Collection Lesbiennes. Femme Pour Femme (3/8)

Je viens de perdre mon pucelage grâce à la Comtesse de la Tour.

C’est le lendemain de son exhibition devant moi dans un café près du casino de Salins-les-Bains dans le Jura qu’elle s'est servie d’un gode pour me le prendre, moyennant la somme de 1 000 €.

Elle a commencé par un gode-ceinture classique de faible diamètre.

Contrairement à la plupart des filles, ma membrane est résistante.
Il faut que j’accepte un gode de fort diamètre servant au Comte pour se faire défoncer l’anus, pour qu’elle cède.
Marguerite veut constater qu’elle a bien cédé et me rentre carrément sa main dans ma chatte.
Fister, elle me fiste.
Dans quelques films j’ai vu des femmes le faire, je n’aurais jamais imaginé qu’on ne le fasse à moi-même.
Encore plus étonnant, c’est que ce soit cette femme bien plus âgée que moi qui ait compris simplement dans mon maintien que je faisais partie des gousses, des suceuses de chattes.

Sa main ressort, je pense que c’est le moment de lui poser des questions sur certains propos qu’elle a tenus lors de nos ébats.

- Dis, tu as dit que ce gode servait pour ton travail, de plus tu as dit que le Comte se faisait enculer, alors qu’il ne t’avait jamais touché.
- Je vais te dire certaines parties de ma vie.
J’habitais à Paris dans ma jeunesse et un jour, une femme comme je l’ai fait pour toi m’a fait comprendre mon orientation sexuelle.
Dans ces années-là, les femmes ayant une vie sexuelle différente de la normale étaient montrées du doigt.
Mes parents m’ont renié et mise à la rue.
J’ai cherché des lieux où je pouvais me réfugier.
C’est dans un bar des beaux quartiers de Paris que j’ai fait ma première passe, attention avec une femme, pas un homme.
Rapidement je suis devenue une pute pour femme très demandée.
Je me suis constitué un carnet d’adresses étonnant.
Toutes les femmes très dignes de ces quartiers, qui se mariaient pour cacher leur penchant à leurs parents puis à leurs maris, m’appelaient dès qu’ils avaient le dos tourné.


J’ai baisé dans les plus beaux palaces, dans les immeubles les plus chics de la capitale.
J’espère que je ne te choque pas.
- Comment pourrais-je être choquée, j’ai accepté ton argent hier et je vois les 1 000 € proposés sur ta table de nuit.
Je suis moi-même une pute féminine, une pute femme pour les femmes.
- C’était un test, je voulais voir si recevoir de l’argent pour coucher t’était insupportable, je t’ai vu aller à la messe avec ton père.
- Connais-tu mon père ?
- Oui et non, je connaissais ta mère.
- C’était une lesbienne ?
- Oui, mais avec elle c’était gratuit.
Je l’ai connue ici dans les premiers jours où vous êtes venus, ton père étant pêcheur.
- Je me souviens, j’étais petite, maman me laissait chez une vieille dame qui habitait un peu plus haute en remontant la rue principale.
- C’était ma propre mère, je suis toujours propriétaire de son logement que je loue à des jeunes filles en perdition.
- Mais le Comte ?
- Je tapinais à Paris, mais je venais tous les étés ici voir maman qui ignorait avec quel argent je pouvais lui payer tout ce que je lui offrais.
Elle était femme de ménage dans cet immeuble.
Un jour je suis venue la chercher et c’est ce jour-là que j’ai connu le Comte.
Il voulait avoir une personne qui s’occupe de sa fortune.
Le contrat a été passé, nous faisions chambre à part, seule la bite qui vient de te déflorer devait être un contact entre nous.
C’était facile, j’habitais toujours à Paris et je venais ici quand bon me semblait, j’étais déjà assez riche pour choisir ma vie.
Tous les dimanches nous venions au café dans l’après-midi.
Un jour ta maman était là à la place où tu étais assise, j’étais à la même place que j’occupais avec Joujou sur mes genoux.
Le Comte encore vivant à cette époque était là, face à moi, mais j’ai très bien vu Mathilde, ta maman, écarter ses cuisses, elle n’avait pas de culotte.

Je voyais nettement sa fente et surtout discrètement sa main qui est venue la rejoindre jouant avec son clitoris.
Ton père quant à lui, continuait de parler de la truite improbable car très grosse qu’il avait loupé la veille.
Comme elle me l’a dit, elle m’avait reconnu comme j’ai réussi à ce que tu reconnaisses ton penchant pour les femmes.
Elle vous a parlé et me regardant fixement puis elle est sortie.
Je l’ai suivi, elle faisait celle qui souhaitait traverser sans le faire.
Des voitures respectueuses du Code de la route s’arrêtaient et pestaient car elle ne s’engageait pas.
Nous avons traversé nous prenant la main comme de vieilles amies et nous nous sommes engouffrés chez moi pour directement aller dans ma chambre.
La seule chose que j’accepte de te dire outre la beauté et la grâce de ta maman, seule la manière dont tu embrasses, me la rappelle.
Tu as hérité ça d’elle, beaucoup de filles ne savent pas donner leur bouche et leur langue comme vous le faite.
Pourtant des langues dans ma bouche lors de mes rencontres avec mes clientes, j’en ai connu beaucoup.
Le Comte m’a quitté, j’ai hérité et nous avons continué de nous serrer dans les bras l’une de l’autre ici pendant vos vacances et à Paris dans le logement où j’habitais.
Un jour, retour du destin, c’est sur ce passage clouté face au café que Mathilde ta maman c’est plein de mots de ventre.
Nous avons cru à des règles douloureuses, mais hélas une fois hospitalisé c’était bien plus grave, la maladie l’a emporté.
J’étais à son enterrement et son incinération, vous ne m’avez pas vu tout à votre chagrin, mais j’ai été là à tous les instants de ta vie.
- C’était toi qui nous faisais porter une enveloppe à mon nom à chacun de mes anniversaires ?
- Oui, bien sûr, un jour où nous avions été parfaitement heureuse et comme elle refusait de quitter ton père pour ne pas te déstabiliser elle m’a fait promettre de m’occuper de toi.

- Elle devait savoir avant qu’elle soit hospitalisée à Salins, que la maladie la rongeait.
- Je le pense aussi.
- Dis-moi, c’est un coup de chance que j’ai été face à toi dans notre café du dimanche.
- Je vieillis moi aussi et il faut que je pense à ma descendance, tu vois ce gode, le premier que je t’ai mis dans ta chatte, ta maman en raffolait et pourtant, je ne l’ai jamais eu en moi.
Caresse-moi petite fille que j’aime comme j’ai aimé ta jolie maman.

Je commence par reprendre sa bouche, savoir que ma mère avait embrassé aussi passionnément que moi ces lèvres et caressée cette langue ne me gênaient pas.

Mes doigts sont venus sur ses seins pendant que les siens restaient sages, on dirait qu’elle revit les moments de sa jeunesse avec cette femme qui a dû être l’amour de sa vie.
Je la caresse entre ses cuisses après avoir contourné le gros gode qu’elle a toujours autour de ses reins, elle est trempée, elle mouille son lit comme elle a mouillé ma bouche hier.

Je décide de prendre une initiative, je la quitte quelques instants, je détache l’olisbos qui vient de me déflorer et je fixe le jouet favori de maman autour de ma taille.
Je me couche sur elle qui s’est allongée lascivement et je la pénètre d’une seule poussée.

De suite, elle m’enserre de ses jambes comme de nombreuses femmes le font avec leurs amants ou maris dans les films qui sont ma seule référence.
Son vagin doit se contracter autour de cette verge artificielle car je sens sa jouissance parvenir jusqu’à mes lombaires.
Elle crie et je crie aussi.

- Ma chérie, si on m’avait dit que c’est toi qui un jour me dépucellerais j’aurais dit que cette personne est folle.
- Dis-moi, tu sembles avoir repris pied sur terre et si hier je ne m’étais pas assise face à toi ?
- Dans la vie, tu apprendras que l’on fait des gestes toujours les mêmes dans notre vie.
Plusieurs fois tu ne m’as pas vu, car la table où tout a commencé entre ta maman et moi n’était pas libre.

Mais tu t’assieds toujours à ce bout de table.
Hier toutes les conditions étaient réunies et nous nous sommes plus que réunies.
J’avais essayé de te rencontrer près du camping, ce n’est pas anodin que je promène Joujou là-bas.
J’étais à deux doigts de t’aborder, j’aurais trouvé un motif tu sais ce que femme veut, elle l’obtient, je l’ai obtenue, j’aurais trouvé un autre moyen de t’aborder.

J’ai ressorti le gode de sa chatte, pas la moindre trace de sang.

- Je vois que tu regardes le gode, tu dois savoir que des filles ont des hymens récalcitrants comme le tien et d’autres qui en sont dépourvus.
Je sais que je faisais partie de cette deuxième catégorie, essaye d’entrer ta main en moi comme je l’ai fait avec le gros gode puis ta main, je suis trop étroite.

Je fais ce qu’elle me dit, j’entre deux doigts, j’essaye d’en placer un troisième, impossible, ça ne rentre pas.

- Tu vois je ne te mens pas, tes doigts ont des légères traces de sang, pourtant il y a longtemps que je suis ménopausée.
Dis-moi, je sais que tu as loupé ton bac, je t’ai dit que je te suivais comme promit à ta maman, qu'espères-tu faire à la rentrée ?
J’ai envoyé un CV dans le supermarché de Pontault-Combault, je commence un CDD le 1er septembre.
- Je m’en doutais, tu vas gâcher ta vie comme j’aurais pu louper la mienne, ouvre ce tiroir à ton côté, donne-moi le carnet qui-ci trouve.

Je me penche, elle en profite pour me caresser les fesses, j’ouvre je vois les billets qui sont à moi, je prends un carnet bleu que je lui tends.

- Regarde Charlotte de V.
Le V je te dirais à l’oreille son nom, inutile de révéler à tous ce qu’elle a réussi à cacher à tous comme je te l’ai expliqué sa nature profonde.
Tu vois il y a son adresse comme à chaque page les noms, les adresses, les téléphones et ce que ces femmes aimant que l’on leur fasse.
Et bien sûr combien elles payaient pour mes services.
Charlotte sait tout ça, c’était aussi l’amie de ta mère, nous pratiquions souvent du triolisme entre nous.
Je vais l’appeler, elle va s’occuper de toi.
Elle va te loger si tu désires ton indépendance, tu réaliseras toi, ce que ta mère n’a pas osé faire pour te protéger d’un divorce.

Après un bain, je quitte Marguerite, son petit carnet dans une main, l’argent de l’autre, bien sûr, je dois revenir demain après-midi.
Je regarde le carnet sur le dessus deux numéros de téléphone pour des lignes fixes.

01, certainement celui de son adresse à Paris.
03, celle de sa ligne à Salins-les-Bains.

Vais-je m’en servir de retour à Paris et devenir une courtisane plutôt qu’une caissière de supermarché, qui plus est en CDD, j’ai quelques jours pour y réfléchir…



Merci Anne.

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