Li Gazet'ix : Du Coté De La Lutte
Li Gazet'iX est le journal peu officiel mais très recherché qui "divulgue" l'envers des décors, les coulisses cachées du campus.
Emile Lalongue est aujourd'hui un emblème dans notre université. Fils de la campagne profonde, il est arrivé chez nous à 19 ans. Timide, refermé sur lui et assez niais, il s'est inscrit en Philo et s'est montré très brillant dès la première année. Ses plus gros soucis étaient l'intégration parmi ses camarades, garçons et filles et le sport. Lorsqu'Emile s'est vu contraint de s'inscrire à un sport, par élimination pour éviter tout contact physique, tout ce qui était violent ou en équipe, il s'est retrouvé dans l'équipe de lutte. Très vite, Emile est allé de surprise en mauvaises surprises comme il ne s'était jamais imaginé combien ce sport est rude et exigent. Du petit garçon gringalet et réservé qu'il était au début, il est devenu progressivement le fier athlète complet que nous connaissons aujourd'hui.
Le premier entraînement avait amené Emile dans des humiliations incroyables. Il se révélait trop chétif, trop timide, trop peu musclé et une quantité innommable d'autres "trop" ou "trop peu". Emile s'était ainsi retrouvé la bête noire des machos de l'équipe, leur souffre-douleur. Durant plus d'un an, Emile avait accepté ce statut ingrat en se réfugiant en solitaire dans ses livres. Tout a radicalement basculé le 12 janvier de l'année dernière.
En un an, Emile a développé un physique extraordinaire mais qu'il ne savait pas mettre à profit comme il continuait toujours à se considérer comme le pauvre petit étudiant chétif et que personne ne s'intéressait vraiment à lui, sauf pour le rabaisser... Faut dire qu'il le cherchait aussi.
Ce 12 janvier, une importante rencontre sportive avait lieu pour l'équipe de lutte. Une compétition vitale qui pouvait les propulser en tête de classement, du jamais vu au sein de notre université. La hantise des joueurs était Emile, chacun essayait sa propre méthode pour l'intimider, le menacer, l'effrayer, le tourmenter, le traumatiser, l'émouvoir, en un mot, le faire sortir de ses gongs afin de stimuler, de réveiller un peu d'énergie en lui.
L'idée de Pierre, sportif de 20 ans au physique impressionnant et plusieurs fois médaillé, imbu de sa personne dont le petit cerveau tournait autour des insultes, des provocations et du sexe, développa avec l'aide de ses lieutenants un plan machiavélique pour déstabiliser le miséreux Emile en lui donnant une dernière chance ou en le ridiculisant à jamais afin qu'il soit chassé de SON équipe. Trente minutes avant le premier combat de son minable équipier, ils l'attirèrent dans un guet-apens. Sous une excuse bidon, Marc l'emmena dans les vestiaires totalement vides. Refermant la porte à clef derrière eux, ils commencèrent à l'insulter, le bousculer, le frapper avec des essuies pour, finalement, le dépouiller totalement. Complètement nu, Emile soufra tous les mépris, les dédains, les arrogances et les abus vocaux du trio, se protégeant tant bien que mal avec ses mains par-dessus son sexe alors que les coups d'essuie battaient de tous cotés avec de plus en plus de violence.
Jean, responsable du minutage de ce projet, arrêta cette mascarade pour le pire cauchemar d'Emile. Le plan était diabolique, à l'image du capitaine. Les deux lieutenants agrippèrent solidement le garçon peureux, la hantise de l'équipe complètement nue devant eux, chauffé à point, retranché derrière ses limites, enfermé dans ses peurs.
Armé d'un objet cylindrique, Pierre s'approcha lentement avec son air important et menaçant vers sa proie. Tandis que Jean et Marc tenaient solidement ses bras, Pierre se glissa subitement entre ses jambes pour soulever ses jambes et son bassin. Pris par surprise et trop effrayé pour réagir, Emile se vit propulsé sur les bras de Pierre, une cuisse de chaque coté de son torse. Avec une dernière raillerie sur le méprisable petit vermisseau sans défense rampant sur le bas-ventre d'Emile, Pierre glissa un doigt, puis deux dans l'orifice secret de sa victime.
En effet, les comparses purent, à cet instant même, entendre l'annonce du combat imminent d'Emile. Précipitamment, le trio renfila le maillot sur le corps du plus jeune supposé sportif et le traînèrent de force jusqu'au tapis. Il fallut un moment pour Emile réaliser ce qui venait de se passer. Il reprit conscience lorsqu'il sentit des mains l'agripper pour le faire basculer. Perturbé par les évènements précédents, la présence bien réelle dans son postérieur et les mouvements agressifs tout aussi réels de son adversaire, Emile commença à se débattre. Son adversaire, surpris par cette soudaine action inattendue, bascula et tomba à terre. Le combat reprit, il dura longtemps et Pierre, remarquant finalement que les résultats étaient serrés et que son équipe pouvait assurer leur victoire par le couronnement de ce combat
Il faut signaler qu'Emile, même s'il était un piètre combattant, connaissait parfaitement toutes les techniques et astuces de ce sport, qu'il était fortement intelligent et très rusé. La seule chose qui lui manquait dans sa vie, était cette petite étincelle de vie, cette volonté, cette motivation qui fait la différence avec un grand champion.
Emile avait techniquement l'avantage. Mais la rage de son adversaire ramena rapidement Emile en position de défense. Le combat continua, apparemment équilibré, la technique contre la volonté et la rage. Ils étaient réellement complémentaires, l'union de ces deux lutteurs aurait fait un athlète complet.
Le temps passait, l'adversaire avait l'avantage en nombre de points. Pierre fulminait, il avait besoin de cette victoire pour gagner le championnat.
Son arme secrète devait entrer en action. Soit c'était la déchéance pour Emile, soit la victoire pour son équipe. Pierre sortit une télécommande de son sac. Il enclencha la mise sous tension de l'appareil, puis poussa pour le bouton marqué d'un "+". Sur le petit écran, des chiffres apparurent, croissant rapidement. Pierre observa attentivement la réaction d'Emile comme il savait que de terribles vibrations devaient commencer à se manifester dans son cul.
Emile perçut des sensations inhabituelles. Il lui fallut du temps pour si ses vibrations comme il restait concentré pour limiter les dégâts de ce combat qu'il savait perdu d'avance. Lorsqu'il réalisa la provenance, son visage devint instantanément écarlate. Pierre comprit que son appareil fonctionnait et son sourire s'élargit, sa rage fit place à un plaisir malsain. Emile était décontenancé, totalement perdu. Ses mouvements n'étaient plus synchronisés et ceci perturba encore son adversaire. Le combat tournait presque en une bouffonnerie, faisant rire le public, agaçant les coéquipiers des deux camps mais tant savouré par Pierre et ses deux comparses. Pierre éclata même de rire lorsque, après avoir augmenté les vibrations, il vit un énorme bombement se formé dans le maillot moulant de sa victime.
Ce désordre sembla profiter à Emile qui regagna progressivement quelques points mais, bien sûr, pas assez pour gagner.
Pierre sentit son propre sexe gonfler au maximum, mais cela ne le gênait pas, il n'avait jamais été dérangé de montrer sa virilité, une vraie virilité mâle. Ce plaisir intense qu'il sentait dans ses boyaux l'amena à augmenter l'intensité des vibrations, encore et encore. Ses yeux globuleux étaient maintenant rivés sur cette masse qui semblait grossir toujours plus fort, d'une longueur incroyable. Pierre en devenait hystérique, il n'était plus du tout conscient de l'endroit où il était.
Tandis qu'il était plaqué au sol dans une situation désespérée, Emile lâcha un hurlement bestial. La bête en lui venait de se réveiller. Il renversa son adversaire comme une plume et le plaqua en quelques secondes sur le sol. Il fut déclaré vainqueur sous les yeux éberlués de tous les participants. Pierre était le seul non conscient de cette victoire. Ses yeux étaient toujours hypnotisés par cette incroyable bosse et, surtout, sur la prodigieuse tache humide qui centrée sur la pointe de cet énorme tube démesuré. Pierre tomba assis sur le sol, savourant cette victoire, non pas la victoire d'Emile contre son adversaire, mais sa propre victoire sur ce garçon qu'il venait de dominer, de contrôler si perversement à distance, sa proie qu'il venait de vaincre.
La foule se leva et acclama Emile, ses coéquipiers se précipitèrent vers lui pour le porter en gloire sur leurs épaules. Emile était le héros du jour. Il venait de se propulser champion, il venait de mener l'équipe à une victoire. Pierre était toujours sur le sol, épuisé, enfermé dans sa glorieuse réussite, dans sa propre jouissance.
Lorsqu'il émergea finalement, Pierre se dirigea vers les vestiaires. Tout le monde était déjà parti pour fêter cette victoire dieu sait où. Pierre se déshabilla, toujours accablé par son étrange bonheur et à peine sorti de son état second. Il savourait le silence, le clame, le plaisir d'être seul. Pierre se dirigea vers les douches et se délecta du puissant jet d'eau tiède sur sa peau en sueur, sur ses muscles drainés. Dans sa songerie; il sentit une main ferme se poser sur son épaule, il était ravi que Jean l'ait attendu et le remercia.
Mais la main n'était pas celle de Jean.
Lorsque Pierre se retourna lentement, il découvrit Emile totalement nu. Son corps musclé ruisselait et étincelait sous le jet d'eau, il semblait deux fois plus musclé, deux fois plus grand, deux fois plus large et ses yeux luisaient. Pierre voulut réagir avec un geste de mépris, un geste de défit mais Emile l'évita et l'agrippa fermement. Un combat commença, une lutte entre deux Titans. Emile, le nouveau champion et Pierre, Pierre l'ancien... Emile prit rapidement le dessus, Emile le domina, Emile le terrassa, Emile le vainquit.
Le grand Champion du jour profita de cet instant pour remercier profondément Pierre, profondément dans ses entrailles. Comme il enculait le peu fier capitaine, Emile le remercia pour cette révélation, pour l'avoir aider par un chemin fort détourné. Pierre était maintenant vert de rage, humilié par cet Emile, autrefois le petit vermisseau de l'équipe. Emile le posséda longuement, lui murmurant des mots accablants, lui léchant le dos, la nuque, les oreilles jusqu'à ce qu'il relâche une énorme charge au plus profond de ses entrailles, une charge écrasante qui avait révélé sa nature profonde de champion, de dominant, de mâle.
Lorsque l'accouplement fut terminé, lorsque l'ensemencement prit fin, Emile piégea, bouchonna cette graine de champion avec le même plug vibrant et puis remarqua la forte érection de du sportif soumis. Il lui montra simplement un sourire satisfait et lui dit d'aller se rhabiller en gardant cette semence providentielle. Emile emmena un garçon soumis, mais apaisé, vers le café où il savait que l'équipe était réunie. Il fut accueilli en héros tandis que Pierre passa inaperçu. Durant toute la soirée, Emile s'amusa avec ses deux nouveaux jouets, tripotant les boutons du premier pour amener le second régulièrement au bord d'un orgasme sans pouvoir se libérer.
Le nouveau champion devint évidemment le nouveau capitaine et, Emile n'étant pas un rancunier, ils devinrent de fidèles amants, un vrai dominant contrôlant un soumis insoupçonné, tous deux comblés par cet amour naissant.
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