La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1265)

Petite chienne au Château - (suite de l'épisode N°1259) -

- ... je vous recommande de m’en faire part, et l’esclave en question serait immédiatement renvoyé du concours et du Château par surcroit…

Les Invités se levèrent, et partirent rejoindre la salle à manger, déjà apprêtée, par l’équipe des soumis et soumises affiliés à Madame Marie, la cuisinière en chef du Château. Nous étions toujours alignés en position d’attente face contre le mur, silencieusement et patientant un ordre. Je ressentais la douleur cuisante sur mon fessier, mais j’éprouvais beaucoup de fierté d’avoir réussi cette épreuve. J’étais déterminée à leur démontrer que je méritais ma place au sein de leur monde. Walter, le Majordome nous plaça en rang, l’un derrière l’autre, en quadrupédie, maniant de sa cravache, il nous fit rejoindre la salle annexe. Les Invités ne prenaient même pas la peine de nous regarder, ils étaient tous agréablement installés autour d’une immense table. Plusieurs esclaves, portant un unique collier noir en un épais cuir orné des nobles initiales ‘MDE’, patientaient derrière un Dominant ou une Dominante prêts à le servir. Le dîner avait débuté, les conversations fusèrent. Chacun de nous quatre, fûmes installés à un coin de la table, tête au sol, écartant les lobes de nos fesses afin de laisser une vue impeccable à nos orifices à qui voudraient les utiliser à tout moment. Le Majordome nous équipa d’un plug et d’un god, d’une taille raisonnable à nous les femelles, alors que les mâles eurent chacun leur trou empli. Puis, on nous délaissa totalement, l’attention des convives était ailleurs, centrée sur le Maitre des Lieux qui venait de les rejoindre et le silence se fit instantanément suite à un simple geste de la main du Châtelain. Il fit un beau discours de bienvenue, empli d’éloquence et les applaudissements fusèrent…

Tout d’un coup, je sentis une imperceptible caresse sur mon fessier, Ses doigts d’une douceur infinie me firent tressaillir sur toute mon échine.

Heureuse de ce doux contact, je me courbais davantage, affichant fièrement mes orifices, ma croupe marquée par le Noble, m’écrasant encore plus au sol. Une chaise lourde racla alors le sol, Monsieur le Marquis d’Evans prit place parmi Ses Invités en bout de table, place réservée au Maitre des lieux. Je compris que j’avais été installé non loin du noble Marquis. Ce dernier reprit la parole et annonça le début des hostilités, tous applaudir de nouveau pour remercier le Châtelain. Les conversations allaient bon train, dans ce brouhaha général, il m’était difficile de percevoir la voix si significative du Noble. Ma curiosité naturelle de femelle mal élevée mourrait d’envie de connaitre Ses propos, mais je me rappelais les leçons reçues par le Maître des lieux Lui-même, lors de nos échanges Skype…

« Une chienne-soumise se doit de rester discrète, s’effaçant devant un Dominant, silencieuse, dans l’attente d’une Exigence. Elle n’a pas à connaitre les dires des Dominants, juste à satisfaire et répondre à ces Exigences qui lui sont imposées. Une chienne n’est rien d’autre qu’une femelle en chaleur qui n’a qu’un seul et unique but : Satisfaire, servir à être utilisée à tout moment et rester à sa place à même le sol en sachant attendre d’être justement utilisée. »

Je me répétais Ses mots sans cesse : « satisfaire, servir à être utilisée à tout moment et rester à sa place à même le sol… ». Ainsi, j’étais concentrée sur mon état de femelle, oubliant ma curiosité. Concentrée à garder une position digne de ma condition, je fus surprise de ressentir des vibrations au niveau de mon trou de chienne. Ces vibrations étaient douces et agréables. Je sentais l’excitation revenir en moi, mon bas-ventre se torde, l’envie irrésistible de remuer du cul, mes lèvres intimes devenir humide, jusqu’à être trempée de la chatte. Je fermais les yeux appréciant ces sensations, satisfaite d’afficher aux Dominants qui m’entouraient mon état de femelle en chaleurs. Je sentis ce god vibrant aller et venir en moi, en douceur d’abord puis, d’un rythme plus important.
La voix d’une Domina retentit derrière mon dos :

- Tu as raison, Edouard, cette chienne aime visiblement l’anal… J’apprécie comme elle tend sa croupe dans l’espoir de recevoir encore son traitement. Je crois qu’elle va finir par me plaire cette petite salope, il est évident qu’elle a ses chaleurs ou alors qu’elle soit constamment en chaleurs comme les bonnes chiennes soumises de son espèce ! … Son corps est plutôt bien équilibré, elle a des formes sensuelles, une croupe parfaitement arrondie et bien développée et au vu des calibres qui comblent ses trous, elle conviendrait parfaitement à mon mari... Lui et moi, sommes en recherche d’adoption d’une nouvelle petite chienne à dresser selon nos critères… Tu sais, Edouard, il n’aurait manqué pour rien au monde ce concours, mais il n’a pu faire autrement, que de partir à New York ce soir même pour un congrès international de médecine…
- Oui, ma chère Sylvie, il m’en a fait part avant d’embarquer dans votre jet privé. Je comprends très bien son absence. Je sais qu’il aurait mille fois mieux préféré assister à cette soirée originale, où des soumis chiens et soumises chiennes sont présentés pour une adoption… Il m’a d’ailleurs fait part de ses critères afin que je puisse t’épauler dans votre choix. C’est d’ailleurs pour cette raison que je voulais t’avoir à mes côtés, le temps de ce dîner, pour te présenter plus personnellement « petite chienne ». Elle a clairement un manque total d’éducation, son dressage est à persévérer, à intensifier et je pense qu’il ne faut lui laisser aucun répit. Cette femelle a besoin d’une éducation dure, continue, constante et intransigeante… Je connais ton mari depuis tant d’années, et je sais très bien que vous seriez capables ensemble de dresser cette salope, comme elle en a besoin. Je n’ai aucun doute là-dessus. Ta perversité alliée à l’intransigeance de ton mari serait la combinaison parfaite pour éduquer cette catin.

Cette salope, cette catin, cette femelle…», ces mots résonnaient dans mon esprit et amplifièrent mon excitation.
J’aimais entendre Monsieur le Marquis me nommer ainsi, me nommer pour celle que j’étais. J’acceptais et savourais ces appellations. Prises dans le désir, je n’avais pas fait attention à l’ensemble de leur conversation, seules ces quelques brèves parties m’avaient d’avantage excitée, tels que les mots « adoptions », « dressage », « perversité », « intransigeance » … Je me régalais de ma position, de ce god en moi que la Domina ne cessait de remuer en mon trou. Quand un ordre claqua sec et laconique :

- Chienne, retourne-toi ! », tonna la Domina.

Cette Exigence stoppa net mes pensées, je relevais mon buste, et je me retournais sans attendre, conservant ma position à quatre pattes, le regard au sol, la croupe relevée du mieux possible. La main de Madame passa sur mon crâne, comme on caresse un animal de compagnie, puis elle présenta trois de ses doigts devant ma bouche. Je compris aussitôt, j’ouvris mes lèvres, sortis ma langue et les léchais l’un après l’autre. Je gardais une attitude humble, léchant avec douceur et docilité ses doigts inquisiteurs, remerciant ainsi Madame pour le temps qu’elle me consacra. Elle fut visiblement ravie de mon comportement.

- Hum, j’aime comme elle sait manier sa langue, Edouard… Cette salope de chienne a un véritable potentiel, en effet…
- C’est Madame Eloïse qui m’a apporté cette chienne de la gare. Elle l’a testé et en était très satisfaite à son arrivée au Château…
- Vraiment ?! Et bien, je vais vérifier cela immédiatement…, la Domina écarta ses cuisses et releva quelque peu les pans de sa robe, m’invitant à venir passer par-dessous.

Je m’approchais en douceur, glissais sous sa robe, dont la chaleur et l’odeur était forte présente. La Domina était visiblement excitée par la situation, cette forte odeur m’envouta, et m’excita par la même occasion. Elle ne portait pas de culotte et ses cuisses bien écartées m’indiquaient ma place. Je ressortis alors ma langue et la passa entre ses lèvres intimes déjà gorgées de désirs, m’arrêtant sur son clito avec lequel je le roulais sur ma langue.
Les vibrations du god étant toujours présente, j’étais heureuse de ma position, de mon utilisation, de ma servitude… Je voulais qu’une seule chose à cet instant, donner un orgasme à Madame, prouver devant les yeux du Noble, mes compétences de femelle servile. Après avoir fortement joué avec le clito de Madame, sentant son excitation doublée, je me pressais d’embrasser, et de passer ma langue entre ses grandes lèvres, afin de la fouiller, d’essayer d’aller au plus loin… Humant son odeur, je savourais ma place à ses pieds. Elle finit par croiser ses jambes sur mon dos, m’obligeant ainsi à coller ma tête entre ses cuisses, pour ne pas perdre mon but : Satisfaire Madame.

J’étais encore durant de longues minutes sous sa robe, titillant à la fois son clito et léchant l’intérieur de son intimité poussant la langue le plus profondément qu’il m’était possible, léchant chaque paroi de son vagin tout en tournoyant mon appendice buccale, quand je sentis la fatigue monter en moi, n’étant pas habituée à donner du plaisir à une Dame sur un temps aussi long. Alors que je sentais, ma mâchoire se crisper sous la fatigue, la chaleur et l’odeur qui finit par m’incommoder, je tentais de rester concentrée sur ma tâche, m’interdisant de faillir. Je conservais mon rythme avec difficulté … Madame ôta ses pieds de ma croupe, releva les pans de sa robe et deux mains me tirèrent en arrière par mes chevilles, surprise, je perdis l’équilibre et tomba en avant. On me traina ainsi sur le sol, le god en moi était désactivé, mes mamelles raclaient le parquet, je me laissais faire, acceptant ma défaite. Alors que ma tête se dégagea des pans de la robe de Madame, on lâcha mes chevilles, j’ignorais quelle position adapter : En offrande (à genoux, mains relevées derrière la tête), ou en quadrupédie, ou rester ainsi, telle une vermine étendue au sol…. J’optais pour la dernière option, sachant que j’avais failli à ma tâche, je préférais ne pas commettre d’impairs supplémentaires, et accepter la sentence qui allait tombée… Mais ce que je puis affirmer, c’est que malgré la fatigue et ce retrait , mon excitation n’avait pas baissé d’un iota…

(A suivre …)

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