Le Cadeau 3

Pauvre Nicolas. Il ne peut aller nulle part. Cela m’amuse de le voir se débattre et de l’entendre grogner, essayant en vain de soustraire son sexe à ma main. Imperturbable face à ses tentatives de protestations, je continue de le masturber, collé derrière lui. Ses jambes étant attachées et bloquées contre le sommier, son harnais de poitrine étant relié au plafond, il n’a d’autre choix que de remuer son bassin pour échapper à ma main inquisitrice. Se faisant, il frotte ainsi involontairement son arrière-train contre mon sexe.

-« Dis donc Nicolas, essaierais-tu de provoquer chez moi une quelconque réaction physique ? » dis-je en le narguant.

-« GNHMMHH ! » fit-il en soufflant.

Ne souhaitant pas me donner satisfaction, il poussa son bassin en avant pour se soustraire à ce contact malvenu. Ce n’est que temporaire et il le sait puisqu’il doit pour cela arquer légèrement son dos. Élodie l’avait attaché de manière qu’il soit bien droit et que son harnais participe à son soutien au cas où. Sa position actuelle est loin d’être confortable. Stoppant temporairement mes manœuvres, je me contente d’attendre. D’attendre patiemment que son joli postérieur reprenne naturellement sa place. L’espace de quelques minutes, il parvint à garder son bassin à quelques centimètres du mien. Hormis sa forte respiration, preuve de ses efforts, pas un seul bruit ne se fait entendre dans la pièce. Soudainement, je sentis un contact familier au niveau de mon sexe. Poussant un grognement agacé, Nicolas compris que, encore une fois, il allait devoir jouer selon mes règles.

-« Je vois que tu exhibes fièrement ton derrière ! Voudrais-tu que je m’en occupe ? Je ne voudrais pas le négliger …. » dis-je, toujours sur ce ton faussement innocent.

-« MMMMFFFGHGH ! » gronda-t-il.

-« Oui ? Quel gentil garçon tu es ! »

Entrant enfin dans son champ de vision, j’allais cherchais lentement un des oreilles du lit, ne manquant pas de le regarder en souriant au passage.

Son regard furieux ne me quittait pas des yeux. Le fessant au passage, j’installais l’oreiller de façon à pouvoir me mettre confortablement à genoux. Je palpe ses fesses avec grand plaisir. Assez fermes même si j’ai vu mieux, très agréables au toucher et dotées d’un volume assez intéressant pour un gabarit comme le sien. Alternant claques et malaxation, j’inspecte l’extérieur de ce qui m’est offert. Je remarque que mon prisonnier de fortune n’émet aucune protestation. Intéressant. Passons maintenant à l’intérieur. Empoignant avec force chaque fesse, je les écarte. J’observe. L’intérieur est à l’image de l’extérieur : parfaitement rasé et propre. L’odeur du gel douche se sent encore. Observons comment il réagira à ma prochaine initiative. Brusquement, je fourre ma bouche au centre de cette belle paire de fesses et je fais jouer ma langue sur son anus. Sa réaction ne se fit pas attendre :

-« MMMMGNGHHHFHH ! MMMFFPHHHH ! »

Sans aller trop vite, je continue mon anulingus avec vigueur pendant plusieurs minutes, sous couvert de ses agréables grognements étouffés.

-« Alors Nicolas, je vois que tu avais préparé tout ça ! » dis-je en me relevant.

-« mmmfghhh ! Humpf ! »

Tout en lui parlant, je passe mon majeur dans sa raie, ce dernier effectuant des aller-retour de bas en haut en marquant légèrement chaque arrêt sur son anus.

-« Je n’arrive pas à savoir si tu as déjà de l’expérience en la matière. De toute évidence, tu allais offrir ton cul à ta maitresse mais celui-ci a-t-il jamais été offert ? »

Tournant la tête de manière à pouvoir me regarder, ses yeux furieux en disent long sur sa réponse.

-« Il est dit qu’un long silence vaut parfois mieux qu’un long discours hahahaha ! Donc je suis le premier à te lécher le derrière ? J’en suis honoré sache-le ! Mais nous avons encore le temps et je vais te montrer d’autres choses que tu vas adorer ! »

À ces mots, il se mit à gigoter furieusement contre ses liens et à crier sous son bâillon.


-« Allons, cesse-moi cette comédie ! »

-« MMMMFGHGH ! MMMMMMFPHPHPGH ! » grogna-t-il, furieux.

-« Bien sûr que c’est une comédie ! Pourquoi donc banderais-tu comme un étalon sinon ? » dis-je en désignant son sexe du doigt.

Ses yeux me lancent des éclairs. Son sexe bien dressé ne mentait pas sur ce qu’il pensait de sa situation. Il était justement temps que je m’en occupe un peu. Après tout, pourquoi se priver alors qu’il a la gentillesse de me le mettre bien en évidence ? J’empoignais donc son sexe d’une main avant de retourner à genoux derrière lui. Me servant de mon autre main pour faciliter le passage de ma langue, celle-ci se glissa jusqu’à son joli petit trou. Dans le même temps, je me remis à le masturber mais lentement. Anulingus et branlette, voilà un cocktail qui de toute évidence plaisait beaucoup à Nicolas. Il se débattait toujours mais plus pour les mêmes raisons. Auparavant, son bassin allait plutôt vers l’avant afin d’échapper à mon emprise. Désormais, il le poussait du mieux qu’il pouvait vers l’arrière, comme pour me faciliter le travail. Quant à ses grognements, ils s’étaient changés en gémissements à intensité croissante.

Au bout de quelques minutes de ce manège, je sentis son anus se détendre et s’ouvrir sous mes coups de langue. Mon arrêt soudain me valut les grognements de mon prisonnier qui s’agitait à nouveau dans ses liens. Une fois debout, je lui dis ce qui allait se passer.

-« Ne sois pas trop impatient Nicolas ! Tu vas devoir apprendre à être patient si tu veux que je te récompense. J’ai encore pas mal de temps pour m’occuper de toi. Sache que lorsque toi et moi sommes dans la même pièce, ton corps ne t’appartient plus. Ton sexe est à moi. Ton joli postérieur est à moi. Ta bouche est à moi. En contrepartie, je te donnerai beaucoup de plaisir. Mais tu n’es plus aux commandes. »

Je me mis en sous-vêtement, attrapai son bassin et le collai directement sur mon sexe.


-« Tu le sens ? Tu sens mon sexe durcir contre tes fesses ? Il faut dire que ton arrière-train n’est pas pour me déplaire. J’aime beaucoup y goûter ! » lui dis-je en me rapprochant de son oreille. « D’ailleurs, je m’en vais te lécher plus profondément maintenant que tu es plus détendu ! »

Me remettant à genoux, ma bouche reprit sa place. Après seulement quelques mouvements, je sentis l’ouverture. J’y engouffrai ma langue, alternant cercles et intrusions. Face à cette sensation nouvelle, il remua brusquement. Je fis passer mes mains autour de ses jambes afin de me maintenir aussi « profondément » que possible. Je devrais peut-être aller voir à côté, dès fois que Sonya ait réussi à reprendre le dessus. Cela, j’en doute fort. Mais cela me permettrait de récupérer ma mallette et donc d’introduire à Nicolas. Ou plutôt devrais-je dire « dans » Nicolas. Je lui fis part de mon intention.

-« Surtout, ne bouge pas ! Je reviens tout de suite ! » dis-je en riant.

Élodie n’avait en effet pas perdu le contrôle de la situation. Elle était en train de finir de ligoter Sonya, toujours dans sur le lit mais dans une nouvelle position : en levrette ! Son bâillon avait également été changé. Une belle boule blanche, celle de 4.5cm de diamètre si je ne m’, avait prit place dans sa bouche. Mes Ball-gag blancs de différents diamètres sont les favoris d’Élodie. Le contraste avec la peau doit d’autant plus lui plaire dans le cas présent. Précisons par ailleurs que les deux jeunes femmes étaient désormais nues.

Ne souhaitant pas les déranger plus longtemps, je fis juste signe à Élodie que j’emportais la mallette à côté. J’eu un clin d’œil accompagné d’un sourire malicieux en guise de réponse. J’attrapai donc mes accessoires et revint vers Nicolas. La vue de ces derniers me remplit l’esprit d’idées.

-« Je vais être bon joueur et te laisser le choix pour une fois. Profites-en ! Voici mon offre : un doigt ou, si tu te sens prêt, un plug.
Rassure-toi, ce dernier sera petit. Pour commencer ! » dis-je en lui montrant mon majeur d’une main et un petit plug de l’autre.

-« Mmmpphh mmmpphh ! » dit-il en agitant la tête vers le plug

-« Tes désirs sont tes ordres ! »

Quelques coups de langue et un peu de lubrifiant plus tard, voici le plug bien en place.

-« Je vais détacher tes jambes du sommier ainsi que la corde qui te relie au plafond. Ne fais pas de bêtise. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je le tournai ensuite face à moi. Attrapant un foulard, j’en trouvais rapidement le milieu et le posais sur son sexe toujours aussi remarquablement dressé. Je fis passer les pans du foulard entre ses cuisses avant de les ramener devant lui, un pan de chaque côté de sa taille. Donnant un coup sec, le foulard tira son sexe vers le bas ainsi que la peau de ce dernier vers l’arrière. Parfait. Ce petit mécanisme allait le maintenir en forme, qu’il le veuille ou non. Je terminai avec un beau nœud.

-« MMNG ! MMMMHHH ! »

-« Hahahaha, je te trouve très bien comme cela ! Le sexe parfaitement à l’horizontale ! Je doute que tu réussisses à débander maintenant. Et à tes risques et périls si tu tentes d’écarter tes cuisses ! De toute manière, je ne comptais pas te laisser les jambes libres. Allez, tourne-toi. On commence enfin à s’amuser ! »

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