avec Mathilde et Bob, un gentil garçon avec qui elle sortait avant.
Plusieurs nouveaux curs, Mathilde et Kevin, ou Mme Kevin Jefferson. Mégane feuilleta le cahier jusqu'à découvrir un gribouillis que sa fille avait dessiné. Le griffonnage représentait un grand pénis. Elle avait coloré l'intérieur du pénis en brun. Un petit bras tendait la main vers le pénis, la main touchant le gland. Le pénis était plus grand que le bras. Mathilde avait mentionné avoir touché le truc du garçon dans la conversation téléphonique qu'elle avait entendue. Ce garçon était définitivement une mauvaise nouvelle.
Mathilde avait aussi un coffre à vêtements sous son lit. Mégane ouvrit la boîte et sortit des sous-vêtements très minces. Les strings, c'était des cordelettes avec un petit triangle de tissu. Les soutiens-gorges étaient très transparents pour ne rien laisser à l'imagination. Mégane considérait que ces sous-vêtements étaient plutôt sordides, voire salope. Elle sut instinctivement que Mathilde les avait achetés pour Kevin.
Mégane était un peu pompette à ce moment-là. L'atmosphère de la pièce la ramenait en adolescence. Elle rigola même en étalant les sous-vêtements et se leva. Sa main défit la ceinture de sa robe
Kevin a failli tomber de l'arbre lorsque la meuf a ôté sa robe. Bon sang, comme elle était bonne, cette salope! De l'endroit ou il se trouvait perché, il ne pouvait pas faire la différence entre Mathilde et Mégane, surtout avec la chambre plongée dans une demi-pénombre.
La vue de face était sympa avec ses gros nichons, mais quand elle se retourna et se baissa pour essayer les sous-vêtements, un cul blanc rebondi s'offrit à son regard avide. Ses fesses s'écartèrent quand elle glissa la cordelette dans la raie culière. La bite de Kevin était douloureusement raide et la regarder loger ses gros nichons dans un soutien-gorge trop petit ne l'aidait pas. Quand elle a réussi à accrocher le sou-tif, ses loches ont été pressées l'une contre l'autre vers le haut. Il pouvait clairement voir les tétons roses qui gonflaient le tissu. Kevin patientait dans cet arbre depuis plus d'une heure dans l'espoir de craquer la rondelle de la fille, et en voyant le tableau, il sut que c'était cette nuit qu'il la rendrait femme.
Biroute, c'était le surnom que les filles lui donnaient. Il détestait son prénom, Kevin, car il pensait que cela faisait pédé. Après avoir baisé quelques minettes, elles lui avaient donné le surnom de Biroute. Il l'avait aimé et gardé.
Biroute s'est figé quand elle s'est approchée de la fenêtre. Il a prié pour qu'elle ne soit pas sur le point de la fermer. Il était presque invisible car vêtu d'un survêtement vert sombre et sa peau était d'un noir très foncé. Ses seins se sont gonflés comme des ballons quand elle a bombé sa poitrine pour respirer profondément l'air frais de la nuit. Heureusement, la meuf n'a pas fermé la fenêtre.
Kevin traînait son ennui à l'université. Après avoir échoué à tout ses examens au lycée, sa mère avait réussi à faire admettre son fils à l'université en écartant les cuisses pour le recteur d'académie qui vouait une passion aux femmes de couleur.
Kevin ne venait au bahut que pour pédaler sur MDMA et occasionnellement sur certaines mauvaises herbes. Il dealait un peu pour se faire de l'argent de poche. Il s'en servait principalement pour clouer les minettes avec son gros chibre. Les gamines lui avaient donné le surnom de Biroute. Mais maintenant, si elles voulaient baiser, elles payaient leur merde comme tout le monde. Cadeau, c'était juste la première fois, pour les aider à écarter les cuisses. Maintenant, quand elles venaient, c'est parce qu'elles aimaient ça.
Mathilde et ses copines fréquentaient des petits garçons blancs, gentils et bien propres. Les petits garçons blancs stupides ont pensé qu'il serait cool d'inviter Kevin à leur petite fête. Il est venu accompagné de quelques cachets et d'un peu d'herbe pour mettre une bonne ambiance en écoutant de la musique sympa. Pendant que les petits garçons blancs stupides fumaient de l'herbe en écoutant du rap, Biroute sest retrouvé seul avec Mathilde. Il a juste glissé un petit cachet dans le verre de sa proie. La drogue l'a aidée à se détendre suffisamment pour lui permettre de caresser sa queue quand il lui a montrée. Il allait conclure et lui prendre sa cerise quand ses amis ont décidé qu'il était temps d'y aller.
Il entreprit de la séduire en étant gentil avec la naïve jeune fille. Cela a fonctionné. Elle a jeté son ancien petit copain pour s'accrocher à Kevin, malgré les avertissements de ses copines. À son contact, elle s'est habillée plus salope, mais il n'est jamais parvenu à être seul avec elle.
Mais maintenant, il ne pouvait plus se retenir. Il avait les couilles pleines et ça l'empêchait de réfléchir. Il allait mettre la main sur cette salope et plonger sa queue au fond de sa chatte quoi qu'il arrive. Il se foutait des conséquences.
Mégane, énervée, excitée, en manque de sexe, décida de s'aider à trouver le sommeil avec un petit comprimé de somnifère. Elle l'avala avec son cocktail vodka-orange, et en profita pour terminer son second verre cul sec.
Elle s'allongea sur le lit en éteignant la petite veilleuse. Elle n'a pas fait long feu. Le mélange entre l'alcool et le somnifère l'a fait sombrer dans un sommeil léthargique.
Kevin attendit un moment après l'extinction des lumières que tout soit calme pour descendre de son perchoir. Il a escaladé le chêne et s'est introduit silencieusement dans la chambre de Mathilde. La meuf dormait les bras en croix sur son lit et il entreprit de la réveiller en lui caressant la jambe. L'obscurité de la chambre ne lui permit pas de constater son erreur entre la mère et la fille. La meuf ne se réveillant pas, ses caresses remontèrent le long de la cuisse jusqu'à l'endroit qui occupait ses pensées. Se penchant sur elle, il écarta le mince lambeau de tissu et sa bouche trouva le téton désiré qui se dressa sous la caresse de la bouche avide. Sensible à la bouche qui agaçait son téton, Mégane entrouvrit ses jambes, facilitant le passage de la main. Glissant ses doigts dans le précieux sanctuaire, Biroute commença immédiatement à chauffer la meuf qu'il souhaitait déflorer.
Dans son sommeil profond, Mégane devait faire un rêve érotique car le contact des doigts lui faisait le plus grand bien. Elle se sentait fantastique! Tout son corps était vivant et bruissait de désir. Son vagin suintait abondamment, ses gémissements et ses soupirs emplissaient la chambre tandis que tout son corps se tordait sous les caresses.
Enchanté de la réaction positive de la meuf à ses caresses, Biroute senhardit et glissa deux doigts à l'intérieur de la chatte en fusion.
Mégane se réveilla instantanément. Elle ne savait pas combien de temps elle avait dormi et était confuse quant à l'endroit où elle se trouvait. Puis elle réalisa qu'un homme se collait contre elle et la pratiquait. "Tu es en avance" dit-elle en supposant que son mari était rentré à la maison. "Prends-moi, chéri." Mégane ne voulait surtout pas que son mari la laisse dans cet état de désir et s'endorme.
Mégane n'avait pas besoin de s'inquiéter, Biroute n'avait pas l'intention de la délaisser .. L'homme a rampé pour s'agenouiller entre ses jambes écartées. Sa bouche a délaissé son sein pour déposer un baiser humide sur son nombril et sa langue s'est glissée à l'intérieur. Son corps était si excité que même un simple baiser sur son nombril lui procurait des sensations. Et ses baisers descendaient sur son pubis: "Tu sais que je n'aime pas ça" rappela-t-elle à celui qu'elle prenait pour son mari, mais son corps était tendu de désir.
"Bien, peut-être juste pour cette nuit." Sa voix se brisa tandis que les premiers baisers tombaient sur sa chatte. Une langue agile glissa rapidement entre ses grandes lèvres.
Ses mains ont d'abord tenté de repousser l'intrusion, puis elles ont saisi fermement les épaules musclées. Elle s'agrippa plus fort en sentant son premier orgasme s'éveiller. Ses mains remontèrent sur la nuque de son mari et dans ses cheveux. Il les avait coupé court, presque rasé. Elle pressa plus fort son visage sur sa chatte en sentant sa langue creuser profondément.
Ses cheveux étaient étranges, bouclés, presque frisés. Mégane faillit lui arracher la tête quand ses mains prirent possession de ses mamelons. Des bras musclés avaient encerclé ses cuisses, les mains tendues s'étaient emparées de ses seins. Son mari pressait ses tétons dressés entre le pouce et l'index, les secouant beaucoup plus brutalement que d'habitude. Son bassin devint incontrôlable quand elle a connu le plus merveilleux orgasme de sa vie.
Mégane était hors d'haleine et voyait des étoiles danser. La bouche a commencé une lente reptation sur son ventre, picorant de petits baiser pour s'arrêter sur son sein. Sa langue chaude jouait avec son mamelon. Le corps de Mégane se tordait de manière désordonnée en sentant cette bouche vicieuse jouer avec ses mamelles. Elle a connu son deuxième orgasme juste à cause de l'action de cette bouche. La chair de poule a envahi tout son corps malgré la chaleur.
Mégane ne tenait plus, il lui fallait cette bite en elle. Ses mains saisirent le dos de son mari. Mais au lieu des chairs molles dans lesquelles elle enfonçait ses ongles habituellement, elles trouvèrent un dos musclé. Elle l'a happé vers le haut.
"Baise-moi," gronda-t-elle. "Ooh, putain, ne me fais plus attendre! Baise-moi maintenant!"
Mégane écarta encore plus les jambes en repliant ses genoux. Son mari positionnait ses hanches entre ses cuisses ouvertes. Avec une sorte de matraque rigide, il frappait sa chatte, le haut de ses cuisses ou son pubis. Il semblait avoir développé une énorme bite de cheval juste au moment où elle en avait le plus besoin. L'énorme bite cherchait dans son entrejambe l'orifice où se loger.
Le gland qui surmontait la bite de son mari était aussi gros quune balle de golf. Sa chatte souvrait bien, même si elle avait limpression quelle sétirait plus large. Ses jambes s'enroulèrent autour d'une autre surprise, un cul ferme et musclé.
Tout semblait hors de proportion. Bizarrement, son lit semblait plus petit que d'habitude. Le sexe de son mari semblait plus gros. Mégane avait l'impression d'évoluer dans un monde étrange, où les proportions n'étaient plus respectées.
Son mari ondulait des hanches pour besogner plus profondément Mégane avec son nouveau pénis amélioré. L'image de son mari avalant une poignée de Viagra s'imposa à son esprit. Quoi qu'il ait fait, son pénis était bien mieux. C'était presque trop. Le manche raclait la paroi, affolant les terminaisons nerveuses de sa chatte et en plus, il visitait des profondeurs inexplorées.
Mégane a gambergé que son mari avait une réunion importante le lendemain et ne pouvait pas être à la maison. Elle ne protestait pas car c'était la meilleure baise de sa vie. De plus, elle avait besoin de son aide pour punir Mathilde. Mathilde qui dormait dans la chambre parentale. Mégane dormait dans la chambre de sa fille. Comment son mari avait-il deviné qu'elle dormait dans le lit de sa fille? "Quelque chose ne va pas" murmura-t-elle, perplexe "Ton pénis est trop gros."
"Tu l'as touché l'autre jour, Mathilde. Tu te rappelles comment c'était grand." Le sexe de l'homme heurtait le fond du vagin de Mégane. "Maintenant ferme ta gueule ou ta salope de mère va nous entendre!"
"Kevin?" demanda Mégane. Sa voix grave et vulgaire sentait le ghetto de banlieue.
"Ne m'appelle plus comme ça. Appelle-moi Biroute. Tu te rappelles? Putain, t'es serrée! Trop bonne!"
Mon dieu, mais il était noir? Son mari s'affolerait s'il apprenait que sa fille fréquentait un noir. Jésus-Marie-Joseph, il avait son pénis à l'intérieur de son vagin et elle ne pouvait même pas se souvenir d'avoir embrassé un noir avant. Elle devait se débarrasser de cette racaille. Mégane attrapa ses hanches pour le repousser.
"Je vois que la vierge veut se faire bien baiser" Biroute avait confondu sa tentative de le repousser avec un désir de sexe plus sauvage. Il s'est soulevé et a commencé à ressortir sa queue. Mégane s'est sentit vide à l'intérieur quand il a retiré lentement sa queue. Un sentiment de tristesse l'envahit et ses yeux s'emplirent de larmes. La mélancolie était si grande que ses jambes autour de ses hanches le ramenèrent à l'intérieur.
En dépit de son emprise serrée, Biroute a commencé à pomper avec son bassin. "Je te l'avais bien dit bébé, une fois que je t'aurais pris ta cerise, tu ne pourras plus t'en passer de cette grosse bite noire. Ta chatte s'élargit doucement, bébé. Ma queue se sent juste comme il faut, là-dedans. Je vais te baiser à fond maintenant bébé. D'accord? "
"Ooh! Oui! Oui!" gémit-elle. Elle avait répondu à sa question sans réfléchir. Son énorme pénis titillait toutes les terminaisons nerveuses de son vagin en coulissant à l'intérieur. Il passa le col de l'utérus, tapant au fond de son ventre chaque fois qu'il poussait. "Tu n'as pas mis de préservatif!" cria-t-elle en pensant que Biroute allait éjaculer dans son ventre fertile.
Elle ne prenait plus la pilule, son mari était si souvent absent.
"J'en mets jamais. Et tu ne peux pas tomber enceinte la première fois."
"Menteur" pensa Mégane. Il riait de sa connerie.
"Retire-toi avant d'éjaculer!"
"Tu vas tout avaler si je te le mets dans ta bouche?"
"Oui, s'il te plaît, juste sortir à temps!" La pensée d'avaler son sperme la dégoûtait, mais c'était mieux que de se faire mettre enceinte d'un bébé métis. Survint une période où le chibre de Biroute avait un tel effet sur elle, qu'elle ne pouvait plus parler. Ils ressemblaient à un couple d'animaux en rut, grognant, gémissant et geignant. Mégane a succombé à son plaisir et les orgasmes se sont enchaînés.
La mère âgée de trente-neuf ans vibrait sous les coups de boutoir du petit ami noir de sa fille. Ses ongles s'enfoncèrent dans la peau de son dos. Biroute grognait et soufflait fort. Ses poussées étaient irrégulières. Mégane construisait son plus grand orgasme. Ses jambes le bloquèrent involontairement, le tirant au fond d'elle, juste au moment où sa queue se purgeait. L'orgasme de Mégane s'est brisé en sentant son ventre s'inonder de sperme. Les jets puissants se succédaient, remplissant de sperme le ventre de la femme.
"Ooh! Non! Non!" incapable de faire une phrase, en proie à l'orgasme. "Sors!"
Biroute obéit, mais un jet de sperme a jaillit en se retirant. La longue traînée de sperme éclaboussa son ventre du nombril jusqu'au trou de son cul. Le dernier jet la frappa sous le menton, arrosant les seins alors qu'il se mettait rapidement à cheval sur elle.
"Combien de litres de foutre contient son scrotum, à ce gars, pensa-t-elle?" Biroute plaça sa queue entre ses seins.
"Pousse-les l'un contre l'autre" ordonna-t-il en tapant sa queue sous son menton. Mégane serrait ses seins ensemble en baissant sa tête. Le gland entra dans sa bouche juste à temps pour que l'ultime jet de sperme entre dans sa gorge et s'enroule sur sa langue pour qu'elle soit e à l'avaler.
"Putain, Mathilde, tes seins sont plus gros que je ne les imaginais!"
Mégane, la chatte en rémanence, gémissait doucement en ondulant des hanches. À cheval sur elle, Biroute jouait avec ses seins en agaçant ses tétons entre ses doigts. Sa queue s'amollissant quitta sa bouche, mais il continua à la coulisser entre ses seins.
Biroute s'est penché au-dessus d'elle. Non, pensa-t-elle en l'entendant tâtonner la lampe. Elle fut aveuglée par la lumière soudaine.
"Je veux voir mon chibre noir calé entre tes nichons blanc laiteux. Hé, mais tu n'es pas Mathilde! Tu es sa chienne de mère!"
Mégane avait compris qu'il était noir, mais n'imaginait pas une telle noirceur. Biroute était presque noir de jais. Sauf son gland circoncis qu'il utilisait pour lui frapper le menton. Ce n'était certainement pas un beau garçon, même si son jeune corps musclé était fantastique. Ses traits reflétaient la cruauté, même quand il souriait comme maintenant.
"Je suis Mégane, la mère de Mathilde." Son chibre la comblait maintenant.
"Ta fille sait quelle salope elle a pour mère?"
"Je ne suis pas une salope" dit Mégane avant de laisser la queue entrer dans sa bouche. Elle a même léché le gland. Même sucer le gland lui procurait une émotion. Elle ne s'était jamais sentie aussi épanouie sexuellement avec aucun de ses partenaires. Ni son mari, ni aucun de ses amants occasionnels. De plus, comme il jouait avec ses mamelons, elle recommençait à désirer le corps de Biroute.
Ses mamelons étaient gonflés et douloureux, mais les attouchements de Biroute lui envoyaient des décharges d'excitation dans tout le corps.
"Tu es une petite chienne blanche salope." Biroute a cessé de la chevaucher.
"Tourne-toi. Je veux te baiser en levrette." Biroute s'accola au derrière de Mégane. Sa chatte était encore en train d'évacuer les jus et tremblait d'excitation quand il présenta sa bite devant son orifice.
"Tu es toujours aussi excitée avec ton mari?"
"Non, je ne me suis jamais sentie comme ça. Je ne sais pas ce qui m'a pris."
"Baiser avec un noir" Biroute poussa son pénis "C'est ça qui t'est arrivé. Ton mari n'a juste qu'une petite bite de blanc. Salope comme tu es, maintenant que tu y as goûté, tu ne pourras plus t'en passer!"
"Il n'a même pas la moitié de ce que tu as à offrir, chéri." Mégane était déjà en train de perdre son contrôle. Une autre série d'orgasmes commençait à se construire. Elle n'avait jamais autant joui en quinze ans de mariage. Biroute la baisait avec toute la longueur de sa queue à un rythme rapide et implacable. Son rythme. Sans s'occuper de la femme qui se tordait de plaisir.
Une série de petits orgasmes, occasionnellement un plus gros. Les mains de Biroute malaxaient ses fesses. Le pouce glissa dans sa raie culière pour masser son anus. Mégane sentit la pression contre son cul. "Hé! Pas là. Mon cul n'a jamais servi."
"J'ai vu." Biroute insista et son cul s'ouvrit lorsque son pouce entra.
Mégane se révéla brièvement inconfortable, mais sa chatte devint immédiatement déréglée. Les petits orgasmes sont devenus gros. Les gros orgasmes sont devenus hallucinants.
"Oh mon Dieu, baise-moi, baise-moi fort. Avec ton pouce dans le cul. Oh putain, c'est bon, chéri!"
Biroute enfonça son pouce dans le cul au même rythme que son sexe dans la chatte. Un orgasme trop violent a provoqué la perte de connaissance de Mégane et celle-ci s'est effondrée. Il a retiré son pouce et sa queue.
"Non," gémit Mégane, le visage enfouit dans le couvre-lit. "Ne t'arrête pas. Encore s'il te plaît. Ne t'arrête jamais." Sa voix était si faible qu'elle n'était pas sûre que Biroute puisse l'entendre. "Encore! Plus!"
Maintenant qu'il lui avait desserré lillet, Biroute a posé sa queue sur sa rosette bien serrée.
"Putain, j'avais envie de baiser un cul et le tien est parfait. Un joli petit cul blanc comme j'aime. Je vais te casser le cul!" Aucune des adolescentes qu'il avait baisées ne l'avait autorisé à passer par là. Même celles qui étaient accros aux drogues refusaient de prendre le monstre de ce côté-là.
Dents serrées, Mégane restait silencieuse, Biroute présentait le monstre à l'orée de son cul. Au début, elle était contente, son anus résistait à la pression. Mais son anus s'ouvrit pour beaucoup plus gros qu'un pouce.
"Oh mon dieu," gémit-elle quand l'énorme gland de Biroute entra dans son cul. Les larmes coulaient sur ses joues. Ses jointures sont devenues blanches au fur et à mesure qu'elle crispait ses doigts dans les draps.
"Putain, t'es serrée" grogna Biroute. "Ça me plaît. Tu aimes, bébé?"
"Non. Ça me fait mal ... Tu es trop gros."
Les yeux de Mégane roulèrent dans tous les sens quand la grosse bite envahit profondément son cul.
"Si tu préfères, je peux le sortir et aller le coller dans le cul de ta fille?"
"Non!" Mégane espérait lui avoir dit non pour protéger sa fille, mais elle se leurrait. Elle était jalouse. Elle voulait Biroute pour elle toute seule. "Non, baise-moi le cul. Reste avec moi, Biroute." Mégane se redressa sur les genoux. Ça faisait toujours mal, mais elle commençait à pouvoir le prendre.
"Maintenant, tu es une pute à blacks." Biroute baisait son cul en l'avilissant. Son anus se desserrant, il pouvait entrer toute sa bite.
"Est-ce que je suis réellement devenue une salope?" Mégane était dubitative. Elle était allée se coucher comme une femme aimante et fidèle. Quelque chose avait réveillé la salope naturelle qui sommeillait au fond de son ventre. Avant même que Biroute ait mis sa queue dans sa chatte. Maintenant, elle avait avalé le sperme d'un jeune noir, trompé son mari et laissé entrer une bite dans son cul. Sexuellement, elle n'avait jamais été aussi satisfaite.
Bientôt, il a déchargé une autre quantité impressionnante de sperme, inondant son cul. Même en sortant de son anus, Biroute a giclé une bonne couche de sperme sur les fesses et les reins.
Mégane s'effondra à plat ventre sur le lit. Biroute se tourna et s'effondra sur le dos à côté d'elle. Ils restèrent inertes pendant un long moment avant de reprendre leur souffle. Mégane ouvrit les yeux. "Quel âge as-tu vraiment?" Mégane caressait la queue mollasse de Biroute en posant sa question.
"Vingt-trois."
"Tu ne baiseras pas ma fille." Mégane était ravie de voir que sa queue répondait déjà à sa caresse.
"Je vais la baiser, je vais lui prendre sa cerise et elle sera ma petite chienne blanche" dit-il d'un ton neutre. "Je veux bien attendre jusqu'à ses dix-huit ans, mais j'aurais besoin d'une petite compensation jusque-là."
"Je serai dans cette chambre tous les soirs jusqu'à la fin de semaine." Mégane rampa sur le lit et embrassa le gland violacé. Avant de le reprendre en bouche, elle lui dit: "Après, on trouvera une solution."
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