La Pause Pipi...
Jétais en train de ranger mes notes quand Anna a passé le pas de la porte de mon bureau. Petite, au corps racé. Elle portait ce matin là un long manteau de bonne griffe. Ouvert sur une belle poitrine qui pendait un peu et se balançait joliment quand elle bougeait. Mais le plus surprenant chez elle, cétait son derrière ! Énorme pour la petite taille de ses hanches.
- Que vaut ta visite ?
- Salut Alain. Il faut que tu me conduises à Paris.
- Pardon !
- Tu as bien compris.
- Et sur ordre de qui ?
Elle ma tendu une note de service que je me suis mis à parcourir. Elle était signée de mon chef de service.
- À ce que je lis, cest sur ta demande.
- Oui, parfaitement.
- Et pourquoi moi ?
- Il voulait me refiler Daniel.
- Et alors ?
- Et alors il conduit comme un dingue. Il a failli nous mettre dans le décor la dernière fois quil ma conduit.
- Oui mais voilà ! Cela ne marrange guère. Javais des choses de prévus. Et dailleurs je nai pas dordre de mission !
- Tiens la voilà.
Elle ma posé une enveloppe sur le bureau.
- Tes une acharnée toi. Tu as tout prévus.
- Sache mon gars, quand je veux quelque chose, je lobtiens.
- Tu crois métonné, là !
Après avoir déplié la note je lai parcouru entièrement. On ne blague pas avec un ordre de mission ! Tout était en règle. Je navais rien dautre à faire quà me soumettre à lordre qui mavait été transmise.
- Plus vite parti, plus vite revenu. Fis-je en me saisissant de mon blouson et des clés du véhicule. Je prends le fourgon, tu as quelque chose à redire ?
- Non ! Non ! Tant que je ne marche pas !
Avant de prendre la route de la capitale, je suis passé par la station pour faire le plein. Grâce à mon Co-pilotage nous avons pu rallier les trois adresses dans la matinée.
Assistant avec force, je me suis plier au désire de Anna de déjeuner sur place.
- Pourquoi ne pas faire un tour dans le quartier ?
- Cela va nous faire rentrée tard.
- Et alors tu es pressé. Et dailleurs il faut que je digère avant de reprendre la route. Sinon je vais être prise de nausées. Tu ne voudrais pas que je vomisse dans ton fourgon ?
Faisant contre mauvais fortune bon cur, nous avons pris la visite du quartier. Puis de rue en rue, de discussion en discussion, nous nous sommes éloignés du point de départ. Quelque part dans Paris une horloge a sonné seize heures.
- Cest lheure où je prends un café. Ne me fit-elle Pas toi ?
- Nous ne sommes pas à dix minutes près. Répondis-je.
Surtout que ce nétait pas les bistros qui manqué dans le quartier. Il y en avait un qui nous tendait les bras en face de nous. Juste la route à traversé. Nous nous sommes installés près de la vitrine pour regarder les passants. Après deux cafés nous sommes sortis. Une heure sétait écoulée.
- Bon, ce nest pas que je mennui avec toi mais il faut rallier la voiture. Nous avons de la route.
- Tu as raison. Surtout que la nuit commence à tomber.
Lobscurité sest faite encore plus noire lorsque jai déverrouillé les portières du fourgon.
Après seulement quelques kilomètres, Anna a retiré ses chaussures.
- Avec toute cette marche avec des hauts talons, jai les pieds douloureux. Se plaignait-elle.
Elle les a posés sur le plancher.
- Cela tennuie si je les mets là ? Minterrogea-t-elle.
- Pas le moins du monde.
La lueur du tableau de bord ma permis de la voir se masser les pieds.
- Je ne regrette pas toute cette marche. Pas toi ?
- Tu veux dire ce marathon.
- Tu sais un peu près le nombre de kilomètre parcouru ?
- Je nen es pas la moindre idée. Je dirai un bon dix kilomètres.
- Waouh ! Tant que ça ? Répliquait-elle en levant assez haut ses jambes pour poser ses pieds gainés de résille fantaisie en appui sur le tableau de bord.
- Je tenais tout de même à te remercier pour la journée. Me fit-elle.
- Tu nas pas à me remercier. Ce nétait pas les ordres, non ?
- Oui cest vrai. Mais je peux bien de lavouer à présent. Cest moi qui est rédigée la note et lai fait signé par ton chef de service.
- Ah bon ! Tu as fait ça, toi. Tu mérites mon mépris.
- Tu plaisantes ? Menvoya-t-elle.
- Et je peux savoir pourquoi ?
- Un besoin de me retrouver seule avec toi. Pour pouvoir te parler.
- Je pense que tu es contente. Nous navons fait que ça durant la journée.
- Pas tout a fait.
- Pas tout à fait ! Quest-ce quil te faut ?
- Il y a un sujet que je nai pas abordé.
- Ne te gêne pas. Je técoute. Nous avons devant nous une heure trente pour en débattre.
- Jespère que tu ne vas pas mal prendre ce que je mapprête à te dire.
- Tinquiète.
- Bon je me lance. Il tarrive de venir dans mon bureau pendant mon absence ?
- Comment ça ?
- Le week-end par exemple. Les jours fériés.
- Tu veux dire quand les bureaux sont fermés ?
- Voilà !
- Oui, cela marrive, pourquoi ?
- Et tu te sers de mon ordinateur ?
- Comment tu sais ça ?
Les yeux fixant lhorizon obscur, comme si elle cherchait son inspiration, avant de laisser tomber :
- Par ce que la dernière fois que tu las fait, tu as oublié deffacer ce que tu avais rédigé.
Jai senti mon sang se glacer dans mes veines. Jétais mal
très mal, même. Un silence sest installée dans lhabitable. Seul le ronronnement du moteur se faisait entendre. Elle a fermé les yeux de nouveau. Et après avoir avalé sa salive, reprit la parole :
- Je tavoue sans honte, que jai aimé ce que jy ai lu. Ça ma même très émoustillé pour être honnête avec toi. À en mouiller la culotte. Ma-t-elle confiée, sans aucune gêne.
- Waouh ! Ça cest une confession qui me touche.
- Je peux te poser une question indiscrète ?
- Je ten prie.
- Cest du vécu ou du fantasme.
- Un mélange des deux. Il marrive même den publier dans certain site prévus pour cela.
- Oui
je suis au courante. Ajouta-t-elle, comme si elle se parlait à elle-même. Et pourquoi ça ?
- Pour que ceux ou celles qui lissent mes histoire passent un bon moment avec moi. Et merci à ses sites pour offrir de la jouissance dans ce monde de dingue.
- Jadhère complètement à ce que tu viens de dire. Dailleurs, je me suis moi-même caresser en te lisant devant lécran.
Elle resta bouche bée, rêveuse. Un silence pesant a régné dans lhabitacle, avant quelle le coupe de nouveau :
- Ils seraient possible que tu tarrêtes. Jai une énorme envie de faire pipi.
- Ça ne peut pas attendre ?
- Je ne crois pas.
Après quelques kilomètres jai stoppé sur le bas-côté. Elle sest alors extirpée du fourgon et sest avancée dans la lumière blanche des phares. Elle a lentement soulevé sa robe puis sest accroupie sans prendre la peine de retirer son collant. Jai pu admirer ses fesses gainées de motifs. Grâce aux puissantes ampoules jai pu mapercevoir que le collant était ouvert au niveau de lentrejambe. Laissant à nu un mince trait vertical surmontait du petit trou plissé de son anus entrouvert. Quelques gouttes sont sorties de sa cicatrice, allant se fracasser sur ses escarpins. Elle a rectifié sa position. Se penchant plus en arrière tout en écartant un peu plus le compas de ses jambes. Ainsi le premier jet est sorti, sétirant en demi-cercle dentre ses poils et retombant loin de ses pieds. Une flaque sest vite formée, sétirant en suivant le dévers de la route. Jaurai donné cher pour que le flot
Tiède et odorant dure toujours, tant le spectacle lexcitait au plus haut point.
Mais malheureusement pour moi, la source a finit par se tarir.
Ceci fait, elle vint de nouveau prendre place à mes côtés.
- Tu naurais pas un kleenex par hasard ?
- Non
mais quà cela ne tienne, jai une meilleure solution pour tessuyer. Enfin si tu veux. Fis-je en magenouillant sur le plancher.
Jai attrapé sa jambe gauche et lai passé par-dessus ma tête. La posant en appui sur mon épaule. Son sexe bâillait comme une blessure à vif. Formant un losange, avec de la bave crémeuse qui sen écoulait. Ceinturé de poils, dont quelques gouttelettes de pisse pendaient à eux. Comme des boules sur les branches dun sapin de Noël. Chaque contraction vaginale expulsait de la mouille qui sécoulait jusquà son anus poilu. Jai approché ma bouche des lèvres luisantes de la vulve. Il émanait de cette dernière des senteurs de mousse trempée, dhumus, de marécages et de marée basse qui me rendaient dingue. Je me suis lancé à un nettoyage soigné de la chatte. Passant de la chair rose du vagin aux poils trempés. Anna sest trémoussée.
Pas un seul moment ma bouche est restée immobile. Plongeant même ma langue dans la fente pour mieux pomper son arôme pour le plus grand plaisir de sa propriétaire. À la façon dont elle a appuyé ses mains sur ma nuque je devinais quelle était proche de conclure. Et exprès, pour lui offrir un plaisir plus intense, jai laissé alors ma langue ségarer du côté du vagin, de lanus. Alors méchamment, elle me tirait par les cheveux pour me ramener sur le clitoris. Il na pas fallut longtemps pour que je sente ses muscles vaginaux se sont contractés. Et quun cri rauque sorte de sa gorge.
La zone devenue trop sensible, elle ma écarté avec les mains, les même qui mavaient auparavant retenu. Mon menton était souillé de ses sécrétions.
- Que fais-tu ? Me fit-elle, alors que jétais en train de reprendre ma place derrière le volant du fourgon.
- Ten veux encore ?
- Oui, je veux que tu jouisses en moi.
Une vraie invite à la consommation. Pas sans mal, je me suis placer entre ses jambes. Linstant daprès, jai fourré ma verge entre les lèvres de son sexe. Plongeant dans un cratère empli dune lave tiède. Je lai ramoné vigoureusement à une cadence régulière. Suçotant les orteils de ses pieds droits à travers le nylon.
Chaque coup de reins a élevé chez moi, le niveau de mon excitation. Au point davoir limpression que ma verge avait doublée de volume. Jai désiré que cet instant nen finisse pas. Renversée dans son siège, les jambes au plafond, Anna criait à gorge déployée :
- Oh, jai joui
jai joui monstrueusement ! Je ny croyais pas
Jai très vite ressenti, les picotements annonciateurs dun orgasme proche, monté de mes reins. Je me suis mis à la pilonné avec fureur. Lui martelant sa chatte à en perdre le souffle. Chaque fois que mon sexe sest enfoncé dans le vagin, un bruit mouillé sen dégager. Nétant plus capable ne retenir mon sperme, je lai senti fuser, en jet puissant. Puis deux, puis trois. Pour moi, ce fut si fort que jeus une brève syncope. Au point , de me laissait tomber sur mon siège.
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