Récit Libertin De Jean - Les Épingles À Linge Et L'Arrivée Au Sauna

Cécile nous surprend en train d’essayer de nous embrasser avec des épingles sur la langue, sur le bout des seins et sur le sexe. Je fais un geste pour retirer celle qui m’empêche de parler mais Capucine me retient. Un éclair de lubricité traverse les yeux de Cécile qui s’approche et nous domine. Elle regarde un peu surprise le nombre de pinces que nous avons chacun sur le corps et on voit bien dans son regard qu’elle se pose des questions sur la douleur que cela peut occasionner. Capucine l’invite à jouer avec les épingles avec autant de clarté que le permet sa prononciation entravée. Comme pour lui montrer que ça ne fait pas mal elle fait bouger celles que j’ai sur les seins avec celles qu’elle a sur les siens. Elle crie à moitié et ça m’arrache un petit râle de plaisir. Capucine est en train de tremper mon lit tellement elle mouille. La salive qui coule de sa bouche sur son menton pour continuer entre ses seins et sur son ventre, rejoint la cyprine qui dégouline de son sexe. Même si je n’ai pas connu beaucoup de femmes, je n’en ai vu aucune mouiller comme elle sous l’excitation. La tache se voit clairement sur le jaune de la housse de couette. Cécile se met donc à jouer avec nous faisant bouger les épingles de l’un et de l’autre. On voit clairement que ça l’excite et qu’elle y prend du plaisir. Elle retire celles que nous avons sur la langue pour pouvoir parler avec nous.
« Ca fait pas trop mal ?
- Pas plus qu’une épilation, dis-je, en adressant un sourire en coin à Capucine.
- Vu comment tu as l’air d’aimer les épilations, ça doit te plaire d’avoir une quinzaine d’épingles sur le corps. »
Elle se met à compter en touchant chacune.
« Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept.
- Je crois que tu en as oublié, je vais recompter »
Capucine me fait basculer sur le lit et se met à cheval sur mes jambes. Pour être sûre qu’elle n’en oublie pas, elle les enlève au fur et à mesure.

Comme prédit, je sens l’afflux sanguin dans la morsure de chaque épingle et elle lèche l’endroit sensible à chaque retrait. J’étais déjà bien excité, mon érection suffit à faire sauter celle qui m’enserrait le gland. Celle-ci fait mal mais ça reste supportable. Quand elle se met à me lécher la peau des testicules, je crois que je vais jouir mais elle ne va pas suffisamment loin pour que j’y arrive. Il y en avait bien dix-sept.
Je me relève et fais basculer Capucine. Je procède au comptage avec elle comme elle vient de le faire avec moi mais à chaque fois que je lèche un endroit dont je viens de retirer une épingle, elle semble jouir. Son sexe est trempé et elle m’inonde littéralement la bouche quand je me mets à lui lécher le clitoris. Elle est reprise de spasmes et jouit à nouveau. Cécile l’embrasse puis m’embrasse également en prenant bien soin de lécher les restes de cyprine qui perlent sur mes joues.
« A mon tour ? »
J’imagine que l’état dans lequel ça a laissé Capucine a donné des envies à Cécile. Je la déshabille doucement pendant que Capucine prend du chocolat noir dans son sac. Elle nous en coupe une barre chacun et croque goulument dedans la sienne. Cécile est en string à dentelles, celui que Jade lui avait offert pour son anniversaire. Je le fais glisser le long de ses cuisses et elle est maintenant nue devant nous. Elle écarte les bras de son corps comme pour nous dire : « allez-y ».
Capucine att une première épingle et lui pince un téton. Je pince l’autre et Cécile lâche des petits cris de douleur. Je lui demande si elle veut arrêter mais elle veut continuer. Capucine n’est pas tendre avec elle, elle pose une pince sur sa langue. Je choisi une lèvre de son sexe. Capucine choisi l’autre lèvre et Cécile commence à gémir. Elle fait des mouvements de hanche comme pour faire tomber les épingles et je lui demande si elle veut arrêter. Elle me fait non de la tête. J’en pose une sur un sein en prenant soin de mordre le plus de peau possible.
Capucine me copie et je décide de retourner vers le sexe. Capucine continue sur les seins. Cécile a cinq épingles sur chaque lèvre et sur chaque sein plus deux sur la langue. Capucine en pose une sur le clitoris en tirant bien dessus pour que je puisse mettre la mienne.
Elle se met à genoux devant le sexe de Cécile et se met à lécher le clitoris étiré par les épingles et facilement accessible en repoussant les épingles qui tiennent les lèvres vers l’extérieur. Le corps de Cécile commence à trembler et elle est parcourue d’un premier frisson qui l’approche de l’orgasme. Elle bascule en arrière sur le lit et écarte les jambes autant qu’elle peut pour laisser le passage à Capucine. Celle-ci me dit que je peux retirer celles de la langue en prenant bien soin de l’embrasser après. Je plante ma langue dans la bouche de Cécile fraichement libérée des épingles. Le baiser est passionné et je fais glisser mes mains vers ses seins pour retirer d’autres épingles. Au fur et à mesure que j’enlève, je lèche et Cécile n’en peut plus de jouissance. Ses cris ininterrompus montrent qu’elle est au paroxysme du plaisir. J’ai fini d’enlever les épingles de ses seins et je vois que Capucine a fait de même avec celles qui se trouvaient sur le clitoris. Elle enlève deux par deux celles qui sont sur les lèvres en suivant une sorte de parallélisme. Quand Cécile est complètement libérée, elle jouit à nouveau et Capucine la regarde, satisfaite de son œuvre.
Nous la laissons reprendre ses esprits et papotons autour de la petite table. Quand elle nous rejoint, elle irradie encore le plaisir. Je n’ai pas joui mais j’en ai été suffisamment proche pour comprendre que je vais vouloir jouer à nouveau avec ses épingles. Nous sommes tous les trois très excités mais je sais que j’ai besoin d’un peu de repos pour la suite. Je m’allonge et je m’endors assez rapidement. Je me réveille autour de dix-neuf heures et les filles ne sont pas là. Elles ont laissé un mot sur la table pour me dire qu’elles seraient de retour avant huit heures.
Je consulte un peu les réseaux sociaux et je commence à choisir mes vêtements quand elles entrent. Elles sont allées se promener sur les bords de la rivière et chacune me montre fièrement qu’elles y ont été sans prendre la peine de mettre des sous-vêtements. Je les embrasse et je ne manque pas de noter qu’elles sentent le porto.
Nous partons autour de huit heures et demie après avoir mangé. Elles sont maquillées à outrance et si Capucine a gardé sa tenue dans laquelle elle est arrivée, Cécile a enfilé la tenue de soirée qu’elle avait reçu à son anniversaire. Le contraste fait que Cécile donne l’impression d’avoir cinq ans de plus que Capucine. Arrivés au sauna, nous sommes tous les trois un peu stressés. Le parking n’est occupé que par deux voitures et un vigile garde l’entrée. Il passe un détecteur de métaux le long de mon corps et demande aux filles d’ouvrir leurs sacs à main. Il demande une pièce d’identité à Capucine et en voyant qu’elle est majeure, nous laisse rentrer.
Derrière la porte, se trouve un rideau que nous franchissons pour arriver au comptoir. La jeune femme qui se trouve derrière est beaucoup plus accueillante que le vigile. Elle prend nos prénoms et demande si c’est la première fois que nous venons. Cécile répond par l’affirmative et la caissière nous explique comment se déroule une soirée.
« La nudité est obligatoire, vous aurez des paréos et des serviettes dans le vestiaire dont je vais vous donner les clefs. Pour mesdames, si un homme ou un couple vous importune alors que vous avez déjà signifié un refus, vous venez au bar et nous ferons sortir les personnes en question. Monsieur, si on vous dit non une fois, c’est non pour le reste de la soirée. Vous êtes un trio ou un couple une femme ou autre ?
- Un trio.
- Monsieur a de la chance. Il y a un espace jacuzzi, pas d’activités sexuelles dedans. Pour le hammam et le sauna, c’est autorisé. A l’étage, vous trouverez des coins câlins qui ferment ou pas mais il y en a pour tous les goûts.
Il y a du désinfectant en spray et des serviettes en papier pour éponger les taches que vous pourriez faire. Si vous le souhaitez, je peux vous présenter un couple d’habitués qui peut vous faire faire le tour des lieux. »
Nous nous regardons tous les trois et j’acquiesce du chef, Capucine de même et finalement, Cécile répond par l’affirmative. La caissière nous donne trois clefs et nous montre la direction des vestiaires. J’hésite un peu avant de me déshabiller mais les filles ont vite fait d’ôter l’ensemble de leurs vêtements et je les suis dans la foulée. Nous prenons la seconde porte et faisons face au bar où sont assis deux couples. Ils ont tous les quatre plus de soixante ans et je me dis que nous n’avons pas ment bien fait d’accepter la visite avec eux. Ils se tournent vers nous et Cécile est interloquée.
« Tiens Cécile, je n’aurais jamais imaginé que vous fréquentiez ce genre d’établissements, bonsoir et bienvenue ! »
Aucun son ne sort de la bouche de Cécile qui tremble comme une feuille. Je me demande qui peut être cet homme qui arrive à clouer le bec à ma chère mais vu le ton qu’il a adopté et le vouvoiement, j’imagine qu’il s’agit d’un de ses professeurs. Après une vingtaine de secondes, il reprend :
« Ne soyez pas choquée, tout le monde aime s’amuser et la discrétion doit être de mise. Rien ne sortira d’ici et j’espère que vous saurez tenir votre langue également, n’est-ce pas ?
- Oui, balbutie l’intéressée »
Je ne vois pas Capucine qui est en retrait par rapport à nous mais je la sens tendue également. Cécile me glisse alors qu’il s’agit de leur professeur d’histoire. Capucine se décale et déclare :
« Bonjour Monsieur Martin.
- Ah, Capucine, vous êtes là également. Connaissant vos familles, je ne vous aurais jamais imaginé l’une comme l’autre ici mais puisque c’est le cas, voulez-vous que nous vous fassions visiter comme la caissière vous l’a proposé ? Nous ne nous offusquerions pas que vous changiez d’avis.
- Non, ça nous convient ! »
Cécile a retrouvé son aplomb et elle répond avec un détachement surjoué qui ne trompe personne.
L’étage du bas comprend donc le bar avec une demi-douzaine de tables basses qui sont entourées de canapés et de fauteuils en similicuir. Sur un des murs, une télé passe un film porno dans lequel deux femmes couchent avec un homme. Nous suivons Jacques et Michèle à travers une porte qui donne sur un bassin avec des jets sur les côtés. Un sauna et un hammam se trouvent sur chacun des côtés. En face, il y a des douches qui permettent aux gens dans le bassin de voir ceux qui se douchent et vice-versa. Les lumières sont tamisées et les couleurs oscillent entre le bleu et le violet. A droite des douches, on distingue deux lits que j’imagine destinés aux gens qui se sont rencontrés dans le jacuzzi. Jacques nous répète les règles d’hygiène et celles de respect.
Nous prenons un escalier en acier qui nous mène à l’étage supérieur et là, nous découvrons un monde un peu spécial. En haut de l’escalier à droite se trouve une sorte de balançoire où une personne peut être attachée pour être léchée ou pénétrée avec une sensation d’apesanteur. A gauche, il y a un coin sado-maso avec un cheval d’arçon devant une croix de St-André. Je m’imagine baiser Capucine attachée sur le cheval d’arçon pendant que Cécile nous regarde entravée contre l’immense croix. Mon sexe prend un peu de volume mais je sens mes compagnes un peu stressées. Nous enfilons un couloir le long duquel se situent des chambres complètement fermées, d’autres avec une vitre et une cage qui se ferme de l’intérieur pour laisser libre cour à la masturbation des voyeurs. Ce couloir donne sur une immense pièce avec un matelas au centre sur lequel peuvent se trouver une quinzaine de couple en même temps. A droite de la pièce, il y a une porte qui donne sur un vestibule percé de trous par lesquels les hommes peuvent glisser leur sexe pour se faire donner du plaisir par une femme qu’ils ne voient pas. Je m’imagine me glisser dedans avec Cécile et Capucine pour les voir sucer et vérifier si les hommes s’apercevraient qu’un autre homme les suce. Benjamin m’a averti que si la bisexualité féminine est presque de rigueur, la masculine est plutôt mal vue.
Le couple Martin nous laisse là et nous dit qu’ils nous paieront une boisson si nous souhaitons la partager avec eux. A peine sont-ils dans les escaliers que Cécile se tourne vers Capucine :
« Tu le vis ? On a une chance sur mille de tomber sur quelqu’un qu’on connait et c’est le père Martin.
- Je l’ai trouvé vachement cool et il a essayé de nous mettre à l’aise. J’ai failli retourner dans les vestiaires quand il t’a parlé et que j’ai compris qu’il ne m’avait pas vu.
- On reste ?
- Bien sûr, tu as vu comme le club est grand, on peut ne pas les recroiser de la soirée. »
De mon côté, la visite m’a mis en bouche et il n’est pas question que je parte. J’espère juste que des gens plus jeunes ne vont pas tarder à arriver car je me suis fait à l’idée d’avoir des rapports avec des gens de l’âge de mes parents mais pas encore avec ceux de l’âge des mes grands-parents. J’invite mes deux compagnes à redescendre au bar. Nous avons deux consommations chacun et je compte boire suffisamment tôt pour finir de me désinhiber et ne pas faire tourner le ballon si je venais à devoir souffler.
Le bar est maintenant peuplé d’une dizaine de couples et il y en a un dans le jacuzzi. Nous prenons place avec le couple Martin après avoir commandé deux mojitos et un cuba libre. La discussion reste feutrée jusqu’au moment où Michèle nous demande si nous sommes un trio ou un groupe d’amis. Je réponds la même chose qu’à la caissière et je vois un sourire élargir le visage du professeur d’histoire.
« Vous allez être populaires si mesdemoiselles sont bisexuelles. Il n’y aura que des couples ce soir mais vous devriez attiser les convoitises. C’est sympa la première fois mais il faut savoir dire non assez clairement pour ne pas être accoster en permanence. »
Le canapé dans lequel je suis installé avec Cécile donne sur l’entrée du club et nous voyons pénétrer deux couples d’une vingtaine d’années sur le tard tous plus jolis les uns que les autres. Une des femmes est enceinte et vu la forme de son ventre, je pense que le terme est proche. Un des hommes nous voit et nous lance un sourire avant de nous désigner du menton à sa compagne qui est la femme enceinte.
Il doit être autour de dix heures maintenant et les entrées se suivent à un rythme soutenu. Des jeunes, des moins jeunes et des gens plus vieux que le couple avec qui nous buvons nos cocktails. Ces derniers nous présentent à leurs amis et nous en apprenons plus sur ce club. Les gens font beaucoup de kilomètres pour venir et il y a suffisamment de brassage pour ne pas voir tous les week-ends les mêmes têtes. Pendant qu’ils nous parlent, je regarde la femme enceinte qui me regarde aussi et qui me lance des clins d’œil de temps à autre. Cécile et Capucine ont vu mon manège mais n’en tiennent pas rigueur. Nous avons carte blanche mais nous devons rentrer ensemble. Le couple Martin nous abandonne pour aller papoter avec un groupe d’une dizaine de personnes qui ont à peu près leur âge.
Capucine propose d’aller essayer le jacuzzi et nous nous douchons comme il est de rigueur. Une fois dans les jets, je sens les mains se balader sur mon corps. Cécile est sur ma gauche, Capucine sur ma droite et elles ont retrouvé leur humeur badine. Cécile me glisse à l’oreille qu’elle espère bien que je sortirai du bain avec une érection. Vu ma réaction, ça ne devrait pas tarder. Le couple avec la femme enceinte vient se glisser sur la gauche de Cécile et même s’il y a suffisamment de place, ils se collent quasiment à elle. C’est la femme qui est la plus proche et elle nous glisse un bonsoir alors qu’elle se tourne vers nous. Sa main ne tarde pas à trouver la mienne sur les genoux de Cécile et elle me caresse la paume comme un massage alors que me doigts reposent en partie sur le sexe de mon amour. Elle écarte les jambes pour laisser glisser nos mains et la jeune femme n’en demande pas moins pour y aventurer ses doigts en entraînant les miens. Capucine me masturbe, plus pour garder mon excitation que pour me faire jouir et j’aimerais que ce moment dure toujours. La jeune femme s’appelle Chiara, elle est brune aux yeux bleus et son corps me fait envie comme je n’aurais jamais imaginé avoir envie d’une femme enceinte. Elle a des seins généreux aux aréoles sombres qui donnent envie de les mordiller. Elle se penche et embrasse Cécile puis se tourne vers moi pour m’embrasser également. Elle embrasse merveilleusement bien. Je suis terriblement excité mais je ne sais pas quoi faire pour aller plus loin. C’est Hélias, le futur père qui nous invite à monter à l’étage. Nous passons sous la douche pour enlever l’odeur de chlore et Chiara me demande de l’aider pour son dos et ses fesses car elle a du mal à les atteindre. Elle écarte les ses beaux lobes pour que je nettoie bien à l’intérieur me dit-elle. Capucine et Cécile s’occupe d’Hélias pendant ce temps.
Nous avons tous les deux de belles érections quand nous prenons les escaliers devant des regards qu’on sent, pour certains, envieux.

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