Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L'Épouse Hypersexuelle : Masturbation Et Hypersexualité.
Avertissement : au cours de ces derniers mois, j'ai trouvé un nouvel équilibre entre Philippe et Agun et une meilleure maîtrise de mon hypersexualité.
Je vais donc espacer ces publications, dans la mesure où l'essentiel de ce que j'ai pu vivre au cours de toutes ces années a déjà été relaté.
Il y aura cependant encore quelques textes, qui ne suivront pas ment la chronologie, à commencer par celui-ci qui concerne la masturbation féminine. J'ai écrit ce texte comme un clin d'oeil à une de mes plus fidèles lectrices, avec qui j'ai évoqué le sujet en privé. Elle se reconnaîtra.
Depuis mon plus jeune âge je me masturbe : il ne se passe pas une journée, sauf quand je suis indisposée, où je ne pratique pas ce plaisir qu?on appelle à tort solitaire. Car chez moi, la pratique est loin d'être seulement solitaire, à la fois par goût de l'exhibitionnisme, mais aussi pour offrir mon plaisir à mes partenaires.
MA PLUS ANCIENNE PRATIQUE
J'ai déjà raconté comment, à peine adolescente, j'avais, à leur insu, surpris mes parents en train de faire l'amour. J'ai, par la suite, sans être repérée, épié les ébats de l'un avec ses nombreuses maitresses et de l'autre avec son amant.
J'ai longtemps pensé que les gémissements, les cris, que j'entendais, les traits du visage déformés, que tout cela exprimait une souffrance, provoquée par ce long morceau de chair qui s'enfonçait dans l'intimité de la femme. J'ai fini par comprendre qu'il ne s?agissait pas de souffrance, mais de plaisir.
Je ressentais alors une vive jalousie, ayant développé un complexe d'Electre : j'aurais voulu être à la place de ces femmes. Et en même temps, je ressentais une pulsation constante, ma petite culotte était mouillée. Mes lèvres intimes devenaient grosses, la peau picotait. Pour me calmer, je caressais instinctivement mes petits seins, étonnée que leurs pointes se durcissent ainsi. Je respirais profondément pour essayer de contrôler ces pulsions.
La seconde fois que cela m'est arrivé, j'ai cru que j'avais fait pipi dans ma culotte, quand j'ai senti une humidité chaude. Je ressentais une bouffée de chaleur, avec des picotements dans mon clitoris, et ça augmentait l'humidité. C'était comme une pulsation dans la vulve qui n'arrête jamais.
C'est peu après que j'ai découvert l'endroit où était rangée la clé de la bibliothèque familiale. J'ai fini par trouver ce qui devait rester hors de ma portée : les nombreux ouvrages érotiques de la bibliothèque familiale, dont beaucoup étaient en Français, ce qui n'était pas un obstacle, ayant toujours été bilingue.
J'ai déjà raconté combien furent importantes pour moi ces lectures, notamment celle d'Emmanuelle et du Déclic, la bande dessinée de Milo Manara. C'est qu'à cette époque, il y a près de trente ans, internet n'était pas accessible. J'attendis d'être seule à la maison pour pouvoir lire tranquillement dans ma chambre ce qu'on avait voulu me cacher.
Ce fut le premier tome du Déclic qui provoqua ma première « vraie » masturbation. A la vue de ces images, je sentis ma culotte se tremper et à nouveau cette excitation entre mes reins.
Tout d'abord, je fis de simples pressions sur mon clitoris, à l'aide de mon jeans, cela me fit tellement de bien que, dans les minutes qui suivirent, par mimétisme, je me suis mise nue, allongée sur mon lit. Je me caressais le ventre, en imaginant que j?étais à la place de la belle Claudia.
Je fis descendre ma main jusqu'à ma chatte et commençais de longs va et viens sur mes lèvres, ma chatte était trempée de mouille. Je trouvais ces dessins terriblement excitants. J'aurais voulu être la protagoniste de ces scènes. Je pensais aussi à celui dont je jalousais les maîtresses et l?épouse et avec qui je rêvais de devenir une vraie femme.
Allongée sur mon lit, les jambes écartées mais tendues, je commençais des pressions plus violentes sur mon clitoris, j'entendais le bruit de mes doigts trempant dans ma cyprine.
Ma respiration devint de plus en plus courte jusqu'à disparaitre totalement, laissant place à de petits gémissements, puis à des cris sonores de jouissance. Ma cyprine coulait à flots, mes draps en étaient trempés ainsi que les doigts de ma main droite, mon visage était devenu écarlate, mes muscles se contractaient avec violence, le plaisir explosa dans mon ventre, arrachant un dernier hurlement de plaisir, de joie : ce fut mon premier orgasme et il avait été violent !
Ma respiration redevint calme, je fermais le livre, je me rallongeais nue dans mon lit. Je laissais le plaisir se dissiper et la chaleur du jour m'emporter dans un profond sommeil, qui fut rempli de rêves érotiques. A mon réveil, je me doigtais encore et j'eus à nouveau de puissants orgasmes. J'avais découvert le secret du plaisir et réalisé que j'étais capable d'enchaîner les orgasmes.
Ce sont les scènes interdites, ces lectures et un complexe d'Electre non assumé qui ont fait de moi une hypersexuelle et une pratiquante assidue de la masturbation.
CHAQUE JOUR OU PRESQUE
Rapidement, je me suis rendue compte que plus je me masturbais et plus j'en avais envie. J'étais devenue insatiable en matière de masturbation. Depuis cette découverte, et sauf dans les moments où je suis indisposée, j'ai toujours pratiqué la masturbation. La découverte de mon hypersexualité, à l'occasion de mon dépucelage, n'y a rien changé, pas davantage que les périodes où j'ai donné libre cours à mon hypersexualité, ni celles où j'ai été sous la coupe de mâles dominants comme Rachid, Hassan ou N. et pas davantage en étant l'épouse de Philippe.
Je ressens le besoin de me masturber, à plusieurs moments de la journée. J'aime plus que tout que ce plaisir dit solitaire soit partagé, et notamment avec celui et celle avec qui je partage ma vie.
OFFRANDE DU MATIN A L'HOMME QUE J'AIME
J'ai toujours ressenti le besoin de me caresser le matin, manière de commencer la journée par un premier orgasme, au réveil et pas seulement quand mon sommeil a été peuplé de rêves érotiques.
Depuis près de 20 ans que je vis avec Philippe, j'aime lui offrir ce premier plaisir solitaire : ma jouissance le réveille et il adore d'en être le spectateur, sachant qu'ensuite je vais pratiquer sur lui une autre de nos traditions du matin, celui de notre première fellation de la journée.
Voici comment cela se passe en général : mon chéri dort encore, profondément, comme un bébé. Je l'ai sans doute épuisé hier soir, parce que j'avais envie de lui encore et encore.
Je le regarde, me disant que je suis heureuse de partager ma vie avec un homme qui a compris ma nature, encourage mes besoins et qui m'aime tant. Je m'approche pour déposer un léger baiser sur ses lèvres et résiste à la tentation de poser ma main sur sa verge, pour la caresser et la prendre en bouche. Je le ferai, mais plus tard. Ce sera mon plaisir qui le réveillera.
En général, je dors nue. Je repousse les draps. Je caresse mon ventre doucement, puis mes seins. Depuis mon éveil à la sensualité, mes petits seins ont toujours été une zone particulièrement érogène. C'est d'ailleurs parce que Philippe lui avait confié ce secret que Rachid, alors un total inconnu, avait pris possession de moi dans l?ascenseur de mon immeuble.
Mes cuisses s'écartent. Je sens une vague de chaleur emplir mon ventre et mon entrejambe, mes tétons se dresser. Une main sur chaque sein, je les caresse, je pince mes tétons, je ferme les yeux.
A voix basse, pour ne pas déja le réveiller, j'appelle Philippe, j'implore ses caresses, j'ai envie de sa langue sur mon corps, qu'il vienne sucer mes tétons. Alors je les pince plus vite, plus fort.
Mes cuisses s'écartent encore plus. Mon minou dégouline d'envie. Alors ma main droite quitte ma poitrine, ma main gauche doit alterner sur chaque sein pour qu'aucun ne soit en reste.
Ma main se fait exploratrice, mon ventre d'abord, puis mes cuisses, elle passe de façon furtive sur mon sexe sans s'arrêter, puis délicatement elle se fraie un chemin entre mes lèvres.
J'alterne caresses sur les lèvres et masturbation du clitoris. Ma respiration se fait haletante, et, en fermant les yeux, j'imagine cette fois que Philippe est en train de fouiller ma chatte de sa langue, comme il l'a fait si bien la veille au soir.
La paume de ma main gauche se plaque sur mes tétons, que je maltraite pour les faire pointer encore plus. Mon autre main s'active entre mes cuisses, et passe et repasse sur mes lèvres, puis je pénètre ma chatte béante et trempée d'un doigt, puis deux.
Je rêve d'être prise et j'avoue qu'à ce moment-là ce n'est pas ment à Philippe que je pense.
Je suis de moins en moins discrète, de moins attentive à ne pas réveiller l'homme qui dort à mes côtés.
- Oh oui, prends-moi, baise-moi !
Je plonge mon majeur jusqu'à toucher ce point si sensible dans une courbure de mon vagin.
Une fois ce point sensible touché, l'envie se fait insoutenable. Ma main gauche caresse mon sein avec impatience, ma main droite branle mon clitoris, jusqu'à atteindre le paroxysme de mon plaisir. Je me retiens, car je ne veux pas encore jouir.
Ma main gauche quitte mon sein pour prendre la main de Philippe. Je serre fort ses doigts, au fur et à mesure de la montée de mon plaisir. Je veux lui offrir ma jouissance.
Il s'est réveillé, me sourit. Il ne sait plus trop quoi faire ! Me laisser continuer ou me prendre ? Philippe est presque pétrifié tant il me désire et tant il trouve ce spectacle magnifique.
J'accélère, il sent que je me lâche, que je me prends au jeu en l'oubliant totalement. Mes mains vibrent sur mon clitoris et de ma bouche sortent des petits gémissements qui le rendent fous.
N'en pouvant plus, il se relève, se met nu à son tour, matant mon corps nu que relève le peu de lumière venue de la rue. Il voudrait plaquer son corps au-dessus du mien pour venir en moi ! Mais je le repousse en lui disant juste :
- Attends, mon amour ! Regarde !
Alors il attend, à genoux à côté de moi, en distinguant mon corps et mes mouvements, en écoutant mon souffle. Son regard est empli d'amour et de désir. Il apprécie mon offrande.
Il prend son sexe dans sa main et lui aussi fait aller et venir doucement son poing le long de son membre tendu.
Philippe connait nos rites. Il sait qu'il doit me laisser me finir, que ce plaisir c'est à lui que je le dédie. Je resserre les cuisses. Mon corps se tend. Je retiens mon souffle jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Philippe sait que je vais jouir, que je ne peux plus résister davantage.
Je suis tendue à en exploser. Je m'excite comme une folle sur mon sexe.
Ma main droite se fait encore plus pénétrante en ma minette. On entend les petits clapotis caractéristiques. Je jouis, je jouis, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigu.
En fermant les yeux au moment d'exploser enfin, je vois des étoiles par centaines :
- Oh ouiiiii ! Philippe, je t'aime !
C'est seulement à ce moment-là que Philippe vient m'embrasser fougueusement. Il bande très fort, sachant que, dans un instant, je vais enfin m'occuper de lui, que ma bouche va prendre possession de sa verge en érection jusqu'à ce qu'il se vide dans ma bouche, connaissant à son tour un orgasme dévastateur.
EN JOURNEE : UN BESOIN ET UNE THERAPIE DE RESISTANCE
En journée, la fréquence dépend de l'endroit où je me trouve et de la situation sexuelle dans laquelle je suis à ce moment, pour parler clair si je suis plus ou moins en manque.
Il est évident que le besoin de me masturber était particulièrement fréquent quand je voulais nier mon hypersexualité, devenir une épouse fidèle et que je refusais obstinément les invitations candaulistes insistantes de Philippe. Il en a été de même, jusqu'à ces derniers mois, lors de ces périodes que nous appelons de « disette », que nous nous imposons pour réguler mon hypersexualité.
Il est incontestable que la masturbation, pratiquée en journée, apaise ma frustration.
Ce fût aussi le cas lorsque j'étais l'épouse d'Hassan et que celui-ci m'avait de fait enfermée, placée sous surveillance, avec la volonté d?être le seul à assumer mes besoins sexuels.
A la maison, et en particulier quand je suis seule, l'exercice des plaisirs solitaires ne pose aucune évidemment aucune difficulté. Seul Hassan, qui m?avait surprise un jour, a tenté de m?en empêcher. Je souhaite parler de cet épisode qui a particulièrement dégradé mes relations avec mon second mari.
Hassan était rentré plus tôt que prévu et avait entendu des gémissements depuis ma chambre.
Fou de rage, pensant que j'étais avec un amant, il ouvrit brutalement la porte, pour me découvrir nue, sur le lit, en train de me fourrer un énorme gode dans la chatte. Ce qu?il voyait confirmait que, malgré ses talents incontestables d?amant, il ne me suffisait pas. C?était pour lui une humiliation.
- Salope ! Ma famille avait raison à ton propos : tu es une malade ! Je ne te suffis pas ?
- Non, tu ne me suffis pas ! Tu m'interdis de rencontrer d'autres hommes, laisse-moi au moins cela !
- Pas question, arrête-ça tout de suite !
Il se précipita sur moi, arrachant sans ménagement le gode, me faisant ainsi un mal de chien. J'ai tenté de résister, il se montra très brutal. Je le défiais :
- Salaud ! Viens au moins me finir, si tu es un homme !
Il blêmit sous l'injure. Je voyais dans ses yeux qu'il avait une furieuse envie de me battre :
- Pas question ! Tu n'es qu'une kahba, une nympho. C'est Rachid, Kamel et Sofiane qui avaient raison et moi j?avais tort de penser que tu étais digne d?être mon épouse et la mère de mes s ! Mais désormais tu es mon épouse, la mère de ma fille, tu vas te soigner de grès ou de force !
Il revint avec des cordes et, après une brève lutte où je l'ai abondamment griffé et mordu, il me ligota sur le lit, les mains derrière le dos, puis entreprit la fouille de la maison, à la recherche des godes et autres vibro-masseurs, mais aussi des lectures érotiques, cassettes et DVD X, qu?il envoya à Philippe. Il m?annonça également qu?il supprimait l?accès à Internet.
- Je m'en fiche ! Tu ne pourras pas me laisser ainsi attachée en permanence et quand tu seras absent, je me soulagerai ! Et puis, il y a bien d?autres moyens de me faire du bien. Supprime aussi à la cuisine les bananes ou les carottes, entre autres !
Depuis notre soirée de mariage, où j'étais redevenue la maîtresse de Philippe, je ne cessais de provoquer Hassan, voulant le pousser à bout.
Hassan essaya de lutter contre mon envie de me masturber, en donnant des instructions strictes à sa cousine Hassna, qui me servait de cerbère.
- Hassna, non seulement je ne veux pas qu'elle puisse rencontrer d'autres hommes, mais il faut l'empêcher de se donner du plaisir toute seule. Elle attendra mon retour pour que je m?occupe d?elle, afin que je lui fasse le plus vite possible un autre , ça la calmera.
Tout cela était inutile, comme furent vaines ses tentatives de me faire soigner, en m'obligeant à consulter un psychothéute. Je refusais de prendre les traitements médicamenteux genre antidépresseurs et anxiolytiques qui inhibent la libido.
Le soir venu, Hassna devait lui avouer son échec, elle ne pouvait tout de même pas m'empêcher d'aller aux toilettes, où je ne manquais pas de me soulager, sans la moindre discrétion, soucieuse de la défier elle mais surtout Hassan qui prétendait régir ma plus profonde intimité.
Le soir venu, Hassan, furieux du rapport que lui avait fait sa cerbère, me prenait avec la plus grande brutalité, sans se soucier de mon plaisir, avec pour seul objectif de me féconder. Il mettra un bon moment avant de comprendre qu'en cachette je prenais des contraceptifs, refusant ce destin de ventre qu'il avait choisi pour moi.
CARESSES ET METHODES
Pour pratiquer, je n'ai pas besoin de penser à des situations érotiques ou de fantasmer sur un amant, même si cela est souvent le cas. Pas davantage d?avoir recours à des lectures érotiques, à partir de la bibliothèque de Philippe, aussi fournie que ne l'était celle de mon père.
J'avoue cependant que je ressens beaucoup d'excitation en rédigeant mes textes sur HdS, de même qu'en découvrant ceux de certains auteurs. J'en profite pour vous recommander tout particulièrement la lecture des récits de Micky. J'ai entrepris de relire toutes ses publications, je ne peux le faire sans que ne me vienne l'envie de me caresser !
Ce sont mes doigts qui connaissent le mieux les endroits qui déclenchent mon excitation puis mon orgasme, mes tétons, mon clitoris, ma chatte.
J'avoue cependant pratiquer fréquemment ce que l'on appelle le « humping ». C'est d'ailleurs une pratique que j'ai beaucoup utilisé lorsque je vivais avec Hassan, qui n?avait pas conscience de mon imagination dans ce domaine.
Le « humping » est une technique de masturbation sans les mains, qui consiste à frotter son sexe contre une surface pour en retirer du plaisir. « Humping » est un terme anglais qui veut dire « bosse ». Une partie des femmes utilisent cette technique de masturbation avec un coussin roulé ou en utilisant la lingerie portée bien qu?il existe de multiples surfaces utilisables et utilisées. Une scène du film « Black Swan », où Nathalie Portman use de cette pratique, est devenue culte.
Ce terme désigne aussi l'action de se frotter contre la jambe de son/sa partenaire durant les préliminaires. C'est également une technique masturbatoire entre filles aussi, mais là, elle prend un autre nom : le tribadisme, cette action de deux femmes se frottant le sexe mutuellement pour en prendre du plaisir dans la position (entre autres) appelée « le ciseau ». C'est une de mes pratiques préférées avec Agun.
J'aime aussi, dans ces moments, avoir recours à des vibro-masseurs ou à des godemichets.
C'est dans la chambre de ma mère que j'ai découvert mes premiers godes. Je compris plus tard qu'avant de se résoudre à tromper mon père, qu?elle adorait, elle avait essayé de contrôler ses envies avec ces engins. Profitant d'un moment où j'étais seule dans la maison, j'avais entrepris une fouille minutieuse de sa chambre et j'avais découvert dans un tiroir deux godes, dont l'un était d'une taille que je n'ai retrouvé plus tard qu'avec certains de mes amants les mieux pourvus, comme Rachid, Ahmadou ou Hassan.
CE N'EST PAS TOUJOURS L'ENDROIT NI LE MOMENT
Le fait d'avoir besoin de me donner du plaisir en journée n'a pas été toujours simple à vivre, lorsque je suis en dehors de chez moi.
Le cinéma, dont j'ai déjà parlé, ou les toilettes d?un centre commercial, d'un restaurant, d'un lieu public, sont alors les bienvenues pour me soulager.
J'ai aussi raconté, dans le récit 53, publié récemment, les difficultés que j'ai rencontrées lors d'une tentative de reprendre une activité professionnelle.
Je ne pouvais, de temps en temps, m'empêcher de me rendre aux toilettes pour me soulager, en me masturbant, tout en veillant à réprimer tout gémissement de plaisir. Je m'efforçais d'être discrète, du moins je le croyais, à tort, car une de mes collègues, Monique, avait repéré mon manège et découvert la raison de mes passages aux toilettes, un jour où je m'étais laissée aller à ne pas contenir ma jouissance. Ce fut cela qui a été largement à l'origine de ce qui s'est passé avec Denis, mon supérieur hiérarchique et qui m'a amené à renoncer à ce poste, après avoir eu une relation adultère avec lui.
MASTURBATION ET EXHIBITIONISME
La masturbation est, d'évidence, un plaisir solitaire. Certes, mais j'aime tout particulièrement le faire en présence de témoins, ce qui renforce mon plaisir et ma jouissance.
J'ai raconté récemment (récit 51) cette nuit de 2014, où de retour de nos vacances, Philippe m'a offerte à sept routiers en rut, pour mon plus grand plaisir et le sien.
POUR L'AMOUR D'UNE FEMME
De même que j'aime offrir mon plaisir à Philippe l?homme de ma vie, de même la masturbation occupe une place particulière dans ma vie de couple avec Agun. J?ai voulu raconter quelques épisodes récents de notre vie de couple.
Comme je l'ai expliqué (récit 52), nous ne vivons pas ensemble, nous essayons de nous voir à chaque fois que possible, grâce en particulier à Philippe. Les moments où nous sommes ensemble sont donc particulièrement précieux et intenses.
Je le répète : dans nos moments d'intimité, il n'y a que plaisir et un immense amour. J'aime passionnément Philippe. Mais j'avoue n'avoir jamais été autant amoureuse que je ne le suis d'Agun.
Personne ne m'a donné autant d'amour, ne s'est montrée aussi désintéressée, sans rien demander pour elle. Quand nous sommes séparées, le sentiment de manque est immense. Et personne ne me donne autant de tendresse et de plaisir. Dans les bras d'Agun, je ressens moins le besoin d'autres hommes que Philippe. Par contre je souffre des jours où je n'ai pas droit aux caresses de ma chérie. Je suis amoureuse. Follement amoureuse.
AMOUR ET MASTURBATION
C?était un soir où j'étais allée chez elle, Philippe prenant soin des s.
Nous étions dans le noir, allongées sous la couette, nues comme des vers.
Nous nous étions déjà longuement aimées et nous étions censées dormir.
Je la sentis se retourner pour se mettre sur le dos. Et de manière quasiment imperceptible je sentis ses mains bouger sous le tissu de la couette et de toutes petites vibrations dans le lit. Puis doucement j'entendis son souffle se faire plus fort. Ma chérie se masturbait, pensant que je dormais.
Agun ouvrit les cuisses jusqu'à ce que son genou vienne toucher ma cuisse. A ce moment, dans l'obscurité, je l'imaginais cuisses grande ouverte, nue, offerte, avec sa main caressant son sexe, à la recherche d'un plaisir que je ne pouvais lui donner, étant censée dormir
Cette image, la douceur de la scène, tous ces petits bruits et mouvements que me révélaient mes sens en alerte, contribua à renaitre en moi mon désir pour ma femme.
Ma main écarte doucement ses cuisses et s'approche de son sexe.
- Je t'ai réveillé ! Pardonne-moi, mon amour, je pensais que tu dormais. Je me caressais en pensant à toi, au bonheur que j'ai d'être ta femme.
- Ecarte les jambes, mon amour ! Je te veux !
Je caresse les seins d'Agun dont je sens les tétons durcir. J'embrasse et caresse tout ce corps qui m'appartient. Ma bouche s'approche du sexe de ma compagne.
Lorsque ma bouche accapara son sexe et qu'elle sentit ma langue sur son clitoris, Agun fut parcourue d'un énorme frisson. Agun secoue la tête, folle de plaisir, tant elle ne peut résister à mes caresses et en particulier quand je lui bouffe la chatte.
A un moment, je lui glisse un doigt entre ses fesses.
- Tu aimes ça on dirait, ma belle ! Tu es bien serrée. Un jour je demanderai à un mâle de t'enculer, j'ai envie de voir ça !
- Je ne veux que toi, tu le sais. Oh c?est bon mon amour, continue !
Agun se détend et sent mon index humidifier, glisser dans son anus. Je suis décidée à amener Agun à l'orgasme. J'accélère la rotation de mon index ainsi que les mouvements de ma langue sur le clitoris.
Agun est maintenant dans un état second. Elle sent tout son corps frémir. Soudain quelque chose d'indescriptible se produit en elle. Son corps se raidit, il est comme traversé par une onde inimaginable de plaisir. Ses mains appuient sur ma tête. Elle serre les dents pour ne pas hurler. C?est comme si son crane allait exploser.
Elle ne se contrôle plus. Elle est en train de connaitre un formidable orgasme. Après ce qu'elle avait cru durer une éternité son corps se détendit. Elle était en nage et se lova dans mes bras :
- Oh, Olga, c'était indescriptible. J'ai cru que ça ne finissait pas. Tu me tues de plaisir : quand j'ai joui, c'était comme si mon crane allait exploser Je suis à toi, je suis ta femme, je t'aime.
Nous nous sommes enfinendormies dans les bras l'une de l'autre et c'est ainsi que Philippe, venue me chercher, nous a trouvées le lendemain matin, hésitant à nous réveiller et à briser cette union totale de deux êtres.
SURPRISE
Ce soir-là, il y a quelques mois, Philippe avait amené les s (sauf le petit dernier que je gardais et qui dormait profondément) chez la baby-sitter et s'était rendu chez Théodora (qui ne l'avait pas encore quitté).
Je pensais que j'étais seule, j'étais dans ma chambre, je me masturbais comme souvent. Je fermais les yeux pour jouir mieux et surtout avoir des images qui me donnaient plus de plaisir. Soudain quelqu'un s'assoit au bord de mon lit. J'ouvre les yeux.
Une jolie surprise signée Philippe : je vois dans la pénombre Agun qui, comme moi, est nue. Elle se caresse le con en me regardant amoureusement.
Elle me prend la main et la pose sur mon sexe.
- Continue à te donner du plaisir, mon amour. C'est si beau. Nous allons jouir ensemble, avant de faire l'amour !
Sans réfléchir, entraînée par le désir de jouir, je recommence ma masturbation. Je la regarde et elle se branle aussi. Nous nous offrons mutuellement notre plaisir, tout en nous disant des mots d'amour.
Nous nous connaissons si bien, nous savons accorder le rythme de notre plaisir comme deux violons. Voyant qu?elle va venir, j'accélère mes caresses. Comme prévu, nous jouissons ensemble, nos cris de plaisir se mêlent.
Agun vient dans mes bras, sa tête sur mon épaule et ses lèvres cherchent les miennes, sa langue prend possession de la mienne.
Nous nous embrassons à en perdre le souffle.
- Phom rak khun (je t'aime), mon Olga
- Moi aussi je t'aime, ma perle. Tu m'as manqué ! Je ne peux pas me passer de toi.
Agun met la main sur mon clitoris et, sans attendre, commence une bonne masturbation. Agun sait si bien me branler: je jouis sous ses doigts rapidement. Elle n?arrête pas là ses caresses: elle me doigte le con d'abord et le cul ensuite.
Agun pose sa tête sur mes cuisses, les écarte et sa langue vient chercher encore une fois mon clitoris. Je veux retarder ma jouissance. Elle pose deux doigts sur mon cul et les rentre facilement tellement j'étais mouillée. Cette fois encore je jouis.
Elle veut maintenant sa part.
Je me tourne vers elle qui me tend les lèvres et je l'embrasse fougueusement. Je lui caresse les seins et enfin je pose ma main sur son con. Je cherche à peine son bouton et je le branle. Elle jouit en me demandant encore. Je recommence, elle jouit encore et encore et me demande de la sucer.
Je lui passe ma langue sur toute sa fente. Je sens sur ma langue le goût de sa cyprine. Je trouve enfin son clitoris. Je le lèche et l'entendais me dire oui, oui, oui, sans arrêt.
Je la sens jouir et là elle pousse un cri de jouissance.
Elle me demande :
- encore un peu, s'il te plaît, mon amour
Je recommence à la sucer. Elle gémit en me disant encore des oui sans fin, pour finalement pousser son cri, une nouvelle fois: Ouiiiiii !
GODE ET DOUBLE GODE
Une dernière et récente anecdote avec Agun. Je suis venue chercher Agun à son travail pour que nous allions chez elle. Nous avons la soirée pour nous, Philippe s'est organisé.
Nous marchons un peu, enlacées amoureusement, ne nous souciant pas des regards réprobateurs que certains nous envoient.
Cela fait plusieurs jours que nous ne sommes pas vues, devant nous contenter du téléphone et des nombreux messages échangés. J'estime que nous sommes allés loin du lieu de travail d?Agun.
Je ne peux plus attendre. Après 10 minutes de marche, Agun se pose contre un muret et me confie que, pendant son travail, elle n'avait pas cessé de fantasmer, en nous imaginant elle et moi seules, nos corps l'un contre l'autre, chauds et transpirant de désir.
Aujourd'hui, je sens que nous allons partager des moments encore plus complices et plus torrides que d'habitude. Je sens que ma chatte est humide et ouverte, que mes tétons sont durcis par le désir.
Je me rapproche d'elle, ouvre son imperméable pour lui caresser le bras et lui dit que l'idée de sentir son vagin et ses beaux seins d'un 90B dans ma bouche me faisait aussi mouiller.
Elle m'attire contre elle, m'embrasse et me murmure qu?il ne faut pas attendre plus longtemps pour satisfaire nos désirs. Nous ne faisons pas attention au « sales gouines » que nous lance un passant.
On rejoint l'appartement d'Agun, qui est à quelques kilomètres de là, en taxi.Le chauffeur nous mate, mais on s'en fiche.
Durant le trajet, ses mains se baladent déjà sous ma jupe et elle m'embrasse langoureusement avec ses douces lèvres. Nous arrivons à son immeuble et prenons l'ascenseur.
À mon tour, je lui caresse le vagin en passant ma main dans son string et je sens à quel point elle a envie d'être pénétrée. Arrivées à sa chambre, nous nous dirigeons vers son lit, tout en s'embrassant. Sa langue dans ma bouche, je sens le désir m'envahir. Je lui lèche le cou et descend vers sa poitrine. Je finis de la déshabiller et commence à lui lécher les seins tout en caressant son clitoris. Elle gémit et mouille de plus en plus. A son tour, elle me déshabille et nous nous retrouvons nues. Nos regards expriment désir et amour.
Elle me demande de prendre les boules de Geisha qui se trouvent dans un tiroir de son dressing. Je lui ai offert toute sorte de jouets sexuels, pour qu'elle puisse se soulager quand nous ne sommes pas ensemble. Nous aimons aussi, l'une et l'autre, faire l'amour au téléphone. Pendant que je me retourne vers elle, elle se masturbe et nous nous lançons des sourires complices.
On s'embrasse à nouveau et je commence à introduire les boules qui n'ont pas de mal à glisser dans son vagin car elle mouille comme je ne l'ai jamais vu mouiller.
Tout en ayant son sein dans ma bouche et en lui léchant le téton, je lui retire le jouet, petit à petit puis d?un seul coup qui la fait pousser un cri de jouissance.
Je vais chercher un autre sextoy : une ceinture godemiché.
Agun m'attire contre elle et me retourne pour que je me mette à quatre pattes.
Elle me fait un cunnilingus. Elle se penche pour me lécher le vagin, tout en enfilant la ceinture.
- Ma chérie, dans notre couple, d'habitude, c?est moi qui te prends !
- Aujourd'hui, mon Olga, c'est moi qui vais te baiser. Je vais te défoncer, comme le ferait un mâle, comme tu aimes !
Elle continue à me lécher et une fois qu'elle m'a bien fait mouillée, elle se met également en levrette pour introduire le gode en moi. Après quelques minutes, j'ai un petit orgasme. Elle me lèche le dos et sort alors un gode à deux têtes qui était placé sous son lit.
On s'assoit, l'une face à l'autre et nous introduisons le jouet dans nos vagins. On se regarde l'une et l'autre se déhancher et savourer le plaisir.
Au bout d'environ cinq minutes, nos regards se remplissent d'extase et nous avons ensemble un formidable orgasme
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