Les Réceptions De M. Le Marquis (Partie Vii)
Conformément aux instructions de Monsieur, je vais me positionner à genoux, jambes écartées et mains dans le dos devant le siège de Monsieur De Viaud qui commence à se caresser lentrejambe. Pendant que je vais de Monsieur le Marquis à Monsieur De Viaud, japerçois Brun qui sort de la pièce escorté par Monsieur Trévigny. Peut-être est-ce lui qui va avoir lhonneur de se faire prendre en premier ?
Il est convenu que je dois attendre quil sorte lui-même son sexe avant de le sucer, à moins quil ne me signifie explicitement que je dois le sortir moi-même.
Monsieur De Viaud passe un doigt dans lanneau de mon collier et tire pour amener mon visage contre le sien. Il pose ses lèvres contre les miennes sans délicatesse et membrasse.
Puis il me repousse violemment. Je me redresse et me remet en position, jambes écartées et mains dans le dos.
Monsieur De Viaud commence à me caresser le torse, à le palper, à me pincer les tétons. Il mévalue, me teste.
- Bon, ça fera laffaire, je tautorise à venir me sucer.
- Merci, Monsieur.
Je déboutonne sa braguette et sors son sexe déjà tendu. Cest un sexe de bonne taille, au moins vingt centimètres, et il est circoncis. Je pose délicatement mes lèvres sur son gland rosé et entame une série de baisers sur toute la longueur de sa bite. Entre temps, des mains aventureuses ont commencé à me malaxer fermement les fesses. La surprise ne me déconcentre pas, et malgré lenvie de me retourner pour voir qui est mon bienfaiteur, je reste focalisé sur ce vit quil me faut sucer.
Après avoir longuement embrassé ce sexe, je le prends en bouche et entame la fellation.
Les mains qui tripotaient mes fesses se font de plus en plus aventureuses, jusquà ce que, enfin, un doigt lubrifié vienne sintroduire dans mon trou. La surprise me fait tressaillir. Pourtant je me ratt aussitôt pour ne pas décevoir Monsieur De Viaud.
On me doigte désormais vigoureusement le cul, ce qui nest pas pour me déplaire.
Lorsque les pinces resserrent leur mâchoire sur mes tétons, je retiens un gémissement de douleur. Je ne dois pas montrer de signe de faiblesse pour ne pas le décevoir.
Je sors son gland de ma bouche pour articuler :
- Merci, Monsieur.
Puis je reprend le travail illico. Pourtant, Monsieur De Viaud me repousse. Je le regarde, intrigué, mais baisse aussitôt les yeux en me rappelant des règles énoncées par Monsieur le Marquis.
Monsieur De Viaud att la chaînette qui relie les pinces et tire dessus pour venir la coincer à la base de son sexe.
Je suis pris au piège, son sexe en bouche : contraint à le sucer sans arrêter au risque de marracher les seins.
Chaque mouvement de va et vient de mes lèvres sur son sexe humide minflige à la fois douleur et excitation intenses.
Pendant ce temps, un deuxième doigt sest joint à celui qui me pénétrait le derrière.
Je me demande avec gourmandise quand donc ces doigts laisseront la place à un sexe turgescent. Pourtant, la soirée vient à peine de commencer.
Mon sexe sest dressé sous lexcitation, ce qui ne manque pas de faire rire les invités encore présents lorsquils sen aperçoivent.
Monsieur De Viaud samuse à écarter son sexe avec de petits mouvements de bassin, mentraînant inexorablement avec lui par cette chaînette qui me retient captif de son sexe.
Tout à coup, il annonce :
- Bon, ça suffit, il faut en garder pour plus tard ! Je suis satisfait, tu suces très bien. Maintenant va me servir un cognac, jai soif.
- Merci Monsieur. Tout de suite Monsieur.
Il ôte les pinces de mes tétons, et les doigts qui pénétraient mon anus se retirent. Je me lève aussitôt pour aller remplir le verre de cognac. Japerçois en coin de mon champ de vision Monsieur le Marquis, en train de se lécher les doigts.
Monsieur le Marquis suggère à ses invités denfiler leur maillot et de passer au jacuzzi.
Dès que ces derniers, enchantés par cette proposition, sont partis se changer, il se tourne vers nous et ordonne daller préparer le terrain.
Blond et moi sortons illico presto avec des plateaux damuse-gueules ainsi que des bouteilles dans leur seau à glaçons.
Jallume le jacuzzi et nous nous postons bien droits à côté.
Peu de temps après, les invités reviennent en tenue de bain. Je me surprends à regarder leurs corps mais me ressaisis aussitôt : il nous est interdit de regarder à moins dy être invités.
Ils passent un à un devant nous pour entrer dans le jacuzzi. Monsieur De Viaud prend un petit four au passage, et Monsieur Curval membrasse langoureusement. Je le remercie humblement.
Pendant que les invités sont dans le jacuzzi, nous restons postés à leurs côtés sans jamais bouger, à lexception des aller-retours à la cuisine pour remplir leurs verres ou ramener des petits fours.
Ils devisent de tout et de rien, comme ils le faisaient au petit salon. Leurs propos semblent toujours très avisés, mais nous essayons de ne pas trop tendre doreilles indiscrètes, par respect.
Au bout dun moment, Monsieur Trévigny revient se joindre à eux, visiblement comblé.
- Eh bien, Trévigny ! Comment était-ce ? Lance Monsieur Modeni.
- Délicieux ! Ce garçon en veut vraiment, je lai pris sauvagement et pourtant, il en redemandait toujours ! Jai tout de même essayé de garder des forces pour la suite. Répond Monsieur Trévigny.
- Excellent ! Je crois que cest une très belle fournée, nous allons passer une bonne soirée. Renchérit Monsieur.
À ces mots, Monsieur Modeni se lève :
- Tout cela me met fort en bouche. Je men vais de ce pas traiter avec ce jeune blondinet.
Il fait signe à Blond de le suivre, et tous deux sen vont.
Monsieur Curval se lève à son tour et pointe son doigt vers moi.
- Alors je vais voir ce que vaut celui-ci !
Mais Monsieur le Marquis linterrompt :
- Allons, allons Curval. Vous connaissez les règles : il doit toujours rester un serviteur à la merci des invités. Il me semble que vous devrez attendre le retour de notre esclave brun.
La déception se lit sur le visage de Monsieur Curval, mais il se ressaisit :
- Quà cela ne tienne, je me ferai sucer ! Venez donc jeune homme. Me dit-il.
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