Table De Sapin 12
Ma belle sur ma appelé alors que jétais dans mon bureau pour avoir mon avis sur le fait de cocoter un couscous pour le retour de ses parents parti pour la semaine dans le midi de la France. Par la même occasion elle a souhaité que je moccupe de faire les courses. Cela allait de soit !
Pour avoir les quantités jai dû appeler ma femme. Et cest avec une liste en main que je me suis rendu dans la grande surface. Une heure plus tard, paniers en mains je me suis pointé chez mes beaux-parents.
À mon arrivée, ma belle-sur se tenait penchée au dessus de la table de sapin en train de débarrasser le petit déjeuner. À en voir létat du plateau, cela a dû être très copieux.
- Tu as tout trouvé ?
- Pas grâce à toi. Répliquais-je, en louchant sur ses jambes nues au-dessous de son tee-shirt avec un gros nounours en façade, qui faisait office de pyjamas. Il men fallait pas plus pour faire grimper ma libido. Le feu au ventre, tremblant, je me suis approché de ma belle-sur. Jai fait courir mes doigts le long de sa cuisse. Les faisant lentement remonter en direction de son sexe. La coquine sabandonnant à ma caresse.
- Tu es en manque ? Me lança-t-elle.
- Je ne sais pas. Répliquai-je. Enfin je ne crois pas.
- Cest à ce demander ce que fou ma sur. Me murmura-t-elle, à loreille.
- Est-ce ma faute si tu te fringues comme une salope.
- Tu nes pas obliger de regarder, mon cher beau-frère. Répondit-elle en sécartant de ma main.
- Oui
je le sais bien. Mais je ne peux pas men empêcher. Cest dans mes gênes.
- Ah oui ! Et bien ça tombe bien. Jai comme une envie pressante. Fit-elle en grimpant sur la table.
Elle a joué des hanches avant de saccroupir dessus. Son regard défiant le mien.
- Tu penses que tu vas pouvoir éteindre le feu qui brûle en
Moi ? Ajouta-t-elle, prenant une position qui mexhiba son intimité nue de tout sous-vêtement.
Incapable de résister à la tentation. Jai approché mes narines frémissantes. Jai perçu lodeur dune femme en rut. Je men délectais à lavance. Jai envoyé mes lèvres se perdre dans la toison, très touffue. Le parfum qui sen est dégagé était tout spécialement prenant. Jai embrassé les poils avant de les prendre entre mes lèvres, comme pour les brouter.
Puis jai donné de petits coups de langue pour goûter à sa fente. Une caresse qui constituait un prélude à ce qui allait suivre. Dune langue experte, jai écarté les lèvres roses. Pour la nicher effrontément dans son nid damour. Leffluve dominant était celui de la sueur. Plus forte que dhabitude. Mais qui ne faisait pas disparaître les relents durine. Pris dune impulsion, toujours avec ma langue jai titillé le clitoris. La réaction de ma belle-sur ma stupéfié. Cétait comme si elle avait été traversée par un courant électrique. Elle sest offert sans retenue à ma langue qui sest mise à la fouillée goulûment.
Elle prit appuie avec ses mains sur mes épaules pour ne pas tomber en arrière, alors que je léchais les petites lèvres roses. Introduisant le bout de ma langue dans la fente qui sélargissait de plus en plus pour me permettre le passage. Elle a gémit de plus belle. Sest trémoussée gracieusement. Comme si elle avait vraiment le feu au cul.
Mon état fut très vite exacerbé par un surplus dexcitation. Au point de menvoyer des ondes très perverses dans mon cerveau. Pas capable de résister à la tentation, jai ordonné à Patricia de ne pas bouger. Je me suis levé et jai approché les paniers au plus près de la table. Elle a comprit mon intention quand je me suis mis à éplucher une carotte. Une fois pelé, je me suis empressé de la faire sallonger sur la table. Une fois installée, je lui ai caressé lentrée de son vagin avec. Avant de la faire disparaître dans son antre.
Puis je suis passé aux courgettes. Dirigeant le bout arrondi vers sa chatte devenu luisante et béante. Elle a gémit de plus belle. Mordant sa lèvre inférieure pendant que le herbacé se faisait un passage dans ses entrailles.
- Oh, Alain
fourre-moi la plus grosse, fit-elle en me la désignant du doigt.
Je lai pris et je le lui ai enfoncé dun coup dans son vagin. Fourrant celle que je lui avais retirée, dans le cul. Ses parois rectales se sont sécartées. Se sont assouplit, si bien que jai pu entamer un va-et-vient. Elle a beaucoup aimé. Décidément, ma belle-sur était une chaude du cul !
Quand les courgettes fut toutes passées dans ses orifices, la coquine a voulu sattaquée au aubergines.
- Tu vas réussir à me la mettre en entier, hein ?
- Je pense dans létat où tu te trouves tu peux tout avaler.
- Alors vas-y
Bourre bien ma chatte. Dépêche-toi,
Dépêche-toi ! Je ne tiens plus
Jai redoublé les intromissions. Comme jai activé le rythme de mes mouvements dans les entrailles de ma partenaire. Celle-ci mencourageait à continuer en poussant des cris rauques, la respiration haletante.
Elle était en sueur. Ses aisselles ont diffusé à profusion des effluves, caractéristiques de son plaisir. Comme pour venir renforcer encore la puissance de ses orgasmes à répétition. Ses hanches se sont mises à tanguer et rouler sans aucun contrôle. Ses fesses se sont soulevées delle-même. Je men suis saisis de la dernière aubergine et la fourrais dans son antre, pour remplacer la précédente enduit de sécrétion que jai déposais dans la gamelle. Puis je lai branlé avec la nouvelle, avec plus de durement. Faisant grimacer ma belle-sur. Elle avait la chatte qui sest contracté de façon incontrôlable. Se serrant constamment autour de laubergine qui encombré son ventre.
- Je suis excité comme jamais
Branle-moi, branle-moi à fond
Jai frissonné alors que je la branlais de plus belle. Elle a remué des hanches comme une assoiffée de sexe. Projetant de plus belle sa chatte à la rencontre du légume. Jai épousé son rythme, faisant disparaître le légume dans sa totalité.
- Ouuiii, Alain ! Plus fort
Branle ma chatte aussi forte que tu peux
Défonce-moi, Alain ! Branle-moi, salaud
Pris dune frénésie perverse, jai commencé à la tringler aussi fort que mon poignet pouvait supporter.
- Bon sang, comme cest gros
Bon sang, comme cest bon !
Elle a gémi sourdement, sans pouvoir sarrêter.
- Tu vas une fois de plus me faire jouir mon cher beau-frère ! Oui défonce ta belle-sur, défonce la bien ! Je jouis, Alain ! Je jouuuuiiiiiiiis !
Son ventre est parti en vagues. Ses fesses ont quitté la table. Se tordant de plaisir. De long geyser crémeux jaillit de sa tanière, coulant le long de la peau mauve et lisse du légume, finissant son voyage sur mes doigts. Son souffle sest transformé en ahanement rauque.
Elle ne contrôlait plus rien. Pendant plusieurs secondes, son corps fut agité de soubresauts, avant de cesser dun coup. Comme si on lui avait enlevé les piles. Elle est restée un bon moment allongée sur la table. Une fois récupérée elle ma soufflé.
- Avec tout ça, jai
jai maintenant envie
de
de faire pipi, a-t-elle balbutié.
Une idée démoniaque ma traversé mon esprit.
- Ne bouge pas, je te ramène la gamelle.
- Idiot
- Mais sache que je suis sérieux en te disant cela.
Elle ma jeté un regard interloqué, puis a pouffé bêtement. Je lai suppliée à voix basse :
- Ça me ferait tellement plaisir.
- Que vous êtes bêtes vous, les mecs ! A-t-elle dit.
Mais elle a tout de même accepté de saccroupir au dessus la gamelle. Tout en riant nerveusement, elle a commencé à uriner pour mon plus grand plaisir.
La chaleur dans la pièce, devenait de plus en plus, étouffante. Tout en suçant ma main, je lai rejoint sur le plateau de la table. Devinant mes intentions elle ma donné un coup de main à retirer mon pantalon. Mon slip.
Sans que jaie eu besoin de dire quest-ce que ce soit. Elle est venue sasseoir sur mon sexe brûlant de désir. Ses lèvres humides mont aspiré. Le désir était tellement fort que nos sexes unis dégoulinaient comme des fontaines. Elle a entamé une cavalcade, respirant à grand coup. Nous avons tout deux, laissé échapper un profond râle de bien-être, tellement ce moment dunion était désiré. Alors avec regret, je suis sorti de la chatte gourmande. Retenant du mieux mon flux de sève qui bouillonnait en moi. Je me suis mis au-dessus la gamelle et je me suis branlé sous les yeux de Patricia. Elle se pouffait de rire. Soudain le premier jet de sperme a giclé avec une grande violence. Nappant les aubergines dune couche crémeuse, blanchâtre. Puis trois autres suivirent la première, moins violent. Patricia a attendu la fin de ma jouissance pour se pencher et dun coup de langue précis elle a gobé la dernière goutte de liqueur à la pointe du sexe. Elle a relevé la tête et sest éclatée, dun rire cristallin. Elle ma désigné la gamelle dun geste de la tête, qui a fait balancer sa chevelure.
- Quelle drôle didée f ?
- Comment ça ?
- Enfin tout
les légumes, la pisse
- Mais je trouve cela très excitant. Pas toi ?
- Non pas trop. Je trouve ça un peu dégueu
- Et bien sest simple, répondis-je en découpant les légumes.
- Mais
mais tu ne les laves pas.
- Pour quoi faire ? Cela ne sera que meilleurs.
- Jai honte.
- Mais de quoi ma belle ?
- De tout ça ! Quoi !
- Personne nen saura rien. Cela sera notre secret. Un de plus
- Bien ! Si tu le dis.
- Fais-moi confiance.
- Je vais me préparer ! Parvient-elle à dire entre deux roucoulements.
Puis elle a disparu, légère
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