Collection Anne Ma Muse. Abdoulah Migrant Soudanais (2/2)

Chacun de vous connaît mon attachement à Chris71 qui met par écrit mes envies, mes fantasmes.
C’est dans ce cadre que moi, femme de 58 ans, vivant seule malgré un copain de 70 ans habitant chacun chez nous, je lui ai fais part d’un de mes fantasmes.
Il l’a mis en images dans ce texte en deux chapitres.

Je suis adhérente d’une association d’aide aux migrants.
Un appel national pour leur trouver des gîtes a été lancé.
Je possède une maison sur la côte chalonnaise, avec un logement disponible sous celui que j’occupe quand je prends des week-ends prolongés ou des grandes vacances.
C’est la maison de maman, hélas décédée il y a peu.
C’est là, dans ce village, avant de me marier et de quitter la région que près d’une mare dans les vignes j’ai perdu ma virginité.
C’était avec Christian, que tout le monde appelait Chris Chris, suite au feuilleton diffusé à la télé dans ces années là.
J’étais fière d’être devenue une femme.
Mais ce village était très près, physiquement et dans la façon d’être de ses habitants, de celui de Clochemerle dans le Beaujolais, je devais apprendre à mes dépends qu’il ne faut faire confiance à personne.

Maman m’avait demandé d’aller chez tante Odette, son ami d’enfance, chercher une boîte d’œufs.
Comme de nombreuses femmes de notre région, les poules comme les potagers permettent d’améliorer l’ordinaire de leur famille.
Je passais près d’un vieux lavoir, quand j’entendis des bruits bizarres autres que l’eau qui coule encore dans les bacs.
Il y a beaucoup de ces lavoirs dans ces régions profondes en France mais avec très peu de personnes y traînant.
Je me suis approchée pour voir ce que jamais je n’imaginais voir.
Juliette, la mini relevé, la bite de Chris Chris bien enfoncée en elle.
C’était elle qui encourageait mon dépuceleur à la défoncer avec des mots que des années après j’ai du mal à prononcer, même s’ils sont gravés à jamais au fond de ma mémoire.


Mais surtout la phrase de Christian qu’il a prononcé avant de se retirer de ce puits indécent que j’ai vu lorsqu’il est sorti précipitamment me voyant.

« Ma biche, merci de m’avoir pardonné d’avoir baisé cette oie blanche qu’est Anne.
Lui prendre son pucelage c’était trop tentant alors que celle que j’aime, c’est toi. »

Je suis partie pleurer à la maison pour avoir été si bête, mais le temps a fait son œuvre.
Cette grande sauterelle qui crie sa haine contre moi quand je sors de la mairie a épousé son chevalier des lavoirs.
Il lui a fait trois rejetons et il est bien connu qu’il boit.
Il était viticulteur, 8 hectares de vignes hérités de son père.
Non seulement il buvait sa récolte, mais il jouait au casino de Santenay.
Il a été déclaré en faillite après plusieurs cures de désintoxication.
Ils vivent des allocations et des aides de l’état.
Bref, je m’en suis bien remise, le temps faisant son œuvre.
J’ai épousé un autre homme que j’ai quitté et mon travail là où il m’a emmené étant une autre histoire nous montons en voiture direction le logement que je mets à la disposition d’Abdalla.

Dès qu’il est installé, je le quitte, 230 kilomètres pour rejoindre mon lieu de vie maintenant et en plus demain je travaille.

Tous les jours j’appelle tante Odette, Abdalla semble bien s’incorporer au village.
Les manifestations hostiles ont cessé.
Il sort même de son logement tous les matins, va chercher le journal et va à la terrasse du café prendre un jus de fruit.
Elle lui prépare ses repas, il est très sucrerie, en plus du journal, il rapporte des barres chocolatées.

Nous sommes en mai, par obligation je dois poser cinq jours de congés payés à prendre obligatoirement avant le 31.
Pierre n’est pas disponible, je retourne seule à Chamyrois.
Quand j’arrive, l’envie de revoir Abdalla me tenaille, mais au lieu de descendre vers la porte donnant dans le sous-sol et donc à son petit appartement, je monte les marches me conduisant à mon logement.

Je vais dans ma chambre poser ma valise.
J’ai beau être seule, il faut que je fasse les mêmes gestes que lorsque Pierre est là, je vais du côté droit du lit ouvrir ma valise et ranger mes vêtements.
Je passe devant la fenêtre, je le vois en contrebas, il est dans le transat dont Pierre se sert quand il est avec moi et qu’il fait beau.
Il lit son journal et là l’improbable se produit, il est nu !
Bien au repos, mais nu quand même avec un engin que j’ai du mal à décrire.
Je tourne les yeux mais instinctivement ils reviennent sur l’objet.
Il va sans dire que je n’en ai jamais vu d’aussi longue.
Il doit être circoncis, son gland démesuré en rapport du bâton qui le porte.
30, moins, plus, je ne vais pas descendre pour la mesurer ce serait donner raison à Juliette qui hurlait que j’aille me faire mettre.
Son sexe doit avoir près de 25 cm de long, il repose sur sa cuisse, au repos.
Il doit encore être mou, sans oublier de rappeler son gland qui est énorme.
Mais comment lui faire comprendre que je le vois, taper au carreau au risque de le vexer d’avoir joué les voyeuses ?
J’opte pour une autre méthode, je n’ai pas de climatisation dans ma voiture et la sueur coule entre mes seins.
C'est peut-être aussi dû à l'excitation.
J’y porte ma main, est ce possible, ils sont fermes, gonflés comme chaque fois qu’une envie de sexe me taraude.
Il faut dire que Pierre brille par une absence d’envie en ce moment.
Ça lui arrive souvent à la sortie de l’hiver, à son âge, il est comme les arbres, la sève descend en hiver et remonte au printemps.
Je me déshabille et je vais prendre une douche dans ma baignoire.
Séchée, je reviens dans ma chambre, jette un coup d’œil furtif, il est toujours là.
Je prends mon maillot de bain deux pièces celui que je n’ai pas mis depuis des années, trouvant qu’il met trop mes seins en avant et à 58 ans, même s’ils se portent bien, je pensais avoir fini de jouer les midinettes.

Je me regarde dans la glace.
Le haut est formé de deux triangles mais mes seins débordent de partout. Il est vraiment petit ou alors mes seins ont encore grossi.
Le bas est minimaliste avec des ficelles sur le côté.
Mais aucun poil ne dépasse, pour cause, je suis lisse.
Ma serviette posée sur l’épaule je rejoins la salle à manger ou par la porte fenêtre j’ai accès au jardin.

- Monsieur Abdalla, vous ici, j’ignorais que vous étiez dehors, je viens d’arriver. Je voulais profiter des premiers rayons du soleil de l’année pour me faire bronzer.

Étonnamment, il n’a aucune réaction à sa nudité, il est vrai qu’en Afrique, le peu de chose que je connais de ces hommes c’est qu’ils sont souvent dénudés, ça ne semble pas le gêner même ici.
J’étale ma serviette et je m’allonge à ses côtés.
J’ai apporté de l’huile solaire, on a beau être dans les premiers beaux jours, un coup de soleil est vite venu.
Je m’assois et je m’enduis, je glisse ma main sur mes seins entre mes bonnets du maillot pour éviter de les voir rougirent au bord si mon haut bouge.

- Enlevez votre soutien-gorge Anne, à mon âge j’en ai vu d’autres surtout que les vôtres sont magnifiques.

Coup de chance, ça a beau être un homme de la brousse, il évite d’ajouter « malgré votre âge. »
Je retire mon haut, mes mamelles encore blanches, laiteuses le provoquent.

- Retournez vous, je vais vous en mettre dans le dos.

Il se lève, sans aucune pudeur pour son sexe qui est à hauteur de mes yeux.
Il pend entre ses cuisses et commence à avoir des mouvements.
Je me retourne précipitamment, je sens ma chatte couler.
Je suis à deux doigts de saisir ce pieu de chair et de le mettre dans ma bouche, simplement pour voir de combien il grandit quant il est à son apogée.

- Je vais vous masser Anne pour vous remercier de m’héberger dans l’attente de mes papiers.
- Me masser ?
- Oui à Paris quand je suis venu étant plus jeune, j’ai fait des études de kinésithérapie.

J’exerçais dans mon pays quand j’ai été dans l’obligation de le quitter précipitamment.
Je vous sens tendue, trop de travail peut être ?

Il se saisit d’une de mes jambes qu’il écarte, suivi de l’autre, ouvrant mon compas.
Ses mains se posent sur mes trapèzes qu’il masse divinement.
C’est vrai que je suis tendue, pas par mon travail mais par ce qu’il va me faire, un simple massage, je sais que j’en attend plus.
Sinon, pourquoi ne pas avoir attendu qu’il soit rentré pour descendre chez lui, lui dire que je suis là !
Ses mains sont divines, elles sont chaudes, elles me font du bien.
Ma chatte est bien plus réceptive que le jour au bord de l’étang où Chris Chris ma défloré.
Elles passent de mon cou à la lisière de ma culotte que j’ai toujours mais qui ne doit pas être très belle à voir.
Ils les glissent entre la serviette et mes seins, caressant du bout des doigts mes mamelons qui sont tendus comme jamais.
D’un coup, je sens son souffle chaud sur ma nuque.

- Je peux ?

Pourquoi attendre mon approbation, même s’il ne voit pas mes yeux à la limite de se révulser, je sens qu’il se saisit de ma culotte, la tire, la déchirant carrément.
Je lui sais gré d’être direct, de ne pas prendre la décision de la retirer en perdant du temps et me permettant de reprendre la mienne.
Il s’allonge, sa main guide son sexe en moi.
Je dois avoir ma bouche vaginale entièrement ouverte car il se glisse en moi dans cette position.
Savais-je que j’étais si profonde, ou est-ce la position ?
Je sens ses couilles taper mon clito qui s’embrasse encore un peu plus.
Heureusement que nous sommes isolés des voisins car mes cris de plaisirs pourraient leur faire croire qu’on me viole.
Il me libère aux portes de l’orgasme, il me fait me retourner et replonge en moi, je refais l’amour.
Depuis la première fois au bord de mon étang, je n’avais jamais fait l’amour avec autant de sensations.
Là enfin, à mon âge déjà avancé, je sais ce que baiser veut dire.
Non, je dois dire me faire baiser veut dire.
Par chance, à partir de ce jour et jusqu’à la fin de mon séjour, je vais pouvoir, profiter de cette queue gigantesque de migrant.
Lorsque j’ai un orgasme dévastateur, elle sort de mon sexe pour se présenter à ma bouche dans sa plénitude noire.

Je l’ouvre, elle rentre, rentre et rentre encore.
Enfin, elle décharge m’offrant des quantités de sperme à la hauteur de mon attente.

Dans les heures qui vont suivre je sais que ma bouche, ma chatte et pourquoi pas mon anus vont devenir des gouffres sans fond et sans aucun tabou.

Anne ma muse voulait réaliser son fantasme avec un migrant si possible noir, dans la région où j’habite.
C’est en cadeau de Noël que je lui offre ces deux chapitres.
Ainsi qu’à vous lecteurs et surtout lectrices de mes propres fantasmes.

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