Mon Prof De Français (2)
Je narrive jamais en retard. Jamais, sauf aujourdhui, bien entendu. Il est déjà 8h20 quand jarrive enfin devant la porte de ma salle de classe. M. Guy déteste que des retardataires interrompent son cours, mais je suppose que si je sèche il sera encore plus en colère. Anxieuse, je frappe trois fois avant dentrouvrir la porte. Y-a-til une situation plus gênante que celle darriver en retard en cours, lorsque toute la classe a les yeux rivés sur soi, y compris le professeur qui vous scrute sévèrement dun regard si
oh
si envoûtant. Je bredouille quelques mots dexcuse auxquels il répond dun sobre « vous viendrez me voir à la fin du cours. » et vais masseoir au fond, puisque ma place habituelle a été prise.
Je passe lheure suivante dans un état dénervement inimaginable. Quest-ce qui va marriver à la sonnerie ? Vais-je simplement me faire remonter les bretelles pour mon retard, ou a-t-il quelque chose dautre en tête ? Mais trêve de finasseries, vous vous doutez bien que si ça navait été quun sermon, ça naurait pas valu la peine de le raconter.
Les élèves quittent la salle, je reste scrupuleusement assise sur ma chaise. Des camarades me lancent un petit sourire dencouragement, supposant que je vais prendre un savon. Personnellement je me dis que je vais prendre beaucoup plus. Pour linstant, le prof efface les vestiges de son cours au tableau et me tourne le dos. Je me lève et mapproche. Lorsquil se retourne, je suis à genoux devant lui et je défais les premiers boutons de mon chemisier. Je ne sais pas ce quil me prend, je crois que même de dos il dégage un certain aura. Jai limpression que cest la chose à faire. Son petit sourire en coin me donne raison. Les mains dans les poches, me surplombant dautant plus quil est resté sur lestrade, il mobserve ouvrir les pans de mon vêtement puis dégrafer mon soutien-gorge. Je mimmobilise, attendant un signe. Il sapproche et pose un genou à terre. Même ainsi il me dépasse dune bonne tête.
Il tend la main vers moi, et
me file une petite baffe.
« Bonne fille. ».
Je sursaute, plus sous le coup de la surprise que de la douleur. Sa main glisse le long de mon cou, jusquà ma poitrine. Il att un de mes tétons et se met à la faire rouler entre ses doigts. Ce nest pas grand-chose en soi, mais déjà je sens que ma chatte commence à shumidifier. Juste quelques gouttes probablement, qui suintent entre mes lèvres
Jai envie dune autre fessée. Je veux sentir ses mains sur mon cul, me faire maltraiter par ses grandes mains chaudes. Il na pas lair si mécontent de moi, au final. Jen serais presque déçue!
Brusquement il se relève, sauf quil na pas lâché mon téton. Avec un couinement, je suis bien obligée daccompagner le mouvement et de me relever en même temps que lui. Il pousse un bref éclat de rire et commence à me tirer jusquau bureau. Il parvient à my faire asseoir, et, se tenant debout entre mes jambes quil a écartées, il minterroge :
« Pouvez-vous mexpliquer ce quest une ekphrasis, mademoiselle Gibert ? »
« Oui, euh
» (il continue de jouer avec mes seins) « Cest une description enchâssée au sein dun récit qui
euh
décrit un objet. Comme celle du bouclier dAchille dans lIliade. »
« Au sein dun récit, oui, cest à peu près ça en effet. Le récit dun sein correspondrait à la définition nest-ce pas ? »
« Oui, monsieur, je suppose ! »
Je suis littéralement en train de fondre sur ce bureau et lui trouve le moyen de faire un jeu de mots. Les profs de lettres ont parfois un humour particulier. Pendant ma petite interrogation, il ne cesse de tirer sur mes tétons dressés dexcitation. Mes seins ne sont pas très gros, je dirais quils font la taille de deux petites oranges, mais ils sont ronds et fermes.
Excusez-moi, mais quand je suis excitée je me sens un peu dhumeur poétique. M. Guy contemple mes seins, leurs mamelons foncés doù émergent mes petits tétons dressés. Il en aspire un dans sa bouche. Il le travaille à petits coups de langue, pince ses lèvres de temps en temps pour tirer dessus. Je soupire, me tords de plaisir, il est obligé de saisir ma gorge pour me faire tenir tranquille et maintenir sa bouche sur ma poitrine. Jouant alternativement de sa langue et de ses dents, il les aspire, les mord, les lèche, les presse et les caresse... et je ne peux penser à rien dautre quà la trique que je sens depuis un moment contre ma cuisse. Je retiens un gémissement daise lorsquil me retourne sur le bureau, ce qui nest pas sans me rappeler de cuisants souvenirs. Est-ce quil va enfin me prendre ? A vrai dire, je mattends plutôt à une nouvelle fessée. Pour être plus précise, et honnête, jespère, jespère follement quil va me flanquer une nouvelle fessée. Je veux sentir ses mains sabattre sur mon cul, quil me délicieusement comme la dernière fois. Ma satisfaction ne fait plus aucun doute lorsquil fait glisser dun geste mon jean le long de mes cuisses. Jattends.
« Vous ne pensiez tout de même pas que votre retard allait rester impuni, nest-ce pas ? »
Il ny a plus de doute possible ! Je sens que sa main va sabattre sur mes fesses dun instant à lautre.
« Je naccepterai aucune négligence du point de vue de lhygiène, mademoiselle Gibert. Je comprends que les circonstances soient particulières ce matin mais japprécierais quà lavenir vous mainteniez cette partie de votre anatomie prête à lusage. »
Une bouffée de chaleur me monte à la tête. Prête à lusage ? Voilà qui nest guère poétique. Mais plutôt excitant. Je me sens tout de même terriblement honteuse.
« Vous mavez bien compris, nest-ce pas ? Je veux bien croire que vous soyez une petite souillon dévergondée dans votre for intérieur, mais jexige une certaine tenue de votre part. »
Mais
quel goujat !
« Oui monsieur. »
Oui, bon, daccord. Je mouille terriblement. Je me sens très
vilaine, et jai tellement envie de ma fessée que je ne suis plus vraiment sûre quon puisse appeler ça une punition. Mais ce nest pas ce que M. Guy avait en tête, semble-t-il. Ma culotte écartée, il a à présent libre accès à mon sexe moite de désir et, apparemment, un peu sale. Cest alors que je sens contre ma vulve la pression dun objet rond et froid. Ma première réaction est de me contracter légèrement, mais mon professeur ne semble pas disposé à accepter la moindre rebuffade. Dune poussée brusque, il insère dun coup ce corps étranger dont je crois comprendre la nature.
« Ce nest quun uf vibrant, ne faites pas l. Puisque vous semblez sujette aux pannes de réveil, ceci me permettra de massurer que vous ne manquerez pas mon cours de la matinée deux jours daffilé. De quoi vous maintenir alerte, en quelque sorte. »
Ceci dit, il glisse sa main dans la poche de sa veste. Une brève mais intense vibration me fait échapper un petit cri.
« Rhabillez-vous et fichez-moi le camp maintenant. La pause est presque terminée vous avez sûrement un cours auquel assister. »
Je reste un moment abasourdi sur un coin du bureau. Mon prof lève un sourcil réprobateur et je mexécute immédiatement. Sans demander mon reste, la chatte encore palpitante et éperdue de désir non assouvi, je suis bien obligée de quitter les lieux. Jaurais bien aimé quil me dise quel était le degré dintensité de la vibration qui vient de me faire bondir, pour savoir à quoi mattendre... mais je suppose que ce sera à moi de le découvrir.
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