Porte A Porte

Je me levais comme chaque matin, la mine triste et le teint blafard. 5 Mois que je n'avais pas retrouvé de travail, depuis mon licenciement économique. J'avais travaillé pendant 5 ans dans cette société de transports, et 5 années plus tard, au revoir, bye bye ! Putain de conjoncture... Je me dirigeais vers ma salle de bains, et le reflet de mon visage apparut dans la glace. Je ne m'étais pas rasé et lavé depuis trois jours, et mon visage le reflétait pleinement. Je frottais les poils de ma barbe drue, et la mine dépitée, je pris la bombe à raser quand la sonnette retentit ! Je regardais ma montre 11h10 ! Je réfléchissais : soit mon bailleur me réclament les 3 loyers de retard, soit la facteur avec un recommandé. Dans les deux cas, pas de bonnes nouvelles en perspective. Je réajustais mon peignoir éponge et me dirigeais sans bruit vers la porte d'entrée. Je regardais à travers le judas et là.............

Je garais ma voiture devant cette chaîne d'immeuble. Il faisait froid mais bien emmitouflée dans mon manteau Burberrys je me dirigeais vers l'entrée du premier bâtiment. Un groupe de jeune assis, me sifflaient au passage, je passais, activant mon pas, les ignorant. Je participais pour l'école à une vente de chocolat en porte à porte sensés financer le voyage au ski des s. Je montais donc l'escalier sale et nauséabond, avec toutefois certaines craintes d'avoir été affectée à ce quartier sordide et à mauvaise réputation. Je sonnais à la première porte. Un cri s’éleva de l’intérieur :

- Ouiaaaaaaa, une minute !!!!!!!

Légèrement angoissée, je pensais à rebrousser chemin. La porte s’ouvrit.

- Bonjour, excusez moi de vous déranger, je fais partie de l’association de L’école Sainte Cécile, et collecte des dons pour permettre aux s de partir en classe de neige. En échange de votre don je vous offre une boîte de chocolat de votre choix que vous pouvez choisir sur le catalogue.

L’homme avait l’air triste et le teint blafard, de plus mal rasé, il n’était vraiment pas très avenant.

Il me proposa dans un grognement inaudible d'entrer afin qu'il puisse choisir. Je pénétrais dans son appartement qui était d'une saleté incroyable. Ceci tranchant vraiment avec mon air bon chic bon genre que j'arborais fièrement. Je me trouvais au milieu de cadavre de bouteille vide, et de pizzas pas terminés. J'étais pressée d'en finir et de ressortir de la.

Je jaugeais cette femme d'une quarantaine d'année aux formes épanouies. Elle avait tout de la bourgeoise guindée BCBG... elle rentra d'un pas réticent dans mon salon. Me sentant un peu gêné, vu l'état de saleté qui y régnait je lui proposais de s'asseoir sur un pouf marocain, beaucoup plus bas que le fauteuil ou je trônais !!! Je la regardais fouiller dans son sac à la recherche de son catalogue. Je fixais ces jambes avec insistance, ce qui eut pour effet de la faire rougir. Sa poitrine volumineuse réveilla en moi une érection certaine. Je masquais mon entrejambe en rabattant mon peignoir. Puis entamait le dialogue :

- Je pourrais peut-être en choisir 2 ? j'adore le chocolat et je serais me montrer généreux comme vous dites !!!

Je sentis soudainement l'intérêt qu'elle porta à cette phrase... Je sentais que je pouvais aller plus loin et lui dit :

- Vous êtes bien foutue !! Ce n’est pas souvent que l'on voit de si belles dames dans le quartier ??

Ma queue tressauta entre mes jambes !! Je fixais sa bouche et imaginait déjà ses lèvres ventousant ma queue...

Assise sur un pouf j'avais ouvert mon manteau pour laisser apparaître mon magnifique ensemble one step offert par mon mari. Ma jupe en daim ainsi que mon pull coton violet avec col roule très moulant. Je sentais le regard de cet homme posé sur mes formes généreuses que l'on pouvait devinées au travers de ma tenue de bourgeoise bien faite. Ses yeux balayaient mon corps passant de mes escarpins Ernest Olivet en veau imprimé à mes lèvres recouvertes de rouge a lèvre Chanel Scarlet. J'étais gênée et assise sur ce pouf je me sentais inférieur.
Je croisais néanmoins mes jambes, ne m'apercevant pas que ma jupe était légèrement remontée à mi cuisse. Je ne relevais pas son compliment de draguer de supermarché, me disant que plus vite il m'achèterait mes chocolats plus vite je sortirais de ce lieu sordide.

- Voici mon catalogue, vous pouvez choisir en fonction de vos goûts et désirs.

Je lui tendais le catalogue me relevant et me penchant en avant afin qu'il puisse saisir le document.

Je m'approchais et prit le catalogue, l'air faussement intéressé. Je lorgnais sur cette paire de seins de temps à autre. L'envie de les pétrir et de les malmener m'excita au plus au point et le bout de mon gland apparu de temps en temps entre les pans de mon peignoir. Je jubilais. L’occasion était tentante et le fait de rabaisser cette "salope", sachant que je n'avais plus rien à perdre, fis germer en moi des scénarios pervers : je la souhaitais soumise et consentante. Il suffisait juste de bien s'y prendre. Je voulais tout d'elle. "Le grand jeu" .Je voulais la voir se rabaisser et exécuter mes moindres caprices. Il fallait la compromettre. J'essayais vénalement :

- bien je choisirais ces 2 là !!! Je peux vous donner 50 euros, je crois que cela les vaut bien, non ? Et je pourrais être plus généreux, il ne tient qu'a vous ?

Je me rapprochais d'elle et je sentis les effluves de son parfum haut de gamme... ma bite se dressa et je ne pus la cacher...

Il était tout près de moi, et je sentais la situation m'échappée. Je pouvais entre apercevoir son sexe entre les pans de son peignoir. Je me relevais et me trouver tout contre lui, il s'approcher de plus en plus jusqu'a me frôler. Je sentais son haleine fétide, mélange de vin et de cigarette.

- Bien je voici un reçu pour les 50€ et je vous enverrais les chocolats d'ici 3 semaines.

Je me diriger vers la sortie le poussant un peu pour me frayer un passage? Quand sa main puissante s'abattit sur mon avant bras.


- Mais que me voulez vous donc, voulez vous me lâcher le bras.

Mes yeux bleus le fixaient je le voyais contempler ma bouche rouge scintillante de mon rouge à lèvre délicatement appliqué. De son autre main il me débarrassa de mon manteau sans que je n'eu le temps de protester. Il le jeta sur le pouf, s'éloigna et me regarda de haut en bas. Un cri d'exclamation me fit clairement comprendre qu'il appréciait ce qu'il voyait.

Je sentais peu de résistance... je la regardais. Allumais une cigarette et lui lançais :

- allez ma belle, tu vas me faire un strip !!! Compris ???

Ma voix était plus dure que d'habitude

- tu préfères que j'appelle les jeunes de la cité. Je crois qu'ils se feraient un plaisir de te dépouiller à ta descente !!! (Je ricanais), surtout que j'en connais certains qui aimeraient bien poser leurs paluches sur une bourgeoise comme toi !!! Allez sois gentille et tout ce passera bien !!!

Je repris place dans mon fauteuil au cuir élimé.

- je suis sur que tu as des dessous assez existants !!! Allez magne toi le cul !!!

Je décapsulais une autre bière et passais mon autre main entre mes cuisses....

Mais quelle idée d'être venue dans cette souricière. J'étais coincée, et comprenais à son regard qu'il irait jusqu'au bout. De plus à la vue de mes dessous il allait sûrement faire une syncope. Quelle idée d'avoir mit des portes jar telles aujourd'hui. Néanmoins je décidais de négocier.

- D'accord je relève ma jupe vous regardez et vous me laissez partir ?

Il ricana disant « essaye toujours on verra bien ». Je relevais ma jupe laissant découvrir mes portes jar telles Lise Charmel Jungle Mystery vert, et mon string faisant ressortir mes fesses admirablement. Sans être trop grosse elle était d'une taille suffisante pour exciter encore plus. Il m'ordonna d'effec un tour sur moi même afin d'observer mes fesses. J'obéis. Je lui tournais le dos, et sentait son souffle rauque se rapprochait de moi.


Je prenais part à ce spectacle avec enthousiasme. Ma main massant ma queue qui commençait à prendre de bonne proportion... je commentais les effeuillements de commentaires salaces :

- ben dis donc ma belle c'est bandant ce que tu mets pour ton jules !! A moins que ce soit pour enrichir l'association !! hum quelle paire de seins !! On doit bien être au chaud là dedans !!!

Je me levais et m'approchais de ma proie !! Elle me rappelait étrangement l'autre "bourgeoise" des assedics qui m'avait refusé la prolongation de mes droits. Je n'en revenais pas, cette salope se dessapait devant moi !! Elle aurait put partir en courant !! Mais non elle prenait plaisir à me montrer ses grosses loches !! Je m'approchais d'elle :

- penches toi cochonne !!!

Je commençais à transpirer... ma main malaxa son cul avec brutalité !!! Ma bite était bien raide !!
Je m'amusais à passer mes gros doigts sur ses fesses... elle essaya de se redresser, mais une claque sur son cul lui rappela que s'était moi qui commandait !!! J’écartais le string et vérifiais si cela l'excitait !!! L’humidité que j'y trouvais, me renforça dans mon désir d'être plus dur !!!

- met toi en levrette sur le pouf salope !!!

Je dégageais mon peignoir et mon pieu se révéla dans toute sa grosseur !!!

- tu dois être contente d'avoir réveiller popaul ???

Je la contemplais, elle, en levrette sur mon pouf... Moi, le chômeur, allait pouvoir prendre ma revanche sur le capitalisme !! Et m'en payer une bonne tranche... je me postais devant elle... ma queue tressautant à quelques cm de son visage !!!

- Branle moi salope !!!

J’étais devenu son jouet. Une poupée de chair avec laquelle il allait assouvir son plaisir. Je savais que cela n'aurait de fin qu'après sa totale jouissance. J'étais sa captive, et devant sa force n’avait d'autre choix que de me résigner.

Positionnée sur ce pouf mes fesses offertes, qu'il avait malaxait crûment, je regardais son sexe tendu et fièrement dressé vers moi comme pour une prendre une revanche sur la société. De ma main protégée par mes gants en daim jaune Mary Beyer d'un grand raffinement, je pris en main son membre et le masturbais avec deux doigts comme une chose dégoûtante que l'on ne veut pas prendre à pleine main.

- Vous m'aviez promis de ne pas r de la situation, laissez moi partir maintenant...

J’étais fasciné de voir cette main gantée branler ma queue... je la laissais s'appliquer et je crut déceler une certaine maîtrise...

- oui allez applique toi bien !!! Prends la bien dans ta main !!!

Je passais ma main en dessous de son pull et malaxais ses gros tétons !!! Mes doigts rugueux d'ouvrier étaient au contact d'une peau fine et délicate. Je m'approchais, puis tirais ses cheveux pour la faire se cambrer.

- Met la entre tes seins et sors ta langue chienne !!!

Après avoir malaxé fermement mes seins au travers de mon pull en coton, il glissa sa main en dessous et je sentis le contact de sa peau rugueuse remonté vers ma poitrine. Il souleva vivement mon pull afin de faire apparaître mes seins toujours protégés par mon soutien gorge vert. D’un geste sec il baissa mes balconnets afin de libérer ma poitrine. Après 3 grossesses ma poitrine était volumineuse et laiteuse, cela produisait toujours beaucoup d’effet à mon mari, qui adoré jouer avec mes gros nichons, comme il s’aimait à les appeler. Cela produit le même effet, à mon agresseur, qui au vu de son regard lubrique était dans un état d’excitation total. Il plaça son membre entre mes deux mamelles, et me demanda de le masturber avec mes seins. « Branle moi avec tes grosses miches de bourgeoise et suce moi le gland en même temps ». J’obéissais, serrant son sexe entre mes seins et de la langue happait son gland qui remontait frénétiquement le long de mon corps, dans un va et vient incessant. De temps en temps il poussait son sexe plus haut encore, excitait par le rouge de mes lèvres, dont la délicatesse tranchait avec le bâton de chair forçant l’entrée de ma bouche. Me tenant par les cheveux, comme on saisi la crinière d’une jument sauvage, il m’ordonnait de serrer mes seins plus fort. Au bout d’un temps assez long il m’ordonna de le prendre en bouche entièrement. Toujours de mes mains gantées je pris son sexe et m’appliquait à le lécher. Mes lèvres entourés son membre, lui appliquant un suçon du plus grand effet. Le rouge de mes lèvre apparaissait le long de sa longue tige, il me demanda de lui lécher le membre avent de me l’enfonçait dans ma voluptueuse ouverture buccale. Dès lors il usa de ma bouche comme d’un sexe. Il remuait son pénis au fond de ma gorge me baisant par la bouche tout en pelotant mes seins de sa main droite et me tirant par les cheveux de sa main gauche. Il m’étouffait, et je n’arrivais pas à suivre sa cadence tellement il me pénétrait vite et fort. « Tu es vraiment une grosse cochonne toi, une vrai butineuse, t’aime la bitte sa ce voit tout de suite » me dit-il. Et il continuait à me parler « Une belle bourgeoise comme toi ça peut pas imaginer se faire troncher dans un quartier aussi sale, t’as raison, j’ai vu à ton regard que tu trouvais ma piaule plutôt dégoûtante. Tu vas me faire un peu de vaisselle pendant que je te prends en levrette, en plus t’as déjà les gants ça tombe bien »

Sortant son sexe de ma bouche, il me releva, toujours en me tenant par les cheveux, et me dirigea vers ce qui devait ressembler à une cuisine. Les fesses à l’air juste protéger par la lanière de mon string, il me pencha vers un évier rempli de vaisselle dégoûtante.

Arrivez dans la cuisine, je la poussais contre l'évier remplit d'assiettes sales.

- tu vas voir salope !! Je vais bien t'enfiler... et occupe toi de laver ça !!
Dis-je en montrant du doigt la pile de vaisselle...Je lui assenais une claque sur le cul avec plus de force.
Elle se cambra aussitôt.

Décidemment cette chienne aimait cela !! Je pris position derrière elle et pointait mon sexe bien bandé à l'entrée de sa grotte.

Elle écarta les cuisses d'elle même, je plongeais d'un seul coup dans ce trou accueillant...
Je commençais à la limer en prenant mon temps, guettant chacune de ses réactions.

Elle s'efforçait de laver tant bien que mal, gardant son cul au perché... je lui donnais un coup de bitte plus sec et la saisis par les seins

- allez chienne, lave bien, je veux que ça brille !!!
Je continuais de la baiser longuement alternant des coups secs et de longs va et vient.

J'étais loin de me douter encore ce matin, que j'allais réaliser un de mes plus grands fantasmes. D’autre idées germaient dans mon esprit... je sentais que je pouvais faire d'elle ce que je désirais... je la voyait faire le ménage entièrement dans mon appartement. Lui imposant des tenues et des poses suggestives. Abusant de tous ses orifices. Je contrôlais mon éjaculation... et réfléchissais déjà à la suite... la journée ne faisait que commencer.

Penchait contre son évier, les manches de mon pull relevaient, mes mains toujours gantées, je m’efforçais de nettoyer sa vaisselle pendant que mon sexe subissait ses assauts. Mes gants étaient irrémédiablement foutus, trempés, souillés d’abord par son sexe gluant et ensuite d’eaux dégoûtantes, et de liquide de vaisselle. Il continuait à malaxer mes seins les cognant entre eux, s’émerveillant sur leeurs tailles, me faisant des commentaires des plus obscènes. Le mouvement de son bassin, claquant sur ma croupe résonnait dans son appartement minable. Il me faisait jouir, ce monstre me prenant comme un animal en rut, me faisait perdre la tête. N’arrivant plus à frotter, je m’écroulais peu à peu sur l’évier me laissant aller à ses coups de reins. J’étais défaite, saccagé, démise entièrement, et soumise à ses caprices. Me voyant ainsi m’abandonner, il m’entraîna sur une chaise où il s’assit, prenant grade de maintenir son sexe en moi. Je m’assis sur lui, prise en levrette. Il me fit rebondir pendant de longues minutes sur son sexe, m’empalant jusqu’au fond. « Tu vas me branler dans tes cheveux » ordonna t’il.
Se retirant il me fit m’asseoir à sa place et me retendit sa perche toujours brandissant. Devant moi il me baissa la tête. Je pris son sexe dans mes mains souillées, et entourant son sexe dans mes cheveux je me mis à le masturber. Son sexe entièrement enfoui dans ma rousse chevelure jouait de mon carré fraîchement coupé par mon coiffeur attitré. D’une main il fouillait mes cheveux aidant son sexe et tenant ma main gantée. De son autre main, il avait recouvert un de mes seins de mon soutien gorge et me caresser au travers de la dentelle. « C’est bien ma belle, tu es bonne bourgeoise bien docile, maintenant on va allez nettoyer les chiottes, ils sont très très sale ». Il m’entraîna dans ses toilettes et une fois de plus me penchant sur la cuvette. Je saisie le balai ainsi que le produit se trouvant a coté des WC et me mis à nettoyer, sentant à nouveau une grande poussée en moi me pénétrer à nouveau. Quel puissance, j’allais finir par m’évanouir de plaisir, je le suppliais de m’emmener dans le salon sur un lit ou un canapé pour me finir.

Je jubilais. J’avais maintenant fais d'elle ma chose, mon jouet...
Une idée me venait en tête !!! J’étais passer de l'autre coté de la barrière et me sentais l'âme d'un seigneur...

Je confisquais son sac !!!

- Ecoute moi bien salope !!! Je n'en ai pas encore finit avec toi, tu vas comprendre ce que s'est de se sentir bafouée !!! Je te laisse 1 heure pour revenir ici !!! Tu vas t'habiller en soubrette !! Mais pas une soubrette de bas étage !! Une soubrette de luxe !! Force sur ton maquillage et sache que je ne souhaite que du rouge et du noir dans les teintes de tes vêtements !!!

Tu vas terminer ton travail ici, il reste les chiottes et la salle de bains !!! T’as intérêt de sortir la lingerie et les effets, sale garce de bourge !!! Tu sonneras chez moi ! À 16h tapante !!!

Si tu te comportes comme je le souhaite, je te laisserais repartir en gardant notre petite entrevue secrète !! Si tu ne reviens pas, je me ferais un plaisir d'avertir ton association et pourquoi pas ton mari !!! Tu sais que mon imagination est débordante...

Je ricane !!! Allez magne toi il ne te reste plus que 55 mn !!!

Elle se rhabilla prestement et sortit !!! Je me demandais ou j'avais put mettre mon caméscope !!!!

Je repris ma voiture et m’empressais de me rendre dans un SEX-SHOP situé à 15 minutes de son appartement. Je conduisais vite de peur d’être en retard. Je me garais et pénétrée dans le magasin. Rempli que de male lubrique je me sentais très mal à l’aise. D’un rapide coup d’œil j’avais repéré les lieux et me dirigeais vers le rayon gadget et costume. Je repérais un ensemble soubrette noir, composé d’un body ouvert à l’entre jambe, de dentelle blanche autour d’un décolleté très pigeonnant, de gant/mitaine en dentelle blanche, et d’un petit tablier. Je vérifiais la taille, payait et reparti sur le champ sous le regard gourmant des clients. A 15h59 je sonnais avec mon paquet sous le bras.

Je regardais ma montre. 15h59 j'avais réglé le caméscope derrière une tenture indienne qui se trouvait dans le salon. J’avais une batterie autonome d'environ 1heure...
La sonnette retentit ! Je me dirigeais vers la porte. J'ouvris et vis la mine avenante avec un léger rictus.

- c'est bien !! Tu es à l'heure !!

Je l'attrapais avec force et la propulsait dans le salon !!! J’avais disposé un plumeau sur la table... Je m'installais dans le canapé.

- Allez au boulot !!! Tu vas commencer par enfiler ta tenue et faire la poussière du salon !! Apres du feras les chiottes !!! Tu vas voir ce que c'est de se sentir avili.

Elle ouvrit 3 sacs et opta pour le vouvoiement en sortant ce qu'elle avait acheté. Je remarquais sur l'un l'adresse d'un magasin spécialisé en article érotique du centre ville un autre une boutique spécialisée bas nylon et un 3eme un magasin de chaussures haute gamme ... Cette salope avait mis les grands moyens pour me contenter.... Je décapsulais une autre bière en me réjouissant de ce que j'allais découvrir !!! Je grattais mes couilles devant elle !!!

Une fois entièrement déguisée je me mis à passer le plumeau. Furtivement je m’arrangeais pour rester près de lui. Sa main passa dans mon entre cuisse vérifiant mon degré d’excitation. Il me repoussa sur la table et une fois de plus souleva mon habit de soubrette découvrant mes Collants jarretières en voile et Lycra. « Je vois que tu es prêtes à me recevoir salope, écarte les jambes » me dit il. J’obéis, et senti sa langue fouiller l’entré de mon vagin. « Continue à frotter grosse pute, ça doit être niquel » . Pendant qu’il me dévorait la chatte avec sa langue je passais le plumeau, sans vraiment de conviction, accaparé par les sensations que me procuraient sa grosse langue. D’une grande claque sur les fesses il m’ordonna de m’appliquer. « Dis donc poufiasse va falloir t’appliquer sur si tu veux pas que je te corriges». Je me remis à frotter avec plus d’entrain, ne voulant pas subir de violences autres que les limites qu’il s’était fixé.
Je sentais ses grosses mains palpant mes fesses pendant que sa langue continuait l’exploration de mon arrière train. Il s’approchait de mon anus, m’effleurant du bout de langue. Brusquement je me relevais, il senti que je n’étais pas prête. Se relevant il enfoui tout de même son large membre au fond de mes entrailles me tirant un cri de jouissance. « Il m’ordonna de lui parler de lui dire des choses dégoûtantes. Je devais répéter ses paroles. Quand je me trompais une grande claque faisait rougir ma croupe de jument soumise.

- Oui j’aime que tu me prennes mes grosses fesses de bourgeoises

CLAC « recommence »

- Oui j’aime que tu me prennes par mon gros de cul de bourgeoise
- Oui, j’aime que tu me caresses mes gros seins

CLAC « tu fais express salope, recommence »

- Oui, j’aime que tu périsses mes gros nichons, je suis ta grosse vache

Je sentais qu’il était à bout, et moi aussi je n’en pouvais plus, j’avais joui dans cette pièce dégoûtante, grâce à cet homme rustre et sentant l’alcool. Il continuait néanmoins à m’insulter.

Je défonçais allégrement ce cul qui se dandinait à chaque coup de bite !!! J’alternais les claques et commandais cette chienne docile !!!

- avoue que tu es venu ici dans l'idée de te faire prendre comme une garce !!! avoue que tu t'habilles de façon à faire dresser les bites ???
-
Je frappais à nouveau !!! Attendant sa réponse .une autre claque s'abattit. T’aime ça te faire limer le cul ?? Et te faire traiter comme une pute ?

Ma queue martelait cette croupe charnue. Je regardais en direction du caméscope et la lumière rouge me conforta !!! J’allais pouvoir me repasser cela à mes moments perdus et, j'en étais certain, r encore de cette garce !!! Je fixais ses jambes gainées et remarquais la marque de celle-ci ainsi que celui de ses chaussures. Je sortis ma bite de son cul ! Et je le replongeais d'un coup sec !!

- t'as l'habitude hein salope ?? allez bouge sur ma bite !!! tu vas voir !! je vais te faire tourner..... tu vas bientôt s'occuper des chiottes...

Je tirais sur ses cheveux teintés de roux.

Il sorti son sexe de mon anus. Il m’avait sodomisé comme une brute. « Tes collants jartierres m’excitent ». Il me retourna et enfoui son sexe entre ma cuisse et mon collant, le déchirant au passage afin de passer plus facilement son gros membre, me demandant de le branler le long de ma cuisse. Le frottement du nylon sur le sexe lui faisait perdre toute raison. Je le masturbais au travers du nylon de mes mains recouvertes de ces mitaines en dentelle blanche ridicule. Pendant ce temps il avait baissé mon décolleté de soubrette, déchirant la dentelle, et me palpait les seins. « ohh ce que t’es bonne,, j’ai toujours rêvé de baiser une belle salope comme toi, j’adore palper tes grosses mamelles». Il me suça les tétons, les aspirants, et mordillant mes gros seins. Me recouchant sur la table sur le dos il releva mes jambes et me pénétra à nouveau, ressortant entièrement son sexe pour me re-pénétrer de plus belle, et cela une bonne dizaine de fois. « Comment une cochonne comme toi avec tous les coups de bites que je t’ai mis peut être toujours aussi étroite, ohhh ta chatte est si bonne, tu m’enserres ».

- ohhhh, j’en peux plus je vais m’évanouir, vous me faites tellement jouir, Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, arrêtez ………………….

Me relevant à nouveau, il me percha sur mes mules Ernest Oscar Noir de 14cm de haut, me retourna et ré-entra son sexe dans mon anus. Il me déséquilibrait par ces coups de butoirs, tout en me maintenant par les seins. « Allez bouge moi ton gros cul de salope, vas y grosse pute ». Il s’était saisi du plumeau et me fessait avec cet ustensile de ménage. Il me mit enfin accroupi devant lui, dirigeant son sexe vers ma bouche et se masturbant énergiquement, sa jouissance était proche. Ses premiers jets de spermes remplirent ma bouche, alors qu’il dirigea les suivants dans mes cheveux. Il m’avait demandé de retirer une de mes mules et de lui tendre dévotement pour vider ses dernières gouttes de spermes. Il me pris la chaussure et m’essuya les cheveux avec. Je du alors lécher la chaussure et effacer toute trace de sperme. Me tenant par les cheveux il me demanda de regarder vers une tenture indienne et me demanda de sourire à la petite lumière rouge.

- T’as aimé de te faire bourrer comme ça, poufiasse dis le moi !!!!!!!!!!!
- Oui vous m’avez fait jouir, c’était si bon
- Bien prend tes affaires et casse toi maintenant, et surtout dépose ton numéro de téléphone sur la table.

J’obéis me réajustant au plus vite afin de regagner ma voiture. Je savais que je ne tarderais pas à avoir des nouvelles.

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