Hélène 26 : Exposition, Deuxième Partie
Hélène 26 : Exposition, deuxième partie
- Viens voir ! Si ! Si, viens voir !
Je frémis, Cette voix, qui me fait frissonner, cest celle de Béatrice
- Oh comme cest intéressant, une chatte, et des nichons, ça change des culs quon nous montre. Lui répond un timbre plus masculin.
- Le martinet est pour moi. Lui assène la femme.
- Oui, mais cest moi qui choisis.
- Alors, mon loup, les seins ou le clito pour commencer ?
- Le clito !
Un éclair décharge son énergie dans le rectum, agitant les boules dacier.
Une deuxième secousse, je me cambre et la lanière cueille au vol mes lèvres et mon bourgeon.
Je crispe mes mâchoires sur la boule pour mon cri. Tout mon sexe résonne de souffrance.
- Elle doit être bâillonnée, on nentend presque rien. Fait le timbre viril
- Tu veux que jessaie les seins.
Je tremble en attendant la cinglée. Mais lélectricité foudroie dabord mon cul, puis les lanières lacèrent ma poitrine, me donnant limpression que mon téton est arraché.
Je souffle, jhalète autant que je peux avec le bâillon.
Encore une décharge électrique, je me cabre, le coup tombe sur mes cuisses et mes nymphes.
Puis la flagellation continue sans sarrêter, je me cambre en permanence, secouée sans interruption par lélectrocution. Je geins sans arrêt, je pleure sous mon drap.
Pendant les rares répits, où je peux reprendre mon souffle, jentends les éclats de rire féminins. Mon corps torturé fait rire cette salope.
Puis les cinglées reprennent, tous mes organes de plaisir me font souffrir.
Une sonnerie discrète retentit.
- Déjà fini, je commençais seulement à mamuser. Fait la femme, en jetant le martinet, provoquant une dernière secousse.
- Ce nest pas drôle, on voie rien on entend rien. Elle ne fait que chouiner comme un gorette. Finalement, il ny a quelle qui samuse ici.
- Je te rejoins, jai encore une petite chose à faire. Lui répond la femme.
Je pleure sous ce drap qui maveugle.
Mon cur affolé bat la chamade, jai si mal.
Un souffle, près de mon visage, juste de lautre côté du tissu.
- Hélène, ma belle bourge. Je tai reconnue. Comment as-tu pu croire que joublierai que tu mas piqué Pierre. Puis elle reprend.
- Tu souffres, et pourtant, je tenvie, jaimerais tellement être la soumise de ton mec. Quel est ton secret. Quest-ce que tu as, que je nai pas. Et elle conclut.
- Adieu ma belle, je ne crois pas que nous croiserons à nouveau, en tout cas pas dans de telles circonstances. Soit heureuse avec ta perle rare.
Béatrice a du séloigner, le silence règne dans la pièce. Le martinet, les décharges ont exacerbé mes sens. La confession que je viens dentendre ma bouleversée. Lentement mes battements cardiaques sapaisent.
Un froissement, puis le bruit dun tissu qui se déchire. Un courant dair frais sur mes cuisses, puis sur mon sexe exposé. Je me cabre sous le frôlement de mon clitoris érigé. Des doigts frais me débarrassent de mes pinces, puis ils défripent mes lèvres intimes.
Mon matelas est secoué, on monte sur mon lit. Mes jambes sont libérées. On les relève. Puis on les écarte et on les appuie sur des épaules, on les resserre autour dun cou.
Un léger baiser sur mon mollet, mon sexe est écarté par un vit de belle taille. Tant de douceur, ce ne peut être que mon amour qui sinstalle dans mon ventre.
Mon Pierre va me prendre, attachée, bâillonnée, aveuglée, pincée, godée : je suis si heureuse.
Rien, il ne bouge pas. Mais quattend-il pour me baiser. Un flash dans le cul, je me spasme, agitant les boules dans mon rectum. En un éclair, je comprends ce que mon salaud chéri va me faire.
Un coup de fouet sur mes seins, toutes les souffrances de ma poitrine, de mon anus se mélangent.
Puis doucement, il me pistonne, il doit agiter le manche du martinet car les flashs se coordonnent avec ses mouvements.
Sa cadence saccélère, tout se mélange, la pénétration de mon sexe, le frottement de mes muqueuses, le mouvement des boules qui stimule mon rectum, Et lélectrocution rythmée qui amplifie mes sensations.
Il plaque son bassin à mon con, en senfonçant en moi, au plus profond, massant les boules de mon rectum. Une dernière décharge et nous spammons violement ensemble. Je pars dans un éblouissement.
Je reprends pied, je souffre toujours de mes organes flagellés mais cet orgasme ma apaisé.
- Ça va ma belle, je te ramène aux douches. On va te débarrasser, me susurre à loreille, la voix tant aimée.
Un petit voyage et jentends un brouhaha autour de moi.
- Cest la dernière, prenez en soin.
On arrache le drap qui me retrouve, je cligne des yeux et je me redresse.
Je suis dans une grande salle carrelée avec des motifs fleuris, et autour de moi, six femmes toutes égales dans leur nudité.
Une belle grosse sapproche de moi : Marianne !
- Je vais te débarrasser de tes pinces aux seins, Fait-elle.
- Sois douce ! Je lui réponds en tendant ma mamelle gauche.
- Tinquiète ! ajoute-t-elle en desserrant progressivement lanneau qui enserre mon téton.
Puis elle passe au côté gauche. Jaccompagne lopération de petits « Aie ! » « Aie ! » « Aie ! » au fur et à mesure que le sang revient irriguer mes framboises.
- Tourne-toi, et penche-toi. Fait-elle avant dextraire mon appareillage anal.
Je ne peux mempêcher de soupirer au passage du bulbe du god et des boules métalliques.
Une hôtesse entre, poussant un chariot chargé de savons, de flacons donguent et de serviettes et de peignoir dont deux bleus sombres, presque noirs.
- Allez mesdames, la salle de bain vous attend. Fait- elle en nous devançant.
Au passage, je pique un des kimonos couleur de nuit.
- Madame, cest pour les messieurs.
- Et bien tant pis, lun dentre-deux naura quen prendre un blanc. Lui répliqué-je avec autorité.
Les autres soumises se sont jetées sous les jets deaux. Marianne me devance sous une pomme, et me montre ses fesses. Jy reconnais ma marque, au milieu du lacis des marques qui couvre son cul. Je mets un peu de baume dans ma main.
- Marianne, tu veux que je te frictionne
- Oui merci, je vais te rendre la pareille.
Nous avons dû donner lexemple, les autres nous imitent et commencent à se savonner les unes les autres.
La vapeur deau chaude, remplit la pièce, et le savonnage mutuel encourage tous les attouchements et toutes les caresses.
Marianne se colle contre mon dos, emboitant son embonpoint dans la cambrure de mes reins. Elle plaque ses tétons érigés contre mes omoplates, sempare de mes seins et titille les pointes. Une bacchante se serre contre moi, ses doigts se glissent dans ma raie culière et forcent mon pertuis secret. Je tords ma nuque, et ma bouche prend les lèvres de ma belle grosse, nos langues se mélangent dans un ardent baiser lesbien.
Mais une bousculade sépare notre trio.
Dans le brouillard, on me tripotte de toute part, de mon côté, je ne suis pas en reste et je pelote toutes les poitrines et tous les culs qui passent à ma portée. Je doigte des chattes lisses, ou des anus complaisants. Un moment, une langue râpeuse excite frôle mon petit bouton. Mais ma caresseuse disparait dans la brume chaude.
Le nuage de vapeur se remplit de rires excités et de petits râles de bonheur.
Jessaie de protéger ma vertu, déjà bien ébréchée, en mettant mon peignoir. Inutile, on me trousse pour accéder à mon cul. Des mains se glissent dans lentrebâillement de ma sortie de bain pour pétrir ma poitrine. Sensuellement, je me laisse aller à ces innocents plaisirs entre filles.
Au fond, je lai bien mérité
Christine claque dans ses mains, interrompant cette bacchanale.
- Allez, Allez, je vous rends à vos seigneurs et maitresses respectifs.
Deux stewards ouvrent la porte à double battant, et nous sortons les filles dabord, et les garçons fermant la marche.
Un tonnerre dapplaudissement nous accueille.
Je repère mon chéri au premier rang, je me jette dans ses bras et je lui viole ses lèvres.
- Tu as aimé, ma douce.
- Oui. Beaucoup, surtout quand tu mas visitée.
- Dis donc, vous faisiez du bruit, de lautre côté de la porte, vous aviez bien lair de vous amuser.
- Souffrir beaucoup pour jouir un peu ! Je lui réplique.
Autour de nous les couples se reforment, certains parfois câlins, dautres plus distants.
Je repéré les deux soumis.
Le jeune homme androgyne glisse vers une femme au visage sec, aux longs cheveux argentés. Il lui saisit la main, la retourne et baise sa paume en sinclinant. Elle ne lâche pas ses doigts et elle les porte à ses lèvres en signe de réciprocité, son sourire sillumine. Elle att son jeune amant par la nuque et lattire vers sa bouche. Elle lembrasse avec passion, il lui se rend son baiser avec bonheur. Ils restent soudés un long moment.
Ils se séparent. Je ne peux mempêcher dapplaudir cet instant de passion. Il se tourne vers moi, souriant, et madresse un léger bisou dange.
Lautre soumis sest approché de la femme en cuir noir. Les traits de la domina sadoucissent. Elle lui prend le bras et pose sa tête sur son épaule de tissu éponge.
Elle lui adresse un murmure.
- Ça ta plu.
- Oui,
Elle le retourne contre elle et discrètement, sa main se glisse dans la fente du peignoir.
- Tu es très en forme, mon nounours. Viens vite me faire profiter de cette belle érection. Et elle ajoute
- Mon cul est déjà trempé à lidée que tu vas menculer. Ce sera ta récompense.
Ils séloignent rapidement vers un des petits salons maintenant libéré de ses occupants
Mon seigneur vient de me coucher, et se glisse contre mon cul. Jatt son vit et je le glisse entre mes fesses, Je prends sa main et je la place en coupe autour de mon sein.
Je ferme les yeux.
- Ça va mon cur. Me demande mon seigneur et maitre.
- Oh, jai mal partout. Fais-je avec une voix plaintive.
- Quand tu réveilleras, je moccuperai de toi, je te masserai.
- Tes un amour !
Et je mendors, le sourire aux lèvres. Demain dimanche, au menu, massage et tripotage : trop bon
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