Collection Le Marin. Casablanca (3/5)
Il y a quelques mois que je nai pas raconté une histoire du marin que j'étais quand javais 18 ans.
Suite à un contact avec Radia, jeune marocaine, je repense à une aventure que jai eue lors dun de mes voyages, nous avions fait escale à Casablanca.
Ces moments qui ont changé ma vie dhomme sont gravés aujourd'hui encore dans ma mémoire.
Cest lors dune corvée à lambassade de France, que je fais la connaissance dune jeune femme nommée Qamar, elle avait la trentaine, elle était divorcée.
Jarrive donc à monter chez elle, mieux même, je la dévêts, lui laissant simplement bas et porte-jarretelles.
Elle a baissé mon pont, mon pantalon si vous préférez, et elle aussi me met nu, alors je vais pour lui mettre mon sexe dans son vagin.
Je me fais remettre gentiment à ma place et elle mapprend comment satisfaire une femme.
Ayant compris la leçon, cest-ce que je fais.
Je la prends en levrette après lui avoir bouffé la chatte et lanus.
Je la fais jouir deux fois, une fois par ma bouche et une autre fois par mon sexe avant quelle ne me demande grâce.
La nuit est tombée, sur cette terrasse, non loin de nous, on entend lappel à la prière venant de la grande mosquée de Casablanca, dont jai vu le minaret se dresser dans le ciel.
Chez moi, c'est différent, jhabite près dune chapelle où mes parents mont emmené à la messe jusquà ma communion.
La cloche de cette chapelle, pour autant ne sonnait pas pour nous dire quil était temps de prier.
Je men ouvre à Qamar, lhomme au sommet du minaret est là pour diriger la prière.
Autre pays, autres murs, mais aussi autre religion, jai appris à lécole et dans ma religion, même si lon ne la pratique pas, à être tolérant.
Je sens que Qamar bouge, mais je suis un bon dormeur et je rendors sans plus bouger.
Je dors quand je sens une main venir caresser mon sexe, je mets quelque temps à émerger.
Cest la lune face à moi que je vois, elle me rappelle que je suis sur un matelas, sur la terrasse de Qamar, jeune et jolie femme pleine de mystères quelle me délivre par bribes.
- Je tai appris à être patient avec moi, tu as très bien réussi, tu mérites une récompense, je vais te sucer, tu vas aimer.
La clarté me montre sa tête plongeant sous le drap quelle a dû aller chercher au moment où elle a bougé et elle l'a tiré sur nous alors que je dormais.
Il fait pourtant assez chaud, aurait-elle de la pudeur de se montrer nue hors de lacte sexuelle ?
Je minterroge très peu de temps car sa bouche vient glisser sur ma verge qui est déjà tendue.
Il est vrai quelle a pris son plaisir alors que jai réussi à ne pas éjaculer.
Je me réservais pour la prendre à "la cuillère", terme intéressant, inconnu de moi dans ma jeune vie, surtout sexuelle.
Je nai jamais été pompé comme cela, je nai jamais été pompé du tout.
Grâce à ma jolie petite gueule, devant les copains, je suis fier de me vanter d'éviter les putes au profit de jeunes femmes de bonnes familles, je ne connais rien.
Elle me masturbe, je rejette le drap, même si je vois mal, je vois assez pour apprécier sa bouche montante et descendante le long de ma verge et ses mains me masturbant, les couilles encore bien pleines, nayant pas déchargé.
Qamar ma déjà étonné en se faisant prendre en levrette, avec le temps, je connais toutes ces positions, jai même acheté un livre sur le Kama-Sutra.
C'est après mon retour que je suis allé dans une librairie du boulevard Saint-Michel.
La vendeuse, charmante au demeurant, men a commandé un.
Elle nen avait pas dans sa librairie, ça ma permis dy retourner avec mon pompon, mais je mégare, cest une autre histoire que je conterais un jour.
À ce moment de ma vie que je raconte, ce que je vois me sidère, Qamar quitte ma verge, du moins sa bouche quitte ma queue qui se dresse fièrement et vient me chevaucher.
Elle a retiré bas et porte-jarretelles, elle passe sa jambe au-dessus de ma verge comme si elle montait à cheval.
Jai le temps de la voir prendre mon pieu et le placer à lendroit où quand elle se laisse descendre doucement, je sens que je suis dans son fourreau. Oui moi suis allongé sur le dos, elle est assise sur moi, mon sexe au chaud dans son vagin.
Je lui prends les seins qui sont devant mes yeux. Ils sont si beaux, gros en forme de poire et une nouvelle fois je me souviens des leçons quelle m'a prodiguées hier au soir.
La lune s'est cachée, je ne peux plus les voir, mais je sens leurs pointes se tendre et devenir granuleuses sous mes doigts, malgré la chaleur.
Je la laisse faire, montant et descendant au gré de son envie, moi me contentant de contempler et de jouer avec ses seins.
Jai beau être résistant, ma verge éclate dans un halo de lumière malgré la nuit noire en même temps quelle doit réveiller la grosse Mama qui habite au-dessous de nous, avec ses cris de plaisir, qui se mélangent aux miens.
Une nouvelle fois, nous tombons dans les bras lun de lautre et je repars dans les bras de Morphée.
Je suis réveillé en sursaut, le mec sur le minaret appelle une nouvelle fois à la prière.
Féline, Qamar se redresse et part vers lintérieur de lappartement, jentends leau couler puis plus rien.
Javais demandé à Qamar de mettre son réveil, il na pas sonné.
Je me dirige vers la salle de bains où je pense la retrouver, elle brille par son absence.
Je monte dans la baignoire, la douche me rafraîchit, jai du sperme plein le sexe.
Je sors, je messuie avec la serviette à ma portée qui est humide, elle a dû sen servir avant moi.
Je pars à sa recherche, plus de jolie fille, je suis surpris, une porte, est-elle là, je baisse la poignée, non, elle est fermée à clef.
Je vais dans la cuisine, je massieds et jattends.
Elle arrive recouverte uniquement dun slip. Ses seins m'éblouissent de nouveau.
Elle aime rire, elle est de nature joyeuse, elle le fait me faisant penser quelle se fiche de moi.
- Où étais-tu, je tai cherchée ?
- Cétait le « Muezzin » que nous avons entendu qui appelait à la « Adham » la prière chez les musulmans.
Je suis allée faire mes ablutions pour être propre pour ce moment, et après mêtre vêtue, jai rejoint ma salle de prière.
En cette période, il fait appel à la prière dès le lever du jour, en ce moment ça concordait avec lheure où tu mavais dit devoir retourner à bord pour ton appel.
Mais cest inutile de te préparer, nous avons tout notre temps.
Quand nous sommes entrés hier au soir, lAdham a appelé à la prière, tu es resté couché, je me suis levée, jai fait trois choses.
Me laver, surtout après ce que nous venions de faire même si tu navais pas déchargé, j'avais eu un orgasme et jétais impure.
Mhabiller, jai tout dans ma pièce à prière, je viens de les laisser jusquà la prochaine prière.
Tu mas distraite quand jai entendu la poignée de la porte, jai eu un doute de lavoir fermé à clef.
Quand je suis seule, elle reste ouverte, jai dû men excuser par une prière supplémentaire.
Enfin, je dois dire que tu as le sommeil profond, jétais fière, je tavais épuisé, jai pu téléphoner à Madame, lune de ses servantes va soccuper des s, je suis libre toute la journée.
Jévite de poser des questions incongrues et inutiles.
Madame doit être lambassadrice, fort jolie femme au surcroît qui était à côté de son mari hier aux pinces fesses, ça me revient son "casque" blond était lun des seuls qui navait pas de châle.
Je me lance, comme me la appris Qamar.
Longiligne, seins haut perchés, mais petits, du moins plus petits que ceux de ma maîtresse.
Elle ne doit pas faire partie des seins tombants, surtout quelle navait pas de soutien, vu la chaleur, elle portant un tailleur élégant avec de hauts talons et comme Qamar des bas.
Cest quand elle sest baissée pour récupérer une petite serviette qui lui avait échappé que jai nettement vu quils étaient libres.
Cest drôle mon il et mon cerveau avaient enregistré tout cela sans que je le sache.
Quand nous buvions une coupe de champagne aux frais de notre république, je lai vu passer dun groupe dofficiers à lautre et surtout sattarder auprès du commandant en second, un jeune capitaine que je sais marier à une belle brune.
Je le sais, car je lai croisé en ville avec elle, au supermarché poussant son caddy avec une petite fille de moins de deux ans dans le siège .
- Dis-moi, tu es mal réveillé ou cest lannonce que nous pouvons rester ensemble qui te trouble ?
Je reviens sur terre, Qamar est magnifique dans sa nudité simplement recouverte de sa petite culotte que je lui arracherais bien avec mes dents.
Inutile, elle sagenouille, écarte mes cuisses et approche ses mains de ma verge.
Je sais depuis cette nuit quelle pompe divinement bien, vais-je voir de mes yeux sa jolie bouche mengamer une nouvelle fois ?
Ça se passe dans la minute qui suit, cest formidable dêtre au premier plan de cette bouche qui souvre, de ses grands yeux noirs qui vous regardent et de cette langue mutine qui vient donner un coup sur le méat de mon gland.
Je bande.
- Qamar, masse-moi entre tes seins.
Plus tard, dans ma vie sexuelle dhomme, japprendrais que ce que je lui demande c'est de me faire une "branlette espagnole".
Je lui demande ça, pour mettre en musique ce quelle ma appris, ce sont ses seins que je veux honorer et non ma bite.
Elle, je sais quavant que lon ne se quitte demain matin, grâce à la forme de permission quelle ma obtenu par lambassadrice, après je lespère une nuit de sexe, surtout la cuillère que jespère bien expérimenter.
Je suis à deux doigts de décharger, à force quelle frotte ses mappemondes sur mon sexe.
Ayant lexpérience de ses années de sexualité, elle sent ma panique, se redresse et me laisse là en plan.
- Il faut savoir apprendre à être patient BB, je vais te préparer un bon petit déjeuner.
Il est vrai que jai faim, baiser, ça creuse lestomac, mais je reste assis sur cette chaise, la bite en lair, alors que je me serais bien vu glisser dans son tabernacle.
- Aimes-tu les Batbouts, ce sont des petites galettes marocaines, jen ai préparé hier, je gardais les s de Madame ici ?
Je pense que sa patronne recevait un amant à lambassade, je sais quelle est très proche dun attaché américain et lambassadeur était retenu au Palais par le roi Hassan II, toute laprès-midi !
- Elle est gourmande Madame lambassadrice ?
- Elle ne laisse pas sa part aux autres.
Ce qui est drôle cest que Monsieur semble sen satisfaire, quelquefois même sils font chambre à part, il doit lui être difficile de ne pas entendre que Madame nest pas seule.
Incroyable, cette femme que jai vue si fière dans son tailleur et ses talons hauts est une salope, je croyais quil ny avait que dans les gens du peuple que ladultère se pratiquait !
Jen sais quelque chose, papa est un chaud lapin, mais maman sait lui rendre la monnaie de sa pièce.
Le facteur vient toujours quand il pense que papa et moi sommes à la pêche pendant son repos.
Un jour il y est allé seul, javais la varicelle, elle ne savait pas quoi faire pour quil parte sans faire de bruit.
Jai faim, je dévore les galettes.
Cependant, gros problème, elle me donne à boire du thé, jai horreur de ça.
Quand jétais , nous allions tous les dimanches chez mes grands-parents et à 16 heures immanquablement ma grand'mère nous en faisait boire.
- Dis donc, tu avais faim, tu as aimé mes batbouts, tu les as tous finis, je te redonne une tasse de thé, tu sembles lapprécier ?
Nai crainte, tu as bien fait de tout manger, cest normal à ton âge
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