Transfert Sexuel.
En sortant du buraliste je tombais sur Manu. Il mavais glissé quil avait à me parler. Je navais pas du tout envie dentendre ses vantardises. Alors que pour ma part jen avais moi aussi à lui exposer si je voulais. Mais ce nétait pas dans mes gênes de me vanter.
- Pourquoi es-tu parti comme un voleur lautre jour ? Si tu avais vu comme je lai pinée. Trois fois de suite, oui mon vieux trois putain de fois. Ça valait vraiment le coup. Et puis, elle était tellement ouverte que tu aurais pu en profiter avec moi.
- Ça ne me disait rien.
- Tu parles
Il faut que tu saches quavec moi, Nathalie fait tout ce que je lui demande. Ah, joubliais. Les parents organise un pique-nique. Tu es invité, si cela te dit. Nous décollant dans une heure.
Comme je ne répondais pas, il sécarta avant dajouter :
- Viens merde ! Mes parents taime bien comme tu le sais. Cela leur fera plaisir que tu viennes.
- Bon ! Cest daccord !
- Super !
- Je vais prévenir mes parents.
En montant les escaliers je tombais sur Brigitte la voisine du premier. Qui se montrait à chaque très désagréable à mon égard. Elle avait toujours quelque chose à me reprocher. Je métais bien garder den faire part à mes parents. Pour ne pas que cela ne dégénère pas en conflit de voisinage.
Arrivés sur le lieu de pique-nique, les femmes avaient déjà installé les tables sur les tréteaux dans la cour dune ferme allouée pour le fait. Elles les avaient recouvertes de nappes en papier blanches. Les plateaux étaient surchargés dassiettes, de couverts, de verres. Nous étions bien une trentaine de convives. Il y avait des voisins, de la famille à Manu. Mais pas de Maria, et cela pour mon plus grand désarrois.
Il y avait même la fameuse Brigitte, accompagnée de son mari ainsi que ces jumelles. Durant lapéro, elle avait dû pas mal boire car elle riait très fort. Je remarquais quelle avait sali son corsage, et cela juste sur les seins.
- Toi ! Petite fripouille. Je te veux, malgré que tu pourrais être mon fils. Me murmura-t-elle après sêtre assurer que personne sintéresser à nous.
Dun geste furtif, elle me toucha la verge à travers létoffe du pantalon. Ses yeux brillaient dexcitation. Puis elle posa ses lèvres contre ma joue. Une forte odeur de muscat se dégagea de sa bouche, cela me fis frémir. Puis son mari lappela, pour lui informer quil fallait passer à table. Je lus de la déception dans ses yeux, quand elle sest écartée de moi pour aller rejoindre sa moitié.
Je fus placer à table à côté de Monique. Une petite boulotte toujours en train de rire. Qui habitée un quartier voisin. Manu disait que cétait un bon coup. Quand à sa voisine de table Jeanne, je la connaissais à peine. Cétait une blonde qui jouait les princesses. Elle travaillait avec sa mère dans une fromagerie. Manu avait cherché à la sauter, sans y parvenir.
La bonne odeur de viande grillée mettait tout le monde en appétit. Les cuisses de poulets et les saucisses grésillaient, la graisse coulait sur les braises.
Au dessert après une tarte aux pommes, les vieux proposèrent daller jouer aux cartes. Quelques jeunes choisirent la partie de pétanque. Enfin ! Manu trouva le moyen de réunir Monique et sa copine Jeanne avant de mappeler, minvitant à les rejoindre.
Après quelques minutes de causerie, comme à son habitude Manu trouva le moyen de samuser un peu. Son jeu était simple nous devions à laide de pierre toucher une boite de conserve.
- Je propose que ce soit avec gages ! A fait Manu. Les perdants devront accepter le gage que les vainqueurs leur auront trouvé daccord ?
Tout le monde approuva. Même moi. Le tirage au sort massocia a Monique. Elle était nulle et jétais très mauvais au lancer. Dans ces conditions ils nous étaient très difficile de gagner.
- Désolé, mon vieux. Cest toi et Monique qui vous y coller au gage.
Jeanne rigolait de son côté. Puis elle lui parlait à loreille. Leur conciliabule avait été bref. Sourire aux lèvres, il approuva ce quon venait de lui dire.
- On vas dans la grange. Me fit-il.
Monique, se doutant un peu de ce quil allait suivre, refusa de sy rendre.
- Vous avez accepté de jouer, alors vous obéissez. Lâcha Manu.
Monique, contre son gré, se laissa tout de même entraînée. Jeanna se colla contre moi, avant de membrasser dans le cou en me chuchotant.
- Tu vas voir, on va bien se marrer.
Connaissant le phénomène je minquiétais pas pour ça. Personne nous avait vu nous éclipser, trop occupé à leur occupation. Il faisait sombre dans la bâtisse, et ça sentait le renfermé. Jeanne me poussa en avant, assez fort pour que je bute contre un obstacle. En tâtonnant je maperçus quil sagissait dune buche.
La voix de Manu se fit entendre, nous demandons de nous mettre à poil. Très vite nos yeux shabituèrent à la pénombre, assez pour voir Monique, essayait de se faufiler vers la sortie. Manu la rattrapa à bras le corps, lui pétrissant au passage les seins sans vergogne.
Très vite il se mit à la déshabiller, exhibant ses gros seins blancs. Puis son ventre laiteux et enfin sa chatte poilue. Je devinais sans grand mal ce qui allait se passer, surtout que latmosphère était devenue folle, et cela mexcitait.
Surtout quAlexandre et Liliane venait de faire leur entré. Je pense que cétait prévus. Cétait du Manu tout cracher. Dailleurs avec ce dernier, ils sétaient jeté sur Monique et lavait transporté jusquà une table. De la sorte, les bras et les jambes en croix. La jeune fille, les bras et jambes en croix, nous exposait tout. Son sexe était loin dêtre ce que javais imaginé.
Le triangle en haut du pubis était très touffu, avec des poils qui rebiquaient, mais plus bas, ils avaient été soigneusement rasés autour de la chatte.
Manu ma fait un clin dil qui en disait long.
- Tu as vu ? Elle a une chatte de poupée. Cest moi qui lui ai fait ça. Et à présent, elle continue à se raser, en souvenir de moi.
Monique grommela, furieuse, alors que les autres se tordaient de rire.
- Avec Alexandre nous allons nous occuper de la poupée, et vous deux, je compte sur vous pour vous donnez du bon temps avec Alain. Il ne peut rien vous refuser, il a perdu au jeu. Alors faites lui tout ce qui vous passera par la tête.
Les deux filles mattachèrent à un pilier qui soutenait le grenier. Puis elles enlevèrent mon haut ainsi que mon bas. Je me retrouvais à moitié nu. Le slip bombé à hauteur de ma verge par mon érection. Tout le monde se mirent à rire.
- Ça te fait de leffet, tout ça mon cochon ? Ricana Manu. Enlevez-lui son cache-sexe, quon admire sa queue.
Jeanne se mit à genoux, elle en profita pour caresser ma verge à travers le slip. Puis millimètre après millimètre elle fit glisser mon sous-vêtement sur mes cuisses. Une fois libéré ma queue se dressa à lhorizontale. Jeanne passa sa langue sur ses lèvres, avant de se pencher et de la pointer vers mon gland. Je sursautais de plaisir. La coquine fit la circonférence du gland, et je sentis un long frisson me parcourir. Tout en me léchant, elle saisit ma verge entre le pouce et lindex, et elle tirait sur la peau. Jétais au bord de léjaculation. Jeu très peur de jouir sous leffet de sa caresse.
Je portais mon regard du côté de Monique, toujours couchée sur la table. Dont japercevais les grosses lèvres violettes frémissaient, et les petites lèvres rosées brillaient de mouille. À ce spectacle, je senti que je jouissais. Je vis Jeanne se rejeter en arrière, alors que le sperme jaillissait de ma verge.
- Alors, lui
cest un rapide, dis-donc ! Lâcha-t-elle.
- Un vrai lapin
répondit Manu.
Entendant ces moqueries, je cru quelles allaient me lâcher. Javais mal aux bras et aux jambes. Je me sentais comme vidé. Mais elle nen firent rien, alors que du côté de la table Gilles baissait son froc, sortait une queue grasse et courte. Il savança jusquà toucher Monique, tout en se branlant. Avec des doigts impatients, il écarta les grosses babines du con de Monique. Les tenant largement ouvertes, tirant dessus alors que Monique remuait des fesses et gémissait.
De mon côté, je sentais une main se poser sur ma verge. Jeanne était toujours agenouillé devant moi. Sa joue droite brillait. Un peu de mon sperme avait jailli dessus et elle ne sétait pas essuyée. Ses doigts sétaient réuni pour se saisir de ma verge, elle prit le temps de lagacer, avant davancer ses lèvres pour lavaler une fois encore.
Derrière moi jai senti une autre main se glisser entre mes fesses. Cétait Liliane qui écartait mon cul pour caresser ma raie. Ses doigts passèrent plusieurs fois sur mon anus. Cette caresse insolite pour une fille de son âge, me fit rebander. Ma queue avalée par la bouche tiède de Jeanne, redevenait sensible aux caresses.
Un petit cri attira mon attention vers lendroit où se trouvaient Monique et des deux garçons. La séance sanimait. Gilles faisait aller et venir sa verge sur le con ruisselant de Monique. Manu se branlait au-dessus delle. Japercevais ses fesses blanches, poilues qui sagitaient. Dans la grange il y avait des bruits mouillés, des pets des gémissements.
Jeanne ne me suçait plus que du bout des lèvres. Liliane avait cessé de me caresser lanus. Elles fixaient comme moi, le spectacle de Monique et des deux garçons. Gilles passait de nouveau son gland cramoisi sur la chatte de Monique. Puis il poussa sa queue jusquau trou sombre, procurant à Monique un gémissement. Elle essayait de souvrir davantage malgré les liens qui lui entraient dans la chair.
Manu poussa un grognement rauque, et tout de suite après une giclée de sperme jaillit sur les seins et le visage de Monique. Celle-ci supplia Gilles.
- Viens
viens
Défonce-moi
Jai envie
Pour sa part, Gilles accentua son va-et-vient, dabord à lextérieur du con, glissant de plus en plus vite entre les grosses lèvres rasée. Puis à lintérieur du vagin où il ne senfilait quà moitié. Manu, calmé regardait la scène, avant de vouloir aider Gilles à emmener Monique au plaisir, en touchant son clitoris, provoquant chez elle un sursaut. Puis, elle cria de plus belle, dune voix rauque :
- Enfonce-moi
Mets le moi au fond ! Suppliant son baiseur.
Gilles donna un coup de reins et se ficha dans le vagin jusquaux couilles. Les grosses lèvres du con se renfermèrent sur la verge dans une aspiration vorace. Gilles écrasa son pubis contre le ventre de la fille.
Manu lui frictionnait toujours le clitoris. Sa queue grossissait à nouveau et se balançait lourdement entre ses cuisses. Liliane mabandonna pour aller soccuper de son copain. Elle se frotta à lui, lui toucha ses fesses, comme elle me lavait fait auparavant. Elle le poussa vers Monique en disant, dune voix vulgaire :
- Allez, bourre la bien cette conne !
Puis elle abandonna son copain, pour sapprocher de la baisée, dont elle dénoua les liens qui retenaient ses jambes. Puis elle donna un coup de main à Gilles de lever très haut les jambes de la fille. Je compris quelle avait lintention de donner à son copain le cul de Monique. La corde qui me retenait me faisait horriblement mal. Mais je bandais autant dans la bouche de Jeanne.
Manu tenait en main une bouteille pris je ne sais où. Quil déboucha puis en bu une rasade au goulot. Puis il la passa à Gilles qui en fit de même. Liliane sempressa de se déshabiller. Elle prit la bouteille des mains de son copain et en fit couler une rasade sur ses seins, en riant aux éclats. Elle en versa une lampée sur Monique qui ouvrit la bouche pour téter au goulot.
Jeanne les rejoignit, et bus elle aussi au goulot. Dorénavant plus personne soccupait de moi. Seul Gilles les intéressait, lui qui forçait lanus de Monique. Poussant doucement sous les cris de Monique, dont Jeanne et Liliane tenaient chacune dans leur main une jambe en lair alors que Manu buvait à la bouteille tout en se branlant avec son autre main.
Peu à peu, Gilles arriva à ses faims, faisant disparaître sa queue dans le cul de Monique. Il se retira un peu, pour prendre son élan, puis enfonça sa tige à nouveau, dun coup. De la sorte, il était enfin parvenu à enculer la fille entièrement. Encouragée par Jeanne et Liliane, il se mit à se branler dans le cul. Il ne se gênait plus. Il y allait à fond. Liliane lincitait à la prendre plus fort. Jeanne, elle, sétait collée à Manu qui lui caressait les seins, lembrassait dans le cou et essayait de fourrer sa bite entre ses fesses.
Au bout dun moment, Gilles lâcha son foutre dans le cul de Monique.
- Alors, ça ta plus ? Me demanda Manu en me libérant.
En silence tout le monde se rhabilla. Monique, quant à elle sessayait le cul avec sa culotte.
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