Le Père De Mes Voisins
En cette période de juillet caniculaire, du moins pour nous les gens de l'Est peu habitués à une telle chaleur, je ne portais bien souvent que tenues légères ( Les pantalons au rencart dans les placards ) petites jupes courtes, tee-shirts ou chemisiers fins avec parfois les seins libres de toute entrave de soutien-gorge qui les libérait de toute contrainte. J'évitais le port de mes petites culottes blanches en tulle transparente (Le frottement du nylon irrite la peau des cuisses au niveau de l'entrejambe avec la transpiration ) que j'appréciais de porter au vu qu'elles dévoilaient allégrement le triangle noir de ma toison dans le but d'exhiber mon buisson touffu et d'exciter les adolescents et les plus vieux lors de mes périples de voyageuse dans le bus ou le train pour me conduire au travail et au retour le soir.
Je préférais enfiler juste pour une question de confort les culottes en coton blanc dont certaines quelque peu trop ajustées "collaient" à ma fente et moulaient ostensiblement mes fesses jusqu'à ce que le tissu colle à ma raie culière.
Nous sommes mitoyens avec un couple de notre âge et nous entendons bien. Parfois c'est l'apéro chez l'un ou l'autre, juste une bonne relation de voisinage. Nous avons un petite terrasse agrémentée de bordures engazonnées non loin de leur terrain qui se trouve un peu en contrebas du nôtre et je me trouvais là quand j'ai aperçu un homme d'un certain âge, cheveux grisonnants avec une légère calvitie, un petit embonpoint mais bien joviale qui se présenta poliment à moi comme étant le père de notre voisin. Il était de visite juste pour quelques temps et nous avons discuter de tout et de rien. Jusque là rien de désobligeant ni de fixation sur mon physique. J'appris qu'il se prénommait Jean et sans que je demande me fit part de son âge. Je lui déclinai également mon prénom et lui fit la gentille 'remarque' que pour ses septante années il paraissait moins.
Ce n'est que le lendemain que les choses ont évoluées.
Il renouvelle son geste comme quoi sa galanterie est de me laisser de prime abord quitter ma voiture où il règne une chaleur infernale et comme nous pouvons rester longtemps de la sorte, j'ouvre ma porte, pose un pied hors de l'habitacle, sur le trottoir ce qui me fait obligatoirement écarter les jambes et ma courte jupe remonte un peu plus haut sur mes cuisses. La voiture est basse et j'amène l'autre pied à l'extérieur sans omettre de jeter un regard vers le sien qui est manifestement niché entre mes jambes ouvertes et ne peut ignorer la vue que j'offre de ma petite culotte blanche de coton dont je sais que l'entrejambe est quelque peu auréolé de légères traces jaunâtres car au travail il n'y avait plus de papier toilette dans les WC, je n'avais non plus de mouchoir en papier pour m'essuyer lorsque je suis allé vider ma vessie et j'ai due remonter ma culotte alors que perlaient encore quelques gouttes de ma pisse qui s'imprégnèrent dans le fond de ma culotte. J'en changerais une fois de retour à la maison.
Jean avait vu ma culotte, j'en était pratiquement persuadée et peut-être c'était son but de me mater en me laissant par courtoisie descendre de ma voiture. Et ce petit épisode de voyeurisme ne m'avait pas laissée insensible mais il me fallait avoir la certitude comme quoi je ne le laissais pas indifférent et peut-être allions nous partager plus que le petit jeu d'exhibe que j'allais prodiguer à son encontre très prochainement.
Après avoir changer de culotte, troquant le coton pour une toute en dentelle blanche et ayant aperçu Jean dans le jardin de nos voisins je descendis pour en fait aller à sa rencontre. Seul le bout de grillage nous séparait et nous étions face à face à discuter amicalement. J'avais toujours ma petite jupe courte et une paire de ciseau en main pour couper quelques fleurs mais en fait pour faire plutôt ce dont j'avais en tête...
Mon mari venait juste de rentrer de ballade car ce soir il travaillait la nuit et m'interpella depuis la fenêtre alors que j'étais accroupie face au père du voisin genoux non serrés, jambes un peu écartés suffisamment pour qu'il ai une vue imprenable sur la dentelle de ma culotte qui laissait juste percevoir une ombre noire de ma toison. Pas assez translucide pour une vue parfaite sur mes poils noirs. Toujours est-il que son regard était souvent accroché entre mes cuisses pensant peut-être que je ne l'avais pas remarquer... Il aurait peut-être préférer que je ne porte pas de culotte mais comme je ne suis pas le genre de femme à me balader cul et chatte à l'air sous ses jupes...
Auparavant lors de notre discussion, j'appris que le lendemain il rentrait chez lui et si je voulais poursuivre encore plus loin mon petit jeu d'exhibition il fallait que je trouve une occasion et celle-ci se présenta quand je proposai à Jean de venir boire l'apéro chez nous avec nos voisins en fin d'après-midi. Pour lui-même il était ravi ce qui était le principal pour moi et allait en faire part à son fils et sa belle-fille. Quand à mon mari aucune objection à ce qu'ils nous rendent une petite visite.
Déjà ça de gagner et j'allais prendre une douche et changer de tenue pour le soir. Une jupe plus longue qu'à l'accoutumée mais entièrement boutonnée sur le devant et en tissu très fin, un chemisier à fleurs les seins libres dessous avec un décolleté dévoilant la gorge de ma poitrine, le haut de mes globes mammaires mais sans dévoiler les aréoles ni les bouts.
Ils arrivèrent tous trois et Jean me voyant alors que je me tenais devant la baie vitrée du salon ne pouvait ignorer l'ombre du dessin de mes jambes jusqu'à la fourche de mon entrecuisses dessiné par la lumière transperçant le fin tissu de la jupe. Je plaçai moi-même nos invités en prenant soin que Jean se trouve face à moi engoncé dans le canapé tandis que j'occupais le fauteuil situé juste face à lui. J'avais lors de m'être rendue en cuisine déboutonnée ma jupe très haut et quand je vins me rasseoir et que je croisai les cuisses, celles-ci furent dévoilées dans leur totalité juste en dessous de la limite du fond de ma culotte ce qui paraissait certainement à l'aïeul dommage mais avait très souvent les yeux rivés sur mes cuisses dans l'attente certainement que je lui dévoile le bout de tissu que je portais dessous ma jupe. Ce qui n'allait pas tarder mais subtilement pour débuter...
Je profitai du moment où jean avait le regard fixé sur moi pour décroiser les jambes, le temps d'un bref instant. Avait-il aperçu la tache sombre et noire de ma toison à travers le fin tulle que j'avais arboré par dessus ma chatte ? Si il n'avait pas bien vu il allait très bientôt pouvoir mater à loisir mais avant je me levai pour prendre sur la table basse le bol de gâteaux apéro et le tendre à l'aïeul. J'étais courbée en avant et je restai en cette position tandis qu'il prenait son temps pour piocher dans le ramequin et jeter un regard audacieux par le décolleté de mon chemisier dont à présent il ne pouvait nullement ignorer le volume de mes globes mammaires, leurs auréoles brunes et les pointes dressés dues à mon jeu d'exhibition. Il me fit un grand sourire pour me remercier mais je penchais plutôt que c'était pour la vue que je lui offrais.
Il était demandeur de voir plus et moi j'étais en attente d'offrir ce qu'il attendait et c'est tout naturellement que je décroisai mes cuisses pour adopter la posture de mes genoux serrés et qui au fur et à mesure de son regard attentif et accroché sur mes jambes je me mise à écarter lentement et de plus en plus grand le compas de mes jambes pour lui offrir en totalité la vue de ma culotte blanche translucide dont le tulle transparent dévoilait la totalité de mon buisson noir à la limite des grandes lèvres de ma vulve qui commençait à suinter et humidifier le fond de ma culotte.
Jean avait passé un agréable moment et ses remerciements pour notre invitation furent des plus chaleureux, je pense surtout pour l'exhibe que je lui avais offerte. Pour mon mari ce fut le moment de partir au travail, il faisait encore bien jour et apercevant mon voyeur en chemisette et short qui arrosait le jardin de nos voisins je descendis lui proposant de prendre une collation. De suite il accepta et je le fis monter dans le salon où nous avions pris l'apéro.
En fait la collation que je lui proposais, c'était moi, mes attributs que j'avais envie qu'il fouille, tripote et les seins aussi ! Je me collai face et contre lui l'enlaçant avant de glisser ma main derrière lui sous la chemisette pour lui caresser la peau nu de son dos humidifié par la transpiration et que nos bouches se rapprochaient jusqu'à se toucher les lèvres sans un mot.
Jean ne chercha pas à se dérober quand je glissai ma langue dans sa bouche à la recherche de la sienne et en se mélangeant dans une pelle profonde qu'il entreprit de me caresser les fesses, les hanches par dessus la jupe avant de défaire le peu de boutonnières qui tenaient ma jupe jusqu'à ce qu'elle glisse à terre alors que de mon côté je m'occupais de sa chemisette et de l'ouverture de son short. Ce fut au tour de mon chemisier de connaître l'envol et je me retrouvai en petite culotte et mon vieux en caleçon, les derniers remparts avant la fornication !
Tandis qu'il faisait glisser ma culotte le long de mes jambes, je pratiquais de même avec son caleçon glissant aux chevilles. Nous étions nus et je me serrais contre lui sentant sa queue qui commençait à prendre du volume contre mon ventre. Je ne l'avais pas eue de visu, nous étions toujours dans un mélange de langues et il était occupé à me caresser, pétrir mes mamelles, étirer les tétons alors que prenais sa queue à présent toute dure entre mes doigts. Je commençais à le branler tout en délicatesse jusqu'à je n'en puisse plus, je voulais goûter à cette bite âgée de soixante dix ans !
Je m'écartai tout en m'agenouillant pour me retrouver bouche à hauteur de cette queue que je découvrais alors, courte mais épaisse avec des veines saillants montrant le membre gorgé de plaisir qui ne devait qu'attendre plaisir et j'avais trop envie d'y goûter.
Toujours sans avoir prononcé un mot, je décalottai tendrement le vit jusqu'à faire apparaître la couronne à la base du gland d'où suintait une perle de pré-sperme. Cet organe avait envie d'être cajolé et j'allais m'y employer en passant ma langue sur le méat, des coups de lèchotte sur le gland et tout autour de la couronne, je sais que les hommes apprécient beaucoup et il faut y aller avec délicatesse pour prodiguer un plaisir intense avant de gober son gland en bouche pour le suçoter tandis que je lui caressais de mes doigts ses couilles velues que je n'ai pas lécher ni gober à cause des poils. Jean prenait plaisir à ce que je lui suce la bite jusqu'à atteindre son ventre dont le pubis était touffu de poils grisonnants.
Je ne tenais pas à ce qu'il se vide dans ma bouche et désirait par dessus tout qu'il me pénètre le vagin, ma laboure profondément le conduit et je m'allongeai sur le canapé les cuisses au large ouvertes, genoux repliés mes doigts écartant les lèvres de ma moule baveuse et luisante de mouille en l'implorant :
- Viens dans mon conduit, prends moi la chatte et besognes là profond, je sais que tu as envie comme moi !!!!!!
Il ne se fit pas prier et se glissa entre mes jambes et c'est moi qui pris sa queue et la guidai dans mon orifice poussant mon ventre en avant afin d'être emplie au plus profond de mon con. Il me baisait lentement et doucement pour commencer et comme j'avais envie d'une pénétration bestiale, je posai mes mains sur ses fesses pour le pousser encore plus contre moi :
- Baises-moi plus fort ! J'aime me faire prendre avec violence, sentir tes couilles claquer contre mon cul !!!
Alors Jean se surpassa, il me besognait avec hardeur, je sentais son gland buter au plus profond de mon conduit tandis que je couinais de plaisir et que mes halètements se transformèrent en râle de jouissance jusqu'à ce que je ressente un liquide chaud m'envahir le ventre. Il éjaculait en abondance me remplissant plus que je ne l'aurais espérer. J'étais pleine de son jus de couilles et une fois qu'il se fut retiré je fouillai ma chatte de mes doigts pour aller à la récolte de son jus et les mettre en bouche, les lécher. Je répétai l'opération à plusieurs reprises, j'aimais le goût de son sperme !
Nous sommes restés un moment allongés sur le canapé à nous tripoter. Il me caressait les seins, pinçait et étirait mes tétons qui pointaient allégrement tandis qu'entre mes doigts je branlais sa queue qui commença à reprendre de la vigueur. Pour la rendre encore plus rigide et grosse, je me courbai vers sa tige pour la sucer à nouveau tout en goûtant au mélange de son sperme et de ma mouille. Il était à présent aussi bandé qu'avant de me ramoner la chatte et c'est tout naturellement que je lui proposai :
- Tu veux me prendre par le cul ?
- Si tu aimes ! Je n'osais pas te le demander, ma femme n'aime la sodomie...
- Tu veux dire qu'elle n'aime pas se faire prendre par le cul, moi je t'offre de m'enculer, j'ai toujours aimer çà !
Je me suis lever du canapé, me suis mise en levrette au sol prenant soin d'écarter de mes propres mains les globes de mes fesses lui offrant la vue de mon illet plissé :
- Si tu aimes mon petit trou le voici tout offert. Prends juste un peu de ton jus qui coule hors de ma chatte et passe le juste sur ma rondelle et tu m'enfiles doucement pour commencer ...
C'est de la sorte que je sentis son gland buter contre mon anneau culier et s'introduire délicatement dans mon boyau anal jusqu'à le sentir tout en moi. Après quoi il accéléra sa pénétration, je sentais ses couilles claquer contre mon cul et me ramonait fort. Il ne devait pas pratiquer la sodomie ou très peu car il y mettait de l'ardeur à m'enculer profondément. En même temps qu'il me besognait tout les hanches, je sentais mes seins ballotter entre mes bras et ne pouvait faire autrement que les laisser se balancer de droite à gauche, en avant en arrière !
Quand il déversa à nouveau son jus de couilles dans mon conduit culier cette fois, je pris plaisir à ressentir la chaleur de son liquide dans mes boyaux. Après cette âpre fornication nous sommes passer tous deux sous la douche en échangeant quelques mots :
- Tu as aimé me prendre par le cul ?
- C'était trop bon, ton boyau enserrait fortement ma queue et j'ai eu du mal à ne pas me vider dès mon intromission
- Tu n'as pas été étonné que je t'invite de la sorte pour me baiser
- Si quand même mais une offre pareille ne m'est jamais arrivée de la part d'une femme bien plus jeune que moi et de plus qui m'offre de la prendre par le cul
- Je vais t'avouer que j'aime les hommes de ton âge, les vieux comme on dit mais tu es encore bien jeune avec une telle vigueur.
Après un long baiser avec nos langues mélangées il fut contraint de rentrer chez son fils et belle-fille, je n'avais aucune envie de passer la nuit avec lui. Juste me faire baiser la chatte et lui donner en sus mon cul.
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