La Kiné 10
Edwige se ravise: Non, finalement va au coin plutôt! Oui ce sera plus adapté pour une petite salope qui vient de recevoir sa fessée! Tu mets tes mains sur la tête et tu bouges pas!
J'obéis, me voilà maintenant debout, face au coin de la pièce, toujours nu, le string baissé à mi cuisse, présentant mes fesses douloureuses à ma collaboratrice.
Elle: Tes fesses sont rouges écarlate Alex! Il y a même des traces bleues... A mon avis tu vas garder des marques plusieurs jours... Tu vois ce qu'il en coûte de jouer au macho!?
Moi: Oui Edwige... J'ai mal...
Elle: Bien-sûr que tu as mal! Ce n'est pas un jeu Alex! C'est un dressage! Je serai sans pitié désormais avec toi! Tu es prévenu!
Moi: Oui... Laisse moi rentrer s'il te plait... J'ai affreusement mal...
Elle: bouge pas, je fais une photo!
Edwige m'annonce qu'elle a envoyé la photo à Zoé. Moi je dois encore resté au coin le temps qu'elle remette son pantalon puis elle m'ordonne de remonter mon string et de remettre en ordre la petite salle. Le tissus pourtant léger du string me fait mal et chaque mouvement de jambe, chaque pas, augmente ma souffrance. Je grimace...
Au moment de me rhabiller la douleur augmente mais le pire est à venir, le moment où je m'installe dans mon véhicule... J'arrive péniblement chez moi, je me déshabille avec précaution et me dirige directement vers la salle de bain pour constater l'état de mon cul devant la grande glace de plain pied. A la vue de mes fesses rouges écarlates mais surtout des boursouflures et des traces bleues je prends peur, je crains d'être marqué pour une longue période...
Heureusement si je puis dire, je ne suis plus en couple, je suis divorcé depuis plus d'un an donc pas de conjointe à qui j'aurais dû cacher les signes de la punition reçue... J'enduis mes fesses de biafine et les masse doucement pendant quelques secondes. Je repense à l'attitude d'Edwige, comment a-t'elle pu être si cruelle avec moi.
La sonnerie de mon téléphone me sort de mes songes. C'est Zoé, ma kiné.
Zoé: Alors ma p'tit' pute? T'as bien morflé ce soir!
Moi: Bonsoir Zoé... Oui, j'ai atrocement mal...
Zoé: Normal ma chienne! Tu n'as que ce que tu mérites!
Je ne répond pas, la jeune kiné enchaine: Tu en avais besoin pour comprendre que tu dois changer d'attitudes et tu en recevras autant que cela sera nécessaire! Méfie toi car si c'est Magalie qui t'en donne une c'est pas d'une kiné dont tu auras besoin mais d'une infirmière!
Cette dernière affirmation me glace le sang, l'idée de recevoir une fessée encore plus forte que celle infligée par Edwige m'effraie au plus haut point...
Zoé: Bref, je t'appelle pour te féliciter tout de même. Tu t'es comportée comme une bonne pute soumise en acceptant cette fessée. Je suis fière de toi. La photo que m'a envoyé Edwige prouve que tu as été résistante, c'est bien...
Zoé me parle d'une voix douce et naturelle comme si il n'y avait rien d'exceptionnel de traiter un homme de 45 ans ainsi. Elle, une jeune femme de 26 ans...
Elle continue: Je voulais également te dire que j'ai créé un groupe Whatsapp à la demande de Magalie. Le groupe se nomme badd et pour l'instant compte 4 membres; toi bien-sûr, Magalie, Edwige et moi... Tu vas recevoir une invitation pour rejoindre le groupe. Tu ne me demandes pas pourquoi badd?
Moi: Euhhh... badd... avec 2 d?
Elle: Oui ma pute avec 2 d! Badd signifie Branlé Avec Deux Doigts! Là tu comprends mieux!?
Et j'entends Zoé éclater de rire au téléphone...
J'ouvre mon application Whatsapp et en effet le groupe est visible. Chaque participante a pris soin de mettre une photo dans son profil respectif. Un message m'indique que je suis invité à faire de même, par contre je n'ai pas le choix de la photo, je reçois celle que je dois afficher... Il s'agit de ma petite bite en gros plan!
Mon profil mis à jour, je reçois dans les minutes qui suivent des messages moqueurs de "bienvenue" des 3 autres membres du groupe.
Cette nuit suivant ma 1ère fessée est compliquée. J'ai affreusement mal, je suis contraint de dormir sur le ventre...
Au réveil la douleur est moins vive bien-sûr, le rouge de mes fesses a viré au rose mais les traces semblables à des hématomes persistent...
Nous sommes samedi, je travaille rarement ce jour de la semaine. En général Edwige et Céline alternent pour l'ouverture de l'agence. Mon téléphone sonne, c'est justement Edwige...
Moi: Bonjour Edwige.
Elle: Comment va notre petite salope ce matin? Toujours mal aux fesses?
Moi: Oui, moins qu'hier mais c'est encore douloureux...
Elle: Bien, il ne tient qu'à toi si tu ne veux pas renouveler l'expérience... Bref, viens à l'agence, je suis seule il n'y a personne.
Et elle raccroche net sans plus d'explications.
Je rentre dans l'agence, Edwige est dans mon bureau, confortablement installée dans mon fauteuil.
Elle: Prends une chaise petite fiotte, installe toi à côté de moi.
Bien-sûr j'obéis instantanément, l'écran de mon ordinateur affiche un site de sex-toys...
Edwige: Tu sais ce dont tu as besoin ma cochonne...
Je fais mine de ne pas comprendre.
Elle: On va te choisir une cage de chasteté pour ta petite bite...
Edwige tappe le mot dans la barre de recherche et toute une page s'ouvre. Il y a une multitude de modèles, de diverses formes, tailles et matières.
Elle: Pour toi il te faut le plus petit modèle et en métal!
Ma collaboratrice sourit, moi je ne dis pas un mot. L'idée que mon sexe soit emprisonné de la sorte m'effraie...
Edwige a choisi. La cage est commandée. Elle est donc en métal inoxydable, d'une longueur de 4 cm, munie d'un large anneau qui me serrera les couilles et d'une petite serrure incorporée. Mon employée m'annonce avec fierté qu'elle sera la KeyHolder (la gardienne des clés). Les jours qui suivent j'angoisse un peu car Edwige a noté l'adresse de l'agence comme adresse de livraison et je crains que Sonia, la secrétaire, ouvre le colis à son arrivée.
En fait le petit paquet est à retirer dans un point relais. Edwige en est averti le jour j par sms. Elle m'interdit de récupérer moi même le paquet. Devant moi elle appelle Eva, la jeune stagiaire, et lui demande de bien vouloir s'en charger. Bien-sûr Eva est loin de se douter de ce qu'elle va chercher, mais la seule pensée que cette gamine de 21 ans aille chercher l'objet de mon humiliation, m'effraie au plus haut point.
Le petit paquet contenant ma cage de chasteté est sur mon bureau depuis 11h. Heureusement il n'y a aucune inscription qui puisse indiquer quoique ce soit de compromettant...
Vers 12h20 seuls Edwige et moi sont présents. Ma collaboratrice m'ordonne de me rendre dans la salle de repos et de l'attendre totalement nu. Me voilà nu comme un verre dans la pièce où j'ai reçu cette terrible correction il y a une semaine. La porte s'ouvre, Edwige tient l'objet métallique dans sa main, elle me regarde droit dans les yeux avec un air malicieux puis baisse son regard en direction de ma petite bite... Elle sourit...
Elle: mains dans le dos lopette!
J'obéis. Elle s'approche un peu plus de moi, s'accroupit et examine mon petit pénis. Elle le saisit avec 2 doigts, le soulève légèrement puis annonce: tu n'es pas parfaitement épilée ma salope! Tourne toi!
J'obéis, je pivote. Elle: écarte tes fesses pouffiasse!
J'écarte mes fesses avec mes 2 mains. Elle: Oui, ta raie c'est idem, elle mérite une épilation!
Moi timidement: Je me raserai ce soir Edwige...
Elle: Tu ne te raseras pas salope! D'abord parce que tu vas porter ta cage et ensuite parce que je veux que tu te fasses épiler à partir de maintenant!
Moi: mais...
Elle: il n'y a pas de "mais" connasse! Tu iras te faire épiler à l'institut d'Hélène!
Moi paniqué: Edwige! non pas Hélène! c'est pas possible! C'est une commerçante du quartier... Edwige tu peux pas exiger ça... j'aurais trop honte et...
Mon employée me coupe la parole d'un ton sec: ta gueule pétasse! Tu veux te reprendre une nouvelle raclée???!!!
Moi, suppliant: Edwige.
Elle: Alex, Hélène est mon amie, je lui fais entièrement confiance, tu n'as aucune crainte à avoir, elle ne trahira pas ton petit secret...
Je regarde ma collaboratrice d'un air suppliant, je tente de la convaincre de revenir sur sa décision mais je comprends très vite que mes arguments sont vains...
Edwige: écoute Alex, il n'est pas question que tu remettes en cause chacune de mes décisions! Magalie m'a confié la mission de te dresser et je compte bien mener à bien cette mission! Mets toi à 4 pattes salope! De suite!
Ma collaboratrice me parle avec autorité, elle élève le ton. J'obéis, me voilà nu à 4 pattes sur le carrelage.
Elle: dis moi que tu es une chienne! Dis le!
Moi: je suis une chienne...
Elle: une chienne obéissante! Répète!
Moi: je suis une chienne obéissante...
Elle: parfait! Relève toi et mets ta cage!
Edwige me tends la minuscule cage de chasteté, je la saisis maladroitement et l'observe pour comprendre comment opérer. Je la mets alors en place, il s'agit de faire passer mes boules dans le grand cercle puis de glisser ma petite bite dans le fourreau fait de petits barreaux métalliques courbés et enfin de cliquer l'ensemble. Cette cage n'est pas muni d'un cadenas mais d'une petite serrure incorporée.
Ma collaboratrice se délecte de cette situation très humiliante pour moi, elle sourit, penche la tête pour bien observer la manipulation...
Edwige: elle est parfaite pour ta petite bite de lopette! Et elle éclate de rire. Je la vois alors sortir de la poche de son jean 2 petites clés, elle les fait balancer devant mes yeux et rigole. Ses yeux brillent de malice...
Elle saisit alors mes couilles de la main gauche, les soulève un peu et de la main droite introduit la petite clé dans la minuscule serrure, 1/2 tour suffit et ma toute petite bite se retrouve alors prisonnière...
Elle: Voilà ma pute! Interdiction de bander et de te branler à partir de maintenant! Et Bien-sûr je garde les clés! Dès que l'occasion se présentera j'en remettrai une à Magalie.
Je me sens honteux et ridicule. Edwige me permet de me rhabiller puis m'ordonne d'ouvrir mon pantalon et de baisser mon boxer sous mes couilles pour exhiber ma petite bite encagée afin de faire une photo.
Elle: Magalie et Zoé vont bien se marrer en voyant ta petite nouille sous cage!
Je devine aux manipulations qu'elle fait sur son téléphone que la photo est expédiée à ses 2 complices.
Elle: je te l'ai envoyé aussi! Évidemment tu la mets en photo de profil!
Je finis de me rhabiller, je sors de la pièce en évitant le regard de ma collaboratrice. Je sens qu'elle m'observe... Cette femme a pris aujourd'hui encore un peu plus de pouvoir sur moi, beaucoup plus même! Je me sens totalement soumis, inférieur, dépendant du bon vouloir de ces 3 femmes qui ont pris le contrôle de ma vie...
Edwige: Au fait! Hélène attend ton appel pour ton rendez-vous épilation, appelle de suite.
Moi: Je n'ai pas son N°...
Edwige: idiote! Ma collaboratrice appelle alors directement avec son téléphone et me le tend. A peine ai-je saisi le mobile et j'entends la voix de l'esthéticienne: Oui Edwige.
Moi: euh... non c'est Alex... je t'appelle avec son téléphone...
Hélène: Ah oui, bonjour Alex.
Moi: bonjour Hélène, je t'appelle pour prendre rendez-vous...
Hélène: Oui, pour ton épilation, ok, tu veux faire quoi?
Sa question me gêne, je ne sais quoi répondre, je bafouille: euh..
Hélène s'agace: tu veux que je te fasse quoi? Le maillot? Intégral?
Moi: oui... (je n'ose la contredire)
Elle d'un ton sec: passe moi Edwige!
Je rends le téléphone à ma collaboratrice qui sans embarras annonce qu'il me faut une épilation du maillot avec bien-sûr le sillon fessier plus les jambes et les aisselles.
Je suis ultra gêné d'envisager me mettre nu devant Hélène, une commerçante du quartier. J'entends les 2 femmes continuer à discuter, je saisis l'occasion pour m'éclipser.
Je suis dans mon bureau quand Edwige me rejoint. Elle m'annonce que j'ai rendez-vous mardi prochain à 12h et insiste pour que je l'inscrive sur mon agenda informatique pro. Je lève les yeux vers elle, choqué, mais je comprends très vite que c'est sans discussion.
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