Tou Big Tou Cage 05 Un Masseur
Tou big tou cage 05
Un masseur
Dans les jours qui suivaient Alexandre continuait son travail. Le travail correspondait à ce à quoi il s'attendait. Pour le moment c'était un travail administratif. Il s'informait sur ses possibilités de carrière. Avec ses diplômes il pouvait espérer monter en grade au bout de quelques années, pour le moment il était payé au minimum légal mais dès la fin de son stage la situation changerait. Toutefois la PK lui avait proposé tout un tas de carte d'abonnements qui lui offrait des réductions dans de nombreux commerces.
C'est vers les centres de massage qu'il orientait ses recherches. Combien il y en avait dans la région, ou ils étaient, ce qu'on en disait. Un jour, il n'en avait parlé à personne, il se rendait vers un de ces lieux. Il n'avait pas pris rendez-vous mais par chance un créneau s'était libéré.
C'est tout frétillant qu'il retirait ses vêtements. Le vestiaire était confortable mais il n'y avait rien à voir avec ce salon de massage ou son camarade Malo l'avait emmené. Il prenait une douche, mais il n'y avait personne pour lui masser les épaules et un peu plus, comme la fois précédente.
Le massage était top, par contre sur ce point il n'y avait rien à dire, le masseur était un expert mais il était également très
trop
convenable
C'était une séance de massage ! Rien de plus. Alexandre y a pris beaucoup de plaisir, s'y est très bien détendu mais il est resté sur sa faim. Il cherchait autre chose, il ne devait pas avoir tout compris.
Quelques jours plus tard il en parlait à son collègue Malo. Malo éclatait de rire.
Tu es allé dans un salon de massage qui dépend de la PK, ils y ont accepté ta carte de réduction ?
Oui ma carte à marché, mais
Il faut choisir un salon privé, un salon indépendant. Et là, ils n'accepteront pas ta carte de réduction
J'y vais de temps en temps.
Alexandre restait dubitatif. Ces gens ne travaillaient pas pour la PK et pourtant c'est son boss qui avait décidé de l'initier à ce genre d'endroit. Décidément cette société était bien étrange. Elle représentait une certaine référence au niveau de la morale, avec son patriarche Jérémy Brosso, son fils Antoine qui avait la réputation d'être un véritable fanatique des dispositifs de chasteté, et son fils le jeune Philippe
Oui bon, lui c'était une autre histoire, nos jeunes amis le connaissaient très bien ils étaient allé à l'école avec lui, ses murs sexuelles étaient totalement décadentes
Alexandre notait soigneusement l'adresse et ne pouvant plus se retenir il téléphonait le jour même. Au téléphone la voie était très courtoise, on lui proposait un rendez-vous pour le lendemain. Le tarif était en effet prohibitif
Mais Alexandre voulait remettre ça, il avait trouvé ça trop génial, et il voulait en savoir plus sur ce métier de masseur.
A l'heure prévue il était au salon de massage, on le recevait avec le sourire, tout comme la fois précédente on le conduisait à un salon douillet et confortable, c'était les vestiaires
On le laissait se déshabiller avant de l'inviter à glisser sous la douche.
Le programme était exactement le même que quelques jours plus tôt, sous la douche on lui massait les épaules. Tout comme la première fois, son masseur lui caressait le corps, tout le corps. Tout comme la première fois il portait une tenue moulante qui laissait apparaître tous ses muscles, une belle bite et deux couilles. C'était évident, il ne portait pas de dispositif de chasteté.
Alexandre se laissait aller il se sentait bien, ces caresses le transportaint dans le plaisir, dans un autre monde que celui dans lequel il vivait. Il était dans une bulle, tous les gens qu'il rencontrait dans son monde, portaient un dispositif de chasteté. Même ses deux amis Daniel et Régis portaient de nouveau leur dispositif, pour les mêmes raisons que lui, ils avaient eux aussi un stage et acceptaient les conditions de leur monde.
Là Alexandre était dans une bulle dont il sentait maintenant les limites, dont il sentait la fragilité, dont il savait qu'elle pouvait exploser car elle n'était pas le monde. Combien d'hommes, quel pourcentage d'hommes portaient un dispositif ? Vu depuis le monde de la PK on pouvait imaginer que tous étaient concernés. Mais juste à côté d'eux, il y avait tout un petit peuple qui n'en porte pas. Il y avait plus qu'un petit peuple. Les voisins de pallier d'Alexandre portaient, ça ne faisait aucun doute, ils étaient eux aussi dans cette bulle, ils étaient étudiants donc mais, le voisin d'en face, le commerçant du coin, l'artisan qui était venu réparer la fuite d'eau
?
Les mains douces et agiles du masseur devenaient coquines autant qu'indiscrètes. Elles étaient maintenant descendues sur les fesse d'Alexandre et ce plaisir le sortait de son rêve. Un doigt se glissait dans son cul, il était suivi par un second doigt et le massage commençait par la prostate. Les deux doigts s'agitaient doucement puis un peu plus vite mais toujours avec douceur, toujours avec une force douce.
Alexandre se laissait faire et déjà le plaisir montait en lui. Les doigts sortaient, la main lui caressait les couilles, lui massait les couilles puis les doigts revenaient à ce massage terriblement intime.
Mais les dirigeants de la PK, se demandait Alexandre, viennent-ils souvent dans cet endroit. Tout était fait pour que les clients ne se rencontrent pas. Ça semblait tellement évident, s'ils n'en parlent pas entre eux il peuvent fréquenter le même salon de massage sans jamais se rencontrer, sans jamais savoir que c'était leur collègue de bureau qui ce soir là était passé juste avant dans cette douche et y avait lui aussi pris énormément de plaisir.
Alexandre s'était retourné, son masseur l'avait guidé dans ce sens. Alexandre ne s'en était même pas rendu compte tant le contact était doux et délicat. On le guidait on ne le poussait pas.
Alexandre se laissait aller et refermait ses bras sur son masseur, il l'embrassait avec passion. Ils s'embrassaient avec passion
Tu aimerais qu'on se voit en dehors de ton boulot ? Demandait Alexandre.
C'est strictement interdit par le règlement ! Lui répondait le masseur.
Puis il invitait Alexandre à s'installer sur la table de massage. Comme la fois précédente, elle était spéciale, particulièrement douce et douillette, c'était un matelas fin mais très confortable.
Pendant quelques secondes plus personne ne touchait Alexandre, il jetais un regard, son masseur retirait sa tenue moulante, elle était mouillée et ne cachait plus rien, bien au contraire.
Tu portes quel taille ? Demandait Alexandre.
Mais vous voyez bien que je ne porte pas . Lui répondait le masseur.
Il bandait ferme, sa queue se relevait fièrement presque à la verticale. Alexandre n'essayait pas d'y toucher, il se contentait de la regarder, de l'admirer. Il tremblait de désir et sa queue protestait dans sa nouvelle cage en titane.
Les mains du masseurs découvraient tout le corps d'Alexandre. Les caresses étaient les mêmes que dans le salon précédent, prodiguées dans le même ordre ou presque. C'était le même programme, c'était un programme parfaitement bien organisé, parfaitement codifié.
Alexandre se détendait tellement qu'il devenait tout mou, il gémissait sans même s'en rendre compte. Il en redemandait et le masseur lui en donnait, il prenait bien son temps.
Alexandre était retourné sur le dos, ce mouvement est toujours un peu brusque mais sans violence. Ça réveillait Alexandre qui commençait à somnoler, ça le faisait rire aussi et les caresses reprenaient.
Tu portes combien en taille ?
Vous voyez que je ne
Répondait le masseur
sept et demi
C'est pour ça que tu ne portes pas ? Ils n'ont pas ta taille ?
C'est parce que que j'ai trouvé autre chose à faire avec ma queue, et que je préfère.
Alexandre lui répondait par un grand sourire et lui caressait enfin la queue.
Passerons-nous à une suite plus intime ? Demandait le masseur.
S'il te plaît
Une position préférée ?
Je te laisse faire, je te laisse choisir.
Le masseur, repliait les jambes d'Alexandre, ses genoux se retrouvait contre ses côtes, le masseur lui cramponnait fermement les chevilles et c'est dans cette position, plié en deux et le cul bien offert qu'il recevait la grosse bite de son masseur. Elle glissait avec force mais avec une douceur infinie.
Alexandre sentait glisser en lui chaque millimètre, il sentait son anus se dilater avec douceur mais jusqu'à des proportions importantes. Il prenait son pied.
Le masseur massait maintenant le cul d'Alexandre avec sa grosse queue maintenant, il se penchait sur lui et Alexandre lui attrapait par le cou, le tirait vers lui l'embrassait. Le masseur le laissait faire tout en continuant à masser le cul de son client avec sa queue. Le mouvement était lent, ferme, et doux mais faisait l'effet désiré.
Au bout d'un moment Alexandre tremblait tant qu'il pouvait, il ne contrôlait plus rien, il jutait et jouissait longuement. Le masseur continuait avec toujours ce mouvement qui faisait tant d'effet. Et ce n'est que quand Alexandre éjaculait dans sa cage et qu'il était pris de convulsions que le masseur commençait à retenir ses mouvements puis il ne bougeait plus.
Alexandre s'écroulait sur lui-même, tous ses muscles se détendaient et son masseur se retirait. Il faisait chaud, dans ce salon, pas trop mais juste ce qu'il faut, c'était très bien étudié. Le masseur laissait alors là son client et disparaissait.
Il n'allait pas bien loin, il restait là, juste à côté à surveiller Alexandre. Plus tard, bien plus tard quand Alexandre réagissait enfin, il était là pour l'aider à s'habiller si c'était nécessaire, et pour l'accompagner à la sortie.
Alexandre se sentait terriblement bien après tout ça et c'est profondément heureux qu'il prenait la route de son appartement.
Il décidait d'en apprendre plus sur les techniques de massage, C'était tout un programme, c'était évident. Il y avait des méthodes, des gestes, des points de contacts dont il ignorait la sensibilité et qu'il découvrait. C'était très agréable mais il voulait aussi les connaître pour pouvoir les utiliser, par moment il s'imaginait à la place des masseurs. Alexandre se sentait tellement excité qu'il savait qu'il ne pourrait pas dormir cette nuit là tant il était enthousiaste. Il savait qu'il allait passer une nuit blanche jusqu'à environ dix heures du soir
Après il a fait de très beaux rêves.
Quelques jours plus tard, il attendait dans un bar juste devant le salon de massage. Il était arrivé là sans le vouloir, presque sans s'en rendre compte. Il était arrivé là en pensant à autre chose, en fait il ne savait pas à quoi il pensait
A rien peut être. Un moment il apercevait son masseur de l'autre jour.
Il se relevait instantanément, courait et le rattrapait. Le jeune homme était embarrassé et ne le cachait pas.
Vous savez Monsieur, nous n'avons pas le droit de rencontrer nos clients
Je n'irai plus jamais dans ce salon si tu veux. C'est tout ce qu'Alexandre trouvait à répondre.
Je vous en prie, je vais avoir des problèmes si on nous voit ensemble.
Tu sais, je n'ai pas de mauvaises intentions, je veux juste en savoir plus sur ton métier, sur toi, sur ta vie. Depuis que je suis né, j'ai toujours vécu dans un monde ou je devrais un jour porter un dispositif de chasteté, tu es la seule personne que je connais qui vive autre chose
Le masseur lui donnait l'adresse d'un bar et lui donnait rendez-vous une heure plus tard.
Alexandre attendait depuis plus de trois quart d'heure et en était déjà à son cinquième café quand le masseur arrivait.
Je n'aurais jamais du accepté de venir, si on nous voit ensemble, si on sait que tu es un client je perds mon boulot moi !
Personne ne le saura, je ne suis pas connu dans ce quartier.
Bon tu veux savoir quoi ?
Tout, je veux tout savoir, comment tu fais, ou as-tu appris, comment tu vis. Ça fait quoi de vivre dans un monde ou il n'y a pas de dispositif de chasteté ?
Le père d'Alexandre portait bien sûr un tel dispositif, son jeune frère de dix neuf ans également. Dans sa famille personne ne se posait de question, c'était un mode vie, c'était le seul mode de vie.
Ils ont discuté pendant plus de deux heures. Xavier, c'était le non du masseur n'avait jamais mis un tel dispositif, enfin une fois avouait-il, '' Pour voir
'' mais il ne l'avait gardé que deux heures. C'était pas pour lui ça, personne dans ses relations, dans sa famille ne portait un tel dispositif. Il avait une copine, et son boulot n'était qu'un boulot.
Alexandre ne comprenait pas tout.
Et tu vis avec ta copine ?
Bien sûr ! Oui je sais chez les couples de porteur, les couples n'habitent pas toujours ensemble ou en tout cas pas d'une manière permanente.
Au moment de se séparer, Xavier conseillait un livre à Alexandre avant de lui dire.
Tous les soirs, après le boulot, je passe ici. Personne ne sait ce que je fais comme travail, tu reste discret, je ne voudrais pas perdre mon boulot, ça paye bien
A SUIVRE
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!