Longue Journée
La journée fut longue. Longue dattente et dagonie sexuelle, un brasier de frustration alimenté par ma maîtresse brindille par brindille. Son souffle chaud sur mon sexe encagé ou dans ma nuque ravive les flammes de cette envie. Un feu que même les litres de cyprine déversé sur mon menton et sur mon corps par ma maîtresse adorée ne sauraient éteindre. Ma langue est engourdie davoir tant lécher tant sucer son bouton de plaisir et ces tétons. Ma bouche salive encore de la délectation du goût de sa peau, de sa langue contre la mienne et de son plaisir dégoulinant.
Alors que je magenouille à côté de la baignoire le plug dans mon anus me stimule un peu plus. Mon cul dilaté par les envies de ma maîtresse, par son sexe en plastique que jai sucé et pris sans broncher au rythme de ses coups de reins. Je la sens encore devenir animale, je mimagine la passion dans sa voix et dans son souffle à mesure que mon cul desclave se fait limer. À ces idées ma queue tente de se dresser mais la cage bien serrée len empêche.
La journée fut longue, et ma maîtresse a décidé de prendre un bain avant daller dormir. Je la lave minutieusement selon son désir puis attends sa sortie, à genoux à côté de la baignoire. Elle se relaxe, me lance des regards langoureux en se léchant les lèvres pour mexciter. Du bout des ongles elle tapote sur la cage de chasteté comme pour appuyer encore son pouvoir sur mon plaisir. Excitée par ce jeu elle mordonne de lembrasser et je mexécute avec passion. Nos langues se mélangent, nos lèvres se soudent brièvement dans un baiser qui ne fait quaugmenter son envie. Elle me saisit alors la tète par les cheveux et plaque ma bouche sur ses tétons que je mapplique à sucer comme elle laime pendant que de son autre main elle commence à se caresser sous leau. Ses petits gémissements de plaisir sont comme autant dencouragements et je mapplique à ma tâche. Posant une jambe de chaque côté du bassin, elle se cambre alors pour rapprocher sa vulve de la surface et mordonne de la lécher.
pas datteindre lorgasme et cest avec ma main quelle mordonne de la finir. La main toujours dans les cheveux elle braque son regard dans la mien à mesure que je la pénètre de trois doigts et que je commence à mactiver. Plus jaugmente la vitesse plus son regard se trouble jusquà ce quelle ferme les yeux sous larrivée de son plaisir.
Enfin satisfaite elle sort du bain et toujours à genoux je la sèche des pieds à la tête. Puis elle me dit de me laver et de me préparer pour dormir puis de la rejoindre en bas.
Lorsque je la rejoins dans sa chambre, ma maîtresse est déjà allongée. Son corps nu nest pas totalement recouvert par les draps et elle cambre volontairement les fesses à mon arrivée. Puis elle mindique ma place sur un matelas au pied de son lit et me souhaite bonne nuit. Une fois les lumières éteintes mon esprit fourmille, je narriverais jamais à trouver le sommeil. Les yeux braqués sur le plafond je tente de penser à autre chose, mais son corps revient inévitablement à mon esprit.
De ces pieds sur lesquels je braque mon regard une fois à genoux, à ces fesses quelle me fait lécher, à ses cuisses quelle écarte de manière si provocatrice, de cette vulve alors révélée luisante de son envie et de son plaisir, de ses seins parfaitement galbés dont les tétons hérissent sous les caresses, de ce cou si chaud et si doux à embrasser ou encore de cette bouche et de cette langue si insidieuse, si délicieusement humide et chaude.
Mon corps se met à frissonner denvie mais la dureté de ma cage contre mon pauvre sexe me rappel à la réalité. Tout ça nest pas à moi. Elle mutilise pour satisfaire son corps et son plaisir mais je ne suis quun jouet. Un jouet dont la cage en plastique peut être ouverte à sa demande grâce à la clef quelle garde autour de son cou et qui orne ses seins.
Un mouvement de ma maîtresse me fait me recoucher immédiatement lair de rien, mais elle dort à point fermé. La tête pleine de frustration jhésite. Je pourrais la prendre, après tout ce nest quun jeu. Je pourrais memparer de la clé, libérer mon sexe et la baiser une bonne fois pour toute. Elle est là nue, je naurais quà lui ouvrir les cuisses et avant même quelle ne se réveille je serais en elle à la tringler doucement. Vu ma frustration je pourrais finir rapidement et gicler toute ma frustration sur ses seins et sur sa bouche. Je suis sûr quen plus elle adorerait ce réveil mouvementé.
Durant ma réflexion je ne métais même pas rendu compte davoir bougé mais jétais maintenant assis sur le bord du lit de ma maîtresse et javais la clé de ma délivrance en main
mais quelle idée !
Jamais je ne voudrais désobéir à ma maîtresse. Et la frustration est délicieuse, jadore ça pourtant,jaime quelle joue avec moi, avec mon envie. Jaime quelle contrôle ma jouissance en memmenant au bord, mais en men privant avec un sourire satisfait. Je ne peux pas faire ça. Jai donc reposé la clé à sa place et décidé de mendormir tant bien que mal
La nuit fut brève. La nuit fut brève car je fus réveillé par un coup de martinet sur les fesses.
Debout au-dessus de moi me maîtresse me fixait dun air noir en tapant son martinet dans sa main.
A sa taille était accroché un gode ceinture blanc transparent de belle taille et un sourire amusé trahissait son plaisir de me voir si surpris. Je sentais que jallais passé un sale quart dheure et mon regard cherchait désespérément à fuir le sien lorsque japerçus plusieurs taches blanches qui ornaient ses seins et le coin de sa bouche, quelle nettoya dun sensuelle et lent mouvement de langue
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