Collection Lesbiennes. Femme Pour Femme (2/8)
Je viens de suivre la Comtesse de la Tour chez elle alors quelle sétait exhibée devant moi dans un café près du casino de Salins-les-Bains dans le Jura.
Ainsi jai la confirmation de ce que je savais inconsciemment déjà, la chatte des femmes mattire plus que les verges des mecs, même si de nombreux copains aimaient me lenfoncer à lendroit où Marguerite place sa langue.
Jarrête de dire « première fois » puisque tout ce quelle me fait est nouveau.
Après mavoir fait jouir, elle se relève et retourne vers son salon.
- Va te doucher, cest fini pour aujourdhui, il faut que je fasse dîner Joujou.
Je me douche, dans la salle de bains quelle me montre attenante à sa chambre, frustrée quelle me laisse seule alors que jaurais voulu quelle me savonne et messuie.
Revenant dans le salon, elle me prend dans ses bras.
- Tiens, cest pour toi, cest pour te remercier.
Dans ma main, elle me place quelques billets.
- Je viens de voir que tu es pucelle, demain, si tu reviens, pour me le donner, jai mille euros pour toi.
Elle me tire par la main pour me faire sortir, jouvre, je regarde et je compte cinq cents euros.
En retournant vers le camping retrouver mon père, le long du chemin, je regarde ces billets qui devaient sceller mon avenir.
Je nai pas eu conscience quen acceptant ces billets, je venais de me prosti.
Percevoir une rétribution pour un acte sexuel, ce nest rien dautre.
Cest la nuit, sous ma tente, en me caressant que je me rends compte de cela, surtout avec les 1 000 promis pour menlever mon pucelage et ceux dans mon autre main avec lesquels je me frotte les seins.
Les doigts de Marguerite étaient là pour constater ce quelle devait avoir supputé, elle avait compris mon attirance pour elle et que jétais bien vierge.
Le lendemain, je refuse de suivre mon père quand il sort sa gaule, ayant mis son équipement de pêcheur à la truite, remontant le courant en fouettant leau avec sa mouche quil fabriquait lui-même tous les hivers dans la région Est de Paris.
- Jai mal à la tête.
- Tu vas avoir tes règles, les bonnes femmes, vous avez toujours vos machins au moment où ça emmerde les hommes.
Cétait pareil pour ma mère.
Jai horreur de mentir, mais je me réserve le droit daller chez Marguerite, bien que ce matin me faire dépuceler et avoir mal à la chatte après ne soit pas pour me plaire.
Il est 14 heures quand je me lève, que je passe mon short en jean que je mets les jours de vacances même sil est un peu usé et je remonte du camping vers le centre où ma maîtresse habite.
Jai tout le temps de repenser à la veille et cest pourquoi mon cerveau imprime que je me suis vendue pour 500 .
Jaurais dû laisser largent sur le guéridon qui lui valait certainement un paquet de fric à lentrée.
Je sonne, jentends des pas, la grosse porte pivote, mon destin est devant moi.
- Entre, tu connais le chemin.
Jentre dans la pièce au fauteuil où tout a commencé.
Elle me prend dans ses bras, me met sa langue dans la bouche et descend directement sa main dans mon short.
Cest dur à passer car il est serré, mais elle trouve ma grotte trempée.
Certes, pas au point de menvoyer des petits jets sur ses doigts, je ne suis pas fontaine, mais assez pour quelle sente mon hymen.
- Cest bien, tu es toujours vierge, à ton âge tu aurais pu sortir danser hier au soir et te faire défleurer sous les arbres près du camping où tu es pendant les vacances.
- Comment sais-tu que je suis au camping, je ne te lai pas dit.
- Je vais promener Joujou vers le camping, il chie dans lherbe, ça mévite de ramasser.
Je tai vue un jour parler avec une brune, toi la blonde, jadore les blondes et à la façon dont tu la regardais, jai tout de suite su que les femmes tintéressaient.
Quand je tai vu rentrer dimanche au café où je vais boire du champagne, bien que la cave ici en regorge, je tai fait mon numéro et il a marché puisque tu es là.
Elle a raison, jétais ni plus ni moins en train de proposer à la fille attenante à la mienne de venir me rejoindre la nuit suivante.
Elle a dû hésiter à franchir le pas car malgré la fermeture éclair de ma tente restée ouverte, elle nest pas venue.
Le lendemain, sa tente était close quand nous sommes partis pêcher avec papa, au retour plus de tente et plus de possibilités de découvrir si les femmes étaient mon seul centre dintérêt.
- Viens dans ma chambre, jai les godes quil faut pour tenlever cette membrane qui nous a été mise là pour que nous ions dans la douleur.
Je ne connais rien à la virginité, le lien avec la religion, je sais que Marie sappelle la Sainte Vierge, alors je prends ses dires pour argent comptant.
Argent comptant car sur la table de nuit, je vois dans le dos de Marguerite 5 billets de 200 , elle a préparé mon dépucelage.
Elle me déshabille, ôte son peignoir qui semble être son principal vêtement quand elle est chez elle et mentraine vers une commode dont elle ouvre le tiroir du bas.
- Voyons voir avec lequel je vais prendre cette petite chatte, mieux, viens choisir celui qui va te faire femme.
Devant mes yeux des godes, dans mes films jen ai vu beaucoup, après la trahison de la fille au camping, javais pensé comment men procurer un, la peur que papa découvre ce sexe de substitution mavait fait reculer.
- Prend celui-là.
- Bien choisi, cest celui dont je me servais le plus quand je travaillais.
- Quand tu travaillais, tu te servais dun gode ceinture ?
- Laisse tomber, je te dirais tout après, savoir que je suis la première me remplit de joie.
- Dis, celui-là, il faudrait être folle pour le choisir, qui peut se faire enfiler un tel engin dans le vagin ?
- Pas dans le vagin, lanus, cétait le Comte que jenculais avec, il était homosexuel.
Je lenculais avec ce gode, il ne ma jamais touché.
Nous faisions chambre à part.
Le soir à son regard, je savais quil en avait mare daller se faire tringler dans les bars pour garçons de Paris où nous habitions encore à cette époque.
Mais tu mégares, viens sur le lit, je te dirais tout après et pourquoi je tai choisi.
Prestement le gode a été sur ses hanches, je savais les positions quil fallait prendre et la vue des billets valait bien un peu dinitiative de ma part.
Quand je me suis installée en levrette sur le lit, je sens que la Comtesse allait monter elle aussi et que lolisbos allait rapidement me délivrer de ma membrane bien quelle ne me gêne en aucun cas, même avec Marguerite hier.
Elle rentre, même pas mal, elle donne des coups je commence à jouir, dès la première fois, le sexe factice me fait jouir.
Ma maîtresse doit avoir des doutes, le gode sort et ses doigts le remplacent.
- Mince, cest la première fois que ça marrive, je suis bien entrée, mais ton hymen est élastique.
Ça arrive, il na pas cédé, mets-toi sur le dos, je reviens.
Elle retourne au tiroir en enlevant le gode qui vient de me pilonner sans succès pour menlever mon pucelage sauf de me faire jouir.
Impossible, elle sort le gode du Comte, elle devait le défoncer, elle va me défoncer.
1 500 pour mes vacances, si elle décide quelle na pas eu ce quelle voulait, à part les 500 qui sont déjà cachés dans mon sac dans ma tente, vais-je avoir les 1 000 alors je passe sur le dos écartant mes cuisses.
Elle le place ayant enlevé lautre et sapproche.
Je ferme mes yeux, je ne veux pas voir quand le sang va gicler, il ne peut que gicler.
- Écarte ton vagin, tu vas voir, le corps de la femme est fait pour er, ne craint rien, si tu es enceinte un jour, il faudra bien quil sorte.
Je fais ce quelle me demande.
- Aie.
Cest le seul mot que je prononce, Marguerite se couche sur moi en même temps quelle pousse et prend mes lèvres.
Je sens son bas-ventre sur mon corps, javais peur davoir un homme se couchant dans cette position pour me mettre son sexe.
Là je sais à la douleur que je suis une vraie pute qui vient de gagner un paquet de pognon.
Je libère ma bouche.
- Marguerite, tu mas faite femme, je te serais toujours redevable.
Elle sort de moi et se couche sur le côté, je viens me blottir dans ses bras.
- Merci, jai eu un peu mal, mais très vite cétait supportable, caresse-moi.
Elle descend sa main, entre en moi, un, deux trois doigts, sa main.
Le gode qui pointe vers le plafond très légèrement couvert de mon sang, il ma tellement ouverte, quelle me fiste une fois de plus comme je lai vu dans des films.
Que va-t-il encore marriver, ma vie a pris une accélération et une tournure nouvelle ?
Jai plein de questions qui me viennent, mais je veux profiter du moment présent, nous aurons le temps den reparler
Anne à fait les corrections.
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