Manu S'Invite (4)
Ce projet de déplacement de Nantes à Bordeaux mincite à enregistrer mon nouveau véhicule sur Blablacar. Je nai pas trop dillusions quant au résultat, sachant que neuf fois sur dix, je finis par voyager seul. Les covoitureurs semblent de plus en plus exigeants. Pour beaucoup, le chauffeur devrait souvent se plier à toutes leurs exigences, tant sur les horaires que sur litinéraire. Je suis peut-être né trop tôt pour vivre le collaboratif tel quil se présente. Je ne négocie jamais rien, cest à prendre ou à laisser.
À ma grande surprise, le premier contact ne tarde pas à se manifester pour me demander davancer lheure du départ de trente minutes en vue de répondre à une obligation professionnelle. Je lui explique limpossibilité de me soumettre à son impératif, nous en restons là.
Mon alarme SMS « garden bell » mavise dun nouveau message. Tiens ! Cest Manu :
« Jai vu sur BLABLA que tu pars vers 18 h pour Brdx, tu as encore une place « for me » ? »
Je lui réponds aussitôt, non sans plaisir :
« OK, je peux te prendre au premier rond-point du Square Elisa-Mercoeur, à 18 heures pétantes ». Elle valide aussitôt.
Manu est la meilleure copine de ma belle-fille Angèle, nous nous connaissons plutôt intimement depuis quelle est devenue une partenaire intermittente des jeux libertins organisés « at home » par Aline, ma compagne. Nous manifestons, à loccasion de ces moments trop rares, beaucoup dintérêt lun pour lautre.
Cette soirée de novembre est bien triste à Nantes, le crachin persistant ne lui apporte rien de très glamour. Néchappant pas aux bouchons de fin de journée, au sortir de la rue de Strasbourg, je scrute fébrilement le trottoir de droite pour ne pas rater ma passagère. Je laperçois dassez loin dans son ciré rouge surhaussé dun parapluie jaune. Prévoyante, Manu fait le planton sur une place de stationnement quelle garde à mon attention. Je me gare, elle dépose vite fait sa valise noire dans le coffre avant dentrer prestement dans lhabitacle de lAudi, se calant à ma droite sans même ségoutter.
- Tu aurais pu te raser, ça naurait pas été du luxe ! Me taquine-t-elle dentrée, en glissant sa main sur ma cuisse en direction de ma queue.
- Ne commence pas, je suis dune humeur massacrante, je meurs de faim, je nai fait aucune provision pour ce soir. Nous allons devoir nous arrêter à la première occasion sur lautoroute pour faire le plein et nous requinquer.
- Ça va, arrête de grogner, laisse-moi te détendre dit-elle en se glissant au creux de mes cuisses, face à mon bas-ventre, dans le faible espace que lui laisse le volant.
Je sens aussitôt la chaleur de sa tête diffuser au niveau de mon bassin une douceur bienvenue, sa main gauche trifouiller vers ma braguette. Je ne bande pas, cest une demi-molle quelle sort avec difficulté de mon boxer. Pas évident de se concentrer sur la conduite dans ces conditions. Je recule légèrement le siège pour que Manu dispose dun peu de place, car elle commence à me branler lentement, pour mon plus grand bonheur. Je nai pas besoin de baisser les yeux pour limaginer le regard clos, soucieuse de parfaire son lent mouvement sur ma hampe. Cette fille charitable fait ça par courtoisie, en continuant à me parler des choses les plus banales, avec la même distance quelle masserait des pieds ou un dos. Cette petite a vraiment beaucoup déducation.
Je bande sévère en passant à la barrière de péage sur lA83. À trente minutes de Nantes, laire de Vendée nous accueille, nous décidons carrément de dîner. Manu met un terme à ma séance de relaxation par un petit bisou attendrissant sur mon gland. Le self nest pas trop bien achalandé, mais nous y trouvons notre compte. Nous nous installons face à face en poursuivant la même discussion bon-. La salle est presque vide. Seuls, à deux tables de nous, trois gars particulièrement volubiles terminent leur repas.
Du haut de ses 24 ans, Manu nest jamais indifférente à la convoitise masculine, elle trouve souvent beaucoup de qualités au premier qui lui fait les yeux doux. Son physique nest pas exceptionnel, si ce nest quelle est jeune, svelte, toujours bien dans sa peau. Sa longue chevelure rousse lui donne un genre atypique, le libertinage lui a forgé une allure décontractée, presque dominante, de la fille nayant pas peur dune bite, encore moins de deux. Sans être une « Marie-couche-toi-là » systématique, elle adore parfois se laisser courtiser
A lancienne.
Prise dun besoin urgent en fin de repas, elle repère du regard les toilettes, elle sy rend sans tarder. Dans la minute suivante, je constate que le plus jeune de nos voisins emprunte le même chemin. Je termine mon dessert en pensant à autre chose, notamment en préparant mentalement ma réunion de demain-matin. Ne la voyant pas réapparaître, un peu inquiet quand même, je vais voir ce qui se passe. Du côté des femmes, il ny a personne, je nentends aucun bruit laissant penser que Manu serait là. Je passe à lautre bout du couloir juste après le WC des hommes, je constate quune des deux douches est ouverte. Je force un peu la porte coincée pour entrer. Bizarrement, la lumière principale est éteinte. Là, dans la pénombre, les mains accrochées au lavabo, jentrevois à deux pas de moi mon aventurière occupée à se faire défoncer par le gars de tout à lheure.
Le spectacle est grotesque, lui a le pantalon tombé sur les chevilles, le cul à lair, il emboite les petites fesses de Manu, toute retroussée, dun gourdin de combat. Une bite de ce gabarit, cest rare, parole de connaisseur ! La vulve de la petite est boursouflée de tension, à chaque poussée elle rugit telle une jeune lionne.
Je suis à peine retourné devant mon café refroidi que Manu me rejoint :
- Putain, fait chier, les toilettes des femmes sont fermées pour maintenance et jétais au point de me pisser dessus.
- Tu as donc tenté celles des hommes ? Je lui demande.
- Jai essayé, mais le mec dà côté est entré et ma bloquée aussitôt contre le mur en me baladant les mains partout. Comme je me suis un peu débattue, il ma lâchée en rigolant comme un fou.
- Un peu
Seulement ?
- Bah
Il est beau mec quand même ! Jai fait mon petit pipi et quand jétais au lavabo, il a sorti son machin et la posé sur la faïence, et là
Et là ! Eh bien, je nai pas pu résister ! Je me suis laissé embarquer dans la pièce des douches, cest tout. Y a pas de mal à ça, tu as vu la taille ! sexclame-t-elle, tellement fort que les gars lont entendue.
Je reste coi.
- Eh ! Jai bien vu que tu te branlais, lâche-t-elle, mutine.
Sans tenir compte de cette dernière remarque, je poursuis :
- Bon si tu patientes un peu, laire dAuzay nest quà vingt minutes, tu y seras plus tranquille pour te nettoyer un peu. On y va, dis-je en me levant.
AUZAY-OUEST 2000 m.
Nous y voilà. Je me gare au plus près des toilettes, Manu y coure sans attendre. A peine deux minutes passées, une Mercédès grise vient se poser sur ma gauche, je reconnais aussitôt les trois gaillards du Restauroute. Le plus âgé sort nonchalamment pour se poster en tirant sur sa cigarette devant la porte que la pisseuse vient juste de clore. Linstant suivant, la cabine souvre et loin dêtre surprise, Manu att le gaillard par un bras pour lattirer prestement dans lantre. Jen suis sur le cul.
Je lui gueule carrément dessus quand, au bout dun quart dheure elle revient dans la voiture complètement ébouriffée.
- Ça ne va pas ? Tu nes pas bien ? Tu te comportes comme une vraie salope ce soir, tu me dégoûtes !
- Putain, il ma démonté la chatte, je nen reviens pas !
- Mets ta ceinture, on y va maintenant
Au moment où je mapprête à passer la marche arrière, jentends frapper à la vitre, côté Manu, laquelle nhésite pas à débloquer aussitôt la porte. Jentends :
- Tu as fait beaucoup de bien à mes copains ce soir, il te resterait une gâterie pour leur grand frère ? demande le troisième gars, la bite à la main.
- Vite fait alors, lui lance-t-elle en pivotant sur ses fesses, tendant déjà le cou.
Je nen crois pas mes yeux. Le gars prend alors appui des deux coudes, lun sur la portière, lautre sur le toit de lAudi. Il attend lofficiante comme une évidence, avec laisance du gars qui viendrait juste chopiner une bière au bistrot du coin. Je coupe le moteur. Manu saisie la paire de couilles déjà dégagées de la braguette, les bouscule un peu de sa petite main, au point que le zob bien décalotté remonte aussitôt pour se tendre au droit. De lautre, elle empoigne adroitement la tige, entamant un va-et-vient délicat, dabord en revenant régulièrement sur le gland, parfois en frappant le pubis, tirant, à le faire péter, le frein du prépuce.
Sa position inconfortable ne donne pas lavantage à Manu, au bout de dix minutes, elle sent la fatigue gagner son poignet. Espérant sûrement accélérer laffaire pour en précipiter la conclusion, elle embouche lobjet, en forçant malgré tout sa mâchoire étroite. Pour ce faire, elle a dû se mettre à genoux sur le siège passager et me tourner le dos en exposant ses fesses qui ne me laissent jamais insensible. Du coup, je ne vois plus rien de cette pipe sauvage. Comme souvent, son cul me rend fou. Dans limpossibilité de la foutre dans cette position, je me contente de la doigter pendant quelle tête avec gourmandise cet énorme concombre de chair. Sa cramouille sent le sperme à en vomir, elle est encore humide des deux giclées davant, mes doigts la fouille sans obstacle. Je dois dire quelle y met du sien pour faciliter la pénétration. La bite du pompé est tellement longue que pour lengloutir, elle doit bouger tout son corps davant en arrière. Je la laisse manuvrer, elle semble savourer les deux doigts que je lui glisse dans la moule. A un moment, elle reprend son souffle et me lance :
- Plus au fond, Jean-Christophe, vieux salaud, bourre tes doigts, fourre ton pouce dans mon cul, je vais jouir
Trouvant sur place, sans difficulté, de quoi lubrifier lorifice, je pose mon pouce sur sa rosette, laquelle, delle-même, sentrouvre et maspire.
Au même moment, je sens le corps de Manu pris dun tremblement et dun haut-le-cur simultané. Le pompé étant à même de lui vider les couilles au fond de la gorge, elle ne fournit pas à avaler. Dautant plus que les spasmes de son orgasme lui bloquent la déglutition. Elle sen tire en expulsant le membre, en recrachant le trop-plein sur les tennis du client. Il lui faut deux ou trois minutes pour retrouver sa respiration et arrêter de tousser. Bonne fille, toujours généreuse, elle achève cependant, en quelques coups de langue, le nettoyage de la queue toujours raidie. Le mec remballe maladroitement lobjet en tension en se retirant sans plus de commentaires. Dès quil a rejoint ses potes, la Mercédès fait demi-tour pour reprendre sa route vers le sud.
Certaine que ma bite bat la chamade, Manu me regarde maintenant, remplie de mes doigts obstruant tous ses trous. Elle attend, impatiente de moffrir le meilleur, pour boucler avec moi le « happy end » de cette partie surréaliste.
-Encule-moi, Jean-Christophe. Mets-moi ta bite bien au fond. Tout de suite. Je suis prête, lance-t-elle en enjambant le levier de vitesse pour se retrouver à califourchon sur moi, face au volant.
Opportunément, jai profité de son changement de position pour dégainer ma queue tendue, il ne faut pas longtemps à Manu pour offrir, en lempalant profond, son anus ouvert. Elle est étroite, elle me comprime le gland autant quun puceau de quinze ans. Bloqué entre le siège et la belle, je ne peux compter que sur lardeur de ma cavalière pour parvenir à lextase. Accrochée au volant, elle donne du cul au point que leffet de pompe produit un bruit de succion assez glauque. Quimporte, Manu mastique formidablement le dard, je ne tarde pas à perdre le contrôle. Au bout de quelques minutes, je la tire violemment vers mon sexe en la prenant aux épaules. Je laisse partir le coup dans ses entrailles. Manu jouit de nouveau. Cest beau, la jeunesse !
Le temps quand même de reprendre notre souffle, nous retournons, tous les deux cette fois, vers les sanisettes pour tenter de nettoyer autant que faire se peut, les traces de nos ébats avant de reprendre la route.
Ce nest pas si mal que ça Blablacar finalement.
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